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En hommage à
BORDER-COLLIELUCKY
Il est né le:15/04/2002
Il nous a quittés le:19/06/2014
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En hommage à
LUCKY
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669 messages
Déposé par colombine67 le 08/06/2015Tu Ne M'as Pas Laisse Le Temps - David Hallyday J'reste Avec mes souvenirs Ces morceaux du passĂ© Comme un miroir en Ă©clats de verre Mais a quoi ça sert C'que j'voulais dire Reste sur des pages blanches Sur lesquelles je peux tirer un trait C'Ă©tait juste hier Tu ne m'as pas laissĂ© le temps De te dire tout c'que je t'aime Et tout c'que tu me manques On devrait toujours dire avant L'importance que les gens prennent Tant qu'il est encore temps Mais tu ne m'as pas laissĂ© le temps Toi qui m'as tout appris Et m'as tant donnĂ© C'est dans tes yeux que je grandissais Et me sentais fier Pourquoi sans prĂ©venir Un jour tout s'arrĂȘte Et vous laisse encore plus seul sur terre Sans savoir quoi faire Tu ne m'as pas laissĂ© le temps De dire tout c'que je t'aime Et tout c'que tu me manques On devrait toujours dire avant L'importance que les gens prennent Tant qu'il est encore temps Tu n'm'as pas laissĂ© le temps |
Déposé par poutounou le 06/06/2015Le bonheur c'est... * Le bonheur câest... : de savoir sâĂ©merveiller peu importe son Ăąge de rire de bon coeur en agrĂ©able compagnie de savoir dire « je tâaime » de se panifier des moments de tendresse de savoir relever des dĂ©fis, mĂȘme si cela me fait peur dâavoir assez de grandeur dâĂąme pour pardonner de profiter de ses moments de solitude pour enfin faire des choses pour soi seulement de regarder un bon film et de laisser libre cours Ă ses sentiments de regarder ce que jâai accompli et non ce quâil me reste Ă faire dâĂȘtre maĂźtre de soi et non des autres de possĂ©der lâhumour nĂ©cessaire pour surmonter les difficultĂ©s de la vie de reconnaĂźtre que le nĂ©gatif existe, mais de dĂ©cider de ne pas lui ouvrir la porte. * Quand tu as le « BONHEUR » dans ta vie, Nâoublie pas de le cultiver Pour quâil reste longtemps. * Anonyme |
Déposé par poutounou le 02/06/2015Câest tellement vrai ! * La bontĂ© * Vivre en soi, ce n'est rien ; il faut vivre en autrui. * A qui puis-je ĂȘtre utile et agrĂ©able, aujourd'hui ? VoilĂ , chaque matin, ce qu'il faudrait se dire. Et, le soir, quand des cieux la clartĂ© se retire, heureux Ă qui son coeur tout bas a rĂ©pondu : "Ce jour qui va finir, je ne l'ai pas perdu. GrĂące Ă mes soins, j'ai vu, sur une face humaine, la trace d'un plaisir ou l'oubli d'une peine". * Anonyme |
Déposé par poutounou le 29/05/2015Message dâun « ĂȘtre humain » pour lequel jâavais beaucoup dâestime⊠* Le secret du bonheur... * Vous valez ce que vaut votre coeur. Toute l'histoire de l'humanitĂ© est l'histoire du besoin d'aimer et d'ĂȘtre aimĂ©. ... * Quel que soit l'usage qu'en font les humains, le coeur (symbole de l'amitiĂ© et de l'amour) a aussi ses normes, son Ă©thique. Faire place au coeur dans la construction harmonieuse de votre personnalitĂ© n'a rien Ă voir avec la sensiblerie ni mĂȘme la sentimentalitĂ©. Le coeur, c'est l'ouverture de tout l'ĂȘtre Ă l'existence des autres, la capacitĂ© de les deviner, de les comprendre. * Une telle sensibilitĂ©, vraie et profonde, rend vulnĂ©rable. C'est pourquoi certains sont tentĂ©s de s'en dĂ©faire en se durcissant. * Aimer, c'est donc essentiellement se donner aux autres. Loin d'ĂȘtre une inclination instinctive, l'amour est une dĂ©cision consciente de la volontĂ© d'aller vers les autres. Pour pouvoir aimer en vĂ©ritĂ©, il faut se dĂ©tacher de bien des choses et surtout de soi, donner gratuitement, aimer jusqu'au bout. Cette dĂ©possession de soi (oeuvre de longue haleine) est Ă©puisante et exaltante. Elle est source d'Ă©quilibre. Elle est le secret du bonheur. * Jean-Paul II, Extrait du Message aux jeunes de France, Paris, 1980 |
