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En hommage à
LUCKY
BORDER-COLLIE
Il est né le:15/04/2002
Il nous a quittés le:19/06/2014
 

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En hommage à LUCKY

MON AMOUR..
TU VIENS DE ME QUITTER CET APRES MIDI.A 14H 30.
TU ES DEVENU 1 ANGE A PRESENT.. TU AS REJOINT LENA TA CHERIE..
VOUS SEREZ DANS MON COEUR A TOUT JAMAIS...
MON COEUR EST MORT A L'INTERIEUR..
MAIS JE SAIS QUE TU ES EN PAIX MAINTENANT ..
MON ZOUZOU D'AMOUR....
TU ME MANQUES DEJA ..
TU REPOSES AUPRES DE LENA DANS NOTRE JARDIN..
"JE T'AIME"




0 bougie

1088 Fleurs
Déposé par Chantalotte21
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Avec toute ma tendresse, joli petit coeur. đŸ’™đŸŒŒđŸ’™
Déposé par NOIXDECOCO
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Déposé par susi
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Déposé par susi
Déposé par susi
Déposé par AMARY
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🌟🌈🌟 🌈 🌟🌈 🌟🌈🌟 🌈🌟
Déposé par Evalain
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Tendres pensées, doux museau
Déposé par coucky
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Tendre pensée
Déposé par nenet
Déposé par nenet
Je tenvoie d enormes coeurs d amour infini mon zouzou je t aime
Déposé par aanniicckk
Déposé par aanniicckk
Déposé par mistral
Déposé par mistral
famille MISTRAL, RAMSES II, DOUGLAS et GOLDEN MILADY
Déposé par rosebleue
Déposé par rosebleue
Déposé par choupinou
Déposé par choupinou
Déposé par choupinou
Déposé par choupinou
Déposé par nenet
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je t aime mon zouzou
Déposé par Ana
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Mille caresses courage à ta maman 💕
Déposé par nenet
Déposé par nenet
bisous volants pour mton anniversaire mon zouzou d amour je t aime
Déposé par nenet
Déposé par nenet
bisous volants pour ton anniversaire mon zouzou d amout je t aime
Déposé par capopita
Déposé par capopita
Déposé par capopita
Déposé par capopita
On ne vous oubliera jamais 💞💞💞💞
Déposé par BILLY2B
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669 messages

Déposé par colombine67 le 08/06/2015  
Tu Ne M'as Pas Laisse Le Temps - David Hallyday
J'reste
Avec mes souvenirs
Ces morceaux du passé
Comme un miroir en Ă©clats de verre
Mais a quoi ça sert
C'que j'voulais dire
Reste sur des pages blanches
Sur lesquelles je peux tirer un trait
C'Ă©tait juste hier
Tu ne m'as pas laissé le temps
De te dire tout c'que je t'aime
Et tout c'que tu me manques
On devrait toujours dire avant
L'importance que les gens prennent
Tant qu'il est encore temps
Mais tu ne m'as pas laissé le temps
Toi qui m'as tout appris
Et m'as tant donné
C'est dans tes yeux que je grandissais
Et me sentais fier
Pourquoi sans prévenir
Un jour tout s'arrĂȘte
Et vous laisse encore plus seul sur terre
Sans savoir quoi faire
Tu ne m'as pas laissé le temps
De dire tout c'que je t'aime
Et tout c'que tu me manques
On devrait toujours dire avant
L'importance que les gens prennent
Tant qu'il est encore temps
Tu n'm'as pas laissé le temps

Déposé par poutounou le 06/06/2015  
Le bonheur c'est...
*
Le bonheur c’est... :
de savoir s’émerveiller peu importe son Ăąge
de rire de bon coeur en agréable compagnie
de savoir dire « je t’aime »
de se panifier des moments de tendresse
de savoir relever des dĂ©fis, mĂȘme si cela me fait peur
d’avoir assez de grandeur d’ñme pour pardonner
de profiter de ses moments de solitude pour enfin faire des choses pour soi seulement
de regarder un bon film et de laisser libre cours Ă  ses sentiments
de regarder ce que j’ai accompli et non ce qu’il me reste à faire
d’ĂȘtre maĂźtre de soi et non des autres
de possĂ©der l’humour nĂ©cessaire pour surmonter les difficultĂ©s de la vie
de reconnaßtre que le négatif existe, mais de décider de ne pas lui ouvrir la porte.
*
Quand tu as le « BONHEUR » dans ta vie,
N’oublie pas de le cultiver
Pour qu’il reste longtemps.
*
Anonyme

Déposé par poutounou le 02/06/2015  
C’est tellement vrai !
*
La bonté
*
Vivre en soi, ce n'est rien ;
il faut vivre en autrui.
*
A qui puis-je ĂȘtre utile
et agréable, aujourd'hui ?
VoilĂ , chaque matin,
ce qu'il faudrait se dire.
Et, le soir, quand des cieux
la clarté se retire,
heureux Ă  qui son coeur
tout bas a répondu :
"Ce jour qui va finir,
je ne l'ai pas perdu.
GrĂące Ă  mes soins, j'ai vu,
sur une face humaine,
la trace d'un plaisir
ou l'oubli d'une peine".
*
Anonyme

Déposé par poutounou le 29/05/2015  
Message d’un « ĂȘtre humain » pour lequel j’avais beaucoup d’estime

