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En hommage à
LUCKY
BORDER-COLLIE
Il est né le:15/04/2002
Il nous a quittés le:19/06/2014
 

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En hommage à LUCKY

MON AMOUR..
TU VIENS DE ME QUITTER CET APRES MIDI.A 14H 30.
TU ES DEVENU 1 ANGE A PRESENT.. TU AS REJOINT LENA TA CHERIE..
VOUS SEREZ DANS MON COEUR A TOUT JAMAIS...
MON COEUR EST MORT A L'INTERIEUR..
MAIS JE SAIS QUE TU ES EN PAIX MAINTENANT ..
MON ZOUZOU D'AMOUR....
TU ME MANQUES DEJA ..
TU REPOSES AUPRES DE LENA DANS NOTRE JARDIN..
"JE T'AIME"




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1088 Fleurs
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Tendre pensée
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Tendres pensées, doux museau
Déposé par kropa
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Tendres pensées en ce triste jour, bisous bel ange
Déposé par susi
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Déposé par nenet
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je t aime mon coeur
Déposé par choupinou
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toute ma tendresse petit coeur, en ce jour anniversaire, en ce jour difficile du souvenir, tendres câlins💖😥✨beau Lucky
Déposé par choupinou
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toute ma tendresse petit coeur, en ce jour anniversaire, en ce jour difficile du souvenir, tendres câlins💖😥✨beau Lucky
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Tendre pensée ❤ 19 juin 2022
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Toujours présent malgré le temps qui passe... Tendres câlins, Lucky.
Déposé par kropa
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Tendres pensées en ce triste jour, bisous bel ange
Déposé par isabeldehb
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Douces pensées petit ange pour l'anniversaire de ton départ vers le paradis


669 messages

Déposé par colombine67 le 08/06/2015  
Tu Ne M'as Pas Laisse Le Temps - David Hallyday
J'reste
Avec mes souvenirs
Ces morceaux du passé
Comme un miroir en éclats de verre
Mais a quoi ça sert
C'que j'voulais dire
Reste sur des pages blanches
Sur lesquelles je peux tirer un trait
C'était juste hier
Tu ne m'as pas laissé le temps
De te dire tout c'que je t'aime
Et tout c'que tu me manques
On devrait toujours dire avant
L'importance que les gens prennent
Tant qu'il est encore temps
Mais tu ne m'as pas laissé le temps
Toi qui m'as tout appris
Et m'as tant donné
C'est dans tes yeux que je grandissais
Et me sentais fier
Pourquoi sans prévenir
Un jour tout s'arrête
Et vous laisse encore plus seul sur terre
Sans savoir quoi faire
Tu ne m'as pas laissé le temps
De dire tout c'que je t'aime
Et tout c'que tu me manques
On devrait toujours dire avant
L'importance que les gens prennent
Tant qu'il est encore temps
Tu n'm'as pas laissé le temps

Déposé par poutounou le 06/06/2015  
Le bonheur c'est...
*
Le bonheur c’est... :
de savoir s’émerveiller peu importe son âge
de rire de bon coeur en agréable compagnie
de savoir dire « je t’aime »
de se panifier des moments de tendresse
de savoir relever des défis, même si cela me fait peur
d’avoir assez de grandeur d’âme pour pardonner
de profiter de ses moments de solitude pour enfin faire des choses pour soi seulement
de regarder un bon film et de laisser libre cours à ses sentiments
de regarder ce que j’ai accompli et non ce qu’il me reste à faire
d’être maître de soi et non des autres
de posséder l’humour nécessaire pour surmonter les difficultés de la vie
de reconnaître que le négatif existe, mais de décider de ne pas lui ouvrir la porte.
*
Quand tu as le « BONHEUR » dans ta vie,
N’oublie pas de le cultiver
Pour qu’il reste longtemps.
*
Anonyme

Déposé par poutounou le 02/06/2015  
C’est tellement vrai !
*
La bonté
*
Vivre en soi, ce n'est rien ;
il faut vivre en autrui.
*
A qui puis-je être utile
et agréable, aujourd'hui ?
Voilà, chaque matin,
ce qu'il faudrait se dire.
Et, le soir, quand des cieux
la clarté se retire,
heureux à qui son coeur
tout bas a répondu :
"Ce jour qui va finir,
je ne l'ai pas perdu.
Grâce à mes soins, j'ai vu,
sur une face humaine,
la trace d'un plaisir
ou l'oubli d'une peine".
*
Anonyme