Déposé par poutounou le 25/05/2015L'Ă©cho * RĂŽdant, triste et solitaire Dans la forĂȘt du mystĂšre, Jâai criĂ© le coeur trĂšs las : - « La vie est triste ici-bas ! » LâĂcho mâa rĂ©pondu : « Bah ! » â « Ăcho, la vie est mĂ©chante ! » Et, dâune voix bien touchante, LâĂcho mâa rĂ©pondu : « Chante ! » â « Ăcho, Ăcho des grands bois, Lourde, trop lourde est ma croix ! » LâĂcho mâa rĂ©pondu : « Crois ! » â « La haine en moi va germer, Dois-je rire ou blasphĂ©mer ? » Et lâĂcho mâa dit : « Aimer ! » Comme lâĂcho des grands bois Mâa conseillĂ© de le faire : Jâaime, je chante et je crois ! Et je suis heureux sur terre ! * ThĂ©odore Botrel (1868-1925) |
Déposé par poutounou le 21/05/2015Une jolie petite histoire « vraie »⊠* Le petit garçon et les Ă©toiles de mer * Pendant mes derniĂšres vacances, au bord de la mer, un matin en arrivant sur la plage, j'ai dĂ©couvert des milliers d'Ă©toiles de mer qui s'Ă©taient Ă©chouĂ©es dans la nuit. J'Ă©tais complĂštement estomaquĂ© par ce spectacle quand je vois un petit garçon au bord de la mer qui prend une Ă©toile de mer entre ses deux doigts et la rejette Ă la mer. Pendant que je m'approche, il continue sa tĂąche en essayant de lancer les Ă©toiles de mer le plus loin possible dans la mer. ArrivĂ© prĂšs de lui, je le fĂ©licite pour ce qu'il a entrepris, mais je lui fais remarquer que c'est une tĂąche impossible : * - MĂȘme si tu continues tout le temps Ă les rejeter, une par une, Ă la mer, compte tenu des milliers et des milliers d'Ă©toiles de mer qui se sont Ă©chouĂ©es, Ă la fin de la journĂ©e, on ne verra pas beaucoup la diffĂ©rence sur la plage. * A ce moment lĂ , le jeune garçon, qui venait de prendre dĂ©licatement une Ă©toile de mer, s'est redressĂ©, il m'a regardĂ© droit dans les yeux et avec un grand sourire, il m'a dit : - D'accord, peut-ĂȘtre que ça ne changera pas beaucoup de choses sur la plage, mais, pour cette Ă©toile de mer lĂ , ça fait une sacrĂ©e diffĂ©rence. * Câest pareil pour un chien quâon sort dâun refuge. Il y aura toujours plein de chiens dans les refuges, mais pour celui quâon aura sorti de lĂ , la vie ne sera plus la mĂȘme ; pour lui ça fera une sacrĂ©e diffĂ©renceâŠ. Si Dieu me prĂȘte vie, le prochain chien que je prendrai viendra dâun refuge. |
Déposé par poutounou le 17/05/2015Le manifeste de la gentillesse * Face Ă l'indiffĂ©rence, au manque de respect et au cynisme, nous possĂ©dons sans le savoir l'arme la plus efficace qui soit : notre coeur. La gentillesse n'est pas un renoncement, une dĂ©mission ou une soumission, c'est un choix traduit par des petits gestes qui rendent la vie plus agrĂ©able. La gentillesse est une intelligence et elle est contagieuse. Agissons ensemble chaque jour pour un monde plus humain. * POUR En finir avec le chacun pour soi Refuser le cynisme ambiant DĂ©jouer l'agressivitĂ© quotidienne Dire non Ă l'indiffĂ©rence Choisir d'ĂȘtre plus attentif aux autres Mettre de l'harmonie dans mes relations Etre altruiste et bienveillant * JE CHOISIS DE CONSTRUIRE CHAQUE JOUR, AVEC DES MILLIERS D'AUTRES, UN MONDE PLUS HUMAIN |
Déposé par poutounou le 13/05/2015Pour toi, bel Ange, ces quelques rimes de Monsieur Baudelaire⊠* ElĂ©vation * Au-dessus des Ă©tangs, au-dessus des vallĂ©es, Des montagnes, des bois, des nuages, des mers, Par-delĂ le soleil, par-delĂ les Ă©thers, Par-delĂ les confins des sphĂšres Ă©toilĂ©es, * Mon esprit, tu te meus avec agilitĂ©, Et, comme un bon nageur qui se pĂąme dans l'onde, Tu sillonnes gaiement l'immensitĂ© profonde Avec une indicible et mĂąle voluptĂ©. * Envole-toi bien loin de ces miasmes morbides; Va te purifier dans l'air supĂ©rieur, Et bois, comme une pure et divine liqueur, Le feu clair qui remplit les espaces limpides. * DerriĂšre les ennuis et les vastes chagrins Qui chargent de leur poids l'existence brumeuse, Heureux celui qui peut d'une aile vigoureuse S'Ă©lancer vers les champs lumineux et sereins ; * Celui dont les pensĂ©es, comme des alouettes, Vers les cieux le matin prennent un libre essor, Qui plane sur la vie, et comprend sans effort Le langage des fleurs et des choses muettes ! * Charles Baudelaire (1821-1867), Les fleurs du mal |