*
Le secret du bonheur...
*
Vous valez ce que vaut votre coeur. Toute l'histoire de l'humanitĂ© est l'histoire du besoin d'aimer et d'ĂȘtre aimĂ©. ...
*
Quel que soit l'usage qu'en font les humains, le coeur (symbole de l'amitiĂ© et de l'amour) a aussi ses normes, son Ă©thique. Faire place au coeur dans la construction harmonieuse de votre personnalitĂ© n'a rien Ă  voir avec la sensiblerie ni mĂȘme la sentimentalitĂ©. Le coeur, c'est l'ouverture de tout l'ĂȘtre Ă  l'existence des autres, la capacitĂ© de les deviner, de les comprendre.
*
Une telle sensibilité, vraie et profonde, rend vulnérable. C'est pourquoi certains sont tentés de s'en défaire en se durcissant.
*
Aimer, c'est donc essentiellement se donner aux autres. Loin d'ĂȘtre une inclination instinctive, l'amour est une dĂ©cision consciente de la volontĂ© d'aller vers les autres. Pour pouvoir aimer en vĂ©ritĂ©, il faut se dĂ©tacher de bien des choses et surtout de soi, donner gratuitement, aimer jusqu'au bout. Cette dĂ©possession de soi (oeuvre de longue haleine) est Ă©puisante et exaltante. Elle est source d'Ă©quilibre. Elle est le secret du bonheur.
*
Jean-Paul II, Extrait du Message aux jeunes de France, Paris, 1980

Déposé par poutounou le 25/05/2015  
L'Ă©cho
*
RĂŽdant, triste et solitaire
Dans la forĂȘt du mystĂšre,
J’ai criĂ© le coeur trĂšs las :
- « La vie est triste ici-bas ! »
L’Écho m’a rĂ©pondu : « Bah ! »
– « Écho, la vie est mĂ©chante ! »
Et, d’une voix bien touchante,
L’Écho m’a rĂ©pondu : « Chante ! »
– « Écho, Écho des grands bois,
Lourde, trop lourde est ma croix ! »
L’Écho m’a rĂ©pondu : « Crois ! »
– « La haine en moi va germer,
Dois-je rire ou blasphémer ? »
Et l’Écho m’a dit : « Aimer ! »
Comme l’Écho des grands bois
M’a conseillĂ© de le faire :
J’aime, je chante et je crois !
Et je suis heureux sur terre !
*
Théodore Botrel (1868-1925)

Déposé par poutounou le 21/05/2015  
Une jolie petite histoire « vraie » 
*
Le petit garçon et les étoiles de mer
*
Pendant mes derniÚres vacances, au bord de la mer, un matin en arrivant sur la plage, j'ai découvert des milliers d'étoiles de mer qui s'étaient échouées dans la nuit. J'étais complÚtement estomaqué par ce spectacle quand je vois un petit garçon au bord de la mer qui prend une étoile de mer entre ses deux doigts et la rejette à la mer. Pendant que je m'approche, il continue sa tùche en essayant de lancer les étoiles de mer le plus loin possible dans la mer. Arrivé prÚs de lui, je le félicite pour ce qu'il a entrepris, mais je lui fais remarquer que c'est une tùche impossible :
*
- MĂȘme si tu continues tout le temps Ă  les rejeter, une par une, Ă  la mer, compte tenu des milliers et des milliers d'Ă©toiles de mer qui se sont Ă©chouĂ©es, Ă  la fin de la journĂ©e, on ne verra pas beaucoup la diffĂ©rence sur la plage.
*
A ce moment là, le jeune garçon, qui venait de prendre délicatement une étoile de mer, s'est redressé, il m'a regardé droit dans les yeux et avec un grand sourire, il m'a dit :
- D'accord, peut-ĂȘtre que ça ne changera pas beaucoup de choses sur la plage, mais, pour cette Ă©toile de mer lĂ , ça fait une sacrĂ©e diffĂ©rence.
*
C’est pareil pour un chien qu’on sort d’un refuge. Il y aura toujours plein de chiens dans les refuges, mais pour celui qu’on aura sorti de lĂ , la vie ne sera plus la mĂȘme ; pour lui ça fera une sacrĂ©e diffĂ©rence
. Si Dieu me prĂȘte vie, le prochain chien que je prendrai viendra d’un refuge.

Déposé par poutounou le 17/05/2015  
Le manifeste de la gentillesse
*
Face à l'indifférence, au manque de respect et au cynisme, nous possédons sans le savoir l'arme la plus efficace qui soit : notre coeur.
La gentillesse n'est pas un renoncement, une démission ou une soumission, c'est un choix traduit par des petits gestes qui rendent la vie plus agréable.
La gentillesse est une intelligence et elle est contagieuse. Agissons ensemble chaque jour pour un monde plus humain.
*
POUR
En finir avec le chacun pour soi
Refuser le cynisme ambiant
Déjouer l'agressivité quotidienne
Dire non à l'indifférence
Choisir d'ĂȘtre plus attentif aux autres
Mettre de l'harmonie dans mes relations
Etre altruiste et bienveillant
*
JE CHOISIS DE CONSTRUIRE CHAQUE JOUR,
AVEC DES MILLIERS D'AUTRES,
UN MONDE PLUS HUMAIN

Déposé par poutounou le 13/05/2015  
Pour toi, bel Ange, ces quelques rimes de Monsieur Baudelaire