Déposé par poutounou le 29/05/2015  
Message d’un « être humain » pour lequel j’avais beaucoup d’estime…
*
Le secret du bonheur...
*
Vous valez ce que vaut votre coeur. Toute l'histoire de l'humanité est l'histoire du besoin d'aimer et d'être aimé. ...
*
Quel que soit l'usage qu'en font les humains, le coeur (symbole de l'amitié et de l'amour) a aussi ses normes, son éthique. Faire place au coeur dans la construction harmonieuse de votre personnalité n'a rien à voir avec la sensiblerie ni même la sentimentalité. Le coeur, c'est l'ouverture de tout l'être à l'existence des autres, la capacité de les deviner, de les comprendre.
*
Une telle sensibilité, vraie et profonde, rend vulnérable. C'est pourquoi certains sont tentés de s'en défaire en se durcissant.
*
Aimer, c'est donc essentiellement se donner aux autres. Loin d'être une inclination instinctive, l'amour est une décision consciente de la volonté d'aller vers les autres. Pour pouvoir aimer en vérité, il faut se détacher de bien des choses et surtout de soi, donner gratuitement, aimer jusqu'au bout. Cette dépossession de soi (oeuvre de longue haleine) est épuisante et exaltante. Elle est source d'équilibre. Elle est le secret du bonheur.
*
Jean-Paul II, Extrait du Message aux jeunes de France, Paris, 1980

Déposé par poutounou le 25/05/2015  
L'écho
*
Rôdant, triste et solitaire
Dans la forêt du mystère,
J’ai crié le coeur très las :
- « La vie est triste ici-bas ! »
L’Écho m’a répondu : « Bah ! »
– « Écho, la vie est méchante ! »
Et, d’une voix bien touchante,
L’Écho m’a répondu : « Chante ! »
– « Écho, Écho des grands bois,
Lourde, trop lourde est ma croix ! »
L’Écho m’a répondu : « Crois ! »
– « La haine en moi va germer,
Dois-je rire ou blasphémer ? »
Et l’Écho m’a dit : « Aimer ! »
Comme l’Écho des grands bois
M’a conseillé de le faire :
J’aime, je chante et je crois !
Et je suis heureux sur terre !
*
Théodore Botrel (1868-1925)

Déposé par poutounou le 21/05/2015  
Une jolie petite histoire « vraie »…
*
Le petit garçon et les étoiles de mer
*
Pendant mes dernières vacances, au bord de la mer, un matin en arrivant sur la plage, j'ai découvert des milliers d'étoiles de mer qui s'étaient échouées dans la nuit. J'étais complètement estomaqué par ce spectacle quand je vois un petit garçon au bord de la mer qui prend une étoile de mer entre ses deux doigts et la rejette à la mer. Pendant que je m'approche, il continue sa tâche en essayant de lancer les étoiles de mer le plus loin possible dans la mer. Arrivé près de lui, je le félicite pour ce qu'il a entrepris, mais je lui fais remarquer que c'est une tâche impossible :
*
- Même si tu continues tout le temps à les rejeter, une par une, à la mer, compte tenu des milliers et des milliers d'étoiles de mer qui se sont échouées, à la fin de la journée, on ne verra pas beaucoup la différence sur la plage.
*
A ce moment là, le jeune garçon, qui venait de prendre délicatement une étoile de mer, s'est redressé, il m'a regardé droit dans les yeux et avec un grand sourire, il m'a dit :
- D'accord, peut-être que ça ne changera pas beaucoup de choses sur la plage, mais, pour cette étoile de mer là, ça fait une sacrée différence.
*
C’est pareil pour un chien qu’on sort d’un refuge. Il y aura toujours plein de chiens dans les refuges, mais pour celui qu’on aura sorti de là, la vie ne sera plus la même ; pour lui ça fera une sacrée différence…. Si Dieu me prête vie, le prochain chien que je prendrai viendra d’un refuge.

Déposé par poutounou le 17/05/2015  
Le manifeste de la gentillesse
*
Face à l'indifférence, au manque de respect et au cynisme, nous possédons sans le savoir l'arme la plus efficace qui soit : notre coeur.
La gentillesse n'est pas un renoncement, une démission ou une soumission, c'est un choix traduit par des petits gestes qui rendent la vie plus agréable.
La gentillesse est une intelligence et elle est contagieuse. Agissons ensemble chaque jour pour un monde plus humain.
*
POUR
En finir avec le chacun pour soi
Refuser le cynisme ambiant
Déjouer l'agressivité quotidienne
Dire non à l'indifférence
Choisir d'être plus attentif aux autres
Mettre de l'harmonie dans mes relations
Etre altruiste et bienveillant
*
JE CHOISIS DE CONSTRUIRE CHAQUE JOUR,
AVEC DES MILLIERS D'AUTRES,
UN MONDE PLUS HUMAIN

