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En hommage à
CARLINTINETTE
Il est né le:09/04/2002
Il nous a quittés le:12/06/2015
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En hommage à
TINETTE
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2353 Fleurs
Déposé par NathalieB Ton petit Toto fait une gastro, mais aujourd'hui il va un peu mieux. Il est fort fatigué ! Déposé par NathalieB Dimanche soir mon coeur s'est encore emballé, j'ai bien cru que j'allais y passer ! Trop de stress, trop d'angoisses ! Déposé par myriam31 Que cette nouvelle année t'apporte , paix , douceur et un paisible repos au pont de l'arc-en-ciel, meilleurs voeux à ta famille, plein de bisous Déposé par Pachkounet Une excellente année 2017 pour toi, Tinette, et pour ta Maman. Des bisouxx et des câlins à vous partager. Déposé par bouledogue bon reveillon pour cette nouvelle qui se dessine et une enorme pensee a nos petits anges qui nous manquent chaque jours ...amities Déposé par rafia 🎤📣Embarquement du 🛬2017. Vos escales : santé-bonheur-🍀 -💗-etc.La durée sera de 12 mois. BONNE ANNEE 2017 !! Déposé par nina1997 A la belle Tinette partie vivre dans un monde parallèle fait de bonheur et de joies. Bonne année 2017 |
782 messages
Déposé par colombine67 le 01/11/2016Très beau texte d'Yves Duteil sur le rôle de nos défunts dans notre vie. Où s’en vont ceux qui nous manquent ? Nous accompagnons leurs corps jusqu’en terre et puis après ?... Nous fleurissons leur mémoire, nous leur parlons comme s’ils étaient encore là, quelque part, inaccessibles mais présents, bienveillants et sages. Que donnerait-on pour une réponse, un conseil de leur part, un mot pour dire… « Je veille sur vous » ? Et il nous suffit de les évoquer pour qu’ils nous sourient dans notre plus beau souvenir, de leur visage le plus lumineux. Nos absents nous accompagnent. On ne peut rien leur cacher puisqu’ils nous regardent avec nos propres yeux. C’est une étrange et intime conviction que l’on ne peut partager qu’avec ceux que l’on aime, dans la confiance de n’être pas raillé, mais, au contraire, conforté. Ceux qui nous manquent remplissent le vide de leur absence par une présence silencieuse et tendre. Toujours disponibles, ils sont auprès de nous, derrière nos paupières closes, dans les moments de doute ou de peur, dans les joies profondes. Dans la douleur de les avoir perdus, il y avait cette impuissance à les retenir, à les aider, à les accompagner. Dans le chagrin de leur absence, on a le sentiment d’être guidés par eux, de leur conférer un rôle qu’ils n’ont ainsi jamais perdu. En fermant les yeux, ils nous laissent leur regard, à la façon d’une boussole. Peut-être ont-ils besoin eux aussi de nos pensées, de nos lumières, pour éclairer leur route ? Le chagrin n’est que le revers de l’amour. Mais c’est encore de l’amour. Qu’il serait « triste de n’être plus triste sans eux… ». Au Panthéon de nos cœurs, nos absents ont toujours raison. Si l’on devait faire le portrait du bonheur, il aurait parfois le visage du chagrin, et la quiétude bienveillante de ceux qui nous ont quittés mais qui veillent sur nous tendrement. C’est une image apaisante pour s’endormir, pour s’orienter, ou se perdre dans leur sourire. Il y a un peu d’infini dans cet amour-là. Ceux qui nous manquent semblent si sereins, si proches, comme en apesanteur… Est-ce qu’ils trouvent en nous leur chemin vers ailleurs ? Alors les vivants deviendraient la maison de ceux qu’ils ont aimés. Et si un jour ils n’existent plus pour personne, auront-ils vraiment disparus ? Se sentir aimé de son vivant, c’est savoir qu’il existe quelque part un après, un moyen de poursuivre la route ensemble. L’absence n’est pas qu’un vide. C’est aussi de l’amour qui nous accompagne. Servir encore, être utile à quelqu’un… Un beau destin pour nos absents… |