*
Elévation
*
Au-dessus des étangs, au-dessus des vallées,
Des montagnes, des bois, des nuages, des mers,
Par-delĂ  le soleil, par-delĂ  les Ă©thers,
Par-delà les confins des sphÚres étoilées,
*
Mon esprit, tu te meus avec agilité,
Et, comme un bon nageur qui se pĂąme dans l'onde,
Tu sillonnes gaiement l'immensité profonde
Avec une indicible et mùle volupté.
*
Envole-toi bien loin de ces miasmes morbides;
Va te purifier dans l'air supérieur,
Et bois, comme une pure et divine liqueur,
Le feu clair qui remplit les espaces limpides.
*
DerriĂšre les ennuis et les vastes chagrins
Qui chargent de leur poids l'existence brumeuse,
Heureux celui qui peut d'une aile vigoureuse
S'Ă©lancer vers les champs lumineux et sereins ;
*
Celui dont les pensées, comme des alouettes,
Vers les cieux le matin prennent un libre essor,
Qui plane sur la vie, et comprend sans effort
Le langage des fleurs et des choses muettes !
*
Charles Baudelaire (1821-1867), Les fleurs du mal

Déposé par ovanek le 13/05/2015  
❀
**** Sans toi ****
Ce soir, je suis seule pour la premiĂšre fois
Ton absence, trop présente me ramÚne à toi
Quelle douleur que d’aimer quand l’autre a disparu
C’est la fin de l’histoire et le bonheur n’est plus
Tu restes sur les photos que j’avais encadrĂ©es
Mais déjà à mes yeux, tu deviens étranger
Le temps impitoyable continue sa besogne
Les moments partagés et les séjours passés
Comment ne pas pleurer, comment ne pas souffrir
Devant toutes ces années devant ces souvenirs
Mon cƓur battait pour deux, aujourd’hui il s’endort
Mes aiguilles sont bloquées au cadran de ton départ
Le soleil peut briller mais ma vie reste sombre
Rescapée, malheureuse, tapie dans nos décombres
J’erre dans un royaume qui ne m’appartient plus
La bataille est finie, les armées sont vaincues
La reine n’a plus de roi, le jeu est terminĂ©
Le duel est perdu, tu aurais dĂ» m’emmener
On aurait pu ensemble s'engouffrer dans l’oubli
Et enfin pour toujours y sceller nos deux vies
** pensée **
❀

Déposé par poutounou le 09/05/2015  
Mon Paradis
*
Quelque part, dans ce monde, je cherchais le Paradis.
*
En quĂȘte d’une Ăźle dĂ©serte, d’une planĂšte inconnue,
D’une terre vierge, encore inexplorĂ©e et nue,
D’un petit coin d’univers, hors du temps, hors d’ici.
*
Quelque part, dans ce monde, je cherchais le Paradis.
*
Je voulais un peu de paix, pour mon cƓur fatiguĂ©.
Je voulais fuir les querelles et tout recommencer,
Sur la terre originelle, renaütre de l’oubli.
*
Quelque part, dans ce monde, je cherchais le Paradis.
*
Quitter cette vie insensée, rejoindre le ciel.
Je l’imagine aussi pur que sa couleur pastelle,
Vestige de beautĂ© d’une nature si meurtrie.
*
Quelque part, dans ce monde, je cherchais le Paradis.
*
Comme une lueur d’espoir apaisant la souffrance,
Et quand bien mĂȘme un mensonge, pour nier l’évidence,
D’avoir la peur pour compagne d’une vie sans rĂ©pit.
*
Quelque part, dans ce monde, je cherchais le Paradis.
*
Et mes yeux, troublés de larmes, ont croisé ton regard,
Et mon destin, soudain, s’est jouĂ© au grĂ© du hasard.
C’est là, aux frontiùres de ton cƓur, qu’alors j’ai compris.
*
Quelque part, dans ce monde, je cherchais le Paradis.
*
Mais il n’existe ni asile, ni mythe fantastique.
Il n’y a que l’Amour pour faire le monde magnifique.
Et ton Amour pour moi a donné sens à ma vie.
*
Quelque part, dans ce monde, j’ai trouvĂ© mon Paradis.

