|
|
|
Please login to use private mails, adress book and favorite |
In tribute to
GOLDEN-RETRIEVERPELUCHE
Born on :10/01/1998
left us on:12/05/2014
No candle 10 persons like this page |
In tribute to
PELUCHE
0 candle
|
5514 Flowers
left by Myriam Doux repos au paradis étoilés bel ange Peluche, courage à vous., tu es parti 10 jours avant mon petit ange Tommy left by Pachkounet Shabbat Shalom, mon Peluche, mon amour. Viens me voir cette nuit, viens avec tes frères Guizmo et Louveteau et faites moi de léchouilles comme avant, quand nous étions tous ensemble... Je t'aime. |
2225 messages
left by zenelle on 18/04/2015" À L'HEURE SI SOMBRE ENCORE, DE LA CIVILISATION OÙ NOUS SOMMES, LE MISÉRABLE S'APPELLE LE CHIEN, IL GÉMIT SOUS TOUS LES CLIMATS, IL AGONISE DANS TOUTES LES LANGUES "...... .................................................................................................................................................................... Je viens d'adopter un adorable bichon croisé qui s'appelle Olaf et qui a deux ans et demi,via l'association "remember me" Petit chien jeté à la fourrière en Roumanie, dans des conditions épouvantables. SVP n'achetez pas de chien pensez à adopter ceux qui souffrent! Amitiés et bon weekend |
left by colombine67 on 18/04/2015Un jour, dans un dernier soupir, tu t’es endormi Pour ton dernier voyage vers le paradis Mes yeux pleins de larmes savaient que c’était fini Je voudrais trouver l’étincelle Celle que j’avais avant que tu partes au ciel Rejoindre l’éternel Alors je ferme les yeux Pour essayer de te voir encore un peu Être juste un instant tous les deux Je te vois courir vers moi Je te tends mes bras Tu te blottis tout contre moi Le doux parfum des fleurs Nous enivre de bonheur Je t’aime mon ange de tout mon cœur Les pétales de chaque fleur, effleurent ma peau Toi attentif tu écoutes mes mots Ces mots d’Amour qui raisonnent en écho Tu sembles être à des années-lumière de moi Et je t’avoue mon ange que j’ai le mal de toi C’est-ce que l’on appelle l’Amour je crois Je me souviens de toi Je me souviens quand tu serais près de moi Je me souviens de nos promenades que l’on faisait toi et moi Il suffit à présent que je ferme les yeux Pour te retrouver dans les cieux Dans ce paradis merveilleux des rêves bleu |
left by colombine67 on 17/04/2015Lettre venue d’ailleurs Tu as souhaité m’écrire, laissant le soin aux nuages, Le soin de me transmettre ton message. Cette seule intention m’autorise à te répondre Afin de te dire qu’en partant, j’ai bien emporté Toute la richesse et l’amour de notre vécu, Et, si du poids de mon corps je me suis allégé, Je n’en reste pas moins, dans l’ombre, à tes côtés. Dés lors, si tu es à la recherche de notre hier, Laisse voguer en toi les pensées et les rêves, Car, dans ces voyages, nous nous retrouverons Pour vivre ensemble cette intime complicité, Et donner ainsi toute sa force à son éternité. Que la caresse du vent, un rayon de soleil, Une étoile filante ou une goutte de pluie Soient les anges porteurs de cet écrit Pour en traduire auprès de toi le sentiment, Afin que, laissant de côté regrets comme oublis, Tu vives intensément chaque moment de la vie. (Michel Thivent) |
left by rafia on 17/04/2015Un credo pour la vie Ne te sous-estime pas en te comparant aux autres. C'est précisément parce que nous sommes tous différents que nous sommes tous uniques. Ne fixe pas tes buts en fonction des autres. Toi seul sais ce qui est bon pour toi. Sois toujours à l'écoute de tes plus profonds désirs. Tiens à eux comme tu tiens à la vie, car sans eux, la vie n'est rien. Ne laisse pas la vie filer entre tes doigts en songeant au passé ou en rêvant à l'avenir. Vis ta vie jour après jour, et tu vivras ainsi intensément chaque jour de ta vie. Ne