Certaines petites filles veulent à tout prix avoir le chien le plus à la mode, le plus mignon du monde. Pas Izabella Cantu. Cette petite Américaine, elle, a préféré sauvé la vie d’un chien, promis à une triste fin, de l’autre côté du monde.
Du haut de ses onze ans, Izabelle Cantu est une grande dame. Lorsqu’elle a entendu parler du sort réservé à de nombreux chiens en Corée, elle n’a pas hésité une seconde : plutôt que d’acheter un chien d’élevage, elle voulait en sauver un promis à l’abattoir. Car en Corée comme dans d’autres pays asiatiques, le chien se mange encore.
A 11 ans, elle se mobilise pour les chiens coréens
Pour arriver à ses fins, la petite fille a dû récolter 500 dollars, une somme nécessaire au sauvetage de chiens destinés à l’abattoir. Une somme qu’elle est parvenue à rassembler rapidement. Puis, avec le soutien et l’accord de sa mère, elle a pu accueillir l’un des chiens sauvés : Leilu.
Cette petite chienne avait été trouvée dans un carton dans une rue de Corée et elle était destinée à être mangée. Mais depuis son arrivée à San Francisco, son destin est tout autre : aux côtés de sa petite maîtresse, elle mène désormais des jours heureux

Promet moi si tu me survis,
D'etre plus fort que jamais,
Je serai toujours dans ta vie,
Près de toi, je te promet,
Et si la mort me programme,
Sur son grand ordinateur,
De ne pas en faire un drame,
De ne pas en avoir peur
Pense à moi, comme je t'aime
Et tu me délivreras,
Tu briseras la nathème,
Qui me tiens loin de tes bras,
Pense à moi comme je t'aime,
Rien ne nous séparera,
Meme pas les chrysanthèmes,
Tu verras, on se retrouvera
N'oublie pas se que je t'ai dit,
L'amour est plus fort que tout,
Ni l'enfer, ni le paradis,
Ne se mettront entre nous,
Et si la mort me programme,
Sur son grand ordinateur,
Elle ne prendra que mon ame,
Mais elle n'aura pas mon coeur
Pense à moi, comme je t'aime
Et tu me délivreras,
Tu briseras la nathème,
Qui me tiens loin de tes bras,
Pense à moi comme je t'aime,
Rien ne nous séparera,
Meme pas les chrysanthèmes,
Tu verras, on se retrouvera
'pense à moi' de Francis Lalane

Dans le ciel on voit tous des étoiles qui brille,plus que les autres....
celle d'un être cher a notre coeur et qui veille sur nous....
une pensée a nos anges en ce lendemain de Toussaint
une pensée pour nos anges partis dans le ciel,mais toujours dans nos coeurs
Que la flamme de l'espérance ne s'éteigne jamais au fond de nous
car nous les retrouverons et les blessures du passé
redeviendrons magie de l'amour,une nouvelle et belle vie,avec eux
et notre histoire, a chacun, de nouveau continuera pour toujours
car c'est sur ils nous attendent...., ,

Bonne grosse soupe d'amour
Préparer une grande casserole,
Couper les mots de colère,
garder ceux qui sont adoucissants,
équilibrants et apaisants,
Brosser, peler et laver égoïsme,
Hacher les conflits et la froideur,
Enlever la peau de la contrariété et celle des ressentiments avant cuisson,
Rejeter le mauvais, annuler le négatif,
Combiner le respect et la courtoisie,
Ajouter une très grosse canne d'affections,
Une bouteille pleine de délicatesses,
Mesurer un gros contenant plein de bon sens,
Mettre le bouillon de la politesse bien dégraissé de l'inattention,
Un cube d'accessibilité,
Mêler la bonne attitude, la vitalité, l'enthousiasme,
Mettre un bouquet garni de paroles aimables,
Parsemer de poudre de disponibilité,
Saupoudrer de beaucoup, beaucoup d'amour,
accompagné d'une voix douce,
Ne pas mettre trop de reproches, attention, ça gâterait le tout,
L' ajout de la cordialité donne un très bon petit goût,
On peut varier avec la convivialité,
Certains préfèrent avec un soupçon d'étreintes,
Remuer délicatement,
Épaissir pour lui donner la texture veloutée de la tendresse,
Incorporer petit à petit l'humour,
Encore meilleure si on a préalablement prévu la bienveillance.
À feu doux, et porter à ébullition l'émerveillement,
Réduire le feu des arrières-pensées,
Laisser mijoter le don de soi et les p'tits bonheurs,
Poursuivre la cuisson dans une ambiance sereine et chaleureuse.
Un parfum agréable de compréhension se propagera
dans toute la maisonnée.
varier les saveurs. Et sortez votre plus belle soupière !
Une soupe exquise, saine, équilibrée, bonne à se délecter,
chaude et très réconfortante.
Une recette appétissante, nourrissante et adaptable à toute la famille.
On peut l'accompagner de biscuits de gestes sympathiques
ou de croûtons de finesses, et d'un filet de bon accueil.
Déguster le plaisir de vous sentir rassasié.
Très bon choix lorsqu'on reçoit la visite à souper.
Un régal ! À la soupe !!!
Auteur Francine G.