Déposé par poutounou le 13/05/2015  
Pour toi, bel Ange, ces quelques rimes de Monsieur Baudelaire…
*
Elévation
*
Au-dessus des étangs, au-dessus des vallées,
Des montagnes, des bois, des nuages, des mers,
Par-delà le soleil, par-delà les éthers,
Par-delà les confins des sphères étoilées,
*
Mon esprit, tu te meus avec agilité,
Et, comme un bon nageur qui se pâme dans l'onde,
Tu sillonnes gaiement l'immensité profonde
Avec une indicible et mâle volupté.
*
Envole-toi bien loin de ces miasmes morbides;
Va te purifier dans l'air supérieur,
Et bois, comme une pure et divine liqueur,
Le feu clair qui remplit les espaces limpides.
*
Derrière les ennuis et les vastes chagrins
Qui chargent de leur poids l'existence brumeuse,
Heureux celui qui peut d'une aile vigoureuse
S'élancer vers les champs lumineux et sereins ;
*
Celui dont les pensées, comme des alouettes,
Vers les cieux le matin prennent un libre essor,
Qui plane sur la vie, et comprend sans effort
Le langage des fleurs et des choses muettes !
*
Charles Baudelaire (1821-1867), Les fleurs du mal

Déposé par ovanek le 13/05/2015  

**** Sans toi ****
Ce soir, je suis seule pour la première fois
Ton absence, trop présente me ramène à toi
Quelle douleur que d’aimer quand l’autre a disparu
C’est la fin de l’histoire et le bonheur n’est plus
Tu restes sur les photos que j’avais encadrées
Mais déjà à mes yeux, tu deviens étranger
Le temps impitoyable continue sa besogne
Les moments partagés et les séjours passés
Comment ne pas pleurer, comment ne pas souffrir
Devant toutes ces années devant ces souvenirs
Mon cœur battait pour deux, aujourd’hui il s’endort
Mes aiguilles sont bloquées au cadran de ton départ
Le soleil peut briller mais ma vie reste sombre
Rescapée, malheureuse, tapie dans nos décombres
J’erre dans un royaume qui ne m’appartient plus
La bataille est finie, les armées sont vaincues
La reine n’a plus de roi, le jeu est terminé
Le duel est perdu, tu aurais dû m’emmener
On aurait pu ensemble s'engouffrer dans l’oubli
Et enfin pour toujours y sceller nos deux vies
** pensée **


Déposé par poutounou le 09/05/2015  
Mon Paradis
*
Quelque part, dans ce monde, je cherchais le Paradis.
*
En quête d’une île déserte, d’une planète inconnue,
D’une terre vierge, encore inexplorée et nue,
D’un petit coin d’univers, hors du temps, hors d’ici.
*
Quelque part, dans ce monde, je cherchais le Paradis.
*
Je voulais un peu de paix, pour mon cœur fatigué.
Je voulais fuir les querelles et tout recommencer,
Sur la terre originelle, renaître de l’oubli.
*
Quelque part, dans ce monde, je cherchais le Paradis.
*
Quitter cette vie insensée, rejoindre le ciel.
Je l’imagine aussi pur que sa couleur pastelle,
Vestige de beauté d’une nature si meurtrie.
*
Quelque part, dans ce monde, je cherchais le Paradis.
*
Comme une lueur d’espoir apaisant la souffrance,
Et quand bien même un mensonge, pour nier l’évidence,
D’avoir la peur pour compagne d’une vie sans répit.
*
Quelque part, dans ce monde, je cherchais le Paradis.
*
Et mes yeux, troublés de larmes, ont croisé ton regard,
Et mon destin, soudain, s’est joué au gré du hasard.
C’est là, aux frontières de ton cœur, qu’alors j’ai compris.
*
Quelque part, dans ce monde, je cherchais le Paradis.
*
Mais il n’existe ni asile, ni mythe fantastique.
Il n’y a que l’Amour pour faire le monde magnifique.
Et ton Amour pour moi a donné sens à ma vie.
*
Quelque part, dans ce monde, j’ai trouvé mon Paradis.