baisse pas les bras tant que tu as encore quelque chose à donner. Rien n'est jamais perdu... tant que tu continues de lutter. N'aie pas peur d'admettre que tu n'es pas parfait. C'est ce lien fragile qui nous relie les uns aux autres. N'aie pas peur de prendre des risques. C'est en prenant des risques que le courage s'apprend. N'écarte pas l'amour de la vie en prétendant qu'il n'existe pas. Le meilleur moyen de trouver l'amour est de le donner ; le meilleur moyen de le perdre est de le retenir prisonnier ; et le meilleur moyen de le garder est de lui donner des ailes. N'étouffe pas tes rêves. Ne pas avoir de rêve, c'est être sans espoir ; être sans espoir, c'est errer sans but. Ne fuis pas en avant tout au long de ta vie de sorte que tu oublies d'où tu viens et où tu vas. La vie n'est pas une course, mais un voyage dont il faut savoir goûter chaque étape. Nancye Sims, |
left by poutounou on 16/04/2015Si... * Si la sardine avait des ailes, Si Gaston s'appelait Gisèle, Si l'on pleurait lorsque l'on rit, Si le pape habitait Paris, Si l'on mourait avant de naitre, Si la porte était la fenêtre, Si l'agneau dévorait le loup, Si les Normands parlaient zoulou, Si la mer Noire était la Manche Et la mer Rouge la mer Blanche, Si le monde était à l'envers, Je marcherais les pieds en l'air, Le jour je garderais la chambre, J'irais à la plage en décembre, Deux et un ne feraient plus trois... Quel ennui ce monde à l'endroit ! * Jean-Luc Moreau |
left by colombine67 on 16/04/2015Mon humble ami, mon chien fidèle, tu es mort de cette mort que tu fuyais comme une guêpe lorsque tu te cachais sous la table. Ta tête s’est dirigée vers moi à l’heure brève et morne. O compagnon banal de l’homme : être béni ! toi que nourrit la faim que ton maître partage, toi qui accompagne dans leur pèlerinage l’archange Raphaël et le jeune Tobie… O Serviteur : que tu me sois d’un grand exemple, ô toi qui m’as aimé ainsi qu’un saint son Dieu ! Le mystère de ton obscure intelligence vit dans un paradis innocent et joyeux. Ah ! faites, mon Dieu, si Vous me donnez la grâce de Vous voir face à face aux jours d’Eternité, faites qu’un pauvre chien contemple face à face celui qui fut son dieu parmi l’humanité. Francis Jammes |
left by colombine67 on 15/04/2015Ils l'ont jeté par la portière Il n'a pas compris tout de suite Il a couru longtemps derrière Mais la voiture allait trop vite Et pendant des journées entières Il a vu les autos passer Mais personne n'a fait marche arrière En le voyant dans le fossé Après les premières caresses Puis quelques mois d'indifférence Ils l'ont laissé à sa détresse Au début des grandes vacances… Pareil à l'objet que l'on jette Quand il devient trop encombrant Ils le remplaceront peut-être Par un chien plus jeune en rentrant… Le chien abandonné en été par ses maîtres Flaire toujours la route et fait des kilomètres Traversant les villages, faisant peur aux enfants Qui ne savent pas encore qu'il n'y a que les gens Qui soient vraiment méchants Il ne les a pas oubliés Depuis le jour qu'il vagabonde Dans l'espoir de les retrouver Il irait jusqu'au bout du monde Il verra bien un jour sans doute Finir sa marche solitaire En voulant traverser la route Ou emmené par la fourrière Le chien abandonné en été par ses maîtres Sur le bord du fossé vaut bien que l'on s'arrête Qu'on ouvre sa portière et le fasse monter Pour qu'en France en été il n'y ait plus jamais De chien abandonné (Merci à la version Jean Rochefortienne) |
