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En hommage à
YORKSHIRE-TERRIERA BB LUCKY
Il est né le:24/08/1995
Il nous a quittés le:21/09/2010
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En hommage à
A BB LUCKY
32 bougies
55630 Fleurs
Déposé par nina1997 Un chien vous attendra jusqu'au bout de la nuit et il vous aimera jusqu'au bout de sa vie🐕🩷 Déposé par nina1997 Un chien vous attendra jusqu'au bout de la nuit et il vous aimera jusqu'au bout de sa vie🐕🩷 Déposé par nina1997 Un chien vous attendra jusqu'au bout de la nuit et il vous aimera jusqu'au bout de sa vie🐕🩷 Déposé par nina1997 Un chien vous attendra jusqu'au bout de la nuit et il vous aimera jusqu'au bout de sa vie🐕🩷 Déposé par nina1997 Un chien vous attendra jusqu'au bout de la nuit et il vous aimera jusqu'au bout de sa vie🐕🩷 Déposé par nina1997 Un chien vous attendra jusqu'au bout de la nuit et il vous aimera jusqu'au bout de sa vie🐕🩷 Déposé par nina1997 Un chien vous attendra jusqu'au bout de la nuit et il vous aimera jusqu'au bout de sa vie🐕🩷 Déposé par nina1997 Un chien vous attendra jusqu'au bout de la nuit et il vous aimera jusqu'au bout de sa vie🐕🩷 Déposé par nina1997 Un chien vous attendra jusqu'au bout de la nuit et il vous aimera jusqu'au bout de sa vie🐕🩷 Déposé par nina1997 Un chien vous attendra jusqu'au bout de la nuit et il vous aimera jusqu'au bout de sa vie🐕🩷 |
5164 messages
Déposé par colombine67 le 05/11/2015Quand lui n'achève pas son travail, je me dis, il est paresseux. Quand moi, je n'achève pas mon travail, c'est que je suis trop occupé, trop surchargé. Quand lui parle de quelqu'un, c'est de la médisance. Quand je le fais, c'est de la critique constructive. Quand lui tient à son point de vue, c'est un entêté. Quand moi je tiens à mon point de vue, c'est de la fermeté. Quand lui prend du temps pour faire quelque chose, il est lent. Quand moi je prends du temps pour faire quelque chose, je suis soigneux. Quand lui est aimable, il doit avoir une idée derrière la tête. Quand moi je suis aimable, je suis vertueux. Quand lui est rapide pour faire quelque chose, il bâcle. Quand moi je suis rapide pour faire quelque chose, je suis habile. Quand lui fait quelque chose sans qu'on le lui dise, il s'occupe de ce qui ne le regarde pas. Quand moi je fais quelque chose sans qu'on me le dise, je prends des initiatives. Quand lui défend ses droits, c'est un mauvais esprit. Quand moi je défends mes droits, je montre du caractère. Pierre Descouvemont |
Déposé par poutounou le 04/11/2015Quels sont les GROS CAILLOUX de notre vie ? * Gros cailloux * Un jour, un vieux professeur de l'Ecole Nationale d'Administration Publique (ENAP) fut engagé pour donner une formation sur la planification efficace de son temps à un groupe d'une quinzaine de dirigeants de grosses compagnies nord-américaines. Ce cours constituait l'un des cinq ateliers de leur journée de formation. Le vieux prof n'avait donc qu'une heure pour "passer sa matière". Debout, devant ce groupe d'élite (qui était prêt à noter tout ce que l'expert allait enseigner), le vieux prof les regarda un par un, lentement, puis leur dit : "Nous allons réaliser une expérience". De dessous la table qui le séparait de ses élèves, le vieux prof sortit un immense pot Mason d'un galon (pot de verre de plus de quatre litres) qu'il posa délicatement en face de lui. Ensuite, il sortit environ une douzaine de cailloux à peu près gros comme des balles de tennis et les plaça délicatement, un par un, dans le grand pot. Lorsque le pot fut rempli jusqu'au bord et qu'il fut impossible d'y ajouter un caillou de plus, il leva lentement les yeux vers ses élèves et leur demanda : "Est-ce que ce pot est plein ?". Tous répondirent : "Oui". Il attendit quelques secondes et ajouta : "Vraiment ?". Alors, il se pencha de nouveau et sortit de sous la table un récipient rempli de gravier. Avec minutie, il versa ce gravier sur les