Déposé par colombine67 le 08/05/2015  
En 1856, le chômage faisant rage en Écosse, un ancien jardinier, John Gray, partit de la campagne vers Édimbourg avec sa famille. Il obtint un emploi de policier et eut droit à un chien de garde. Il obtint ainsi de ses supérieurs un chiot Skye Terrier qu’il nomma « Bobby ». Tous les jours à treize heures pile, sonnées traditionnellement par un coup de canon depuis le Château d'Édimbourg, l’homme et le chien allaient dans un petit restaurant où Gray donnait à Bobby une brioche, puis un os.
Deux ans plus tard, Gray mourut de tuberculose. Le jour des funérailles, plusieurs témoins reconnurent Bobby, en tête du cortège funèbre, qui suivait le cercueil. Puis, la cérémonie terminée, le chien disparut. Il ne revint jamais dans la famille de Gray.
Le lendemain, le gardien du cimetière de l’église de Greyfriars, au sud du château d'Édimbourg, où était enterré John Gray, fut surpris de découvrir Bobby couché sur la tombe de son maître. Le lieu étant interdit aux animaux, Bobby en fut donc chassé. Mais le lendemain, puis encore le surlendemain, Bobby revint la nuit malgré le gardien qui le chassait à chaque fois. Finalement, voyant une telle fidélité, ce dernier eut pitié du petit chien et obtint une dérogation de la ville qui autorisait Bobby à rester.
Ce ne fut qu’au bout de trois jours que Bobby, forcé par la faim, dut sortir du cimetière. Le restaurateur fut alors surpris de voir Bobby arriver tout seul à treize heures pile pour sa brioche et son os. Après avoir avalé son repas qui lui fut donné de bon cœur, Bobby revint se coucher sur la tombe de son maître. Dès lors, il ne la quitta que pour aller manger à son restaurant attitré.
Plus tard, il se prit d’amitié pour un soldat d’Édimbourg et le suivait quand ce dernier allait au château sonner le coup de canon marquant treize heures. Puis ils allaient tous deux prendre leur repas au restaurant où allait déjeuner John Gray, puis ils se séparaient. Mais en dehors de ce moment, Bobby ne voulait accompagner personne. Bien des familles voulurent adopter le chien, mais lui se mettait à chaque nouveau foyer à hurler de manière si sinistre qu’il était toujours autorisé à repartir, et il revenait sans surprise au cimetière. Cependant, dans la seizième et dernière année de sa vie, il accepta, vieux et fatigué, de rester la nuit chez les Traill, la famille propriétaire du restaurant où il allait prendre son repas.
C’est chez ces derniers que, par une froide matinée d’hiver 1872, Bobby fut trouvé mort. Il avait veillé sur la tombe de son maître pendant quatorze ans. La même année, la baronne Angela Burdett-Coutts fit construire près du cimetière une fontaine surmontée d’une statue de Bobby grandeur nature, œuvre du sculpteur William Brodie (en), toujours visible aujourd’hui. Le Huntly Museum d’Édimbourg expose aussi des photos et des objets de Greyfriars Bobby, comme son collier.
Greyfriars Bobby reste depuis plus d’un siècle un symbole de fidélité pour les Écossais, et leur chien national.

Déposé par colombine67 le 05/05/2015  

Tout le monde dit toujours à leurs amis
qu'ils seront "Meilleurs amis pour toujours",
mais combien de temps cela dure-t-il?
Vous pouvez être "Best friends" pendant un an,
très bons amis l'autre année,
ne pas vous parler souvent l'année suivante
et ne plus vous parler du tout l'autre année après!
Alors, je voulais juste te dire que même si
je ne te parlais plus jamais de ma vie,
que tu es spécial à mes yeux et que tu as fait
une différence dans ma vie.
Je t'admire, te respecte et t'aime énormément.
Fais savoir à tes vieux amis que tu ne les as pas oubliés,
et dis à tes nouveaux que tu ne les oublieras jamais.
Souviens-toi, tout le monde a besoin d'un ami,
un jour tu sentiras peut-être que tu n'as pas d'amis du tout,
souviens-toi seulement de ce message
et réconforte-toi
en pensant que quelqu'un dans le monde
tient à toi et qu'il tiendra à toi pour toujours.
Il y a des personnes qui apparaissent dans notre vie,
restent pour un petit moment,
laissent leur empreinte dans notre coeur,
et nous ne sommes plus jamais le même."

Déposé par colombine67 le 02/05/2015  
Ne pleure pas, si tu m'aimes !
Si tu savais le don de Dieu et ce que c'est que le ciel !
Si tu pouvais d'ici entendre le chant des Bienheureux et me voir au milieu d'eux !
Si tu pouvais voir se dérouler sous tes yeux
les immenses horizons et les nouveaux sentiers où je marche !
Si un instant, tu pouvais contempler comme moi la Beauté
devant laquelle toutes les beautés pâlissent !
Quoi ?… tu m'as vu… tu m'as aimé dans le pays des ombres
et tu ne pourrais ni me revoir ni m'aimer dans le pays des immuables réalités ?
Crois-moi, quand la mort viendra briser tes liens
comme elle a brisé ceux qui m'enchaînaient,
et quand, un jour que Dieu seul connaît et qu'il a fixé,
ton âme viendra dans ce ciel où l'a précédé la mienne…
ce jour-là, tu me reverras et tu retrouveras mon affection purifiée.
A Dieu ne plaise qu'entrant dans une vie plus heureuse,
je sois infidèle aux souvenirs et aux vraies joies de mon autre vie
et sois devenu moins aimant !
Tu me reverras donc, transfiguré dans l'extase et le bonheur,
non plus attendant la mort, mais avançant, d'instant en instant,
avec toi, dans les sentiers nouveaux de la Lumière et de la Vie !
Alors… essuie tes larmes, et ne pleure plus… si tu m'aimes !…

