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En hommage à
BORDER-COLLIELUCKY
Il est né le:15/04/2002
Il nous a quittés le:19/06/2014
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En hommage à
LUCKY
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1088 Fleurs
669 messages
Déposé par myriam31 le 16/10/2015Un joli poĂšme Ă l'approche de l'automne, avec plein de bisous pour toi beau toutou, mes amitiĂ©s et remerciements Ă ta maman pour ses gentilles pensĂ©es Ă Mon BB Lucky Voici que la saison dĂ©cline, Lâombre grandit, lâazur dĂ©croĂźt, Le vent fraĂźchit sur la colline, Lâoiseau frissonne, lâherbe a froid. AoĂ»t contre septembre lutte ; LâocĂ©an nâa plus dâalcyon ; Chaque jour perd une minute, Chaque aurore pleure un rayon. La mouche, comme prise au piĂšge, Est immobile Ă mon plafond ; Et comme un blanc flocon de neige, Petit Ă petit, lâĂ©tĂ© fond. Victor Hugo, DerniĂšre gerbe |
Déposé par poutounou le 15/10/2015Il dit vraiment nâimporte quoi, le petit doigt ! * Un petit doigt bavard * Câest mon pâtit doigt qui mâ lâa dit Au jardin des deux chats gris Une fourmi en bigoudis Est sortie dâun trou de souris Mon petit doigt affabule Au jardin des campanules Libellule et tarentule Tricotent des mandibules Mon petit doigt a raison Au jardin des hĂ©rissons Moi jâai vu deux limaçons FicelĂ©s comme des saucissons Qui enfilaient leurs caleçons * Chantal Abraham |
Déposé par poutounou le 11/10/2015A vos aiguilles et pelotesâŠ..Je vais demander Ă Monsieur lâĂ©cureuil de me tricoter un joli bonnet pour lâhiver qui ne va pas tarderâŠ. * LâĂ©cureuil * Dans le tronc d'un platane Se cache une cabane. Un petit Ă©cureuil Est assis sur le seuil. Il mange des cerises, Tricote une chemise; Recrache les noyaux, Se tricote un maillot; Attaque les noisettes, Fait des gants, des chaussettes... Qu'importe s'il fait froid ! Tant pis si vient l'hiver ! Une maille Ă l'endroit, Une maille Ă l'envers : L'Ă©cureuil, fort adroit, Se fait des pull-overs. * Jean-Luc Moreau |
Déposé par poutounou le 07/10/2015Prenons notre plus belle plume et Ă©crivons tout ce qui nous passe par la tĂȘteâŠ.des mots doux Ă nos anges, par exemple. * JâĂ©cris * J'Ă©cris des mots bizarres J'Ă©cris des longues histoires J'Ă©cris juste pour rire Des choses qui ne veulent rien dire. Ecrire c'est jouer. J'Ă©cris le soleil J'Ă©cris les Ă©toiles J'invente des merveilles Et des bateaux Ă voiles. Ecrire c'est rĂȘver. J'Ă©cris pour toi. J'Ă©cris pour moi J'Ă©cris pour ceux qui liront Et pour ceux qui ne liront pas. Ecrire c'est aimer. J'Ă©cris pour ceux d'ici Ou pour ceux qui sont loin Pour les gens d'aujourd'hui Et pour ceux de demain. Ecrire c'est vivre. * GeneviĂšve Rousseau |
Déposé par poutounou le 03/10/2015Il y a tant de beaux mots dans la langue françaiseâŠ..et il y a aussi les beaux petits noms que nous donnons Ă nos anges⊠* Les mots qui font vivre * Il y a des mots qui font vivre Et ce sont des mots innocents Le mot chaleur et le mot confiance Amour, justice et le mot libertĂ© Le mot enfant et le mot gentillesse Et certains noms de fleurs et Certains noms de fruits Le mot courage et le mot dĂ©couvrir Et le mot frĂšre et le mot camarade Et certains noms de pays, de villages Et certains noms de femmes et d'amis. * Paul Eluard ( 1895-1952) |