left by colombine67 on 14/04/2015a mon chien, Tu ne parlais pas, tu aboyais, Je n'étais pas comme toi, Mais tu étais le seul qui me comprenais C'est dans tes poils que je pleurai, Car toi tu me redonnais le sourire que je perdais, Alors comment faire aujourd'hui, Lorsque personne ne me comprend, Car tu n'es plus la pour moi, Tu m'as quitté un beau jour, Cette date reste gravé, je ne l'oublierai jamais, C'est moi qui ai choisi , mais je ne supportai plus de t'entendre souffrir, J'ai grandit avec toi, Et de toi je faisais ce que je voulais, Tu ne m'as jamais fait de mal, Tu as toujours étais là pour moi, Mais la vie d'un chien est bien moins longue que celle d'un humain, Et pourtant chaque jour qui passe, je pense a toi, Je pleure encore ton absence, Et pourtant sa fait déjà si longtemps, Mais je me souviens de toi comme si c'était hier, Je t'aime tellement, Tu resteras à jamais dans mon cœur |
left by poutounou on 13/04/2015« La cigale et la fourmi » à l’envers ! * La fourmi et la cigale * La fourmi ayant stocké tout l’hiver Se trouva fort encombrée Quand le soleil fut venu : Qui lui prendrait ses morceaux De mouches ou de vermisseaux ? Elle tenta de démarcher Chez la cigale, sa voisine, La poussant à s’acheter Quelques grains pour subsister Jusqu’à la saison prochaine. « Vous me paierez, lui dit-elle, Apres l’out, foi d’animal, Intérêt et principal. « La cigale n’est pas gourmande : C’est là son moindre défaut. Que faisiez-vous au temps froid ? Dit-elle à cette amasseuse. - Nuit et jour à tout-venant Je stockais, ne vous déplaise. - Vous stockiez ? j’en suis fort aise ; Et bien soldez maintenant. « * Françoise Sagan |
left by choupinou on 13/04/2015Mon copain Quand j’ai du chagrin Il ne me dit rien Il sait bien que ça ne sert à rien Quand j’ai du chagrin Mon ami Quand j’ai de la peine Il ne me dit pas qu’il m’aime Je sais bien que ça le gêne Quand j’ai de la peine Alors il m’écoute Moi je sais qu’il m’entend Et il me regarde Moi je sais qu’il comprend Il se met dans un coin Ses yeux sont plus malheureux Que les miens Mon copain, mon ami Il est plus qu’un ami Plus qu’un bon copain ...Puisque c’etait mon chien Chantal Abraham |
left by colombine67 on 13/04/2015Loan et Gigotte étaient faits pour être ensemble... "Gigotte c’est encore plus d’amour et de bonheur dans notre vie. Je remercie HANDI’CHIENS pour ce cadeau." "Lors de leur première rencontre en janvier 2013, l’interaction est immédiate. Loan va au contact de Gigotte, se met contre elle, essaye de monter sur son dos, lui court après dans la maison en la tenant par la queue. Gigotte explore notre maison, va sans cesse voir ce que fait Loan et accepte tous ses assauts ! Pour l’éducatrice c’est évident : Gigotte a choisi Loan ! Nous retrouvons enfin Gigotte lors du stage d’adapataion et de transmission à Marcy l’étoile, en février, au Centre HANDI’CHIENS de Lyon. Une semaine de bonheur, d’interaction immédiate : Loan joue à la balle avec Gigotte et à notre grande surprise, adore lui donner ses croquettes et essaye déjà de tenir sa laisse. Une semaine fatigante, car Loan dort peu, trop excité et submergé par toutes ces émotions et la nouveauté de cette aventure. J’apprends beaucoup lors de ce stage et je suis réellement passionnée par mon nouveau rôle de référente pour Gigotte, qui dès le premier jour, m’obéit à la perfection. On est comme connectée toutes les deux, je l’aime déjà, et je sens que je vais adorer m’investir afin qu’elle se fixe sur Loan et s’attache à lui. L’éducateur fera tout pour me valoriser et me donner confiance en moi. Dès notre retour, le 2 mars 2013, c’est Gigotte qui gagne totalement ma confiance et me rassure entièrement sur la réussite de cette aventure. Gigotte séduit tout le monde à la maison : le papa, le grand frère de Loan, et même Minus, notre petite siamoise de 10 ans !!! Dans notre entourage, l’arrivée de Gigotte a été bien préparée, mes parents sont enthousiastes, ainsi que l’école maternelle, l’orthophoniste, la psychomotricienne : tout le monde accepte Gigotte et l’accueille comme elle le mérite. Gigotte