Déposé par colombine67 le 08/05/2015  
En 1856, le chĂŽmage faisant rage en Écosse, un ancien jardinier, John Gray, partit de la campagne vers Édimbourg avec sa famille. Il obtint un emploi de policier et eut droit Ă  un chien de garde. Il obtint ainsi de ses supĂ©rieurs un chiot Skye Terrier qu’il nomma « Bobby ». Tous les jours Ă  treize heures pile, sonnĂ©es traditionnellement par un coup de canon depuis le ChĂąteau d'Édimbourg, l’homme et le chien allaient dans un petit restaurant oĂč Gray donnait Ă  Bobby une brioche, puis un os.
Deux ans plus tard, Gray mourut de tuberculose. Le jour des funĂ©railles, plusieurs tĂ©moins reconnurent Bobby, en tĂȘte du cortĂšge funĂšbre, qui suivait le cercueil. Puis, la cĂ©rĂ©monie terminĂ©e, le chien disparut. Il ne revint jamais dans la famille de Gray.
Le lendemain, le gardien du cimetiĂšre de l’église de Greyfriars, au sud du chĂąteau d'Édimbourg, oĂč Ă©tait enterrĂ© John Gray, fut surpris de dĂ©couvrir Bobby couchĂ© sur la tombe de son maĂźtre. Le lieu Ă©tant interdit aux animaux, Bobby en fut donc chassĂ©. Mais le lendemain, puis encore le surlendemain, Bobby revint la nuit malgrĂ© le gardien qui le chassait Ă  chaque fois. Finalement, voyant une telle fidĂ©litĂ©, ce dernier eut pitiĂ© du petit chien et obtint une dĂ©rogation de la ville qui autorisait Bobby Ă  rester.
Ce ne fut qu’au bout de trois jours que Bobby, forcĂ© par la faim, dut sortir du cimetiĂšre. Le restaurateur fut alors surpris de voir Bobby arriver tout seul Ă  treize heures pile pour sa brioche et son os. AprĂšs avoir avalĂ© son repas qui lui fut donnĂ© de bon cƓur, Bobby revint se coucher sur la tombe de son maĂźtre. DĂšs lors, il ne la quitta que pour aller manger Ă  son restaurant attitrĂ©.
Plus tard, il se prit d’amitiĂ© pour un soldat d’Édimbourg et le suivait quand ce dernier allait au chĂąteau sonner le coup de canon marquant treize heures. Puis ils allaient tous deux prendre leur repas au restaurant oĂč allait dĂ©jeuner John Gray, puis ils se sĂ©paraient. Mais en dehors de ce moment, Bobby ne voulait accompagner personne. Bien des familles voulurent adopter le chien, mais lui se mettait Ă  chaque nouveau foyer Ă  hurler de maniĂšre si sinistre qu’il Ă©tait toujours autorisĂ© Ă  repartir, et il revenait sans surprise au cimetiĂšre. Cependant, dans la seiziĂšme et derniĂšre annĂ©e de sa vie, il accepta, vieux et fatiguĂ©, de rester la nuit chez les Traill, la famille propriĂ©taire du restaurant oĂč il allait prendre son repas.
C’est chez ces derniers que, par une froide matinĂ©e d’hiver 1872, Bobby fut trouvĂ© mort. Il avait veillĂ© sur la tombe de son maĂźtre pendant quatorze ans. La mĂȘme annĂ©e, la baronne Angela Burdett-Coutts fit construire prĂšs du cimetiĂšre une fontaine surmontĂ©e d’une statue de Bobby grandeur nature, Ɠuvre du sculpteur William Brodie (en), toujours visible aujourd’hui. Le Huntly Museum d’Édimbourg expose aussi des photos et des objets de Greyfriars Bobby, comme son collier.
Greyfriars Bobby reste depuis plus d’un siĂšcle un symbole de fidĂ©litĂ© pour les Écossais, et leur chien national.

Déposé par colombine67 le 05/05/2015  

Tout le monde dit toujours Ă  leurs amis
qu'ils seront "Meilleurs amis pour toujours",
mais combien de temps cela dure-t-il?
Vous pouvez ĂȘtre "Best friends" pendant un an,
trÚs bons amis l'autre année,
ne pas vous parler souvent l'année suivante
et ne plus vous parler du tout l'autre année aprÚs!
Alors, je voulais juste te dire que mĂȘme si
je ne te parlais plus jamais de ma vie,
que tu es spécial à mes yeux et que tu as fait
une différence dans ma vie.
Je t'admire, te respecte et t'aime énormément.
Fais savoir à tes vieux amis que tu ne les as pas oubliés,
et dis Ă  tes nouveaux que tu ne les oublieras jamais.
Souviens-toi, tout le monde a besoin d'un ami,
un jour tu sentiras peut-ĂȘtre que tu n'as pas d'amis du tout,
souviens-toi seulement de ce message
et réconforte-toi
en pensant que quelqu'un dans le monde
tient Ă  toi et qu'il tiendra Ă  toi pour toujours.
Il y a des personnes qui apparaissent dans notre vie,
restent pour un petit moment,
laissent leur empreinte dans notre coeur,
et nous ne sommes plus jamais le mĂȘme."

Déposé par colombine67 le 02/05/2015  
Ne pleure pas, si tu m'aimes !
Si tu savais le don de Dieu et ce que c'est que le ciel !
Si tu pouvais d'ici entendre le chant des Bienheureux et me voir au milieu d'eux !
Si tu pouvais voir se dérouler sous tes yeux
les immenses horizons et les nouveaux sentiers oĂč je marche !
Si un instant, tu pouvais contempler comme moi la Beauté
devant laquelle toutes les beautés pùlissent !
Quoi ?
 tu m'as vu
 tu m'as aimé dans le pays des ombres
et tu ne pourrais ni me revoir ni m'aimer dans le pays des immuables réalités ?
Crois-moi, quand la mort viendra briser tes liens
comme elle a brisé ceux qui m'enchaßnaient,
et quand, un jour que Dieu seul connaßt et qu'il a fixé,
ton Ăąme viendra dans ce ciel oĂč l'a prĂ©cĂ©dĂ© la mienne

ce jour-là, tu me reverras et tu retrouveras mon affection purifiée.
A Dieu ne plaise qu'entrant dans une vie plus heureuse,
je sois infidĂšle aux souvenirs et aux vraies joies de mon autre vie
et sois devenu moins aimant !
Tu me reverras donc, transfiguré dans l'extase et le bonheur,
non plus attendant la mort, mais avançant, d'instant en instant,
avec toi, dans les sentiers nouveaux de la LumiĂšre et de la Vie !
Alors
 essuie tes larmes, et ne pleure plus
 si tu m'aimes !