Déposé par ovanek le 01/05/2015  

Enfin te voilà,
Un joli brin de senteur
Petit brin de bonheur
Sur les ailes de ton cœur
Pose sa blancheur
Vive les clochettes
D’un petit brin de muguet
Rends la vie plus gaie
De ton essence irriguée
pensée

Déposé par poutounou le 01/05/2015  
Petit brin de Bonheur…
*
Très tôt dans la matinée,
Du pied droit, je me suis levée.
Mes gros sabots aux pieds,
Dans mon jardin, je suis allée,
Pour y cueillir des brins de muguet,
Recouverts de rosée.
*
Tintinnabulez, tintinnabulez !
Jolies clochettes de Mai.
Epandez vos douces senteurs
Jusque dans nos cœurs.
Et déposez dans chaque foyer
Un océan d’amour et d’amitié.
*
Je t’envoie, merveilleux Ange, un beau brin de muguet de mon jardin. Garde-le bien au chaud, tout contre ton cœur, car il porte Bonheur… Amitiés à ta famille de cœur…

Déposé par myriam31 le 30/04/2015  
Joli mois de Mai…
Quelques brins de douceur
Quelques brins de bonheur
Pour apporter la chance
Et la joie à ceux qui t’aiment.
Je vous offre ce poème,
C’est bien peu
Mais c'est avec mon coeur
Que je vous souhaite
Toute une année de bonheur
De milliers de brins de muguet,
je recouvre ta jolie frimousse
Que ces clochettes t’apportent
Douceur, bonheur au paradis.
.Bien amicalement la maman de BB Lucky

Déposé par poutounou le 28/04/2015  
A vos plumes !
*
A ceux qui n'osent point ou qui ont peur,
Ceux pour qui écrire semble paralysie,
Rêvez en votre esprit d'un nom comme le bonheur.
Osez le dessiner avec des mots çà et là jaillis.
Suivez votre inspiration, sans être jugés et avoir peur...
Taillez ces mots comme s'ils étaient cueillis
Ils s'ouvriront alors comme de belles fleurs.
Caressez-les, gourmands, tels des fruits confits,
Humectez les un peu de votre coeur
Et ce qui vous semblait granit deviendra transcrit.
Usez de votre gomme pour rectifier l'erreur,
Rêvez d'être publiés sans être érudits...
Souriez ainsi d'avoir écrit un peu de poésie...