Déposé par poutounou le 29/09/2015Et oui ! Avec tout lâamour quâils donnent, ils arrivent Ă faire des miracles, nos Amours Ă quatre pattesâŠ. * "Gigica est le plus petit chien de lâĂ©quipe Dogs For People de QUATRE PATTES. Elle a Ă©tĂ© sĂ©lectionnĂ©e pour travailler avec Cornel, un petit trisomique de cinq ans. Pendant leur premiĂšre annĂ©e ensemble, le garçon a fait des progrĂšs incroyables. Il est Ă prĂ©sent capable dâinteragir, de sâamuser avec des jouets ou de se tenir debout. Câest lĂ encore une histoire Ă succĂšs du projet Dogs for People de QUATRE PATTES. La premiĂšre tĂąche de Gigica a Ă©tĂ© dâamener Cornel Ă ne plus avoir peur dâelle. MĂȘme s'il a fallu un certain temps avant que le petit garçon de cinq ans se rassure, il a peu Ă peu commencĂ© Ă considĂ©rer la prĂ©sence du chien comme tout Ă fait normale. Le caractĂšre doux de Gigica et sa petite taille ont ici jouĂ© un rĂŽle important. CâĂ©taient dâailleurs lĂ les principaux critĂšres qui avaient amenĂ© Ă la choisir pour cette tĂąche. AprĂšs lâacceptation, il y a eu le contact visuel, constituant une nouvelle percĂ©e : les yeux de Cornel suivaient les mouvements de Gigica, suivaient tout ce quâelle faisait avec beaucoup de curiositĂ©. Cette curiositĂ© est bientĂŽt devenue si forte quâil a permis Ă Gigica de sâapprocher pour pouvoir toucher son pelage. Pour le petit garçon qui prĂ©sente Ă©galement des symptĂŽmes autistes, cette expĂ©rience du contact proche et du toucher Ă©tait quelque chose de tout Ă fait nouveau. * Au fur et Ă mesure que sa relation avec Gigica se dĂ©veloppait, la pĂ©riode dâattention de lâenfant a augmentĂ©, mais câĂ©tait loin dâĂȘtre tout. La façon dont il se rapprochait tout prĂšs du chien, comme sâil voulait lâexaminer au microscope, signalait clairement qu'il avait dĂ©veloppĂ© un rĂ©el intĂ©rĂȘt pour un autre ĂȘtre vivant. Cornel a commencĂ© Ă jouer avec des jouets â ce quâil nâavait encore jamais fait. A prĂ©sent, il se reconnaĂźt lui-mĂȘme dans la glace et sây dĂ©couvre. Il danse avec sa thĂ©rapeute Ema et Gigica aux sons de la musique de la radio. Ce sont des progrĂšs inouĂŻs pour un petit garçon qui ne parvenait pas Ă Ă©tablir le contact avec les gens qui lâentouraient avant dâavoir rencontrĂ© Gigica. Elle est devenue lâannĂ©e derniĂšre un Ă©lĂ©ment central de sa vie et de son bien-ĂȘtre. Son caractĂšre exceptionnel, sa patience et son intelligence ont obtenu d'incroyables succĂšs." |
Déposé par poutounou le 25/09/2015Câest fini lâĂ©té⊠Câest le temps du « bel automne ». Sortons vite nos couvertures⊠* Le bel automne * Ă pas menus, menus, Le bel automne est revenu Dans le brouillard, sans quâon sâen doute, Il est venu par la grandâroute HabillĂ© dâor et de carmin. Et tout le long de son chemin, Le vent bondit, les pommes roulent, Il pleut des noix, les feuilles croulent. Ne lâavez-vous pas reconnu ? Le bel automne est revenu. * Raymond Richard |
Déposé par myriam31 le 25/09/2015Tu peux dire aux fleurs de cesser de pousser, tu peux dire au soleil de cesser de briller, tu peux dire au vent de cesser de souffler, mais tu ne pourras jamais dire Ă mon coeur de cesser de t'aimer. Tendres pensĂ©es pour toi beau toutou , mes amitiĂ©s Ă ta maman |
Déposé par poutounou le 21/09/2015PriĂšre indienne * Si un jour tu as perdu ton Ă©quilibre, que tu es dans le doute, trouve une forĂȘt, cherche un tapis dâherbe ou de mousse, allonge toi dessus, ferme les yeux, vide tes pensĂ©es, respire lâodeur de la terre, Ă©coute la vie, adapte ta respiration aux battements de ton cĆur, ressens les moindres recoins de ton corps et relĂąche un Ă un les muscles et les nerfs raidis par le temps. * Deviens oiseau au son du vent, deviens arbre parmi les arbres, deviens le vent qui bruisse dans le feuillage, deviens le cerf qui tâobserve et que tu nâavais pas vu, deviens fleur, deviens ruisseau, Ă©coute le chant des ancĂȘtres⊠|
Déposé par myriam31 le 19/09/2015Le chien possĂšde la beautĂ© sans la vanitĂ©, la force sans lâinsolence, le courage sans la fĂ©rocitĂ©, et toutes les vertus de lâhomme sans les vices⊠» Dans la vie, il est le plus sĂ»r des amis, le premier Ă vous accueillir, le premier Ă vous dĂ©fendre, celui dont le cĆur honnĂȘte appartient Ă son maĂźtreâŠ. » Il est notre Ami, notre compagnon, notre confident Il est en fait toute notre vie !!!!!! Tendres pensĂ©es, affectueusement pour toi et ta maman. |