Ces petites bêtes qui nous aiment tant et qui sont abandonnées!
Qui sont ces gens qui, lorsqu'ils déménagent, abandonnent leur chat ou leur chien qui pourtant a été leur ami pendant un long moment.
Est ce qu'ils ont du coeur ces gens là ? Moi je ne le crois pas !
Nous avons déménagé à plusieurs reprises et, à chaque fois, j'ai emmené avec moi chats, chiens et enfants.
Je vois avec le début du printemps, un tas de nouveaux chats qui traînent dans mon quartier alors que l'été dernier ils n'étaient pas là,.
On ne les connaît pas ! Personne, personne dans mon voisinage ne connaît les nouveaux chats qui sont arrivés et nous sommes tous en colère contre ces gens qui ont déménagé en laissant derrière eux ces pauvres bêtes.
En plus, on sait très bien que SPCA, l'organisation qui prend en charge les animaux perdus n´a plus de place pour recevoir ces animaux errants.
La police un jour m'a arrêtée, je prenais une marche avec deux petits que je gardais ; un immense chien, s'est lancé à notre poursuite et un des petits avait une peur bleue des chiens, et je vous jure qu'il avait vraiment peur .
La police qui était stationnée dans un coin, a vu le gros chien se lancer vers nous et a cru, que nous en étions les maîtres, car le chien nous suivait en faisant de grands bonds autour de nous, le pauvre petit enfant était vert de peur.
Comme je n'ai pas peur des chiens, j`ai remarqué que ce gros chien n'avait pas de collier autour du cou, alors difficile de le ramasser, ou le tenir avec une laisse.
La police a commencé à nous suivre tranquillement pas vite, je leur faisais des grands signes afin qu'ils viennent à mon aide, car le petit était sur le point de perdre connaissance
Alors ils sont arrivés tranquillement à notre hauteur et avant que je n'ai le temps d'ouvrir la bouche, le policier commence à m'accuser de ne pas avoir attaché mon chien, en plus il n'avait pas ni collier ni médaille, rien.
Je n´avais pas eu le temps encore d'ouvrir la bouche que je vois son confrère commencer à écrire quelque chose.
Là, je leur ai dit WOW vous deux, un instant, Messieurs, vous vous prenez pour qui à la fin.
Regardez cet enfant, il est vert de peur, ce chien s'est lancé sur nous, nous ne le connaissons pas. J'ai déjà un petit caniche chez moi , qu´il puisse se familiariser avec les petits chiens et vous m'accusez de traîner un chien gros comme un poney, sans laisse et sans collier, mais vous venez d'où vous deux?
J`étais dans une colère sans borne contre ces deux clowns qui ne voulaient en fait que donner une amende.
Il a cessé d'écrire quand il a vu ma colère et mon indignation devant leur peu de savoir faire devant de jeunes enfants surtout.
Mon job à moi, leur ai je dit, est de protéger les enfants qui me sont confiés durant le jour, et c'est ce que j'essaie de faire depuis près d'une heure, vous n'avez pas remarqué que j'avais un gros bâton dans la main, afin de tenir cet immense chien loin de ce petit qui va perdre connaissance sous peu si vous ne faites rien.
Et bien, vous savez quoi, ils nous ont suivis pas à pas, jusqu'à la maison, afin de vérifier si le gros chien nous suivait.
C'est certain qu'il nous suivait, il voyait des gens avec des petits, alors j'en ai tiré comme conclusion que ce chien était habitué avec des jeunes enfants, mais à la grosseur qu'il avait, il devenait dangereux lorsqu'il se levait sur ses deux pattes postérieures, pour sauter sur les enfants.
Rendue à la maison là c'est mon petit caniche qui s'est mis à aboyer, le pauvre petit dans tout cela avait la tremblote, il tremblait de tous ses membres et était d'une couleur que je n´avais encore jamais vue.
J'étais de plus en plus en colère contre les policiers qui eux étaient bien assis dans leur auto. Ils n'avaient pas encore contacté le chenil, ni celui qui en était en charge.
Je suis allée chercher mon téléphone à l'intérieur et j´ai appelé la police eh oui, j'y avais un ami, un sergent avec qui j'avais patrouillé une nuit, bref, je lui ai demandé quoi faire, il m'a dit alors passe moi ces deux clowns.
Je leur ai passé le téléphone, cela a pris environ une minute pas plus et tout de suite les deux agents se sont transformés.
Un est sorti pour ouvrir le coffre et y prendre une corde le second a commencé à essayer d'approcher le gros chien, mais pas fou le chien, il savait bien à qui il avait à faire, alors je suis rentrée dans la maison, j'a pris des viandes froides, et je suis ressortie dehors.
Là, j'ai demandé la corde au policier et leur ai demandé de se reculer et se taire surtout. Les deux petits étaient à l'abri dans la maison, le caniche enfermé dans une chambre où personne ne pouvait l'entendre.
Tout doucement, avec l'odeur de la viande, le gros chien peu à peu s'est approché doucement de moi, j'avais laissé tomber le bâton, alors, il savait que je ne voulais pas lui faire de mal.
J'ai fait une grosse boucle avec la corde que les policiers m'avaient donnée, et je me suis assise tranquillement sur la pelouse.
Peu à peu le gros chien a cessé de faire des gros bonds, et c'est avancé doucement vers moi, je lui donnais peu à peu des petits morceaux de viande, et finalement ce bon gros chien s'est couché sur le dos, les quatres pattes dans les airs, et voulait se faire gratter le ventre, chose que j'ai fait doucement, en lui donnant encore un morceau de viande, et ensuite, cela n'a pris que quelques secondes avant que je lui passe la corde autour du cou, doucement sans lui faire ni mal ni peur.
La pauvre bête a été surprise en se relevant de voir qu'il ne pouvait plus avancer comme il l'aurait voulu, mais il n'était pas en colère, et je continuais à l'alimenter.
Là, le préposé aux animaux est arrivé il avait vu comment je m'y étais prise et là il riait à gorge déployée de me voir assise sur la pelouse me faire traîner par le gros gros chien, je devais avoir le fond de pantalon vert pelouse ; il tirait le pauvre.
J'étais en paix, avec ce chien et moi, ni les policiers ni le préposé ne bougeaient. A la longue j'ai regardé le préposé, et lui ai demandé ce qu'il attendait pour venir m'aider?????????????
Je lui ai remis le gros chien qui m'a fait pleurer, car je savais vers quel destin il s'en allait, qui veut d'un si gros chien dans des quartiers résidentiels, il faut une ferme pour un tel animal.
Je savais, que dans les prochains jours si personne ne venait le demander ou l'adopter, il serait euthanasié.
Les policiers se sont excusés, je leur ai demandé leur nom. Au début ils ont hésité, mais ils se sont exécutés.