gros cailloux puis brassa légèrement le pot. Les morceaux de gravier s'infiltrèrent entre les cailloux... jusqu'au fond du pot. Le vieux prof leva à nouveau les yeux vers son auditoire et redemanda : "Est-ce que ce pot est plein ?". Cette fois, ses brillants élèves commençaient à comprendre son manège. L'un d'eux répondit : "Probablement pas ! ". "Bien ! " répondit le vieux prof. Il se pencha de nouveau et cette fois, sortit de sous la table une chaudière de sable. Avec attention, il versa le sable dans le pot. Le sable alla remplir les espaces entre les gros cailloux et le gravier. Encore une fois, il demanda : "Est-ce que ce pot est plein ?". Cette fois, sans hésiter et en choeur, les brillants élèves répondirent : "Non !". "Bien !" répondit le vieux prof. Et comme s'y attendaient ses prestigieux élèves, il prit le pichet d'eau qui était sur la table et remplit le pot jusqu'à ras bord. Le vieux prof leva alors les yeux vers son groupe et demanda "Quelle grande vérité nous démontre cette expérience ?". Pas fou, le plus audacieux des élèves, songeant au sujet de ce cours, répondit : "Cela démontre que même lorsque l'on croit que notre agenda est complètement rempli, si on le veut vraiment, on peut y ajouter plus de rendez-vous, plus de choses à faire". "Non" répondit le vieux prof. "Ce n'est pas cela. La grande vérité que nous démontre cette expérience est la suivante : si on ne met pas les gros cailloux en premier dans le pot, on ne pourra jamais les faire entrer tous, ensuite". Il y eu un profond silence, chacun prenant conscience de l'évidence de ces propos. Le vieux prof leur dit alors : "Quels sont les gros cailloux dans votre vie ?". "Votre santé ?", "Votre famille ?", "Vos ami(e)s ?", "Réaliser vos rêves ?", "Faire ce que vous aimez ?", "Apprendre ?", "Défendre une cause ?", "Relaxer ?", "Prendre le temps... ?", "Ou... toute autre chose ?". "Ce qu'il faut retenir, c'est l'importance de mettre ses GROS CAILLOUX en premier dans sa vie, sinon on risque de ne pas réussir... sa vie. Si l'on donne priorité aux peccadilles (le gravier, le sable), on remplira sa vie de peccadilles et on n'aura plus suffisamment de temps précieux à consacrer aux éléments importants de sa vie. Alors, n'oubliez pas de vous poser à vous-même la question : "Quels sont les GROS CAILLOUX dans ma vie ?" Ensuite, mettez-les en premier dans votre pot (vie)". D'un geste amical de la main, le vieux professeur salua son auditoire et lentement quitta la salle. * Anonyme |
Déposé par colombine67 le 04/11/2015 Quand je te demande de m'écouter et que tu commences à me donner des conseils, je n'ai pas de réponse à ma demande. Quand je te demande de m'écouter et que tu commences à me dire pourquoi je ne devrais pas ressentir cela, je ne me sens pas respecté. Quand je te demande de m'écouter et que tu commences à vouloir faire quelque chose pour résoudre mon problème, je ne me sens pas aidé, aussi étrange que cela puisse paraître. Ecoute, tout ce que je te demande, c'est que tu m'écoutes. Non pas que tu parles ou que tu fasses quelque chose : je te demande simplement de m'écouter. Les conseils sont bon marché. Pour deux euros, j'aurai dans le même journal le courrier du cœur et mon horoscope. Je veux agir par moi-même, je ne suis pas impuissant, peut-être un peu découragé ou hésitant, mais non impotent. Quand tu fais quelque chose pour moi, que je peux et ai besoin de faire moi-même, je me sens dévalorisé et je ne progresse pas. Mais quand tu acceptes comme un simple fait que je ressente ce que je ressens (peu importe la rationalité), je peux arrêter de chercher à te convaincre, et je peux essayer de commencer à comprendre ce qu'il y a derrière mes sentiments apparemment irrationnels. Lorsque je vois clair, les réponses deviennent évidentes et je n'ai pas besoin de conseil. Les sentiments qui semblaient irrationnels deviennent intelligibles quand nous comprenons ce qu'il y a derrière. Peut-être est-ce pour cela que la prière marche, parfois, car Dieu ne parle pas. Il ne donne pas de conseils à ceux qui n'en demandent pas. Il n'essaye pas d'arranger les choses sans se soucier de ma liberté. Alors, s'il te plaît, écoute-moi. Et quand tu voudras que je t'écoute, demande-le-moi et je t'écouterai. Auteur anonyme indien |