Déposé par colombine67 le 28/04/2015  
Toute la presse a répondu dernièrement à l'appel de la Société protectrice des animaux, qui veut fonder un asile pour les bêtes. Ce serait là une espèce d'hospice, et un refuge où les pauvres chiens sans maître trouveraient la nourriture et l'abri, au lieu du noeud coulant que leur réserve l'administration.
Les journaux, à ce propos, ont rappelé la fidélité des bêtes, leur intelligence, leur dévouement. Ils ont cité des traits de sagacité étonnante. Je veux à mon tour raconter l'histoire d'un chien perdu, mais d'un chien du commun, laid, d'allure vulgaire. Cette histoire, toute simple, est vraie de tout point.
Dans la banlieue de Paris, sur les bords de la Seine, vit une famille de bourgeois riches. Ils ont un hôtel élégant, grand jardin, chevaux et voitures, et de nombreux domestiques. Le cocher s'appelle François. C'est un gars de la campagne, à moitié dégourdi seulement, un peu lourdaud, épais, obtus, et bon garçon.
Comme il rentrait un soir chez ses maîtres, un chien se mit à le suivre. Il n'y prit point garde d'abord ; mais l'obstination de la bête à marcher sur ses talons le fit bientôt se retourner. Il regarda s'il connaissait ce chien : mais non, il ne l'avait jamais vu.
C'était une chienne d'une maigreur affreuse, avec de grandes mamelles pendantes. Elle trottinait derrière l'homme d'un air lamentable et affamé, la queue serrée entre les pattes, les oreilles collées contre la tête ; et, quand il s'arrêtait, elle s'arrêtait, repartant quand il repartait.
Il voulut chasser ce squelette de bête ; et cria : "Va-t'en, veux-tu te sauver, houe ! houe !" Elle s'éloigna de deux ou trois pas, et se planta sur son derrière, attendant ; puis, dès que le cocher se remit en marche, elle repartit derrière lui.
Il fit semblant de ramasser des pierres. L'animal s'enfuit un peu plus loin, avec un grand ballottement de ses mamelles flasques ; mais il revint aussitôt que l'homme eut le dos tourné. Alors le cocher François l'appela. La chienne s'approcha timidement, l'échine pliée comme un cercle et toutes les côtes soulevant la peau. Il caressa ces os saillants, et, pris de pitié pour cette misère de bête : "Allons, viens !" dit-il. Aussitôt elle remua la queue, se sentant accueillie, adoptée, et au lieu de rester dans les mollets du maître qu'elle avait choisi, elle commença à courir devant lui.
Il l'installa sur la paille de l'écurie, puis courut à la cuisine chercher du pain. Quand elle eut mangé tout son soûl, elle s'endormit, couchée en rond.
Le lendemain, les maîtres, avertis par le cocher, permirent qu'il gardât l'animal. Cependant la présence de cette bête dans la maison devint bientôt une cause d'ennuis incessants. Elle était assurément la plus dévergondée des chiennes ; et, d'un bout à l'autre de l'année, les prétendants à quatre pattes firent le siège de sa demeure. Ils rôdaient sur la route, devant la porte, se faufilaient par toutes les issues de la haie vive qui clôturait le jardin, dévastaient les plates-bandes, arrachant les fleurs, faisant des trous dans les corbeilles, exaspéraient le jardinier. Jour et nuit c'était un concert de hurlements et des batailles sans fin.
Les maîtres trouvaient jusque dans l'escalier, tantôt de petits roquets à queue empanachée, des chiens jaunes, rôdeurs de bornes, vivant d'o*****s, tantôt des terre-neuve énormes à poils frisés, des caniches moustachus, tous les échantillons de la race aboyante.
La chienne, que François avait, sans malice, appelée "Cocote" (et elle méritait son nom), recevait tous ces hommages ; et elle produisait, avec une fécondité vraiment phénoménale, des multitudes de petits chiens de toutes les espèces connues. Tous les quatre mois, le cocher allait à la rivière noyer une demi-douzaine d'êtres grouillants, qui piaulaient déjà et ressemblaient à des crapauds.
Cocote était maintenant devenue énorme. Autant elle avait été maigre, autant elle était obèse, avec un ventre gonflé sous lequel traînaient toujours ses longues mamelles ballottantes. Elle avait engraissé tout d'un coup, en quelques jours ; et elle marchait avec peine, les pattes écartées à la façon des gens trop gros, la gueule ouverte pour souffler, et exténuée aussitôt qu'elle s'était promenée dix minutes.
Le cocher François disait d'elle : "C'est une bonne bête pour sûr, mais qu'est, ma foi, bien déréglée."
Le jardinier se plaignait tous les jours. La cuisinière en fit autant. Elle trouvait des chiens sous son fourneau, sous les chaises, dans la soupente au charbon ; et ils volaient tout ce qui traînait.
Le maître ordonna à François de se débarrasser de Cocote. Le domestique désespéré pleura, mais il dut obéir. Il offrit la chienne à tout le monde. Personne n'en voulut. Il essaya de la perdre ; elle revint. Un voyageur de commerce la mit dans le coffre de sa voiture pour la lâcher dans une ville éloignée. La chienne retrouva sa route, et, malgré sa bedaine tombante, sans manger sans doute, en un jour, elle fut de retour ; et elle rentra tranquillement se coucher dans son écurie.
Cette fois, le maître se fâcha et, ayant appelé François, lui dit avec colère : "Si vous ne me flanquez pas cette bête à l'eau avant demain, je vous fiche à la porte, entendez-vous !"
L'homme fut atterré, il adorait Cocote. Il remonta dans sa chambre, s'assit sur son lit, puis fit sa malle pour partir. Mais il réfléchit qu'une place nouvelle serait impossible à trouver, car personne ne voudrait de lui tant qu'il traînerait sur ses talons cette chienne, toujours suivie d'un régiment de chiens. Donc il fallait s'en défaire. Il ne pouvait la placer ; il ne pouvait la perdre ; la rivière était le seul moyen. Alors il pensa à donner vingt sous à quelqu'un pour accomplir l'exécution. Mais, à cette pensée, un chagrin aigu lui vint ; il réfléchit qu'un autre peut-être la ferait souffrir, la battrait en route, lui rendrait durs les derniers moments, lui laisserait comprendre qu'on voulait la tuer, car elle comprenait tout, cette bête ! Et il se décida à faire la chose lui-même.
Il ne dormit pas. Dès l'aube, il fut debout, et, s'emparant d'une forte corde, il alla chercher Cocote. Elle se leva lentement, se secoua, étira ses membres et vint fêter son maître.
Alors il s'assit et, la prenant sur ses genoux, la caressa longtemps, l'embrassa sur le museau ; puis, se levant, il dit : "Viens." Et elle remua la queue, comprenant qu'on allait sortir.
Ils gagnèrent la berge, et il choisit une place où l'eau semblait profonde.
Alors il noua un bout de la corde au cou de la bête, et, ramassant une grosse pierre, l'attacha à l'autre bout. Après quoi, il saisit la chienne en ses bras et la baisa furieusement, comme une personne qu'on va quitter. Il la tenait serrée sur sa poitrine, la berçait ; et elle se laissait faire, en grognant de satisfaction.
Dix fois, il la voulut jeter ; chaque fois, la force lui manqua. Mais tout à coup il se décida et, de toute sa force, il la lança le plus loin possible. Elle flotta une seconde, se débattant, essayant de nager comme lorsqu'on la baignait : mais la pierre l'entraînait au fond ; elle eut un regard d'angoisse ; et sa tête disparut la première, pendant que ses pattes de derrière, sortant de l'eau, s'agitaient encore. Puis quelques bulles d'air apparurent à la surface. François croyait voir sa chienne se tordant dans la vase du fleuve.
Il faillit devenir idiot, et pendant un mois il fut malade, hanté par le souvenir de Cocote qu'il entendait aboyer sans cesse.
Il l'avait noyée vers la fin d'avril. Il ne reprit sa tranquillité que longtemps après. Enfin il n'y pensait plus guère, quand, vers le milieu de juin, ses maîtres partirent et l'emmenèrent aux environs de Rouen où ils allaient passer l'été.
Un matin, comme il faisait très chaud, François sortit pour se baigner dans la Seine. Au moment d'entrer dans l'eau, une odeur nauséabonde le fit regarder autour de lui, et il aperçut dans les roseaux une charogne, un corps de chien en putréfaction. Il s'approcha, surpris par la couleur du poil. Une corde pourrie serrait encore son cou. C'était sa chienne, Cocote, portée par le courant à soixante lieues de Paris.
Il restait debout avec de l'eau jusqu'aux genoux, effaré, bouleverse comme devant un miracle, en face d'une apparition vengeresse. Il se rhabilla tout de suite et, pris d'une peur folle, se mit à marcher au hasard devant lui, la tête perdue. Il erra tout le jour ainsi et, le soir venu, demanda sa route, qu'il ne retrouvait pas. Jamais depuis il n'a osé toucher un chien.
Cette histoire n'a qu'un mérite : elle est vraie, entièrement vraie. Sans la rencontre étrange du chien mort, au bout de six semaines et à soixante lieues plus loin, je ne l'eusse point remarquée, sans doute ; car combien en voit-on, tous les jours, de ces pauvres bêtes sans abri !
Si le projet de la Société protectrice des animaux réussit, nous rencontrerons peut-être moins de ces cadavres à quatre pattes échoués sur les berges du fleuve.
2 juin 1881