Déposé par ovanek le 13/05/2015†**** Sans toi **** Ce soir, je suis seule pour la premiĂšre fois Ton absence, trop prĂ©sente me ramĂšne Ă toi Quelle douleur que dâaimer quand lâautre a disparu Câest la fin de lâhistoire et le bonheur nâest plus Tu restes sur les photos que jâavais encadrĂ©es Mais dĂ©jĂ Ă mes yeux, tu deviens Ă©tranger Le temps impitoyable continue sa besogne Les moments partagĂ©s et les sĂ©jours passĂ©s Comment ne pas pleurer, comment ne pas souffrir Devant toutes ces annĂ©es devant ces souvenirs Mon cĆur battait pour deux, aujourdâhui il sâendort Mes aiguilles sont bloquĂ©es au cadran de ton dĂ©part Le soleil peut briller mais ma vie reste sombre RescapĂ©e, malheureuse, tapie dans nos dĂ©combres Jâerre dans un royaume qui ne mâappartient plus La bataille est finie, les armĂ©es sont vaincues La reine nâa plus de roi, le jeu est terminĂ© Le duel est perdu, tu aurais dĂ» mâemmener On aurait pu ensemble s'engouffrer dans lâoubli Et enfin pour toujours y sceller nos deux vies ** pensĂ©e ** †|
Déposé par poutounou le 09/05/2015Mon Paradis * Quelque part, dans ce monde, je cherchais le Paradis. * En quĂȘte dâune Ăźle dĂ©serte, dâune planĂšte inconnue, Dâune terre vierge, encore inexplorĂ©e et nue, Dâun petit coin dâunivers, hors du temps, hors dâici. * Quelque part, dans ce monde, je cherchais le Paradis. * Je voulais un peu de paix, pour mon cĆur fatiguĂ©. Je voulais fuir les querelles et tout recommencer, Sur la terre originelle, renaĂźtre de lâoubli. * Quelque part, dans ce monde, je cherchais le Paradis. * Quitter cette vie insensĂ©e, rejoindre le ciel. Je lâimagine aussi pur que sa couleur pastelle, Vestige de beautĂ© dâune nature si meurtrie. * Quelque part, dans ce monde, je cherchais le Paradis. * Comme une lueur dâespoir apaisant la souffrance, Et quand bien mĂȘme un mensonge, pour nier lâĂ©vidence, Dâavoir la peur pour compagne dâune vie sans rĂ©pit. * Quelque part, dans ce monde, je cherchais le Paradis. * Et mes yeux, troublĂ©s de larmes, ont croisĂ© ton regard, Et mon destin, soudain, sâest jouĂ© au grĂ© du hasard. Câest lĂ , aux frontiĂšres de ton cĆur, quâalors jâai compris. * Quelque part, dans ce monde, je cherchais le Paradis. * Mais il nâexiste ni asile, ni mythe fantastique. Il nây a que lâAmour pour faire le monde magnifique. Et ton Amour pour moi a donnĂ© sens Ă ma vie. * Quelque part, dans ce monde, jâai trouvĂ© mon Paradis. |
Déposé par colombine67 le 08/05/2015En 1856, le chĂŽmage faisant rage en Ăcosse, un ancien jardinier, John Gray, partit de la campagne vers Ădimbourg avec sa famille. Il obtint un emploi de policier et eut droit Ă un chien de garde. Il obtint ainsi de ses supĂ©rieurs un chiot Skye Terrier quâil nomma « Bobby ». Tous les jours Ă treize heures pile, sonnĂ©es traditionnellement par un coup de canon depuis le ChĂąteau d'Ădimbourg, lâhomme et le chien allaient dans un petit restaurant oĂč Gray donnait Ă Bobby une brioche, puis un os. Deux ans plus tard, Gray mourut de tuberculose. Le jour des funĂ©railles, plusieurs tĂ©moins reconnurent Bobby, en tĂȘte du cortĂšge funĂšbre, qui suivait le cercueil. Puis, la cĂ©rĂ©monie terminĂ©e, le chien disparut. Il ne revint jamais dans la famille de Gray. Le lendemain, le gardien du cimetiĂšre de lâĂ©glise de Greyfriars, au sud du chĂąteau d'Ădimbourg, oĂč Ă©tait enterrĂ© John Gray, fut surpris de dĂ©couvrir Bobby couchĂ© sur la tombe de son maĂźtre. Le lieu Ă©tant interdit aux animaux, Bobby en fut donc chassĂ©. Mais le lendemain, puis encore le surlendemain, Bobby revint la nuit malgrĂ© le gardien qui le chassait Ă chaque fois. Finalement, voyant une telle fidĂ©litĂ©, ce dernier eut pitiĂ© du petit chien et obtint une dĂ©rogation de la ville qui autorisait Bobby Ă rester. Ce ne fut quâau bout de trois jours que Bobby, forcĂ© par la faim, dut sortir du cimetiĂšre. Le restaurateur fut alors surpris de voir Bobby arriver tout seul Ă treize heures pile pour sa brioche et son os. AprĂšs avoir avalĂ© son repas qui lui fut donnĂ© de bon cĆur, Bobby revint se coucher sur la tombe de son maĂźtre. DĂšs lors, il ne la quitta que pour aller manger Ă son restaurant attitrĂ©. Plus tard, il se prit dâamitiĂ© pour un soldat dâĂdimbourg