Déposé par nikita le 03/11/2015Mon BB LUCKY doux trésor Le vent souffle calmement sur les rivages Mon cœur s’envole vers toi au gré des nuages Tu manques tant à mes bras devenus orphelins Je voudrais tant me réveiller près de toi chaque matin La distance qui nous sépare n’est qu’une route Un pont que je parcours vers toi sans doute Mais tu manques tant à mon petit cœur avec toi c'était le bonheur Aujourd’hui tu me manques tant mon BB LUCKY tant aimé que je suis triste à pleurer Je pense à toi sans cesse Avec toute ma tendresse bisous de tendresse sur ta belle truffe d'amour mon joli prince |
Déposé par tinou20042001 le 03/11/2015TANT DE BELLES CHOSES...... Même s’il me faut lâcher ta main Sans pouvoir te dire “à demain” Rien ne défera jamais nos liens Même s’il me faut aller plus loin Couper les ponts, changer de train L’amour est plus fort que le chagrin L’amour qui fait battre nos coeurs Va sublimer cette douleur Transformer le plomb en or Tu as tant de belles choses à vivre encore Tu verras au bout du tunnel Se dessiner un arc-en-ciel Et refleurir les lilas Tu as tant de belles choses devant toi Même si je veille d’une autre rive Quoi que tu fasses, quoi qu’il t’arrive Je serai avec toi comme autrefois Même si tu pars à la dérive L’état de grâce, les forces vives Reviendront plus vite que tu ne crois Dans l’espace qui lie le ciel et la terre Se cache le plus grand des mystères Comme la brume voilant l’aurore Il y a tant de belles choses que tu ignores La foi qui abat les montagnes La source blanche dans ton âme Penses-y quand tu t’endors L’amour est plus fort que la mort Dans le temps qui lie ciel et terre Se cache le plus beau des mystères Penses-y quand tu t’endors L’amour est plus fort que la mort Françoise HARDY |
Déposé par colombine67 le 03/11/2015Tu ne peux pas retenir le temps. Il passe. Il coule entre tes doigts comme l'eau de la fontaine. Il glisse dans ta main comme le sable de la mer. Tu ne peux rattraper le passé. Il n'est plus. Il s'en est allé comme le couchant d'hier. Il est disparu comme un souvenir perdu. Tu ne peux emprisonner le futur. Il n'est pas encore. Il viendra à son heure comme le levant de demain. Il te rejoindra comme la vague qui s'approche du rivage. Mais tu peux toujours cueillir le présent comme un beau présent de Dieu. Ce présent est comme un grand arbre : il plonge ses profondes racines dans ton passé tout plein de souvenir et d'expérience, comme une sagesse accumulée. Et il lance ses longues branches vers ton futur tout plein de promesse et d'espérance, comme un projet emballant. Le présent est fait de ton passé qui n'est plus et de ton futur qui n'est pas encore. Prends le temps qui t'est donné à chaque instant qui passe. Cueille-le précieusement comme l'eau du ruisseau qui t'est toujours disponible. Ne gaspille pas ton temps, c'est un cadeau de Dieu. Ne passe pas ton temps à courir après le temps. Prends ton temps. Ne dis pas : je n'ai pas le temps. Dis plutôt : j'ai tout mon temps. Ne sois pas avare de ton temps. Donne de ton temps aux autres comme Dieu te le donne à toi. Ne cours pas tout le temps, prends ton temps. Et laisse au temps le temps de faire son temps. Alors, tu gagneras du temps. Et tu découvriras que c'est beau et bon le temps, que c'est plein de Dieu dedans. Jules Beaulac |
Déposé par seensouaree le 02/11/2015Vous pouvez dire n'importe quelle bêtises à un chien, il vous lancera un regard signifiant " mon Dieu vous avez raison je n'aurai jamais pensé à une telle chose ." Gros bisous sur ta jolie frimouse. Bonne semaine à ta maman avec toute mon amitié |