Déposé par colombine67 le 31/10/2016Poème sur la mort de Jules Vernes. " Nous mourrons mais nos actes ne meurent pas, Car ils se perpétuent dans leurs conséquences infinies. Passants d’un jour, Nos pas laissent dans le sable de la route Des traces éternelles Rien n’arrive qui n’ait été déterminé par ce qui l’a précédé Et l’avenir est fait des prolongements inconnus du passé." |
Déposé par poutounou le 30/10/2016Joli poème pour la Toussaint… * Les chrysanthèmes_ * O ! Fleur pâle ornement des images d’automne Sans parfum qui nous grise, aussi sans volupté Quand je te vois t’ouvrir, la gaieté m’abandonne Mais tu souris toujours sous le ciel attristé. * Tu fleuris quand tout meurt dans la nature entière. Quand d’un feuillage d’or les arbres sont parés Tu fleuris quand la rose à son heure dernière Effeuille tristement ses pétales fanés. * Dans les jardins en deuil ta frileuse parure Jette une note gaie et sur les tapis d’or Par l’automne étendus, tes rameaux de verdure Font croire que l’hiver est loin de nous encor. * Sur les tombeaux glacés tu remplaces les roses Quand chaque fleur se fane au baiser des brouillards Tu figures partout et dans les chambres roses Et dans les grands salons et sur les corbillards. * N’es-tu pas, par ta grâce et par ta modestie, La fleur qui plaît aux yeux parmi toutes les fleurs. Puisqu’au sein de la mort tu fais briller la vie Comme un rayon d’espoir brille au sein des douleurs. |
Déposé par myriam31 le 30/10/2016Je cueillerai pour toi Je cueillerai pour toi les fleurs de mon jardin, Ce ne sera qu’un modeste bouquet, Sur ta tombe en pleurant j’irai le déposer.. Je cueillerai aussi la rosée du matin, La tristesse d’un jour qui s’éloigne sans toi, Un souvenir lointain qui revient et s’en va… Je cueillerai en fin les larmes de mes yeux, J’en ferai un collier de perles de chagrin, Et je te l’offrirai dans son plus bel écrin… Tendres pensées pour toi bel ange en cette période de Toussaint, amitiés à ta maman |
Déposé par colombine67 le 30/10/2016Poème - prière de Gabriel Ringlet sur la vie, l'amour, la mort. Aimez-vous. Aimez-moi. Si vous m'aimez, laissez-moi m'échapper. Si vous aimez vos proches, laissez-les s'écarter. Si vous aimez vos petits, laissez-les s'élever. Si vous aimez vos grands, laissez-les s'envoler. Si vous aimez vos défunts, laissez-les s'en aller. Aimez-vous. L'éloignement n'empêche pas la proximité. L'absence ne supprime pas la présence. L'écart n'interdit pas l'alliance. La solitude ne rejette pas la solidarité. Aimez-vous. Le silence n'interrompt pas la parole. L'ombre n'éteint pas la lumière. Aimez-vous les uns les autres. Allégez-vous les uns les autres. Inventez-vous les uns les autres. Elevez-vous. Grandissez-vous. Aimez-vous, C'est tout neuf. Aimez-vous, Et vous donnerez du fruit. Aimez-vous Et vous goûterez la paix. Aimez-vous, Et vous mourrez la mort. Aimez-vous, Et vous vivrez la vie. Aimez-vous, Et ma joie viendra vous caresser. Et cette joie, je vous le dit, Personne ne pourra vous l'ôter. |
Déposé par ovanek le 28/10/2016💖 💖 💖 41 💖 💖 *** Près de Moi *** Voici que des jours et des jours se sont passés Et je ne suis pas parvenu à t’oublier je pense toujours et encore tellement à toi Toi, mon doux compagnon, tu étais mon roi Dans ta chaude fourrure, j’aimerais glisser mes mains Enfouir mon visage dans ton cou pour un gros câlin Je voudrais de mes bras t’entourer, te serrer Dans la chaleur de ton amour me réchauffait Mon fidèle , tu me manques infiniment Pour te garder, j’aurais voulu stopper le temps Lorsque sur ton souvenir, je viens me pencher Mon cœur se serre, les larmes se mettent à couler Dès ton arrivée, de toi, tu m’as tout donné Fidèlement, à mes pas tu t’es attaché Comme un ange gardien, tu n’as plus quitté mon ombre Protecteur, mais aussi confident de mes jours sombres Tu fus toujours à mes côtés à m’attendrir Et tu savais aussi dans les jeux me faire rire Ton image, au fond de mon cœur, s’est gravée Ta mémoire, par chacun de mes sens est gardée A tout jamais, quoi que je dise, quoi que je fasse Tu es là, tout au long du temps qui passe Voici déjà que des mois se sont écoulés Et ton souvenir ne saura s’effacer *** Pensée *** 💖 ❤ 💖 |