et le suivait quand ce dernier allait au chĂąteau sonner le coup de canon marquant treize heures. Puis ils allaient tous deux prendre leur repas au restaurant oĂč allait dĂ©jeuner John Gray, puis ils se sĂ©paraient. Mais en dehors de ce moment, Bobby ne voulait accompagner personne. Bien des familles voulurent adopter le chien, mais lui se mettait Ă chaque nouveau foyer Ă hurler de maniĂšre si sinistre quâil Ă©tait toujours autorisĂ© Ă repartir, et il revenait sans surprise au cimetiĂšre. Cependant, dans la seiziĂšme et derniĂšre annĂ©e de sa vie, il accepta, vieux et fatiguĂ©, de rester la nuit chez les Traill, la famille propriĂ©taire du restaurant oĂč il allait prendre son repas. Câest chez ces derniers que, par une froide matinĂ©e dâhiver 1872, Bobby fut trouvĂ© mort. Il avait veillĂ© sur la tombe de son maĂźtre pendant quatorze ans. La mĂȘme annĂ©e, la baronne Angela Burdett-Coutts fit construire prĂšs du cimetiĂšre une fontaine surmontĂ©e dâune statue de Bobby grandeur nature, Ćuvre du sculpteur William Brodie (en), toujours visible aujourdâhui. Le Huntly Museum dâĂdimbourg expose aussi des photos et des objets de Greyfriars Bobby, comme son collier. Greyfriars Bobby reste depuis plus dâun siĂšcle un symbole de fidĂ©litĂ© pour les Ăcossais, et leur chien national. |
Déposé par colombine67 le 05/05/2015Tout le monde dit toujours Ă leurs amis qu'ils seront "Meilleurs amis pour toujours", mais combien de temps cela dure-t-il? Vous pouvez ĂȘtre "Best friends" pendant un an, trĂšs bons amis l'autre annĂ©e, ne pas vous parler souvent l'annĂ©e suivante et ne plus vous parler du tout l'autre annĂ©e aprĂšs! Alors, je voulais juste te dire que mĂȘme si je ne te parlais plus jamais de ma vie, que tu es spĂ©cial Ă mes yeux et que tu as fait une diffĂ©rence dans ma vie. Je t'admire, te respecte et t'aime Ă©normĂ©ment. Fais savoir Ă tes vieux amis que tu ne les as pas oubliĂ©s, et dis Ă tes nouveaux que tu ne les oublieras jamais. Souviens-toi, tout le monde a besoin d'un ami, un jour tu sentiras peut-ĂȘtre que tu n'as pas d'amis du tout, souviens-toi seulement de ce message et rĂ©conforte-toi en pensant que quelqu'un dans le monde tient Ă toi et qu'il tiendra Ă toi pour toujours. Il y a des personnes qui apparaissent dans notre vie, restent pour un petit moment, laissent leur empreinte dans notre coeur, et nous ne sommes plus jamais le mĂȘme." |
Déposé par colombine67 le 02/05/2015Ne pleure pas, si tu m'aimes ! Si tu savais le don de Dieu et ce que c'est que le ciel ! Si tu pouvais d'ici entendre le chant des Bienheureux et me voir au milieu d'eux ! Si tu pouvais voir se dĂ©rouler sous tes yeux les immenses horizons et les nouveaux sentiers oĂč je marche ! Si un instant, tu pouvais contempler comme moi la BeautĂ© devant laquelle toutes les beautĂ©s pĂąlissent ! Quoi ?⊠tu m'as vu⊠tu m'as aimĂ© dans le pays des ombres et tu ne pourrais ni me revoir ni m'aimer dans le pays des immuables rĂ©alitĂ©s ? Crois-moi, quand la mort viendra briser tes liens comme elle a brisĂ© ceux qui m'enchaĂźnaient, et quand, un jour que Dieu seul connaĂźt et qu'il a fixĂ©, ton Ăąme viendra dans ce ciel oĂč l'a prĂ©cĂ©dĂ© la mienne⊠ce jour-lĂ , tu me reverras et tu retrouveras mon affection purifiĂ©e. A Dieu ne plaise qu'entrant dans une vie plus heureuse, je sois infidĂšle aux souvenirs et aux vraies joies de mon autre vie et sois devenu moins aimant ! Tu me reverras donc, transfigurĂ© dans l'extase et le bonheur, non plus attendant la mort, mais avançant, d'instant en instant, avec toi, dans les sentiers nouveaux de la LumiĂšre et de la Vie ! Alors⊠essuie tes larmes, et ne pleure plus⊠si tu m'aimes !⊠|
Déposé par ovanek le 01/05/2015†Enfin te voilĂ , Un joli brin de senteur Petit brin de bonheur Sur les ailes de ton cĆur Pose sa blancheur Vive les clochettes Dâun petit brin de muguet Rends la vie plus gaie De ton essence irriguĂ©e pensĂ©e †|