Déposé par ovanek le 02/11/2015💖 💖 102 💖 💖 *** Une pensée. Quelques fleurs. Tout simplement. *** Lorsque deux êtres se connaissent aussi bien que nous, Ils n'ont pas besoin de se voir pour se savoir étroitement lié. Quelle que soit la distance entre terre au paradis qui nous sépare, Nous demeurons proches par la pensée La fleur la plus belle perd un jour de sa beauté, Mais notre fidèle rencontre durera une éternité Ce qu'il y a de plus précieux dans la vie c’est les rencontres. Elles nous sont chères et demeurent dans notre cœur où que nous allions. Nous pouvons passer beaucoup de temps ensemble, Apprendre à nous connaître et partager nos vies puis être séparés. Mais où que nous allions, nous n'oublions jamais Les êtres merveilleux qui ont fait partie de notre existence L'amitié, c'est une main qui te soutient, dans la douleur et le désarroi... C’est une oreille qui écoute, tantôt la peine, tantôt la joie... C’est un regard qui voit jusqu'au plus profond de ton âme sans jamais se faire juge. C'est un cœur qui s'ouvre et jamais ne se ferme…comme un refuge d’amour Il existe une étoile. Elle est si belle, si merveilleuse. Cette étoile brille de ses mille feux dans mon cœur. Et cette étoile c'est toi ! On pense à toi. On t'aime. 💖 |
Déposé par colombine67 le 02/11/2015Savoir attendre Sans vouloir tout comprendre, Savoir hurler Sans pour autant se résigner, Savoir pleurer Sans pour cela désespérer. Essayer d’avancer Pour ne pas retomber, Essayer d’oublier Pour ne pas se noyer, Essayer d’espérer Pour ne pas se révolter. Laisser couler son cœur Comme s’ouvre une fleur, Laisser sortir son âme Comme s’élève une flamme, Laisser renaître la vie Comme pousse l’épi. Regarder l’horizon Pour une autre ascension, Attendre un navire Pour un nouvel avenir, Guetter l’Espérance Pour une autre naissance. Elisabeth Lafont |
Déposé par lili2248 le 01/11/2015Mon chien ***** À mes côtés tu te tiens Toute ta vie durant Remplis de fidélité et d’amour Que je ne mérite pas Mais si tu savais comme je t’aime mon ami Tu me consoles de mes peines Et me soignes de mes maladies Tu poses ton doux regard sur moi Pour une caresse Car Pauvre ou riche Beau ou laid Heureux ou triste Tu m’aimes comme je suis Tu portes en toi tout l’amour du monde Toujours là pour moi Toi mon compagnon, et mon meilleur ami Tu es dans mon cœur pour la vie Car le paradis n’existe pas sans toi à mes côtés Mon chien |
Déposé par mindy le 01/11/2015Nos absents nous accompagnent de Yves Duteil Où s’en vont ceux qui nous manquent ? Nous accompagnons leurs corps jusqu’en terre et puis après ? Nous fleurissons leur mémoire, nous leur parlons comme s’ils étaient encore là, quelque part, inaccessibles mais présents, bienveillants et sages. Que ne donnerait-on pour une réponse, un conseil de leur part, un mot pour dire : « Je veille sur vous » ? Et il nous suffit de les évoquer pour qu’ils nous sourient dans notre plus beau souvenir, de leur visage le plus lumineux. Nos absents nous accompagnent. On ne peut rien leur cacher puisqu’ils nous regardent avec nos propres yeux. C’est une étrange et intime conviction que l’on ne peut partager qu’avec ceux que l’on aime, dans la confiance de n’être pas raillé, mais au contraire conforté. Ceux qui nous manquent remplissent le vide de leur absence par une présence silencieuse et tendre. Toujours disponibles, ils sont auprès de nous, derrière nos paupières closes, dans les moments de doute et de peur, dans les joies profondes. Dans la douleur de les avoir perdus, il y avait cette impuissance à les retenir, à les aider, à les accompagner. Dans le chagrin de leur absence, on a le sentiment d’être guidés par eux, de leur conférer un rôle qu’ils n’ont ainsi jamais perdu. En fermant leurs yeux, ils nous laissent leur regard, à la façon d’une boussole. Peut-être ont-il besoin, eux aussi, de nos pensées, de nos lumières