Déposé par colombine67 le 28/10/2016Tu manques tant Chaque matin, chaque soir Chaque soir, chaque matin A toutes heures Entretemps A chaque souffle A tous ces battements de cœur Vides. Ce n’est pas qu’il n’ y aurait plus de joies, Plus de devoirs, plus de buts Plus de sens, plus de chemins Ce n’est pas ainsi. C’est seulement, Que tu manques Tant Chaque matin, chaque soir, Chaque soir, chaque matin A toutes heures |
Déposé par colombine67 le 27/10/2016Je suis un chien, Je suis vivant, un animal qui respire. Je sens la douleur, le bonheur, l’amour, la peur et le plaisir. Je ne suis pas un objet. Si je suis frappé – J’aurai un bleu, je vais saigner, je vais être brisé. Je sentirai la douleur. Je ne suis pas un objet. Je suis un chien. J’adore jouer, me promener, mais j’aime plus que tout, le temps que je passe avec ma meute – ma famille – mes siens. J’aime plus que tout être à côté de mon humain. Je veux dormir là où vous dormez et marcher là où vous marchez. Je suis un chien et je sens l’amour… Je demande l’amitié. J’apprécie le toucher d’une main gentille et la douceur d’un bon lit. Je veux être dans la maison avec ma famille, non pas coincé au bout d’une chaîne ou seul dans une cage ou dans une cours clôturée pour des heures. Je suis né pour être un compagnon, pas pour vivre une vie de solitude. Je peux avoir très froid ou très chaud. Je sens la faim et la soif. Je suis une créature vivante, pas un objet. Quand vous partez, je veux partir avec vous. Si je reste derrière, je vais attendre impatiemment votre retour. Il me tarde d’entendre le son de votre voix. Je vais tout faire pour vous faire plaisir. Je vis pour être votre compagnon précieux. Je suis un chien. Mes actions ne sont pas dictées par l’argent, la cupidité ou la haine. Je ne connais pas les préjudices. Je vis dans le moment présent et je suis guidé par l’amour et la loyauté. Ne me prenez pas pour un objet dans cervelle. Je peux sentir et je peux penser. Je peux sentir plus que le mal physique, je peux sentir la peur et la joie. Je peux sentir l’amour et la confusion. J’ai des émotions. Je peux comprendre peut-être plus que vous ne comprenez. Je suis capable de comprendre les mots que vous m’adressez, mais vous n’êtes pas toujours capable de me comprendre. Je suis un chien. Je ne suis pas capable de prendre soin de moi-même sans votre aide. Si vous choisissez de m’attacher et de refuser de me nourrir, je vais souffrir de faim. Si vous m’abandonnez dans une rue déserte, je vais avoir peur et me sentir seul. Je vais vous chercher partout et je vais me demander pourquoi j’ai été laissé derrière. Je ne suis pas une pièce de propriété à abandonner et oublier. Si vous me laissez dans un refuge, je vais avoir peur et serai confus. Je vais attendre votre retour avec chaque pas qui s’approchera de ma cage. Je suis un chien – une créature vivante qui respire. Si vous choisissez de me prendre à la maison, s’il vous plait donnez moi les choses dont j’ai besoin pour rester en bonne santé et heureux. Donnez-moi de la bonne nourriture, de l’eau claire, un bon foyer chaud et votre amour. Ne m’abandonnez pas. Ne me frappez pas. Ne me laissez pas tomber quand votre vie devient difficile. Engagez-vous à moi pour le restant de mes jours, ou ne me prenez pas à la maison en premier lieu. Si vous me désertez, je ne