Déposé par ovanek le 01/05/2015  
❀
Enfin te voilĂ ,
Un joli brin de senteur
Petit brin de bonheur
Sur les ailes de ton cƓur
Pose sa blancheur
Vive les clochettes
D’un petit brin de muguet
Rends la vie plus gaie
De ton essence irriguée
pensée
❀

Déposé par poutounou le 01/05/2015  
Petit brin de Bonheur

*
TrÚs tÎt dans la matinée,
Du pied droit, je me suis levée.
Mes gros sabots aux pieds,
Dans mon jardin, je suis allée,
Pour y cueillir des brins de muguet,
Recouverts de rosée.
*
Tintinnabulez, tintinnabulez !
Jolies clochettes de Mai.
Epandez vos douces senteurs
Jusque dans nos cƓurs.
Et déposez dans chaque foyer
Un ocĂ©an d’amour et d’amitiĂ©.
*
Je t’envoie, merveilleux Ange, un beau brin de muguet de mon jardin. Garde-le bien au chaud, tout contre ton cƓur, car il porte Bonheur
 AmitiĂ©s Ă  ta famille de cƓur


Déposé par myriam31 le 30/04/2015  
Joli mois de Mai

Quelques brins de douceur
Quelques brins de bonheur
Pour apporter la chance
Et la joie à ceux qui t’aiment.
Je vous offre ce poĂšme,
C’est bien peu
Mais c'est avec mon coeur
Que je vous souhaite
Toute une année de bonheur
De milliers de brins de muguet,
je recouvre ta jolie frimousse
Que ces clochettes t’apportent
Douceur, bonheur au paradis.
.Bien amicalement la maman de BB Lucky

Déposé par poutounou le 28/04/2015  
A vos plumes !
*
A ceux qui n'osent point ou qui ont peur,
Ceux pour qui Ă©crire semble paralysie,
RĂȘvez en votre esprit d'un nom comme le bonheur.
Osez le dessiner avec des mots çà et là jaillis.
Suivez votre inspiration, sans ĂȘtre jugĂ©s et avoir peur...
Taillez ces mots comme s'ils Ă©taient cueillis
Ils s'ouvriront alors comme de belles fleurs.
Caressez-les, gourmands, tels des fruits confits,
Humectez les un peu de votre coeur
Et ce qui vous semblait granit deviendra transcrit.
Usez de votre gomme pour rectifier l'erreur,
RĂȘvez d'ĂȘtre publiĂ©s sans ĂȘtre Ă©rudits...
Souriez ainsi d'avoir écrit un peu de poésie...