pour éclairer leur route ? Le chagrin n’est que le revers de l’amour. Mais c’est encore de l’amour. Qu’il serait « triste de n’être plus tristes sans eux… ». Au Panthéon de nos cœurs, nos absents ont toujours raison. Si l’on devait faire le portrait du bonheur, il aurait parfois le visage du chagrin et la quiétude bienveillante de ceux qui nous ont quittés mais qui veillent sur nous tendrement. C’est une image apaisante pour s’endormir, pour s’orienter ou se perdre dans leur sourire. Il y a un peu d’infini dans cet amour-là. Ceux qui nous manquent semblent si sereins, si proches comme en apesanteur… Est-ce qu’ils trouvent en nous leur chemin vers « Ailleurs » ? Alors les vivants deviendraient la maison de ceux qui les ont aimés. Et si un jour ils n’existent plus pour personne, auront-ils vraiment disparu ? Se sentir aimé de son vivant, c’est savoir qu’il existe quelque part un « après », un moyen de poursuivre la route ensemble. L’absence n’est pas qu’un vide. C’est aussi de l’amour qui nous accompagne. Servir encore, être utile à quelqu’un… Un beau destin pour nos absents. |
Déposé par tinou20042001 le 01/11/2015DEMAIN, DES L'AUBE............ Demain, dès l’aube, à l’heure où blanchit la campagne, Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m’attends. J’irai par la forêt, j’irai par la montagne. Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps. Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées, Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit, Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées, Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit. Je ne regarderai ni l’or du soir qui tombe, Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur, Et quand j’arriverai, je mettrai sur ta tombe Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur. Victor HUGO |
Déposé par colombine67 le 01/11/2015 Nos absents nous accompagnent de Yves Duteil Où s’en vont ceux qui nous manquent ? Nous accompagnons leurs corps jusqu’en terre et puis après ? Nous fleurissons leur mémoire, nous leur parlons comme s’ils étaient encore là, quelque part, inaccessibles mais présents, bienveillants et sages. Que ne donnerait-on pour une réponse, un conseil de leur part, un mot pour dire : « Je veille sur vous » ? Et il nous suffit de les évoquer pour qu’ils nous sourient dans notre plus beau souvenir, de leur visage le plus lumineux. Nos absents nous accompagnent. On ne peut rien leur cacher puisqu’ils nous regardent avec nos propres yeux. C’est une étrange et intime conviction que l’on ne peut partager qu’avec ceux que l’on aime, dans la confiance de n’être pas raillé, mais au contraire conforté. Ceux qui nous manquent remplissent le vide de leur absence par une présence silencieuse et tendre. Toujours disponibles, ils sont auprès de nous, derrière nos paupières closes, dans les moments de doute et de peur, dans les joies profondes. Dans la douleur de les avoir perdus, il y avait cette impuissance à les retenir, à les aider, à les accompagner. Dans le chagrin de leur absence, on a le sentiment d’être guidés par eux, de leur conférer un rôle qu’ils n’ont ainsi jamais perdu. En fermant leurs yeux, ils nous laissent leur regard, à la façon d’une boussole. Peut-être ont-il besoin, eux aussi, de nos pensées, de nos lumières pour éclairer leur route ? Le chagrin n’est que le revers de l’amour. Mais c’est encore de l’amour. Qu’il serait « triste de n’être plus tristes sans eux… ». Au Panthéon de nos cœurs, nos absents ont toujours raison. Si l’on devait faire le portrait du bonheur, il aurait parfois le visage du chagrin et la quiétude bienveillante de ceux qui nous ont quittés mais qui veillent sur nous tendrement. C’est une image apaisante pour s’endormir, pour s’orienter ou se perdre dans leur sourire. Il y a un peu d’infini dans cet amour-là. Ceux qui nous manquent semblent si sereins, si proches comme en apesanteur… Est-ce qu’ils trouvent en nous leur chemin vers « Ailleurs » ? Alors les vivants deviendraient la maison de ceux qui les ont aimés. Et si un jour ils n’existent plus pour personne, auront-ils vraiment disparu ? Se sentir aimé de son vivant, c’est savoir qu’il existe quelque part un « après », un moyen de poursuivre la route ensemble. L’absence n’est pas qu’un vide. C’est aussi de l’amour qui nous accompagne. Servir encore, être utile à quelqu’un… Un beau destin pour nos absents. |