Déposé par colombine67 le 26/04/2015  
La réalité de la vie est ce quelle est. Les hommes vivent en moyennes 75 ans et les chiens, un maximum de 20. Il est donc inévitable, que la séparation d'avec votre meilleur ami, se fera à votre détriment.
Pour ceux qui croient, qu'un chien n'est rien qu'un chien ce texte n'est pas pour vous. Mais pour les autres qui ont eu la chance unique, d'avoir un vrai ami et compagnon canin,
lisez ce petit testament canin, tiré du Reader's Digest, il saura probablement vous aider, lorsque le moment de la séparation sera venu.
À mon maître, à ma maîtresse:
Le fardeau de mes ans et de mes infirmités me pèse lourdement, et je sais ma fin prochaine. C'est pourquoi moi, Tango Gagnon Ratté, (communément appelé Tango par mes parents amis et connaissances), dépose en secret dans l’âme de mes deux grands amis, mon maître et ma maîtresse, mon testament.
J'ai peu de biens matériels à léguer. Les chiens sont plus sages que les hommes. Ils n'attachent pas grand prix aux choses de la terre. Je n'ai aucun bien précieux à transmettre, si ce n'est mon affection et ma fidélité. Je les lègue à tous ceux qui m'ont aimé; qui je le sais me regretteront le plus, à Daniel et Chantal qui ont été si bons pour moi. Peut être ai-je tort de m'enorgueillir, mais j'ai toujours été un chien extrêmement affectueux. Je demande à Daniel et Chantal de toujours se souvenir de moi, mais de ne pas me pleurer trop longtemps. Au cours de mon existence, j'ai essayé de les réconforter dans la peine et de leur apporter un surcroît de joie dans le bonheur. Il m'est pénible de penser que, même dans la mort, je pourrais leur causer du chagrin. Je les prie de ne pas oublier qu'à leur tendresse et à leur sollicitude je dois d'avoir été le plus heureux des chiens.
Mais maintenant me voici devenu pratiquement aveugle, sourd et j'ai de très gros problèmes de dentition m'empêchant de manger; ainsi ma fierté a fait place à une humiliation qui me déroute. Je sens que la vie me reproche d'avoir trop prolongé la fête. Je dois faire mes adieux avant de devenir un poids insupportable pour moi et pour ceux qui m'ont donné leur affection. Il me sera douloureux de les quitter, mais pas de mourir. Contrairement aux hommes les chiens ne redoutent pas la mort.
Que se passe t-il après? Nul ne le sait. En tout cas je suis au moins sûr de trouver la paix et un long repos pour mon vieux coeur las, ma vieille tête, mes vieux membres ainsi qu'un sommeil éternel dans cette terre que j'ai tant aimée. Il est un dernier voeu que je formule en toute sincérité. J'ai entendu ma maîtresse, dire: "Quand Tango mourra, nous n'aurons jamais plus de chien. Je l'aime tellement que je ne pourrai plus en aimer un autre". Maintenant pour l'amour de moi, je lui demande de revenir sur sa décision. Ce serait un bien piètre tribut à ma mémoire que de ne jamais plus avoir de chien.
Je voudrais tant garder le sentiment que maintenant que j'ai fait partie de la famille il lui est désormais impossible de vivre sans la compagnie du meilleur ami de l'homme! Je n'ai jamais été exclusif ni jaloux. J'ai toujours soutenu que la plupart de mes congénères sont bons (même ma co-locataire, la chatte...) Gamine, à qui j'ai quelques fois autorisé à partager mon lit avec moi. J'ai toléré son amitié dans un esprit de générosité et, dans mes rares moments de sentimentalité, je lui ai même rendu un peu la pareille.
Aussi je conseille à ma maîtresse de choisir un autre chien à son goût pour me succéder. Il pourra difficilement être aussi bien élevé, aussi poli aussi distingué et aussi beau que je fus dans ma jeunesse. Mais, je suis sûr qu'il fera de son mieux et que ses défauts inévitables contribueront, par contraste, à perpétuer mon souvenir.
Je lui lègue mon collier, ma laisse, mon lit, mon ensemble de Noël.
Un dernier mot à Daniel, Chantal et Gamine la chatte qui vivrez sûrement plus vieux que moi. Chaque fois que vous penserez à moi dites-vous avec regret, mais aussi avec bonheur, en vous rappelant ma longue vie à vos cotés: "Tango était un être qui nous aimait et que nous aimions". Si profond que soit mon sommeil, je vous entendrai, et tout le pouvoir de la mort n'empêchera pas mon Âme de chien d'agiter la queue avec reconnaissance.
Tango
Votre chien fidèle qui veillera toujours sur vous.
La technologie a fait s'éloigné de l'homme certaines valeurs et émotions telle amitié, fidélité et tolérance. Si ces valeurs se sont éloignées de vous, procurez vous un chien, il vous ré-apprendra ce qu'elles sont, car la technologie lui il s'en fout!
Tout ce qu'il veut lui, c'est d'être votre meilleur ami.
Daniel Ratté