nous accompagne partout : jusqu’à la classe de Loan, et dans ses rendez-vous, cela se fait petit à petit, sereinement et elle s’intègre parfaitement à notre rythme. Les week-ends, nous allons nous balader dans les parcs, à la mer, Gigotte trouve son équilibre, et je suis heureuse de la voir douce, calme, équilibrée, affectueuse, curieuse et toujours aussi obéissante avec nous. Quand nous sommes rentrés de Lyon, j’ai favorisé tous les contacts possibles et les interactions avec Gigotte. Le moment du dodo est idéal pour apprendre à Loan les caresses et les câlins avec Gigotte. Le moment du bain, que Loan adore, intéresse beaucoup Gigotte, qui est assise devant la baignoire et observe tout. C’est l’occasion de l’observer, de la toucher, de lui parler. Loan lui donne à boire et la regarde, Loan la laisse lui lécher les mains ou les bras. Loan adore toujours lui donner à manger, il effectue entièrement ce petit rituel et il est ravi de la regarder manger. Loan et Gigotte ont beaucoup de choses en commun : ils aiment la mer, courir, jouer avec l’eau, les balles, partir en balade, et même le piano ! Loan est autiste et commence peu à peu à parler depuis un an. Depuis deux mois, le langage s’est développé considérablement : imitations spontanées, il répète tout ce que l’on dit, il essaye de faire des phrases, c’est incroyable ! Et surtout, il dit « GI – OTTE » toute la journée ! Au retour de Lyon, nous avons commencé la propreté, après un essai durant tout l’été dernier où Loan n’avait pas la compréhension nécessaire. En deux jours, c’est comme si Loan avait tout compris. Il va spontanément sur le pot. En deux mois, la propreté est acquise à la maison. On ne peut pas savoir quelle est l’influence exacte de Gigotte sur tous ces progrès dans le développement de Loan. Ce qui est évident pour moi, c’est que tout cela s’est produit depuis son arrivée. Loan s’est ouvert, il communique réellement avec nous, il veut nous parler, nous dire plein de choses, Loan comprend presque tout ce que l’on dit, il a même progressé en bêtises, et transgresse les interdits juste pour nous faire réagir et cela le fait beaucoup rire ! Comme goûter les croquettes de Gigotte ! Le chien d’éveil, l’aventure HANDI’CHIENS, cela se vit à trois : Gigotte, Loan et moi. C’est le secret pour réussir une relation magique entre son enfant et un chien exceptionnel. C’est un trio d’amour et de complicité. Gigotte c’est encore plus d’amour et de bonheur dans notre vie. Je remercie HANDI’CHIENS pour ce cadeau. Je pense que Loan s’est ouvert sur notre monde, car Gigotte en fait partie." |
left by colombine67 on 12/04/2015Julia, Famille d’accueil "J’ose ce soir t’adresser cette lettre, à toi qui ne sauras ni lire ni comprendre les mots qui la composent. Lorsque ton regard plonge dans mes yeux, je sais que tu ressens un autre langage… Celui de notre union, du lien que nous avons tissé jour après jour, dans cette relation unique d’un maître et de son chien. Je t’ai appris quelques mots de ma langue, et toi, tu m’as appris bien plus dans tes silences. Chaque jour, ta dévotion à mon égard, ton investissement par la joie, ton envie de me combler, ta motivation à me faire plaisir témoignent d’une capacité que beaucoup de mon espèce ont perdue …un altruisme à toute épreuve. Que je sois de mon coté enchantée ou fatiguée, à l’écoute ou dans ma bulle, affectueuse ou agacée, tu restes fidèle à toi même. Je te remercie durant cette dernière année, d’avoir été cet être présent et attentif. Je me suis appliquée à te dorloter également, à m’occuper de toi ; de ta santé, toi qui ne te plains jamais, de ta croissance, toi qui ne t’en rends pas compte, de ton éducation, toi qui es destinée à la plus noble des tâches. Celle d’accompagner une personne fragilisée