J'ai fait un rapport contre eux, expliquant la situation où ils m'avaient placée avec deux jeunes enfants, face à un chien que je ne connaissais ni d'Eve ni d'Adam.
Je ne sais pas si ils ont été punis. C'est leur problème. Moi j'avais l'image de ce si bel animal laissé à l'abandon, et probablement euthanasié par manque de courage de ses maîtres.
Maintenant qu'il faut payer, lorsque l'on va remettre un animal à la SPCA, les gens ne veulent même pas se donner la peine de donner un certain montant d'argent, pour leurs animaux qu'ils ont achetés ou reçus en cadeau, sur un coup de tête.
C'est terrible, mais c'est ainsi. Les chats sont abandonnés beaucoup plus fréquemment, que les chiens. Non stérilisés, ils sont en grande majorité seuls à se promener ici et là à miauler ou à faire des dégâts dans nos jolis parterres de fleurs.
Certains se font tuer par des automobilistes, d'autres vont être ramassés par le préposé aux animaux de la ville et euthanasiés eux aussi.
Comme c'est terrible que de faire une telle chose, à ces petites bêtes qui se sont attachées à nous durant le temps qu'ils ont été près de nous.
Pour ma part, je ne suis allée une seule fois, une petite chienne que j'adorais, car mon petit avait une allergie sévère aux chiens.
J'ai même pris la peine d'aller la porter dans une autre ville afin qu'elle ne retrouve pas la route de notre maison,.
Je l'ai remise au préposé de la SPCA en pleurs tant je l'aimais cette petite puce toute douce, si gentille, si intelligente.
La vie m'a alors joué un bien drôle de tour, un jour que je prenais une marche avec mes petits, je vois la petite chienne traverser le boulevard, sans se méfier des voitures qui passaient autour d'elle, elle était de retour dans mon secteur à quelques maisons de la mienne. A sa vue, j'ai tellement pleuré, et elle, si douce me léchait les joues, tant elle était heureuse de nous revoir.
La maîtresse est sortie de chez elle en panique, a traversé la rue, et est venue un peu en colère, nous trouver, mais quand elle m'a vue en larmes, là elle s'est demandé tout de suite ce qui se passait.
Alors je lui ai expliqué la situation, nous étions toutes les deux en larmes.
Je lui ai remis ma petite chienne dans ses bras, en lui disant de bien prendre soin d'elle et je suis repartie sans me retourner.
Deux ans environ après cet épisode, la dame et la petite chienne sont venus sonner à ma porte, la dame étant malade et devant laisser maison, prendre un appartement, ne pouvait plus garder la petite chienne. Elle répondait encore à son premier nom, c.a.d Cléo et la dame voulait absolument que se soit nous qui la reprenions, mais comme mon fils était vraiment très allergique aux chiens à poils longs, je lui ai dit : on va faire quelque chose. Je vais retourner chez le spécialiste d'allergies avec mes deux enfants et voir si ils sont encore allergiques aux chiens à poils longs, et je reviens sous peu.
R.v. fût pris presqu'en urgence, les tests furent fait, et malheureusement, les deux enfants étaient allergiques aux chiens à long poils.
C'est le coeur en pièces que nous sommes revenus tous les trois à la maison cette journée là.
Entre temps, j'en avais discuté avec ma mère qui adorait cette petite chienne, ainsi que mon père.
Et bien figurez-vous, que mes parents sont venus en plein milieu de la semaine, et ils ont adopté la petite chienne.
Nous étions tous tellement heureux de ce dénouement, nous pleurions, rions, faisions des bisous à Cléo, car elle fut rebaptisée Cléo!
Six mois ont passé, papa me téléphone un soir me disant j'ai une mauvaise nouvelle à t'annoncer, là mes jambes sont devenues molles molles molles. Je pensais que c'était maman, qui nous avait quittés, mais non, c'était ma petite Cléo, qui vivant près d'un gros boulevard s'était échappée dans un moment d'inattention de papa et s'était fait écraser, par une voiture.
j'écris ce message, et je pleure encore cette petite bête qui nous avait fait confiance des années avant, pour que l'on prenne soin d'elle, qu'on l'aime et pour qu´on la traître bien. Elle était morte et son petit coeur avait fini de souffrir.
Les enfants pleuraient, maman pleurait, nous pleurions tous, car cette petite bête, nous l'avions tous aimée au plus au point. Je devais faire passer la santé de mes enfants avant l´animal, cela je le comprends. Mais me donner tant de mal, pour la laisser dans une autre ville, ensuite la dame qui, elle devait quitter sa maison puis mes parents.
Je crois, que cette petite chienne a été pleurée par plusieurs personnes, et son malheureux accident, qui lui a coûté la vie n'est pas de notre faute. Nous avons tout fait pour qu'elle soit heureuse, elle avait quand même pas loin de 11ans, lorsqu'elle s'est fait tuer par une voiture.
Nous, nous avions payé pour la laisser à la SPCA, elle avait été adoptée par des personnes bonnes et aimantes.
Mais, lorsque je vois des chiens et des chats errants ici et là, je regarde vers le ciel, et je me dis, tais-toi tais toi, ne dit rien, ramasse-les si tu le peux, et trouve leur un foyer, ou téléphone au préposé des animaux de notre ville. Même s’il me faut payer, pour que ces animaux puissent retrouver un nouveau foyer, je le fais et c'est tout.
Cela me brise le coeur que de voir ces pauvres animaux traînés ici ou là. Parfois, je ramasse des petites chattes, et je vais les offrir à mes vieux voisins, certains les prennent d'autres aimeraient, mais sont allergiques, etc., mais j'essaie.
Pourquoi n'essayez-vous pas avant de les abandonner ici et là - d'essayer vous aussi de les offrir à un membre de la famille, à des amis, ou encore à des voisins ainsi vous pourrez aller les voir quand vous le voudrez, et l'animal lui sera heureux à nouveau.?
Ceux qui abandonnent leurs animaux de compagnie et ici je parle de chats, chiens, lapins, cochons d'inde, souris blanche, sont des personnages peu fréquentables et des lâches.
Oui vous êtes des lâches, d'abandonner vos petits amis les animaux, parce que vous êtes fatigués d'eux. Encore plus lâches sont ceux qui en plus de les avoir abandonnés les ont battus avant, eh oui, battus les petits chiens et chats, plus petits que vous, cela n'existe pas.
Vous êtes les pires gens de notre société, car vous n’êtes à mon avis pas plus important et aussi insignifiant que des fourmis.
Je les écrase de mes pieds les fourmis, alors comme j'aimerais vous écraser d'un coup de pied , juste pour vous faire sentir, à quel point vous avez pu faire souffrir ces pauvres petites bêtes.......