Déposé par poutounou le 24/04/2015  
Une toute mignonne poésie pour toi, bel Ange. Le printemps est une si belle saison….Cela mérite bien quelques poèmes jolis…..
*
Petit écho du matin
*
Voilà ce que m’a raconté la brise ce matin,
Alors qu’elle se reposait au banc du jardin.
Figurez vous qu’il y a une véritable révolution !
Que l’on parle, que l’on jase à travers les gazons !
N’a t’on point vu, quelle étrange amourette,
Sortir ensemble violette et pâquerette !
Il en est cependant que la nouvelle émoustille,
N’a t’on point vu danser ailleurs une jonquille ?
Je tiens la nouvelle toute fraîche du papillon
Qui comme chacun sait est un grand fripon .
On aurait vu, mais je n’ose toutefois le croire
Déjà une jeune abeille vaquer à ses devoirs….
Voilà ce que me disait la brise il y a peu de temps…
Mais j’avais lu dans les regards ! Ca y est !
C’est le printemps !




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Highslide JS
pour vous mas 3 anges..
Highslide JS

TOI ET LENA TON AMOUR...
Highslide JS
OUX REPOS MON AMOUR..
DOUX REPOS MON AMOUR..
Highslide JS
DERNIER JOUR AVANT TON DEPART..
Highslide JS
IL Y A 3 SEMAINES..
Highslide JS
AVEC AIKA..
Highslide JS
TU ATTENDS TON OS..
Highslide JS
SURVEILLANT TES "ENFANTS"
Highslide JS
TOI ET MOI L'ANNEE DERNIERE..QUE DE BONHEUR
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