Déposé par poutounou le 01/05/2015Petit brin de Bonheur⊠* TrĂšs tĂŽt dans la matinĂ©e, Du pied droit, je me suis levĂ©e. Mes gros sabots aux pieds, Dans mon jardin, je suis allĂ©e, Pour y cueillir des brins de muguet, Recouverts de rosĂ©e. * Tintinnabulez, tintinnabulez ! Jolies clochettes de Mai. Epandez vos douces senteurs Jusque dans nos cĆurs. Et dĂ©posez dans chaque foyer Un ocĂ©an dâamour et dâamitiĂ©. * Je tâenvoie, merveilleux Ange, un beau brin de muguet de mon jardin. Garde-le bien au chaud, tout contre ton cĆur, car il porte Bonheur⊠AmitiĂ©s Ă ta famille de cĆur⊠|
Déposé par myriam31 le 30/04/2015Joli mois de Mai⊠Quelques brins de douceur Quelques brins de bonheur Pour apporter la chance Et la joie Ă ceux qui tâaiment. Je vous offre ce poĂšme, Câest bien peu Mais c'est avec mon coeur Que je vous souhaite Toute une annĂ©e de bonheur De milliers de brins de muguet, je recouvre ta jolie frimousse Que ces clochettes tâapportent Douceur, bonheur au paradis. .Bien amicalement la maman de BB Lucky |
Déposé par poutounou le 28/04/2015A vos plumes ! * A ceux qui n'osent point ou qui ont peur, Ceux pour qui Ă©crire semble paralysie, RĂȘvez en votre esprit d'un nom comme le bonheur. Osez le dessiner avec des mots çà et lĂ jaillis. Suivez votre inspiration, sans ĂȘtre jugĂ©s et avoir peur... Taillez ces mots comme s'ils Ă©taient cueillis Ils s'ouvriront alors comme de belles fleurs. Caressez-les, gourmands, tels des fruits confits, Humectez les un peu de votre coeur Et ce qui vous semblait granit deviendra transcrit. Usez de votre gomme pour rectifier l'erreur, RĂȘvez d'ĂȘtre publiĂ©s sans ĂȘtre Ă©rudits... Souriez ainsi d'avoir Ă©crit un peu de poĂ©sie... |
Déposé par colombine67 le 28/04/2015 Toute la presse a rĂ©pondu derniĂšrement Ă l'appel de la SociĂ©tĂ© protectrice des animaux, qui veut fonder un asile pour les bĂȘtes. Ce serait lĂ une espĂšce d'hospice, et un refuge oĂč les pauvres chiens sans maĂźtre trouveraient la nourriture et l'abri, au lieu du noeud coulant que leur rĂ©serve l'administration. Les journaux, Ă ce propos, ont rappelĂ© la fidĂ©litĂ© des bĂȘtes, leur intelligence, leur dĂ©vouement. Ils ont citĂ© des traits de sagacitĂ© Ă©tonnante. Je veux Ă mon tour raconter l'histoire d'un chien perdu, mais d'un chien du commun, laid, d'allure vulgaire. Cette histoire, toute simple, est vraie de tout point. Dans la banlieue de Paris, sur les bords de la Seine, vit une famille de bourgeois riches. Ils ont un hĂŽtel Ă©lĂ©gant, grand jardin, chevaux et voitures, et de nombreux domestiques. Le cocher s'appelle François. C'est un gars de la campagne, Ă moitiĂ© dĂ©gourdi seulement, un peu lourdaud, Ă©pais, obtus, et bon garçon. Comme il rentrait un soir chez ses maĂźtres, un chien se mit Ă le suivre. Il n'y prit point garde d'abord ; mais l'obstination de la bĂȘte Ă marcher sur ses talons le fit bientĂŽt se retourner. Il regarda s'il connaissait ce chien : mais non, il ne l'avait jamais vu. C'Ă©tait une chienne d'une maigreur affreuse, avec de grandes mamelles pendantes. Elle trottinait derriĂšre l'homme d'un air lamentable et affamĂ©, la queue serrĂ©e entre les pattes, les oreilles collĂ©es contre la tĂȘte ; et, quand il s'arrĂȘtait, elle s'arrĂȘtait, repartant quand il repartait. Il voulut chasser ce squelette de bĂȘte ; et cria : "Va-t'en, veux-tu te sauver, houe ! houe !" Elle s'Ă©loigna de deux ou trois pas, et se planta sur son derriĂšre, attendant ; puis, dĂšs que le cocher se remit en marche, elle repartit derriĂšre lui. Il fit semblant de ramasser des pierres. L'animal s'enfuit un peu plus loin, avec un grand ballottement de ses mamelles flasques ; mais il revint aussitĂŽt que l'homme eut le dos tournĂ©. Alors le cocher François l'appela. La chienne s'approcha timidement, l'Ă©chine pliĂ©e comme un cercle et toutes les cĂŽtes soulevant la peau. Il caressa ces os saillants, et, pris de pitiĂ© pour cette misĂšre de bĂȘte : "Allons, viens !" dit-il. AussitĂŽt elle remua la queue, se sentant accueillie, adoptĂ©e, et au lieu de rester dans les mollets du maĂźtre qu'elle avait choisi, elle commença Ă courir devant lui. Il l'installa sur la paille de l'Ă©curie, puis courut Ă la cuisine chercher du pain. Quand elle eut mangĂ© tout son soĂ»l, elle s'endormit, couchĂ©e en