Déposé par poutounou le 31/10/2015Pour la Toussaint et la fête des morts, un tendre poème sur une « belle dame », fidèle à son amour comme nous le sommes à nos anges…. * Une ombre qui passe… * Toute de noir vêtue et sa canne à la main, Elle avance à pas lents dans la petite allée En serrant sur son coeur cette fleur d'azalée Qu'elle va déposer juste au bout du chemin. * Qui pourrait maintenant dire quel est son âge? Elle vient chaque jour retrouver un moment Celui dont le départ a causé son tourment. La douleur a creusé les traits de son visage. * Elle ferme les yeux pour lui dire tout bas, dans le calme apaisant du petit cimetière, Qu'elle adresse au seigneur une ardente prière Pour aller au plus tôt le rejoindre là-bas. * Mais la foule aujourd'hui va troubler sa retraite : C'est le jour de l'année où chacun se souvient Qu'un être cher repose en la tombe qu'il vient Couvrir de belles fleurs, comme pour une fête. * Présence inopportune où sombre sa douleur, Elle ne peut ce soir, comme à son habitude, partager un instant de tendre solitude Avec celui qui fut sa source de bonheur. * Alors, elle s'en va, telle une ombre qui passe, En essuyant un pleur du revers de la main. Elle sera fidèle au rendez-vous demain, Lorsque les visiteurs auront quitté la place. |
Déposé par nikita le 31/10/2015Ma jolie maman d'amour <3<3<3<3<3<3<3<3<3<3<3 Toi que j'ai tant aimé ! Jamais, je ne t'oublierai. Par malheur, j'ai dû te quitter. Je sais que tu es affligée. Mais ne sois, ni triste, ni préoccupée, Je suis bel et bien arrivée ! Tu peux sécher tes larmes Je te fais le serment, Qu'à compter de maintenant, Et pour l'Éternité, Jamais plus, je ne te quitterai. Ni cesserai de t'aimer ! Je suis partie. Quittant tes bras bien aimants, Malheureusement pour toi, aujourd'hui, C'est un jour plutôt gris. Les nuages ont tout envahi. Le bleu du ciel s'est évanoui. Il pleut dans ton cœur, De grosses larmes de douleur. Ma petite maman chérie Je t' en prie, En toute sincérité, je te le dis : Ne sois ni triste, ni accablé. Sois heureuse en pensant à moi !!! Ici, il n'y a plus de douleur, Plus de cri, plus de larme, plus de peur. Inlassablement, le vent fredonne tes paroles et tes mots Et l'écho,jusqu'à moi porte ta voix Si douce, si chère,si familière Remplie d'Amour et de compréhension. Oui, je t'entends me parler Je suis ici, je suis là, je suis présent. Je n'ai rien oublié !!! Je suis avec toi tout le temps. Plus personne ne peut nous séparer. Et pour l'Éternité,je continuerai à t'aimer Tu continueras de vivre dans mes pensées. Dans mon cœur, ton souvenir restera gravé. Tu resteras Celle que j'ai toujours aimé. Comme si le temps jamais ne nous avait séparé Je revois toujours et encore ces moments merveilleux, Qu'ensemble nous avons partagé. Nous avions du Bonheur plein les yeux. Mon Amour pour toi était illimité Je t'aime ma maman adorée bisous remplis de tendresse sur ta belle frimousse mon joli BB LUCKY à partager avec ta maman à qui tu manques tant |