dans la société que nous avons créée. La plupart d’entre nous pensent que le nombre de personnes handicapées constitue une minorité. Or l’enquète Handicap-Incapacités-Dépendances réalisé par l’INSEE, met en évidence un nombre actuel de personnes handicapées en France avoisinant les 12 millions. Pas si minoritaire, donc…Mais nous ne les croisons pas si souvent parce que notre infrastructure ou nos systèmes d’accès limitent leur mobilité. Nous autres, personnes valides, ignorons trop souvent les privilèges que nous avons mis en place. Privilège d’accès à la poste, dans le train, au travail ; privilège de déplacement en ville, privilège de possibilité d’activités sportives ou culturelles… privilège d’aménagement, tout simplement. Nous avons créé un environnement hostile et souvent inaccessible pour certains. Je sais Ekinis, que tu sauras amoindrir cet obstacle existant, que tu sauras autoriser une personne à mobilité réduite à accéder davantage à son droit le plus élémentaire, celui d’être parmi nous, actif et présent... L’autonomie que tu lui apporteras, le contact que tu permettras entre lui et les autres changeront sa vie. J’en suis certaine, car grâce à toi, ma vie a changé. En tant que famille d’accueil, mon rôle était de te "sociabiliser"… Sais-tu seulement que c’est toi qui m’as sociabilisée ? _ Avant de te sortir au petit matin, je ne connaissais pas la femme de ménage de mon immeuble, car elle travaille à un horaire différent de mon départ. Depuis, nous échangeons régulièrement quelques mots. Je ne connaissais pas non plus la dame âgée assise sur ce banc, ni le petit garçon qui va dans le parc régulièrement, ni la dame de l’accueil sur le parking des bus, ou ce marchand qui sort de son magasin dès qu’il te voit passer. Je ne connaissais pas les sourires de tant de personnes lorsque je fais mon marché, les discussions échangées avant de traverser la rue, ces liens tissés auprès des gens de mon quartier, ces amitiés possibles avec d’autres qui promènent leur chien. Alors, oui, je sais que ton futur maître, grâce à toi, aura infiniment plus d’occasions d’être en communication avec son entourage ; je sais que le fauteuil ou le handicap ne feront plus barrière, car tu seras là pour créer un pont. Nous avons pris soin l’une de l’autre ces derniers mois, et aujourd’hui, nous devons nous séparer. Mais je ne te perds pas. Lorsque quelque chose de vrai est échangé, on le garde pour toujours. Un peu de moi t’a construite et un peu de toi m’a ouvert des portes ; l’avenir sans toi sera nécessairement un avenir grâce à toi et je t’en remercie. Réciproquement, ton avenir sans moi est un avenir grâce à moi, et j’en éprouve une profonde fierté, beaucoup de joie et un sentiment d’apaisement. Notre chemin initial a été tracé parce qu’il avait un sens, notre séparation fait partie d’un processus d’union, entre toi et celui qui te choisira demain. J’ai si souvent lu au fond de tes yeux que tu le choisiras aussi lorsque vos regards se croiseront, que je te quitte sereine, ce soir, avec émotion et bienveillance, car ton histoire ne fait que commencer. Tendrement." " un chien est capable de tellement de choses, donne tellement d'amour est ce que nous nous savons leur dire merci? comment faire que certaines personnes réalisent enfin ce qu'un chien est capable" |
left by lili2248 on 11/04/2015MON ETOILE Dans ce monde obscur brille une étoile Une étoile qui illumine ma vie Une étoile qui me donne le sourire Une étoile qui m'apporte de la joie de vivre Mais un jour, cette étoile s'éteint Et, tout autour de moi s'écroule Et tout redevient sombre Tout sauf le souvenir de cette étoile Qui ne cessera de briller dans mon coeur.de ta famille |