Déposé par colombine67 le 28/04/2015  
Toute la presse a rĂ©pondu derniĂšrement Ă  l'appel de la SociĂ©tĂ© protectrice des animaux, qui veut fonder un asile pour les bĂȘtes. Ce serait lĂ  une espĂšce d'hospice, et un refuge oĂč les pauvres chiens sans maĂźtre trouveraient la nourriture et l'abri, au lieu du noeud coulant que leur rĂ©serve l'administration.
Les journaux, Ă  ce propos, ont rappelĂ© la fidĂ©litĂ© des bĂȘtes, leur intelligence, leur dĂ©vouement. Ils ont citĂ© des traits de sagacitĂ© Ă©tonnante. Je veux Ă  mon tour raconter l'histoire d'un chien perdu, mais d'un chien du commun, laid, d'allure vulgaire. Cette histoire, toute simple, est vraie de tout point.
Dans la banlieue de Paris, sur les bords de la Seine, vit une famille de bourgeois riches. Ils ont un hÎtel élégant, grand jardin, chevaux et voitures, et de nombreux domestiques. Le cocher s'appelle François. C'est un gars de la campagne, à moitié dégourdi seulement, un peu lourdaud, épais, obtus, et bon garçon.
Comme il rentrait un soir chez ses maĂźtres, un chien se mit Ă  le suivre. Il n'y prit point garde d'abord ; mais l'obstination de la bĂȘte Ă  marcher sur ses talons le fit bientĂŽt se retourner. Il regarda s'il connaissait ce chien : mais non, il ne l'avait jamais vu.
C'Ă©tait une chienne d'une maigreur affreuse, avec de grandes mamelles pendantes. Elle trottinait derriĂšre l'homme d'un air lamentable et affamĂ©, la queue serrĂ©e entre les pattes, les oreilles collĂ©es contre la tĂȘte ; et, quand il s'arrĂȘtait, elle s'arrĂȘtait, repartant quand il repartait.
Il voulut chasser ce squelette de bĂȘte ; et cria : "Va-t'en, veux-tu te sauver, houe ! houe !" Elle s'Ă©loigna de deux ou trois pas, et se planta sur son derriĂšre, attendant ; puis, dĂšs que le cocher se remit en marche, elle repartit derriĂšre lui.
Il fit semblant de ramasser des pierres. L'animal s'enfuit un peu plus loin, avec un grand ballottement de ses mamelles flasques ; mais il revint aussitĂŽt que l'homme eut le dos tournĂ©. Alors le cocher François l'appela. La chienne s'approcha timidement, l'Ă©chine pliĂ©e comme un cercle et toutes les cĂŽtes soulevant la peau. Il caressa ces os saillants, et, pris de pitiĂ© pour cette misĂšre de bĂȘte : "Allons, viens !" dit-il. AussitĂŽt elle remua la queue, se sentant accueillie, adoptĂ©e, et au lieu de rester dans les mollets du maĂźtre qu'elle avait choisi, elle commença Ă  courir devant lui.
Il l'installa sur la paille de l'écurie, puis courut à la cuisine chercher du pain. Quand elle eut mangé tout son soûl, elle s'endormit, couchée en rond.
Le lendemain, les maĂźtres, avertis par le cocher, permirent qu'il gardĂąt l'animal. Cependant la prĂ©sence de cette bĂȘte dans la maison devint bientĂŽt une cause d'ennuis incessants. Elle Ă©tait assurĂ©ment la plus dĂ©vergondĂ©e des chiennes ; et, d'un bout Ă  l'autre de l'annĂ©e, les prĂ©tendants Ă  quatre pattes firent le siĂšge de sa demeure. Ils rĂŽdaient sur la route, devant la porte, se faufilaient par toutes les issues de la haie vive qui clĂŽturait le jardin, dĂ©vastaient les plates-bandes, arrachant les fleurs, faisant des trous dans les corbeilles, exaspĂ©raient le jardinier. Jour et nuit c'Ă©tait un concert de hurlements et des batailles sans fin.
Les maßtres trouvaient jusque dans l'escalier, tantÎt de petits roquets à queue empanachée, des chiens jaunes, rÎdeurs de bornes, vivant d'o*****s, tantÎt des terre-neuve énormes à poils frisés, des caniches moustachus, tous les échantillons de la race aboyante.
La chienne, que François avait, sans malice, appelĂ©e "Cocote" (et elle mĂ©ritait son nom), recevait tous ces hommages ; et elle produisait, avec une fĂ©conditĂ© vraiment phĂ©nomĂ©nale, des multitudes de petits chiens de toutes les espĂšces connues. Tous les quatre mois, le cocher allait Ă  la riviĂšre noyer une demi-douzaine d'ĂȘtres grouillants, qui piaulaient dĂ©jĂ  et ressemblaient Ă  des crapauds.
Cocote était maintenant devenue énorme. Autant elle avait été maigre, autant elle était obÚse, avec un ventre gonflé sous lequel traßnaient toujours ses longues mamelles ballottantes. Elle avait engraissé tout d'un coup, en quelques jours ; et elle marchait avec peine, les pattes écartées à la façon des gens trop gros, la gueule ouverte pour souffler, et exténuée aussitÎt qu'elle s'était promenée dix minutes.
Le cocher François disait d'elle : "C'est une bonne bĂȘte pour sĂ»r, mais qu'est, ma foi, bien dĂ©rĂ©glĂ©e."
Le jardinier se plaignait tous les jours. La cuisiniĂšre en fit autant. Elle trouvait des chiens sous son fourneau, sous les chaises, dans la soupente au charbon ; et ils volaient tout ce qui traĂźnait.
Le maßtre ordonna à François de se débarrasser de Cocote. Le domestique désespéré pleura, mais il dut obéir. Il offrit la chienne à tout le monde. Personne n'en voulut. Il essaya de la perdre ; elle revint. Un voyageur de commerce la mit dans le coffre de sa voiture pour la lùcher dans une ville éloignée. La chienne retrouva sa route, et, malgré sa bedaine tombante, sans manger sans doute, en un jour, elle fut de retour ; et elle rentra tranquillement se coucher dans son écurie.
Cette fois, le maĂźtre se fĂącha et, ayant appelĂ© François, lui dit avec colĂšre : "Si vous ne me flanquez pas cette bĂȘte Ă  l'eau avant demain, je vous fiche Ă  la porte, entendez-vous !"
L'homme fut atterrĂ©, il adorait Cocote. Il remonta dans sa chambre, s'assit sur son lit, puis fit sa malle pour partir. Mais il rĂ©flĂ©chit qu'une place nouvelle serait impossible Ă  trouver, car personne ne voudrait de lui tant qu'il traĂźnerait sur ses talons cette chienne, toujours suivie d'un rĂ©giment de chiens. Donc il fallait s'en dĂ©faire. Il ne pouvait la placer ; il ne pouvait la perdre ; la riviĂšre Ă©tait le seul moyen. Alors il pensa Ă  donner vingt sous Ă  quelqu'un pour accomplir l'exĂ©cution. Mais, Ă  cette pensĂ©e, un chagrin aigu lui vint ; il rĂ©flĂ©chit qu'un autre peut-ĂȘtre la ferait souffrir, la battrait en route, lui rendrait durs les derniers moments, lui laisserait comprendre qu'on voulait la tuer, car elle comprenait tout, cette bĂȘte ! Et il se dĂ©cida Ă  faire la chose lui-mĂȘme.
Il ne dormit pas. DĂšs l'aube, il fut debout, et, s'emparant d'une forte corde, il alla chercher Cocote. Elle se leva lentement, se secoua, Ă©tira ses membres et vint fĂȘter son maĂźtre.
Alors il s'assit et, la prenant sur ses genoux, la caressa longtemps, l'embrassa sur le museau ; puis, se levant, il dit : "Viens." Et elle remua la queue, comprenant qu'on allait sortir.
Ils gagnĂšrent la berge, et il choisit une place oĂč l'eau semblait profonde.
Alors il noua un bout de la corde au cou de la bĂȘte, et, ramassant une grosse pierre, l'attacha Ă  l'autre bout. AprĂšs quoi, il saisit la chienne en ses bras et la baisa furieusement, comme une personne qu'on va quitter. Il la tenait serrĂ©e sur sa poitrine, la berçait ; et elle se laissait faire, en grognant de satisfaction.
Dix fois, il la voulut jeter ; chaque fois, la force lui manqua. Mais tout Ă  coup il se dĂ©cida et, de toute sa force, il la lança le plus loin possible. Elle flotta une seconde, se dĂ©battant, essayant de nager comme lorsqu'on la baignait : mais la pierre l'entraĂźnait au fond ; elle eut un regard d'angoisse ; et sa tĂȘte disparut la premiĂšre, pendant que ses pattes de derriĂšre, sortant de l'eau, s'agitaient encore. Puis quelques bulles d'air apparurent Ă  la surface. François croyait voir sa chienne se tordant dans la vase du fleuve.
Il faillit devenir idiot, et pendant un mois il fut malade, hanté par le souvenir de Cocote qu'il entendait aboyer sans cesse.
Il l'avait noyĂ©e vers la fin d'avril. Il ne reprit sa tranquillitĂ© que longtemps aprĂšs. Enfin il n'y pensait plus guĂšre, quand, vers le milieu de juin, ses maĂźtres partirent et l'emmenĂšrent aux environs de Rouen oĂč ils allaient passer l'Ă©tĂ©.
Un matin, comme il faisait trÚs chaud, François sortit pour se baigner dans la Seine. Au moment d'entrer dans l'eau, une odeur nauséabonde le fit regarder autour de lui, et il aperçut dans les roseaux une charogne, un corps de chien en putréfaction. Il s'approcha, surpris par la couleur du poil. Une corde pourrie serrait encore son cou. C'était sa chienne, Cocote, portée par le courant à soixante lieues de Paris.
Il restait debout avec de l'eau jusqu'aux genoux, effarĂ©, bouleverse comme devant un miracle, en face d'une apparition vengeresse. Il se rhabilla tout de suite et, pris d'une peur folle, se mit Ă  marcher au hasard devant lui, la tĂȘte perdue. Il erra tout le jour ainsi et, le soir venu, demanda sa route, qu'il ne retrouvait pas. Jamais depuis il n'a osĂ© toucher un chien.
Cette histoire n'a qu'un mĂ©rite : elle est vraie, entiĂšrement vraie. Sans la rencontre Ă©trange du chien mort, au bout de six semaines et Ă  soixante lieues plus loin, je ne l'eusse point remarquĂ©e, sans doute ; car combien en voit-on, tous les jours, de ces pauvres bĂȘtes sans abri !
Si le projet de la SociĂ©tĂ© protectrice des animaux rĂ©ussit, nous rencontrerons peut-ĂȘtre moins de ces cadavres Ă  quatre pattes Ă©chouĂ©s sur les berges du fleuve.
2 juin 1881