Un ami , Qu'est-ce qu'un ami
Je vais vous le dire.
C'est une personne
Avec qui vous pouvez mettre votre coeur à nu.
Il ne demande de vous aucun artifice;
il vous suffit d'être ce que vous êtes.
Il ne vous demande pas d'être meilleur ou pire.
Quand vous êtes avec lui, vous savez ce qu'un prisonnier
Ressent quand on le déclare innocent.
Vous n'avez pas à être sur vos gardes.
Vous pouvez dire ce que vous pensez.
Il comprend les contradictions de votre nature qui amènent
Souvent d'autres personnes à vous mal juger.
En compagnie d'un ami, vous respirez librement.
Vous pouvez lui avouer vos petites vanités,
Envies, haines, méchancetés et absurdités.
En les dévoilant, vous les noyez dans l'océan de sa loyauté.
Il vous comprend, il vous comprend vraiment.
Vous pouvez pleurer avec lui, pécher avec lui,
Rire avec lui, prier avec lui.
Et à travers tout ça, il vous voit,
Il vous connaît et il vous aime.
Un ami? Qu'est-ce qu'un ami?
C'est tout simplement une personne
Avec qui vous osez être vous-mêmes.
et cet ami c'est le chien

Quelle est la fin de tout ?
*
Quelle est la fin de tout ? la vie, ou bien la tombe ?
Est-ce l'onde où l'on flotte ? est-ce l'ombre où l'on tombe ?
De tant de pas croisés quel est le but lointain ?
Le berceau contient-il l'homme ou bien le destin ?
Sommes-nous ici-bas, dans nos maux, dans nos joies,
Des rois prédestinés ou de fatales proies ?
*
Ô Seigneur, dites-nous, dites-nous, ô Dieu fort,
Si vous n'avez créé l'homme que pour le sort ?
Si déjà le calvaire est caché dans la crèche ?
Et si les nids soyeux, dorés par l'aube fraîche,
Où la plume naissante éclôt parmi des fleurs,
Sont faits pour les oiseaux ou pour les oiseleurs ?
*
Victor HUGO (1802-1885)