rond. Le lendemain, les maĂźtres, avertis par le cocher, permirent qu'il gardĂąt l'animal. Cependant la prĂ©sence de cette bĂȘte dans la maison devint bientĂŽt une cause d'ennuis incessants. Elle Ă©tait assurĂ©ment la plus dĂ©vergondĂ©e des chiennes ; et, d'un bout Ă l'autre de l'annĂ©e, les prĂ©tendants Ă quatre pattes firent le siĂšge de sa demeure. Ils rĂŽdaient sur la route, devant la porte, se faufilaient par toutes les issues de la haie vive qui clĂŽturait le jardin, dĂ©vastaient les plates-bandes, arrachant les fleurs, faisant des trous dans les corbeilles, exaspĂ©raient le jardinier. Jour et nuit c'Ă©tait un concert de hurlements et des batailles sans fin. Les maĂźtres trouvaient jusque dans l'escalier, tantĂŽt de petits roquets Ă queue empanachĂ©e, des chiens jaunes, rĂŽdeurs de bornes, vivant d'o*****s, tantĂŽt des terre-neuve Ă©normes Ă poils frisĂ©s, des caniches moustachus, tous les Ă©chantillons de la race aboyante. La chienne, que François avait, sans malice, appelĂ©e "Cocote" (et elle mĂ©ritait son nom), recevait tous ces hommages ; et elle produisait, avec une fĂ©conditĂ© vraiment phĂ©nomĂ©nale, des multitudes de petits chiens de toutes les espĂšces connues. Tous les quatre mois, le cocher allait Ă la riviĂšre noyer une demi-douzaine d'ĂȘtres grouillants, qui piaulaient dĂ©jĂ et ressemblaient Ă des crapauds. Cocote Ă©tait maintenant devenue Ă©norme. Autant elle avait Ă©tĂ© maigre, autant elle Ă©tait obĂšse, avec un ventre gonflĂ© sous lequel traĂźnaient toujours ses longues mamelles ballottantes. Elle avait engraissĂ© tout d'un coup, en quelques jours ; et elle marchait avec peine, les pattes Ă©cartĂ©es Ă la façon des gens trop gros, la gueule ouverte pour souffler, et extĂ©nuĂ©e aussitĂŽt qu'elle s'Ă©tait promenĂ©e dix minutes. Le cocher François disait d'elle : "C'est une bonne bĂȘte pour sĂ»r, mais qu'est, ma foi, bien dĂ©rĂ©glĂ©e." Le jardinier se plaignait tous les jours. La cuisiniĂšre en fit autant. Elle trouvait des chiens sous son fourneau, sous les chaises, dans la soupente au charbon ; et ils volaient tout ce qui traĂźnait. Le maĂźtre ordonna Ă François de se dĂ©barrasser de Cocote. Le domestique dĂ©sespĂ©rĂ© pleura, mais il dut obĂ©ir. Il offrit la chienne Ă tout le monde. Personne n'en voulut. Il essaya de la perdre ; elle revint. Un voyageur de commerce la mit dans le coffre de sa voiture pour la lĂącher dans une ville Ă©loignĂ©e. La chienne retrouva sa route, et, malgrĂ© sa bedaine tombante, sans manger sans doute, en un jour, elle fut de retour ; et elle rentra tranquillement se coucher dans son Ă©curie. Cette fois, le maĂźtre se fĂącha et, ayant appelĂ© François, lui dit avec colĂšre : "Si vous ne me flanquez pas cette bĂȘte Ă l'eau avant demain, je vous fiche Ă la porte, entendez-vous !" L'homme fut atterrĂ©, il adorait Cocote. Il remonta dans sa chambre, s'assit sur son lit, puis fit sa malle pour partir. Mais il rĂ©flĂ©chit qu'une place nouvelle serait impossible Ă trouver, car personne ne voudrait de lui tant qu'il traĂźnerait sur ses talons cette chienne, toujours suivie d'un rĂ©giment de chiens. Donc il fallait s'en dĂ©faire. Il ne pouvait la placer ; il ne pouvait la perdre ; la riviĂšre Ă©tait le seul moyen. Alors il pensa Ă donner vingt sous Ă quelqu'un pour accomplir l'exĂ©cution. Mais, Ă cette pensĂ©e, un chagrin aigu lui vint ; il rĂ©flĂ©chit qu'un autre peut-ĂȘtre la ferait souffrir, la battrait en route, lui rendrait durs les derniers moments, lui laisserait comprendre qu'on voulait la tuer, car elle comprenait tout, cette bĂȘte ! Et il se dĂ©cida Ă faire la chose lui-mĂȘme. Il ne dormit pas. DĂšs l'aube, il fut debout, et, s'emparant d'une forte corde, il alla chercher Cocote. Elle se leva lentement, se secoua, Ă©tira ses membres et vint fĂȘter son maĂźtre. Alors il s'assit et, la prenant sur ses genoux, la caressa longtemps, l'embrassa sur le museau ; puis, se levant, il dit : "Viens." Et elle remua la queue, comprenant qu'on allait sortir. Ils gagnĂšrent la berge, et il choisit une place oĂč l'eau semblait profonde. Alors il noua un bout de la