Déposé par colombine67 le 26/04/2015  
La réalité de la vie est ce quelle est. Les hommes vivent en moyennes 75 ans et les chiens, un maximum de 20. Il est donc inévitable, que la séparation d'avec votre meilleur ami, se fera à votre détriment.
Pour ceux qui croient, qu'un chien n'est rien qu'un chien ce texte n'est pas pour vous. Mais pour les autres qui ont eu la chance unique, d'avoir un vrai ami et compagnon canin,
lisez ce petit testament canin, tiré du Reader's Digest, il saura probablement vous aider, lorsque le moment de la séparation sera venu.
À mon maütre, à ma maütresse:
Le fardeau de mes ans et de mes infirmitĂ©s me pĂšse lourdement, et je sais ma fin prochaine. C'est pourquoi moi, Tango Gagnon RattĂ©, (communĂ©ment appelĂ© Tango par mes parents amis et connaissances), dĂ©pose en secret dans l’ñme de mes deux grands amis, mon maĂźtre et ma maĂźtresse, mon testament.
J'ai peu de biens matĂ©riels Ă  lĂ©guer. Les chiens sont plus sages que les hommes. Ils n'attachent pas grand prix aux choses de la terre. Je n'ai aucun bien prĂ©cieux Ă  transmettre, si ce n'est mon affection et ma fidĂ©litĂ©. Je les lĂšgue Ă  tous ceux qui m'ont aimĂ©; qui je le sais me regretteront le plus, Ă  Daniel et Chantal qui ont Ă©tĂ© si bons pour moi. Peut ĂȘtre ai-je tort de m'enorgueillir, mais j'ai toujours Ă©tĂ© un chien extrĂȘmement affectueux. Je demande Ă  Daniel et Chantal de toujours se souvenir de moi, mais de ne pas me pleurer trop longtemps. Au cours de mon existence, j'ai essayĂ© de les rĂ©conforter dans la peine et de leur apporter un surcroĂźt de joie dans le bonheur. Il m'est pĂ©nible de penser que, mĂȘme dans la mort, je pourrais leur causer du chagrin. Je les prie de ne pas oublier qu'Ă  leur tendresse et Ă  leur sollicitude je dois d'avoir Ă©tĂ© le plus heureux des chiens.
Mais maintenant me voici devenu pratiquement aveugle, sourd et j'ai de trĂšs gros problĂšmes de dentition m'empĂȘchant de manger; ainsi ma fiertĂ© a fait place Ă  une humiliation qui me dĂ©route. Je sens que la vie me reproche d'avoir trop prolongĂ© la fĂȘte. Je dois faire mes adieux avant de devenir un poids insupportable pour moi et pour ceux qui m'ont donnĂ© leur affection. Il me sera douloureux de les quitter, mais pas de mourir. Contrairement aux hommes les chiens ne redoutent pas la mort.
Que se passe t-il aprĂšs? Nul ne le sait. En tout cas je suis au moins sĂ»r de trouver la paix et un long repos pour mon vieux coeur las, ma vieille tĂȘte, mes vieux membres ainsi qu'un sommeil Ă©ternel dans cette terre que j'ai tant aimĂ©e. Il est un dernier voeu que je formule en toute sincĂ©ritĂ©. J'ai entendu ma maĂźtresse, dire: "Quand Tango mourra, nous n'aurons jamais plus de chien. Je l'aime tellement que je ne pourrai plus en aimer un autre". Maintenant pour l'amour de moi, je lui demande de revenir sur sa dĂ©cision. Ce serait un bien piĂštre tribut Ă  ma mĂ©moire que de ne jamais plus avoir de chien.
Je voudrais tant garder le sentiment que maintenant que j'ai fait partie de la famille il lui est dĂ©sormais impossible de vivre sans la compagnie du meilleur ami de l'homme! Je n'ai jamais Ă©tĂ© exclusif ni jaloux. J'ai toujours soutenu que la plupart de mes congĂ©nĂšres sont bons (mĂȘme ma co-locataire, la chatte...) Gamine, Ă  qui j'ai quelques fois autorisĂ© Ă  partager mon lit avec moi. J'ai tolĂ©rĂ© son amitiĂ© dans un esprit de gĂ©nĂ©rositĂ© et, dans mes rares moments de sentimentalitĂ©, je lui ai mĂȘme rendu un peu la pareille.
Aussi je conseille Ă  ma maĂźtresse de choisir un autre chien Ă  son goĂ»t pour me succĂ©der. Il pourra difficilement ĂȘtre aussi bien Ă©levĂ©, aussi poli aussi distinguĂ© et aussi beau que je fus dans ma jeunesse. Mais, je suis sĂ»r qu'il fera de son mieux et que ses dĂ©fauts inĂ©vitables contribueront, par contraste, Ă  perpĂ©tuer mon souvenir.
Je lui lÚgue mon collier, ma laisse, mon lit, mon ensemble de Noël.
Un dernier mot Ă  Daniel, Chantal et Gamine la chatte qui vivrez sĂ»rement plus vieux que moi. Chaque fois que vous penserez Ă  moi dites-vous avec regret, mais aussi avec bonheur, en vous rappelant ma longue vie Ă  vos cotĂ©s: "Tango Ă©tait un ĂȘtre qui nous aimait et que nous aimions". Si profond que soit mon sommeil, je vous entendrai, et tout le pouvoir de la mort n'empĂȘchera pas mon Âme de chien d'agiter la queue avec reconnaissance.
Tango
Votre chien fidĂšle qui veillera toujours sur vous.
La technologie a fait s'éloigné de l'homme certaines valeurs et émotions telle amitié, fidélité et tolérance. Si ces valeurs se sont éloignées de vous, procurez vous un chien, il vous ré-apprendra ce qu'elles sont, car la technologie lui il s'en fout!
Tout ce qu'il veut lui, c'est d'ĂȘtre votre meilleur ami.
Daniel Ratté