saurai pas prendre soin de moi-même. Je suis à la merci de la bonté des gens – si je tombe entre de mauvaises mains, ma vie sera ruinée. Je sentirai la douleur, la peur et la solitude. Si je finis dans un refuge pour animaux, je n’aurais que mes yeux pour supplier quelqu’un de me sauver, et ma queue pour vous montrer que je suis un ami. Si ce n’est pas assez, je vais mourir. Je suis un chien. Je veux donner et avoir de l’amour. Je veux vivre. Je ne suis pas un objet. Je ne suis pas une pièce de propriété. S’il vous plait ne me rejetez pas. S’il vous plait traitez-moi avec gentillesse, amour et respect. Je vous promets que je vous payerais en retour avec un amour inconditionnel aussi longtemps que je vivrai. |
Déposé par choupinou le 26/10/2016Quand je rêve de toi, moi je rêve d’amour Et quand je pense è toi je pense à nos beaux jours J’avance pas à pas vers cet oubli de nous Qui me blesse déjà car l’amour est si doux. Ce sont tous ces instants qui me parlent de nous Qui partent au fil du temps réduisant l’amour fou À ce petit espoir que tu te souviendras De notre belle histoire d'amour tu te rappelleras. Je n'ai que ton amours celui qui me hante Restera pour toujours ce bonheur qui m’enchante Bien du temps est passé, elle ne s’est pas éteinte La passion enflammée, celle de nos étreintes. Le temps est cruauté il éteint nos bonheurs On veut toujours aimer,ton coeur endormi fait mon malheur Le temps se fait bourreau des rêves de chacun Il nous met au repos dans nos derniers matins. Oui, je refuserai cette triste contrainte Qui épuise la flamme et deviens ma complainte Dans notre âme en éveil elle brûlera toujours Mais le corps en sommeil vibre bien moins d’amour. L’éternel assassin ce temps qui nous domine Ne nous donne plus rien que des rêves inutiles Et nous nous effaçons sans pourtant oublier Notre seul horizon, continuer à aimer. Par : Régina Augusto. |
Déposé par colombine67 le 26/10/2016 J'ai mendié un peu de tendresse pour éclairer ma nuit.... J'ai hurlé, espérant un sourire, une caresse, un baiser..... Monstre de l'indifférence, tu m'as laissé là, sans peine... Je vis dans l'oubli, et dans ce box, je meurs doucement.... Blottis dans un coin, te souviens tu de moi ? Moi qui suis là, et je te demande pourquoi ? Je ne comprends rien de ce qui m'entoure....... Les jours passent et se ressemblent, jusqu'au jour où l'on viendra me chercher.... Il ne me restera de la vie, qu'un goût amer....De la joie, qu'un souvenir lointain......De la confiance, qu'une plaie grande ouverte..... Mais je serais toujours fidèle pour mon maître, mes yeux te chercheront toujours en vain..... Je t'attendrais longtemps, transis, désespéré et enfin je laisserais tomber mon lourd fardeau de rêves je poserais ma tête et je m'endormirais.............................................. |
Déposé par colombine67 le 25/10/2016 L’Homme a besoin de se dire, de se raconter, De se faire plaindre, de se faire encourager, Mais ne sait pas regarder autour de lui, sourire. Faire, donner un geste de tendresse. Un sourire, une caresse, une parole douce ne coûte rien, Mais produit beaucoup, du réconfort pour celui qui reçoit. Sourire, caresser un court instant n’appauvrir pas celui qui donne, Mais laisse un souvenir à celui qui reçoit, souvenir souvent éternel. Aucun être vivant n’est assez riche pour s’en passer, Aucun être vivant n’est trop pauvre pour ne pouvoir donner, Un sourire, une caresse ou une parole tendre, ça ne coûte rien, Juste savoir donner un peu de soi.. Un geste tendre donne du repos à un être fatigué, Lui donne du courage à poursuivre une route qui lui semble si longue, Quand il a connue souffrance, délaissement, ignorance. Etre vieux, ne veut pas dire jeté, mais sentir une main se tendre, Pour pouvoir aider un vieux à ne pas terminer ce long chemin dans l’ombre. |