corde au cou de la bĂȘte, et, ramassant une grosse pierre, l'attacha Ă l'autre bout. AprĂšs quoi, il saisit la chienne en ses bras et la baisa furieusement, comme une personne qu'on va quitter. Il la tenait serrĂ©e sur sa poitrine, la berçait ; et elle se laissait faire, en grognant de satisfaction. Dix fois, il la voulut jeter ; chaque fois, la force lui manqua. Mais tout Ă coup il se dĂ©cida et, de toute sa force, il la lança le plus loin possible. Elle flotta une seconde, se dĂ©battant, essayant de nager comme lorsqu'on la baignait : mais la pierre l'entraĂźnait au fond ; elle eut un regard d'angoisse ; et sa tĂȘte disparut la premiĂšre, pendant que ses pattes de derriĂšre, sortant de l'eau, s'agitaient encore. Puis quelques bulles d'air apparurent Ă la surface. François croyait voir sa chienne se tordant dans la vase du fleuve. Il faillit devenir idiot, et pendant un mois il fut malade, hantĂ© par le souvenir de Cocote qu'il entendait aboyer sans cesse. Il l'avait noyĂ©e vers la fin d'avril. Il ne reprit sa tranquillitĂ© que longtemps aprĂšs. Enfin il n'y pensait plus guĂšre, quand, vers le milieu de juin, ses maĂźtres partirent et l'emmenĂšrent aux environs de Rouen oĂč ils allaient passer l'Ă©tĂ©. Un matin, comme il faisait trĂšs chaud, François sortit pour se baigner dans la Seine. Au moment d'entrer dans l'eau, une odeur nausĂ©abonde le fit regarder autour de lui, et il aperçut dans les roseaux une charogne, un corps de chien en putrĂ©faction. Il s'approcha, surpris par la couleur du poil. Une corde pourrie serrait encore son cou. C'Ă©tait sa chienne, Cocote, portĂ©e par le courant Ă soixante lieues de Paris. Il restait debout avec de l'eau jusqu'aux genoux, effarĂ©, bouleverse comme devant un miracle, en face d'une apparition vengeresse. Il se rhabilla tout de suite et, pris d'une peur folle, se mit Ă marcher au hasard devant lui, la tĂȘte perdue. Il erra tout le jour ainsi et, le soir venu, demanda sa route, qu'il ne retrouvait pas. Jamais depuis il n'a osĂ© toucher un chien. Cette histoire n'a qu'un mĂ©rite : elle est vraie, entiĂšrement vraie. Sans la rencontre Ă©trange du chien mort, au bout de six semaines et Ă soixante lieues plus loin, je ne l'eusse point remarquĂ©e, sans doute ; car combien en voit-on, tous les jours, de ces pauvres bĂȘtes sans abri ! Si le projet de la SociĂ©tĂ© protectrice des animaux rĂ©ussit, nous rencontrerons peut-ĂȘtre moins de ces cadavres Ă quatre pattes Ă©chouĂ©s sur les berges du fleuve. 2 juin 1881 |
Déposé par colombine67 le 26/04/2015La rĂ©alitĂ© de la vie est ce quelle est. Les hommes vivent en moyennes 75 ans et les chiens, un maximum de 20. Il est donc inĂ©vitable, que la sĂ©paration d'avec votre meilleur ami, se fera Ă votre dĂ©triment. Pour ceux qui croient, qu'un chien n'est rien qu'un chien ce texte n'est pas pour vous. Mais pour les autres qui ont eu la chance unique, d'avoir un vrai ami et compagnon canin, lisez ce petit testament canin, tirĂ© du Reader's Digest, il saura probablement vous aider, lorsque le moment de la sĂ©paration sera venu. Ă mon maĂźtre, Ă ma maĂźtresse: Le fardeau de mes ans et de mes infirmitĂ©s me pĂšse lourdement, et je sais ma fin prochaine. C'est pourquoi moi, Tango Gagnon RattĂ©, (communĂ©ment appelĂ© Tango par mes parents amis et connaissances), dĂ©pose en secret dans lâĂąme de mes deux grands amis, mon maĂźtre et ma maĂźtresse, mon testament. J'ai peu de biens matĂ©riels Ă lĂ©guer. Les chiens sont plus sages que les hommes. Ils n'attachent pas grand prix aux choses de la terre. Je n'ai aucun bien prĂ©cieux Ă transmettre, si ce n'est mon affection et ma fidĂ©litĂ©. Je les lĂšgue Ă tous ceux qui m'ont aimĂ©; qui je le sais me regretteront le plus, Ă Daniel et Chantal qui ont Ă©tĂ© si bons pour moi. Peut ĂȘtre ai-je tort de m'enorgueillir, mais j'ai toujours Ă©tĂ© un chien extrĂȘmement affectueux. Je demande Ă Daniel et Chantal de toujours se souvenir de moi, mais de ne pas me pleurer trop longtemps. Au cours de mon existence, j'ai essayĂ© de les rĂ©conforter dans la peine et de leur apporter un surcroĂźt de joie