Déposé par colombine67 le 31/10/2015 Il était une fois un vieil homme assis à l'entrée d'une ville du Moyen-Orient. Un jeune homme s'approcha et lui dit : - Je ne suis jamais venu ici ; comment sont les gens qui vivent dans cette ville ? Le vieil homme lui répondit par une question : - Comment étaient les gens dans la ville d'où tu viens ? - Egoïstes et méchants. C'est d'ailleurs la raison pour laquelle j'étais bien content de partir, dit le jeune homme. Le vieillard répondit: - Tu trouveras les mêmes gens ici. Un peu plus tard, un autre jeune homme s'approcha et lui posa exactement la même question. - Je viens d'arriver dans la région ; comment sont les gens qui vivent dans cette ville ? Le vieille homme répondit de même : - Dis-moi, mon garçon, comment étaient les gens dans la ville d'où tu viens ? - Ils étaient bons et accueillants, honnêtes; j'y avais de bons amis; j'ai eu beaucoup de mal à la quitter, répondit le jeune homme. - Tu trouveras les mêmes ici, répondit le vieil homme. Un marchand qui faisait boire ses chameaux non loin de là avait entendu les deux conversations. Dès que le deuxième jeune homme se fut éloigné, il s'adressa au vieillard sur un ton de reproche : - Comment peux-tu donner deux réponses complètement différentes à la même question posée par deux personnes ? - Celui qui ouvre son coeur change aussi son regard sur les autres, répondit le vieillard. Chacun porte son univers dans son coeur. Anonyme |
Déposé par Ana le 30/10/2015Pour ce week-end de Toussaint, "Il faut compenser l'absence par le souvenir. La mémoire est le miroir où nous regardons les absents". J. Joubert Bon week-end - Amitiés |
Déposé par Galinette3 le 30/10/2015🐶 Ce 30 octobre fête de bienvenue Pour Tous nos Amis Canins Mes amitiés 🐶 "Lorsqu’un ami traverse une tempête, une présence silencieuse est plus puissante qu’un million de mots vides" 🐶 «Un seul ami qui comprend tes larmes est beaucoup plus précieux que plusieurs amis qui ne connaissent que ton sourire» 🐶 «Les vrais amis ne sont jamais loin, peut-être dans la distance, mais pas dans le coeur» 🐶 «Tout le monde entend ce que tu dis. Tes amis écoutent ce que tu dis. Tes meilleurs amis comprennent ce que tu ne dis pas» 🐶 «Les amis n’ont pas toujours besoin de conseils. Parfois, ils ont seulement besoin d’une main à tenir, d’une oreille attentive et d’un cœur qui comprend» 🐶 «Le meilleur cadeau à faire à une personne est de croire en celle-ci» 🐶 «Les bons amis sont comme les étoiles. Tu ne les vois pas toujours, mais tu sais qu’ils sont toujours là» 🐶 «Un ami, c’est quelqu’un qui croit en toi lorsque tu as cessé de croire en toi-même» 🐶 «Les amis sont comme des anges. Ils nous remettent en position lorsque nos ailes ne se souviennent plus comment voler» 🐶 «Ne pense jamais que ce que tu as à offrir est insignifiant. Il y aura toujours quelqu’un qui en aura besoin» 🐶 |
Déposé par myriam31 le 30/10/2015Au temps de la Toussaint Au temps de la Toussaint, quand les cimetières S’ornent de chrysanthèmes et de bruyère, Et qu’ainsi joliment embellis, joliment colorés, Ils donnent à la mort comme un air de gaieté. Quand auprès des caveaux et des tombes familiales, Eclairés par la douce lumière automnale, L’on revient chaque année, prier, se recueillir… Je suis triste et mon cœur ne cesse de souffrir : Quelque part tu attends, en lieu insolite, Esseulé, loin des tiens, sans jamais de visite. Et pour le souvenir, toi qui aimais les fleurs, Vois-tu je n’ai rien d’autre à t’offrir que mes pleurs, Ce modeste bouquet de fleurs, pour t’apporter un peu de douceur… Tendres et affectueuses pensées pour toi mon coeur, avec plein de bisous |
Déposé par colombine67 le 30/10/2015 Rire, c'est risquer d'avoir l'air ridicule. Pleurer, c'est risquer de paraître sentimental. Vouloir rejoindre l'autre, c'est prendre le risque de s'impliquer. Exprimer ses sentiments, c'est risquer de révéler sa véritable façon d'être, d'affirmer à la face du monde ses idées et ses rêves, c'est risquer de perdre. Aimer, c'est prendre le risque de ne pas être aimé en retour. Vivre, c'est risquer de mourir. Espérer, c'est risquer le désespoir. Essayer, c'est risquer d'échouer. Mais on se doit de risquer parce que la plus sérieuse menace à la vie elle-même se trouve dans l'absence du risque... Anonyme |
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