Déposé par poutounou le 24/10/2016Le voyage * Partir avant le jour, à tâtons, sans voir goutte, Sans songer seulement à demander sa route ; Aller de chute en chute, et, se traînant ainsi, Faire un tiers du chemin jusqu'à près de midi ; Voir sur sa tête alors s'amasser les nuages, Dans un sable mouvant précipiter ses pas, Courir, en essuyant orages sur orages, Vers un but incertain où l'on n'arrive pas ; Détrempé vers le soir, chercher une retraite, Arriver haletant, se coucher, s'endormir : On appelle cela naître, vivre et mourir. La volonté de Dieu soit faite ! * Jean-Pierre Claris de FLORIAN (1755-1794) |
Déposé par colombine67 le 24/10/2016J'ai nulle part où rentrer Nulle part où reposer J'ai tellement sillonné Nulle part où m’arrêter J'suis tellement accroché A ces trains qui passaient, A ces trains qui filaient Sans jamais me retourner Encoree un j'me disais Encore un dernier Ce monde n'est pas le mien J'ai rien à regretter Peut être j'ai trop dit oui Peut être pas assez Peut être parti trop tôt Pas tout à fait formé, déformé J'ai nulle part où rentrer Nulle part où reposer Peut être j'vais continuer Sans savoir où je vais Parfois tu peux me voir Marcher et fredonner Parfois tu peux me voir Tourner d'l'oeil et tomber Parfois dans la gare Je te tombe dans les bras Je tombe sans crier gare Et je t'embrasse hagard C'est parce que cet amour Qu'on pourrait se donner Pourrait me réchauffer pourrait me requinquer, me réanimer J'ai nulle part où rentrer Nulle part où reposer Nulle part c'est mon pays Et nulle part ma partie Ça te parait bizarre De te voir dans ta gare Ainsi déambuler Tout démantibulé Cette route m'a enlevé Cette route m'a entamé Cette route m'a éclipsé La vie m'a fait marcher Surement j'vais continuer Aller à ta rencontre Mais pas à ton encontre La route à moi me montre, démontre J'ai nulle part où rentrer Ça te parait bizarre De te voir dans la gare La nuit et la journée J'ai nulle part où rentrer Ça te parait bizarre Que même avec du blé On sache pas où aller Je suis très bien ici Ici c'est ma vie Comme on a qu'une vie Je suis très bien merci Je crains les policiers Les gens trop policés Mais j'suis très bien ici Je s'rais p't'être mieux assis |
Déposé par colombine67 le 23/10/2016J'ai déposé ce matin les créas sur mon blog, vous pouvez récupérer la votre voici directement le lien vers la rubrique: http://loveferrari.centerblog.net/rub-mes-creas-pour-le-cimetiere-des-chiens-.html Pourquoi ne viendriez vous pas ouvrir un blog sur centerblog? Je vous souhaite un bon Dimanche gros bisous de Colombine |
Déposé par colombine67 le 22/10/2016Bonjour mes amis(es) mes créas ont malheureusement disparu de ce site ainsi que les vidéos que Maryem nous faisait avec nos amours et les belles mélodies que son mari joue si merveilleusement bien je trouvais ce site tellement plus beau avec des images et autre au lieu que le webmaster trouve un moyen pour améliorer le site il a préféré la facilité j'ai voulu vous faire plaisir à tous en vous faisant une créas de votre chien et plus rien n'est là heureusement que je les ai tous dans un dossier, je les mettrais la semaine prochaine sur mon blog loveferrari sur centerblog, vous pourrez venir récupérer la votre si vous voulez rubrique : mes creas pour le cimetière des chiens malgré que les images et vidéos ne sont plus là ça rame toujours, donc il y a une autre cause Amicalement Colombine |
Déposé par rafia le 16/10/2016les liens cliquables, les images ou les vidéos provoquent des ralentissements du site ils ne sont plus autorisés dans les messages |