Déposé par poutounou le 17/09/2015Chers papas et chĂšres mamans de cĆur : vous souvenez-vous de lâodeur de votre cartable ? * Mon cartable * Mon cartable a mille odeurs. Mon cartable sent la pomme, Le livre, lâencre, la gomme, Et les crayons de couleurs. Mon cartable sent lâorange, Le buisson et le nougat. Il sent tout ce que lâon mange Et ce quâon ne mange pas. La figue et la mandarine, Le papier dâargent ou dâor, Et la coquille marine, Les bateaux sortant du port. (âŠ) Les longs cheveux de ma mĂšre Et les joues de mon papa, Les matins dans la lumiĂšre, La rose et le chocolat. * Pierre Gamarra |
Déposé par poutounou le 13/09/2015Jolie poĂ©sie qui ne manque pas de piquantâŠ. * Le hĂ©risson * Bien que je sois trĂšs pacifique, Ce que je pique et pique et pique Se lamentait le hĂ©risson. * Je n'ai pas un seul compagnon. Je suis pareil Ă un buisson, Un tout petit buisson d'Ă©pines Qui marcherait sur des chaussons. * J'envie la taupe ma cousine, Douce comme un gant de velours. Ămergeant soudain des labours * "Il faut toujours que tu te plaignes" Me reproche la musaraigne. * "Certes, je sais me mettre en boule Ainsi qu'une grosse chĂątaigne, Mais c'est surtout lorsque je roule Plein de piquants, sous un buisson, Que je pique et pique et repique Moi qui suis si pacifique" Se lamentait le hĂ©risson. * Maurice CarĂȘme |
Déposé par poutounou le 09/09/2015Mes poĂšmes ! soyez des fleuves ! Allez en vous Ă©largissant ! DĂ©saltĂ©rez dans les Ă©preuves Les coeurs saignants, les Ăąmes veuves, Celui qui monte ou qui descend. * Que l'aigle plonge, loin des fanges, Son bec de lumiĂšre en vos eaux ! Et dans vos murmures Ă©tranges MĂȘlez l'hymne de tous les anges Aux chansons de tous les oiseaux ! * Victor Hugo. |
Déposé par myriam31 le 09/09/2015Au-delĂ des soupirs Je nâai pu tâadresser un regard, un sourire, Tu es parti trop vite sans me prĂ©venir.. Immense est mon regret, Je voudrais te le dire Au de-lĂ du chagrin, au-delĂ des soupirs. Ta mort hante ma vie. Pour combler ton absence Sans cesse je remue de prĂ©cieux souvenirs. Je trouve un rĂ©confort en trompant ma souffrance. Mes plus belles pensĂ©es vont vers toi dĂšs lâaurore, Je tâappelle et te parle avant de mâendormir, Au de-lĂ du chagrin, au-delĂ des soupirs. Tendres pensĂ©es pour toi bel ange, amitiĂ©s Ă ta gentille maman |
Déposé par poutounou le 05/09/2015Joli petit poĂšmeâŠ. pour toi, bel Ange, et ta famille de cĆur⊠* Te rĂȘver câest lâespoir. * Je pense fort Ă toi Quand jâai du vague Ă lâĂąme Et que ma joie sâen va, Tout en moi te rĂ©clame Je pense fort Ă toi. * Lorsque le gris du ciel DĂ©teint sur mes idĂ©es, Pour recevoir lâarc-en-ciel Vers toi vont mes pensĂ©es. Sâil pleure dans mon cĆur Et que je broie du noir, Quand demain me fait peur Te rĂȘver câest lâespoir. * Alors je tâimagine : Te voilĂ devant moi. Dâun coup tout sâillumine⊠Que jâai de la chance De penser fort Ă toi. |
Déposé par poutounou le 01/09/2015Amour vĂ©ritable * C'est vrai que l'amour nous transforme c'est quelque chose d'impalpable c'est la douceur d'un bonheur Ă©norme qui nous transcende de façon inexplicable * On se sent joyeux, on se sent lĂ©ger on a envie de rire, de danser, de chanter on a envie de faire plaisir, de partager on se sent capable de tout affronter * L'amour nous comble et nous rassasie parfois on perd mĂȘme l'envie de manger nous avons des ailes, c'est la frĂ©nĂ©sie nous serions presque capables de voler * On ne sait pas ce que c'est que l'amour c'est quelque chose d'indĂ©finissable c'est une recherche de toujours un sentiment fĂ©cond et insaisissable * On sait juste qu'il est intarissable que plus on donne et plus il abonde c'est la chose la plus formidable qui puisse nous arriver en ce monde * LâAmour VĂ©ritable, câest ce que nous ressentons toutes et tous pour nos Anges, quâils soient prĂšs de nous sur terre ou dans ce merveilleux Paradis Blanc quâest le leur aprĂšs la vie ici bas⊠|