left by colombine67 on 11/04/2015J'ose ce soir t'adresser cette lettre, à toi qui ne sauras ni lire ni comprendre les mots qui la composent. Lorsque ton regard plonge dans mes yeux, je sais que tu ressens un autre langage... Celui de notre union, du lien que nous avons tissé jour après jour, dans cette relation unique d'un maître et de son chien. Je t'ai appris quelques mots de ma langue, et toi, tu m'as appris bien plus dans tes silences. Chaque jour, ta dévotion à mon égard, ton investissement par la joie, ton envie de me combler, ta motivation à me faire plaisir témoignent d'une capacité que beaucoup de mon espèce ont perdue ...un altruisme à toute épreuve. Que je sois de mon coté enchantée ou fatiguée, à l'écoute ou dans ma bulle, affectueuse ou agacée, tu restes fidèle à toi même. Je te remercie durant cette dernière année, d'avoir été cet être présent et attentif. Je me suis appliquée à te dorloter également, à m'occuper de toi ; de ta santé, toi qui ne te plains jamais, de ta croissance, toi qui ne t'en rends pas compte, de ton éducation, toi qui es destinée à la plus noble des tâches. Celle d'accompagner une personne fragilisée dans la société que nous avons créée. La plupart d'entre nous pensent que le nombre de personnes handicapées constitue une minorité. Or l'enquète Handicap-Incapacités-Dépendances réalisé par l'INSEE, met en évidence un nombre actuel de personnes handicapées en France avoisinant les 12 millions. Pas si minoritaire, donc...Mais nous ne les croisons pas si souvent parce que notre infrastructure ou nos systèmes d'accès limitent leur mobilité. Nous autres, personnes valides, ignorons trop souvent les privilèges que nous avons mis en place. Privilège d'accès à la poste, dans le train, au travail ; privilège de déplacement en ville, privilège de possibilité d'activités sportives ou culturelles... privilège d'aménagement, tout simplement. Nous avons créé un environnement hostile et souvent inaccessible pour certains. Je sais, que tu sauras amoindrir cet obstacle existant, que tu sauras autoriser une personne à mobilité réduite à accéder davantage à son droit le plus élémentaire, celui d'être parmi nous, actif et présent ... L'autonomie que tu lui apporteras, le contact que tu permettras entre lui et les autres changeront sa vie. J'en suis certaine, car grâce à toi, ma vie a changé. En tant que famille d'accueil, mon rôle était de te « sociabiliser »... Sais-tu seulement que c'est toi qui m'as sociabilisée ? Avant de te sortir au petit matin, je ne connaissais pas la femme de ménage de mon immeuble, car elle travaille à un horaire différent de mon départ. Depuis, nous échangeons régulièrement quelques mots. Je ne connaissais pas non plus la dame âgée assise sur ce banc, ni le petit garçon qui va dans le parc régulièrement, ni la dame de l'accueil sur le parking des bus, ou ce marchand qui sort de son magasin dès qu'il te voit passer. Je ne connaissais pas les sourires de tant de personnes lorsque je fais mon marché, les discussions échangées avant de traverser la rue, ces liens tissés auprès des gens de mon quartier, ces amitiés possibles avec d'autres qui promènent leur chien. Alors, oui, je sais que ton futur maître, grâce à toi, aura infiniment plus d'occasions d'être en communication avec son entourage ; je sais que le fauteuil ou le handicap ne feront plus barrière, car tu seras là pour créer un pont. Nous avons pris soin l'une de l'autre ces derniers mois, et aujourd'hui, nous devons nous séparer. Mais je ne te perds pas. Lorsque quelque chose de vrai est échangé, on le garde pour toujours. Un peu de moi t'a construite et un peu de toi m'a ouvert des portes ; l'avenir sans toi sera nécessairement un avenir grâce à toi et je t'en remercie. Réciproquement, ton avenir sans moi est un avenir grâce à moi, et j'en éprouve une profonde fierté, beaucoup de joie et un sentiment d'apaisement. Notre chemin initial a été tracé parce qu'il avait un sens, notre séparation fait partie d'un processus d'union, entre toi et celui qui te choisira demain. J'ai si souvent lu au fond de tes yeux que tu le choisiras aussi lorsque vos regards se croiseront, que je te quitte sereine, ce soir, avec émotion et bienveillance, car ton histoire ne fait que commencer. Texte de Julia pour son chien Ekinis |