Déposé par poutounou le 24/04/2015  
Une toute mignonne poésie pour toi, bel Ange. Le printemps est une si belle saison
.Cela mérite bien quelques poÚmes jolis
..
*
Petit Ă©cho du matin
*
VoilĂ  ce que m’a racontĂ© la brise ce matin,
Alors qu’elle se reposait au banc du jardin.
Figurez vous qu’il y a une vĂ©ritable rĂ©volution !
Que l’on parle, que l’on jase à travers les gazons !
N’a t’on point vu, quelle Ă©trange amourette,
Sortir ensemble violette et pĂąquerette !
Il en est cependant que la nouvelle Ă©moustille,
N’a t’on point vu danser ailleurs une jonquille ?
Je tiens la nouvelle toute fraĂźche du papillon
Qui comme chacun sait est un grand fripon .
On aurait vu, mais je n’ose toutefois le croire
DĂ©jĂ  une jeune abeille vaquer Ă  ses devoirs
.
Voilà ce que me disait la brise il y a peu de temps

Mais j’avais lu dans les regards ! Ca y est !
C’est le printemps !




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Highslide JS
pour vous mas 3 anges..
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TOI ET LENA TON AMOUR...
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OUX REPOS MON AMOUR..
DOUX REPOS MON AMOUR..
Highslide JS
DERNIER JOUR AVANT TON DEPART..
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IL Y A 3 SEMAINES..
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AVEC AIKA..
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TU ATTENDS TON OS..
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SURVEILLANT TES "ENFANTS"
Highslide JS
TOI ET MOI L'ANNEE DERNIERE..QUE DE BONHEUR
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