Déposé par ovanek le 28/08/2015đ đ 33 đ đ **** Vole mon cĆur **** Vole, vole, mon cĆur allez, fuis beau dĂ©serteur car tout le ciel est Ă toi Va donc survole les toits guidĂ©s par lâodeur des champs Ouvre tes ailes de Cormoran Chouettes et liĂšvres sont lĂ CachĂ©s dans lâombre des bois Entends leurs cĆurs qui bat Tu nâauras que des amis aux royaumes des taillis Ceux lĂ qui ignore la haine ils aiment ceux qui les aime Vole, mon cĆur vĂ©tĂ©ran Vers la biche et vers son faon Ferme les yeux ,tu peux tout Tu voyages en vrai filou Mais sans rien, rien abĂźmer de ce vieux monde blessĂ© PensĂ©e đ |
Déposé par poutounou le 28/08/2015Sauvons-nous tous dans le fond de notre cĆur avec notre ou nos anges⊠* L'absence * PoĂšte : Marceline Desbordes-Valmore (1786-1859) *. Quand je me sens mourir du poids de ma pensĂ©e, Quand sur moi tout mon sort assemble sa rigueur, D'un courage inutile affranchie et lassĂ©e, Je me sauve avec toi dans le fond de mon cĆur ! * Tu grondes ma tristesse, et, triste de mes larmes, De tes plus doux accents tu me redis les charmes : J'espĂšre ! ... car ta voix, plus forte que mon sort, De mes chagrins profonds triomphe sans effort. * Je ne sais ; mais je crois qu'Ă tes regrets rendue, Dans ces seuls entretiens tu m'as tout entendue. Tu ne dis pas : « Ce soir ! » Tu ne dis pas : « Demain ! » Non, mais tu dis : « Toujours ! » en pleurant sur ma main. |
Déposé par poutounou le 23/08/2015Nous, les mamans et papas de cĆur, avons tous, souvent, des gouttes de rosĂ©e au bord des cils⊠* Le temps calme lâesprit * L'heure de l'homĂ©lie au moment de lâadieu OĂč tant de souvenirs sont noyĂ©s de nos larmes Le temps interrompu s'absente et nous dĂ©sarme Viennent les derniers mots vers le dĂ©part aux cieux * Tristes sont les instants sur l'ĂȘtre que l'on aime Qui ne peut plus rĂ©pondre au sommeil infini De lui plus de pardon, ni d'avenir uni Aucun secours dâamour au tombeau qui se ferme * Longues sont les heures, dans les nuits sans espoir Car chaque jour nouveau sâĂ©veille par mĂ©garde Mais la douleur d'absence en devient moins bavarde Et dessine un rayon au silence du soir * Les jours se dispersent, les derniers pas se meurent Le sentiment du cĆur garde en soi lâĂȘtre aimĂ© Mais voici son Ă©toile au firmament voilĂ© Dont le chemin s'Ă©gare aux rideaux de mes pleurs * Sur les rives du jour oĂč vogue ma pensĂ©e Le nuage s'estompe au grĂ© de la mĂ©moire Se feuillette toujours, en Ă©cho, notre histoire Laissant au bord des cils des gouttes de rosĂ©e * Le temps calme lâesprit, et les saisons reviennent Mais sont gravĂ©s en nous, tous les maux du passĂ© Et ne peut se guĂ©rir un cĆur aimant blessĂ© L'appel des souvenirs en provoque les peines. * Ecrit par Flamme |
Déposé par poutounou le 18/08/2015Une voix du ciel * Je suis l'astre des nuits. Je brille, pĂąle et blanche, Sur la feuille qui tremble au sommet d'une branche, Sur le ruisseau qui dort, sur les lacs, bien plus beaux Quand mes voiles d'argent s'Ă©tendent sur leurs eaux. Mes rayons vont chercher les fleurs que je prĂ©fĂšre, Et font monter au ciel les parfums de la terre ; Je donne la rosĂ©e au rameau dessĂ©chĂ©, Que l'ardeur du soleil a, sur le sol, penchĂ©. SitĂŽt que je parais, tout se tait et repose, L'homme quitte les champs, et l'abeille la rose : Plus de bruit dans les airs, plus de chant dans les bois ; Devant mon doux regard nul n'Ă©lĂšve sa voix, De la terre ou du ciel aucun son ne s'Ă©lance, J'arrive avec la nuit, et je rĂšgne en silence ! Je cache mes rayons quand le cri des hiboux Vient troubler mon repos et mon calme si doux. * Je suis l'astre des nuits ; je brille, pĂąle et blanche, Sur le cĆur attristĂ©, sur le front qui se penche, Sur tout ce qui gĂ©mit, sur tout ce qui se plaint, Sur tous les yeux en pleurs qu'aucun sommeil n'atteint. |
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