l’humoriste montpelliérain a quitté sa cage en toute intimité. Une belle action devenue un buzz international qui lui a permis de faire adopter plus de la moitié des animaux du refuge de Montpellier et d’amasser plusieurs milliers d’euros de dons pour ce dernier.
Il l’a fait. Prisonnier volontaire d’une cage de la SPA de Montpellier depuis le 11 novembre, c’est entre 2 et 3 heures du matin, à l’abri des regards, qu’il a fini par quitter son box. Lui qui y était pour une très bonne cause peut désormais savourer son immense victoire : grâce à son engagement, 160 adoptions ont eu lieu depuis l’annonce de son projet dont un peu plus de 50 depuis son enfermement. Par ailleurs, plus de 200 000 euros ont été récoltés. Il faut dire que les médias se sont déplacés en masse pour parler du combat de Rémi Gaillard pour faire adopter les 300 animaux que comptait le refuge.
Rémi Gaillard en a pleuré
Une épreuve qui s’est montrée particulièrement compliquée pour le trublion puisque 48 heures après le début de son opération, il a fondu en larmes évoquant les hurlements de ses «congénères» :
Mais à vaincre avec péril, il a triomphé avec gloire et a dédié la réussite de son défi fou à Titou, son chien disparu.
Jusqu'au bout, il s'est battu pour récolter des fonds
Son engament pour la SPA n’est pas nouveau. Sensible à la cause animale, Rémi Gaillard avait déjà signé un chèque de 10 000 euros pour venir en aide à la structure de Montpellier. Par ailleurs, de nombreuses vidéos avait été réalisées par ses soins pour dire stop aux abandons. Et hier soir, avant sa sortie, il a choisi d’aller encore plus loin en invitant en direct sur Canal+, Vincent Bolloré – himself – à doubler la mise des gains déjà amassés pour le faire sortir de sa geôle. Une façon comme une autre pour lui de toujours plus sensibiliser l’opinion à la souffrance animale.
Comment la SPA de Montpellier utilisera les fonds ?
Si rien ne dit que le patron du groupe Canal+ a sorti son chéquier, l’humoriste aux millions de vues sur Internet a quand même quitté de sa cage le cœur léger. Grâce à lui, l’adoption responsable a été promue comme jamais. Car oui, responsable est bien le mot : la SPA de Montpellier organise de nombreux «contrôles surprises» pour s’assurer du bonheur de ses petits protégés dans leurs nouveaux foyers. De plus, selon la responsable du refuge Annie Benezech, les récentes adoptions sont loin d’être de simples coups de cœur : «Beaucoup de personnes sont venues alors qu’elles avaient déjà des animaux. Elles avaient de la place et voulaient faire une bonne action. On a aussi eu les visites de nombreuses familles. Certains sont même venus plusieurs jours de suite avant d’adopter.»
Si elle croit peu en la possibilité de retours dans son refuge, elle se réjouit en revanche de pouvoir bientôt offrir plus de confort à d’éventuels pensionnaires. Les dons récoltés vont en effet contribuer à isoler la «partie nuit» de ses 98 chenils pour les chiens afin de les protéger du froid.

L’humoriste et YouTubeur montpelliérain – fervent défenseur de la cause animale – est depuis le 11 novembre enfermer jusqu’à nouvel ordre dans un chenil. Une opération coup de poing pour favoriser l’adoption responsable.
Il est connu et reconnu pour ses vidéos humoristiques aux millions de vues sur Internet mais aussi, pour son amour pour les animaux. Aussi, afin de défendre toujours plus la cause animale, Rémi Gaillard a choisi une nouvelle fois de réunir ses deux amours. Comme il l’a annoncé sur sa page Facebook, il prévoit de s’enfermer dans une cage de la SPA de Montpellier pour une durée indéterminée et de s’y filmer en live, 24 h sur 24.
Le but de cette opération ? Sensibiliser le plus de personnes possible à la souffrance de tous ces chiens et chats qui, enfermés, attendent jour après jour leur nouvelle famille. Aboiements qui fendent le cœur, détresse, angoisse, frustration, solitude… il vivra au milieu de ces bêtes infortunées pour provoquer un électrochoc quant à la réalité de leur vie.
Un enfermement à durée indéterminée
Si on sait quand Rémi Gaillard compte démarrer son incarcération volontaire, nul ne sait combien de temps celle-ci va durer. A vrai dire, lui-même l’ignore. Pour le faire sortir de sa cage, il faudra que les 300 animaux peuplant le refuge soient adoptés ou que 50000 euros (minimum) soient récoltés afin d’aider l’association.