left by rafia on 10/04/2015L'attachement peut se passer de retour, jamais l'amitié ; elle est un échange, un contrat comme les autres, mais elle est le plus saint de tous. Le mot d'ami n'a point d'autre corrélatif que lui-même. Tout homme qui n'est pas l'ami de son ami est très sûrement un fourbe, car ce n'est qu'en rendant l'amitié qu'on peut l'obtenir. Citation de Jean-Jacques Rousseau, |
left by choupinou on 08/04/2015les p'tits rien un p'tit rien ça coûte rien un p'tit rien ça fait du bien c'est un sourire que tu peux offrir un coup de pouce pour l'avenir. Les p'tits mots de tous les jours, ça va ,merci, bonjour, peuvent être gorgés d'amour; toutes ces marques de confiance c'est du soleil en abondance si tu leur donnes tous leur sens. Les p'tits gestes qui viennent du coeur un clin d'oeil,un message,un texte ,une fleur; c'est la recette du bonheur,elle diminue votre tristesse elle vous redonne du courage,ce ne sont que des p'tits rien, mais ils sont là puissant remplient de tendresse ce ne sont que des p'tits rien,mais qu'est ce qu'ils peuvent faire du bien... |
left by rafia on 07/04/2015Le Petit Chien Noir de Pétula CLARK Un petit chien noir Avec un collier rouge M'a suivie dans la rue, un matin Un petit bâtard Avec la queue qui bouge Et des yeux pétillants et malins J'ai regardé son collier Mais il n'y avait pas de nom Quand j'ai voulu le chasser Il a filé dans la maison J'ai dit "Non, c'est non ! A qui voudra le prendre Moi, j'irai dès demain le donner" Ah ! Le petit chien noir Avait l'air de comprendre Les enfants se sont mis à pleurer J'ai dû céder comme toujours J'ai promis de le garder Si dans un an et un jour Personne ne l'avait réclamé Ce petit roublard A su si bien si prendre Que je dois aujourd'hui vous l'avouer Si jamais quelqu'un Venait nous le reprendre Je serais la première à pleurer Oh oui ! Je serais la première à pleurer |
left by rafia on 06/04/2015Être exigeant est une règle de base. Être tolérant est un principe. Veiller sur l'état de l'amitié est un devoir. Penser à l'autre, savoir être présent quand il faut, avoir les mots et les gestes qu'il faut, faire preuve de constance dans la fidélité, c'est cela l'amitié, et c'est rare. Mille mercis pr votre Amitié; Mille bisous Maryem, votre amie. |
left by rafia on 05/04/2015DESSINE-MOI...un ESPOIR C’est une petite voix que j’entends, depuis mercredi, dans le désert de ma tête, une petite voix qui me demande : Dessine-moi un espoir !!! J’aimerais bien, mais on dessine ça comment un espoir, quand on vient de voir des gens se faire tuer à cause de leurs dessins ??? On dessine un soleil ??? Un gros soleil. Un rond jaune avec plein de lignes autour. De nos jours, le soleil, ce n’est plus l’espoir. Le soleil, c’est le danger. C’est la folie des hommes qui a transformé l’astre de la vie en bombe à retardement, à cause de leur fumée. De leur progrès. De leur argent. On dessine une maison ??? Un carré avec un triangle par-dessus pour faire le toit.... Une porte et deux fenêtres. Et on se dit que dans la maison, il y a des gens heureux.... Mais s’ils ne l’étaient pas ? Il y a tellement de maisons avec des habitants malheureux dedans. Avec des frères qui méprisent les maisons qui les entourent. Et qui débarquent dans l’une d’elles, pour commettre l’irréparable. On dessine un coeur ? ?? Un grand