dans le bonheur. Il m'est pĂ©nible de penser que, mĂȘme dans la mort, je pourrais leur causer du chagrin. Je les prie de ne pas oublier qu'Ă leur tendresse et Ă leur sollicitude je dois d'avoir Ă©tĂ© le plus heureux des chiens. Mais maintenant me voici devenu pratiquement aveugle, sourd et j'ai de trĂšs gros problĂšmes de dentition m'empĂȘchant de manger; ainsi ma fiertĂ© a fait place Ă une humiliation qui me dĂ©route. Je sens que la vie me reproche d'avoir trop prolongĂ© la fĂȘte. Je dois faire mes adieux avant de devenir un poids insupportable pour moi et pour ceux qui m'ont donnĂ© leur affection. Il me sera douloureux de les quitter, mais pas de mourir. Contrairement aux hommes les chiens ne redoutent pas la mort. Que se passe t-il aprĂšs? Nul ne le sait. En tout cas je suis au moins sĂ»r de trouver la paix et un long repos pour mon vieux coeur las, ma vieille tĂȘte, mes vieux membres ainsi qu'un sommeil Ă©ternel dans cette terre que j'ai tant aimĂ©e. Il est un dernier voeu que je formule en toute sincĂ©ritĂ©. J'ai entendu ma maĂźtresse, dire: "Quand Tango mourra, nous n'aurons jamais plus de chien. Je l'aime tellement que je ne pourrai plus en aimer un autre". Maintenant pour l'amour de moi, je lui demande de revenir sur sa dĂ©cision. Ce serait un bien piĂštre tribut Ă ma mĂ©moire que de ne jamais plus avoir de chien. Je voudrais tant garder le sentiment que maintenant que j'ai fait partie de la famille il lui est dĂ©sormais impossible de vivre sans la compagnie du meilleur ami de l'homme! Je n'ai jamais Ă©tĂ© exclusif ni jaloux. J'ai toujours soutenu que la plupart de mes congĂ©nĂšres sont bons (mĂȘme ma co-locataire, la chatte...) Gamine, Ă qui j'ai quelques fois autorisĂ© Ă partager mon lit avec moi. J'ai tolĂ©rĂ© son amitiĂ© dans un esprit de gĂ©nĂ©rositĂ© et, dans mes rares moments de sentimentalitĂ©, je lui ai mĂȘme rendu un peu la pareille. Aussi je conseille Ă ma maĂźtresse de choisir un autre chien Ă son goĂ»t pour me succĂ©der. Il pourra difficilement ĂȘtre aussi bien Ă©levĂ©, aussi poli aussi distinguĂ© et aussi beau que je fus dans ma jeunesse. Mais, je suis sĂ»r qu'il fera de son mieux et que ses dĂ©fauts inĂ©vitables contribueront, par contraste, Ă perpĂ©tuer mon souvenir. Je lui lĂšgue mon collier, ma laisse, mon lit, mon ensemble de NoĂ«l. Un dernier mot Ă Daniel, Chantal et Gamine la chatte qui vivrez sĂ»rement plus vieux que moi. Chaque fois que vous penserez Ă moi dites-vous avec regret, mais aussi avec bonheur, en vous rappelant ma longue vie Ă vos cotĂ©s: "Tango Ă©tait un ĂȘtre qui nous aimait et que nous aimions". Si profond que soit mon sommeil, je vous entendrai, et tout le pouvoir de la mort n'empĂȘchera pas mon Ăme de chien d'agiter la queue avec reconnaissance. Tango Votre chien fidĂšle qui veillera toujours sur vous. La technologie a fait s'Ă©loignĂ© de l'homme certaines valeurs et Ă©motions telle amitiĂ©, fidĂ©litĂ© et tolĂ©rance. Si ces valeurs se sont Ă©loignĂ©es de vous, procurez vous un chien, il vous rĂ©-apprendra ce qu'elles sont, car la technologie lui il s'en fout! Tout ce qu'il veut lui, c'est d'ĂȘtre votre meilleur ami. Daniel RattĂ© |
Déposé par poutounou le 24/04/2015Une toute mignonne poĂ©sie pour toi, bel Ange. Le printemps est une si belle saisonâŠ.Cela mĂ©rite bien quelques poĂšmes jolisâŠ.. * Petit Ă©cho du matin * VoilĂ ce que mâa racontĂ© la brise ce matin, Alors quâelle se reposait au banc du jardin. Figurez vous quâil y a une vĂ©ritable rĂ©volution ! Que lâon parle, que lâon jase Ă travers les gazons ! Nâa tâon point vu, quelle Ă©trange amourette, Sortir ensemble violette et pĂąquerette ! Il en est cependant que la nouvelle Ă©moustille, Nâa tâon point vu danser ailleurs une jonquille ? Je tiens la nouvelle toute fraĂźche du papillon Qui comme chacun sait est un grand fripon . On aurait vu, mais je nâose toutefois le croire DĂ©jĂ une jeune abeille vaquer Ă ses devoirsâŠ. VoilĂ ce que me disait la brise il y a peu de temps⊠Mais jâavais lu dans les regards ! Ca y est ! Câest le printemps ! |
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