Et si c'était la dernière fois...
Et si c'était la dernière fois que tu voyais,
tu regarderais avec une telle attention
que ton regard d'un seul coup d'oeil embrasserait tout l'horizon.
Et si c'était la dernière fois que tu marchais,
tu poserais tes pieds avec tant de douceur et de légèreté
qu'ils deviendraient des ailes et tu pourrais voler.
Et si c'était la dernière fois que tu respirais,
tu humerais l'air avec un tel allant
que tu te trouverais vivant jusqu'à la fin des temps.
Et si c'était la dernière fois que tu t'éveillais,
ce moment d'ultime conscience aurait tellement de force et de clarté
qu'il éclairerait tes nuits jusqu'à l'éternité.
Et si c'était la dernière fois que tu pensais,
la plus vulgaire de tes pensées s'auréolerait de tant d'innocence
qu'elle te conduirait jusqu'à la source : au pays du silence.
Et si c'était la dernière fois que de la solitude tu souffrais,
tu serais si reconnaissant de connaître l'absence
que tu percevrais le parfum de l'éternelle présence.
Et si c'était la dernière fois que tu jugeais,
tu serais si confus de ce penchant coupable
que tu verrais le beau au sein du condamnable.
Et si c'était la dernière fois que tu te remémorais les bons moments et les mauvais,
tu remercierais si fort de les avoir connus
que tu verrais les fils entre les deux tendus.
Et si c'était la dernière fois que tu créais,
ton inspiration serait si féconde
que tu pourrais comprendre l'origine du monde.
Et si c'était la dernière fois que tu aimais,
tu glorifierais l'instant avec un tel zèle
qu'il emplirait ton coeur à jamais d'amour universel.
Et si c'était la dernière fois que tu riais,
ton esprit tant se dilaterait
qu'au mirage du petit "je" jamais plus ne se prendrait.
Et si c'était la dernière fois que face à toi-même tu te trouvais,
tu rentrerais tant dans ce jeu de miroir
que tu pourrais percer le secret de ton histoire.
Et si c'était la dernière fois que tu lisais
les mots au fond de toi prendraient âme et corps
et donneraient naissance à l'Etre que tu n'es pas encore.
Si tu fais toute chose avec autant de passion,
d'attention et d'amour que si c'était la dernière fois,
alors, ce sera la première fois où tu SERAS.
Gérard Bellebon

💖 💖 42 💖 💖
Des milliers de caresses et plein de tendresse
Dans un tourbillon de Pensée
Pour toi bel Ange qui a apporté temps de bonheur
*** Mes pensées pour Toi…. ***
💖

Un bon chien protecteur, qui adorait ses maîtres et ne vivait que pour eux, fut soudainement exclu du foyer par un chaton un peu trop idolâtré.
Ce petit chat sans scrupule, qui faisait les quatre cents coups, n'était jamais en tort ;sa beauté et son mignon minois ne laissant présager que câlinerie et tendresse.
Pauvre chien!
On l'a remisé à la niche, ne lui permettant même plus accès
à ce domicile et à ceux qu'il aimait tant. Mais qu'avait-il donc fait!!!!
Lui qui avait toujours pris soin de ce petit monde; le courageux,
le bienfaiteur et l'ami sans reproche...
Il est vrai que son physique n'était pas vraiment élégant mais
son intérieur était des plus nobles. Prenant son courage à deux mains,
il alla voir le nouveau compagnon de ses maîtres et lui demanda:
"Je suis encore à me demander ce que j'ai pu donc faire pour être
méprisé à ce point, pourrais-tu me le dire? ".
Mais c'était en vain,
car l'autre riait aux éclats devant toute cette souffrance.
Un beau jour, deux voleurs entrèrent dans la maison
et assaillirent ses vieux amis. N'écoutant que son courage,
il entra donc et les sauva. Alors il retrouva sa place dans
le coeur de ses maîtres.
Il reprit sa place perdue, mais à quel prix!!!!
Aura-t-il toujours à se surpasser pour plaire aux siens
et pour se faire aimer ?
La blessure de leur nonchalance se cicatrisera-t-elle?
Il est beaucoup plus facile d'aimer ce que l'on voit,
on associe trop facilement la beauté à la bonté.

🍀💐🌷🌺🍀💐🌷🌺🍀💐🌷🌺🍀💐🌷🌺🍀💐🌷🌺🍀💐🌷🌺🍀💐🌷🌺🍀💐🌷🌺🍀💐🌷🌺🍀💐🌷🌺🍀
ma bien chère Nat,
J'apprécie bcp ta générosité et je t' en suis très reconnaissante. Tu fleuris, au quotidien, chacun de mes Amours/Westies. C'est trop... car moi, je ne peux déposer qu'un unique bouquet, pr ton adorable fille Tinette... Deux..depuis que j'ai dû ouvrir une nouvelle page pr Rock, alors que l'initiale ne fonctionnait pas..C'est aussi la raison pr laquelle, pr le moment, je ne la ferme pas.
Avec toute mon amitié.
+ 1000 mercis.
+ 1000 bisous.
Maryem
🍁🍄🌰🌻🍁🍄🌰🌻🍁🍄🌰🌻🍁🍄🌰🌻🍁🍄🌰🌻🍁🍄🌰🌻🍁🍄🌰🌻🍁🍄🌰🌻🍁🍄🌰🌻🍁🍄🌰🌻