coeur..... Et on le colore tout rouge pour qu’il ne soit pas vide. Parce qu’il n’y a rien de plus triste qu’un coeur vide. Mais un coeur tout rouge, ça devient un coeur qui saigne. L’amour et le sang ont la même couleur....... Et c’est toujours pour le premier que coule le second. On dessine une fleur ? Un rond, des pétales autour et une tige.... C’est beau, une fleur. Mais aujourdhui, impossible d’en voir une sans penser qu’il y a un mort en-dessous. Comme toutes ces fleurs laissées sur le trottoir devant le 10, rue Nicolas-Appert..... J’ai peur qu’un jour, il n’y ait plus assez de fleurs pour tous les morts que l’on fait. On dessine un bonhomme allumette ??? Un rond pour la tête, une ligne pour le corps, deux lignes pour les jambes, deux lignes pour les bras. Un être humain, ça devrait être ça, le symbole de l’espoir.....Pourtant, il n’y a rien de plus désespérant qu’un être humain. Il peut tuer son voisin parce qu’il n’aime pas son dessin.... L’espoir, c’est croire que demain, ça ira mieux. Que demain, le monde sera meilleur. Les journalistes de Charlie Hebdo le croyaient.... C’est pour ça qu’ils se tenaient debout. Cest pour ça qu’ils riaient. On leur a fait peur.... Ça n’a rien changé. La peur n’a pas eu raison de leur foi en l’homme..... Ils sont restés debout. Ils ont continué à rire. Des vrais. Pour tuer leur espoir, il fallait les tuer. C’est ce que des fous ont fait. Et nous qui assistons à ça, nous qui ne sommes pas aussi braves que les victimes, ni aussi lâches que les agresseurs, comment on fait pour continuer de croire qu’un jour, ça ira mieux ? Quand les plus convaincus sont partis à cause de leurs convictions?? ? Et que la tuerie se poursuit, le lendemain ???? C’est l’ultime but des terroristes : tuer l’espoir. Ils veulent rendre tout le monde semblable à eux. Il n’y a, en eux, aucun espoir. C’est pour ça qu’ils sont prêts à tuer. C’est pour ça qu’ils sont prêts à mourir. L’espoir fait vivre. L’absence d’espoir fait tuer. Pourquoi en sont-ils rendus là ??? Sûrement à cause des hommes...!!! D’autres hommes...... Désespérés avant eux. Et la roue tourne. Gigantesque..... Et elle écrase tous ceux qui ont le malheur d’être sur son chemin. Bien sûr, la solidarité qui naît après l’horreur est émouvante. Ça réconforte. Nous sommes tous Charlie. C’est joli. Mais un coup que c’est dit, qu’est-ce qu’on fait ??? On redevient Stéphane, Martine ou François. Et on pense à soi. En premier. Comment rester Charlie ??? Depuis mercredi, j’ai la tête comme un désert. Vidée de mes repères. Vidée de mes beautés. Chaque fois que l’homme est un loup pour l’homme, ça m’anéantit. Vous aussi. Et l’enfant en moi qui supplie : Dessine-moi un espoir !!! Dessine-moi un espoir !!! Mon soleil, ma maison, mon coeur, ma fleur, mon bonhomme n’ont pas fait l’affaire..... Je m’essaie une dernière fois. Je prends une feuille blanche. Et je n’y dessine rien.... Je la lui tends : Tiens mon enfant, c’est ça l’espoir. Une page blanche.... Il la prend. Il est content.... Il comprend. L’espoir est une page blanche..... Tant que la page est blanche, il est permis de croire que l’on va faire le plus beau des dessins. Tellement beau qu’il nous rendra heureux. Si on tournait la page de nos marques et de nos blessures. Si on avait tous devant nous une page blanche !!!!… |
left by poutounou on 04/04/2015Coucou bel Ange, Va-t-en voir dans ton jardin… Le lapin de Pâques, ce farceur, Y a caché cette nuit Un panier rempli de surprises : * Des œufs de toutes les couleurs, Des sucettes, des guimauves, Des meringues, des nonosss, Une baballe qui rebondit. * Regarde aussi dans tes fleurs. Tu y trouveras des bonbons à la liqueur. Je te souhaite, de tout cœur, De Joyeuses Pâques, tout en douceur… |
The photo album contains 20 pictures