Déposé par poutounou le 14/10/2016C'est vrai qu'on a tendance à voir la couleur qui sait nous plaire... * L'habit d'Arlequin * Vous connaissez ce quai nommé de la Ferraille, Où l'on vend des oiseaux, des hommes et des fleurs. A mes fables souvent c'est là que je travaille ; J'y vois des animaux, et j'observe leurs moeurs. Un jour de mardi gras j'étais à la fenêtre D'un oiseleur de mes amis, Quand sur le quai je vis paraître Un petit arlequin leste, bien fait, bien mis, Qui, la batte à la main, d'une grâce légère, Courait après un masque en habit de bergère. Le peuple applaudissait par des ris, par des cris. Tout près de moi, dans une cage, Trois oiseaux étrangers, de différent plumage, Perruche, cardinal, serin, Regardaient aussi l'arlequin. La perruche disait : " J'aime peu son visage, Mais son charmant habit n'eut jamais son égal. Il est d'un si beau vert ! - Vert ! dit le cardinal ; Vous n'y voyez donc pas, ma chère ? L'habit est rouge assurément : Voilà ce qui le rend charmant. - Oh ! pour celui-là, mon compère, Répondit le serin, vous n'avez pas raison, Car l'habit est jaune-citron ; Et c'est ce jaune-là qui fait tout son mérite. - Il est vert. - Il est jaune. - Il est rouge morbleu ! " Interrompt chacun avec feu ; Et déjà le trio s'irrite. " Amis, apaisez-vous, leur crie un bon pivert ; L'habit est jaune, rouge et vert. Cela vous surprend fort ; voici tout le mystère : Ainsi que bien des gens d'esprit et de savoir, Mais qui d'un seul côté regardent une affaire, Chacun de vous ne veut y voir Que la couleur qui sait lui plaire. " * Jean-Pierre Claris de FLORIAN (1755-1794) |
Déposé par rafia le 12/10/2016les liens cliquables, les images ou les vidéos provoquent des ralentissements du site ils ne sont plus autorisés dans les messages |
Déposé par poutounou le 09/10/2016Et oui ! Le bien et le mal nous sont rendus. C'est vrai aussi pour ceux qui font du mal à nos amis les bêtes... * L'enfant et le miroir * Un enfant élevé dans un pauvre village Revint chez ses parents, et fut surpris d'y voir Un miroir. D'abord il aima son image ; Et puis, par un travers bien digne d'un enfant, Et même d'un être plus grand, Il veut outrager ce qu'il aime, Lui fait une grimace, et le miroir la rend. Alors son dépit est extrême ; Il lui montre un poing menaçant, Il se voit menacé de même. Notre marmot fâché s'en vient, en frémissant, Battre cette image insolente ; Il se fait mal aux mains. Sa colère en augmente ; Et, furieux, au désespoir, Le voilà devant ce miroir, Criant, pleurant, frappant la glace. Sa mère, qui survient, le console, l'embrasse, Tarit ses pleurs, et doucement lui dit : N'as-tu pas commencé par faire la grimace A ce méchant enfant qui cause ton dépit ? - Oui. - Regarde à présent : tu souris, il sourit ; Tu tends vers lui les bras, il te les tend de même ; Tu n'es plus en colère, il ne se fâche plus : De la société tu vois ici l'emblême ; Le bien, le mal, nous sont rendus. * Jean-Pierre Claris de FLORIAN (1755-1794) |
Déposé par poutounou le 05/10/2016La brebis et le chien * La brebis et le chien, de tous les temps amis, Se racontaient un jour leur vie infortunée. Ah ! Disait la brebis, je pleure et je frémis Quand je songe aux malheurs de notre destinée. Toi, l'esclave de l'homme, adorant des ingrats, Toujours soumis, tendre et fidèle, Tu reçois, pour prix de ton zèle, Des coups et souvent le trépas. Moi, qui tous les ans les habille, Qui leur donne du lait, et qui fume leurs champs, Je vois chaque matin quelqu'un de ma famille Assassiné par ces méchants. Leurs confrères les loups dévorent ce qui reste. Victimes de ces inhumains, Travailler pour eux seuls, et mourir par leurs mains, Voilà notre destin funeste ! Il est vrai, dit le chien : mais crois-tu plus heureux Les auteurs de notre misère ? Va, ma soeur, il vaut encor mieux Souffrir le mal que de le faire. * Jean-Pierre Claris de FLORIAN (1755-1794) |
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