Très belle histoire et tellement vraie !
*
L'aveugle et le paralytique
*
Aidons-nous mutuellement,
La charge des malheurs en sera plus légère ;
Le bien que l'on fait à son frère
Pour le mal que l'on souffre est un soulagement.
Confucius l'a dit ; suivons tous sa doctrine.
Pour la persuader aux peuples de la Chine,
Il leur contait le trait suivant.
*
Dans une ville de l'Asie
Il existait deux malheureux,
L'un perclus, l'autre aveugle, et pauvres tous les deux.
Ils demandaient au Ciel de terminer leur vie ;
Mais leurs cris étaient superflus,
Ils ne pouvaient mourir. Notre paralytique,
Couché sur un grabat dans la place publique,
Souffrait sans être plaint : il en souffrait bien plus.
L'aveugle, à qui tout pouvait nuire,
Etait sans guide, sans soutien,
Sans avoir même un pauvre chien
Pour l'aimer et pour le conduire.
Un certain jour, il arriva
Que l'aveugle à tâtons, au détour d'une rue,
Près du malade se trouva ;
Il entendit ses cris, son âme en fut émue.
Il n'est tel que les malheureux
Pour se plaindre les uns les autres.
" J'ai mes maux, lui dit-il, et vous avez les vôtres :
Unissons-les, mon frère, ils seront moins affreux.
- Hélas ! dit le perclus, vous ignorez, mon frère,
Que je ne puis faire un seul pas ;
Vous-même vous n'y voyez pas :
A quoi nous servirait d'unir notre misère ?
- A quoi ? répond l'aveugle ; écoutez. A nous deux
Nous possédons le bien à chacun nécessaire :
J'ai des jambes, et vous des yeux.
Moi, je vais vous porter ; vous, vous serez mon guide :
Vos yeux dirigeront mes pas mal assurés ;
Mes jambes, à leur tour, iront où vous voudrez.
Ainsi, sans que jamais notre amitié décide
Qui de nous deux remplit le plus utile emploi,
Je marcherai pour vous, vous y verrez pour moi. "
*
Jean-Pierre Claris de FLORIAN (1755-1794)

Mon cœur
hurle de douleur.
Mes sanglots, mes gémissements,
nul ne les connaît, ne les entend.
Je porte un masque de fausse gaieté devant les gens.
Nul ne sait à quel point je souffre, ni ne voit
quel est mon tourment.
J’ai si mal ! Tellement mal !!
Une souffrance infernale !
Je pleure quand je suis seule, quand personne ne me voit,
dans l’intimité de mon cœur.
Dans les silences de ma vie,
mon cœur meurtri saigne et hurle de douleur.
Ta disparition est une torture infinie
qui fait désormais partie de ma vie.

Le ciel est rempli d'anges ,
Cela fait un magnifique mélange ,
Ils sont si beaux ,
Ils sont si haut .
... Le ciel en est envahi ,
De la terre, ils sont partis ,
Ils nous manquent tellement ,
On les aime énormément .
On les pleure trop souvent ,
Sans eux, on vit terriblement ,
Pourtant on doit poursuivre notre chemin ,
On doit avancer jusqu'à la fin .
Parce qu'un énorme vide s'est installé ,
Toutes ces larmes qu'on ne peut sécher ,
C'est si dur de continuer sans leur présence ,
Si dur d'accepter leur absence .
On se bat pour eux ,
On veut les rendre heureux ,
On fait en sorte qu'ils soient fiers de nous,
Pour eux, on ira jusqu'au bout

Naissance de la voix lactée
Il y a bien longtemps, il n'y avait pas beaucoup d'étoiles dans le ciel.
Les indiens stockaient leur récolte de maïs dans de grands paniers. L'hiver ces grains leur permettaient de confectionner du pain.
Un matin, un couple découvre qu'on leur a dérobé du maïs pendant la nuit. Des grains sont dispersés sur le sol de la réserve et ils aperçoivent des empreintes géantes de chien.
Ils alertent aussitôt les villageois : ces traces ne peuvent avoir été faites que par un chien venant d’un autre monde !
Ils décident de se débarrasser d'une bête aussi monstrueuse en l'effrayant si fort qu'elle n'aura plus envie de revenir.
Ils rassemblent des tambours, des carapaces de tortues et se cachent pendant la nuit près de la réserve de grains.
Soudain, ils entendent un énorme bruissement d'ailes pareil à celui de milliers d'oiseaux en vol : un chien géant descend en piqué du ciel. Dés que ce dernier se trouve près du maïs, les Indiens font un vacarme énorme en frappant sur leurs ustensiles. L’animal s’enfuit mais les habitants du village le poursuivent en continuant de plus belle leur tintamarre.
Le chien géant grimpe alors au sommet d'une colline et se jette dans le ciel, les grains de maïs se répandant de sa gueule. Il traverse la nuit noire et disparaît. Les grains de maïs forment un chemin dans le ciel et chaque grain se transforme en étoile. C’est ainsi qu'est apparue la voie lactée...
Les Cherokee l’appellent gi li' ut sun stan un' yi, l'endroit où courait le chien.

Moi j'adore la vérité : ça peut faire mal sur le coup, mais on peut "construire" dessus ; les bases sont solides. Par contre, on ne peut rien construire sur ce qui n'est pas "vrai".
*
La fable et la vérité
*
La vérité, toute nue,
Sortit un jour de son puits.
Ses attraits par le temps étaient un peu détruits ;
Jeune et vieux fuyaient à sa vue.
La pauvre vérité restait là morfondue,
Sans trouver un asile où pouvoir habiter.
A ses yeux vient se présenter
La fable, richement vêtue,
Portant plumes et diamants,
La plupart faux, mais très brillants.
Eh ! Vous voilà ! Bon jour, dit-elle :
Que faites-vous ici seule sur un chemin ?
La vérité répond : vous le voyez, je gêle ;
Aux passants je demande en vain
De me donner une retraite,
Je leur fais peur à tous : hélas ! Je le vois bien,
Vieille femme n'obtient plus rien.
Vous êtes pourtant ma cadette,
Dit la fable, et, sans vanité,
Partout je suis fort bien reçue :
Mais aussi, dame vérité,
Pourquoi vous montrer toute nue ?
Cela n'est pas adroit : tenez, arrangeons-nous ;
Qu'un même intérêt nous rassemble :
Venez sous mon manteau, nous marcherons ensemble.
Chez le sage, à cause de vous,
Je ne serai point rebutée ;
A cause de moi, chez les fous
Vous ne serez point maltraitée :
Servant, par ce moyen, chacun selon son goût,
Grâce à votre raison, et grâce à ma folie,
Vous verrez, ma soeur, que partout
Nous passerons de compagnie.
*
Jean-Pierre Claris de FLORIAN (1755-1794)

Mike Thawley, un pompier de Sacramento (Etats-Unis), a sauvé un petit chiot tout seul, attaché, et transi de froid sur le bord de la route où il avait été abandonné. Pris en charge par une association, Chunk, le petit chiot, pourrait bien se souvenir longtemps de son ange-gardien…
Après avoir sorti Chunk la petite Pitbull de la rue, Mike Thawley l’a transportée jusqu’à la caserne où il l’a séchée, réchauffée et rassurée. Il l’a ensuite confiée au Front Street Animal Shelter, un refuge local pour animaux.
Les chiens, des êtres reconnaissants ? 
Mais dès le lendemain de son sauvetage, le pompier a voulu prendre des nouvelles de sa petite protégée qui, pour ne rien arranger, souffre d’une maladie de peau. Il s’est donc rendu au refuge et, alors qu’il ne s’y attendait pas, a reçu le plus beau des accueils
Non seulement Chunk l’a reconnu, mais elle s’est en plus livrée à une vraie démonstration de reconnaissance : lovée dans les bras de son héros, elle a fait fondre son cœur… à tel point que Mike souhaite désormais l’adopter. Chunk deviendra-t-elle une chienne pompier ?

En une semaine, la petite chienne Fancy a vécu une drôle d’aventure dont une partie restera sans doute un mystère. Disparue de chez sa maîtresse, elle a été trouvée puis adoptée avant de retrouver finalement… sa maison.
Lorsque Fancy, une femelle Shih Tzu, a été trouvée errante dans une rue, elle fut conduite par une femme chez le vétérinaire. Sa puce électronique a permis d’identifier son nom, mais les coordonnées de ses maîtres n’étaient pas à jour. Déjà propriétaire de trois chiens, la femme décida alors de donner la chienne. Elle rencontra quelque temps plus tard une femme nommée Bailey qui se proposa de l’adopter.
Quelques mois plus tôt, Bailey avait perdu son chien, Preston. Devenu paralysé, il avait dû être euthanasié après avoir passé cinq belles années aux côtés d’une famille aimante. C’est pour combler cette absence que Bailey cherchait à accueillir un nouveau chien. Lorsqu’elle vit Fancy, elle ne put résister.
Les premiers jours, Fancy se montra assez distante dans son nouveau foyer. Mais très vite, elle se révéla être une chienne douce et affectueuse qui semblait avoir toujours fait partie de la famille de Bailey. Elle était particulièrement attentionnée avec les enfants. Et pour cause : dans sa « vraie » famille, Fancy devait veiller sur cinq enfants âgés d’un à neuf ans… Mais ça, Bailey l’ignorait.
Fancy avait fugué et s’était perdue…
En réalité, avant d’être trouvée, Fancy vivait chez les Davis. Elle s’était enfuie de chez elle pendant que son maître tondait la pelouse. Depuis son départ, sa famille était à sa recherche et ignorait tout de ce qu’elle était devenue.
Fancy n’aurait jamais pu revoir ses maîtres si Bailey ne s’était pas rendue chez le vétérinaire pour la faire vacciner. C’est par hasard qu’un employé de la clinique reconnut la chienne qu’il avait vue sur Facebook, dans une annonce de chien perdu. Il en était sûr : Fancy était la chienne des Davis. A partir de ce moment-là, les retrouvailles entre la Shih Tzu et ses « vrais » maîtres furent organisées, malgré la tristesse de Bailey qui s’était déjà beaucoup attachée à la chienne.
Mais, très reconnaissants envers la jeune femme pour avoir pris soin de leur chienne, les Davis décidèrent de l’aider à trouver le compagnon idéal qui pourrait partager sa vie… pour de longues et belles années.