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En hommage à
YORKSHIRE-TERRIERfanny
Il est né le:13/12/2000
Il nous a quittés le:18/03/2011
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200 Fleurs
2009 messages
Déposé par poutounou le 23/10/2024Extrait de la "chanson sans paroles" de Jacques Brel (un peu revisitĂ©e) * Chanson Sans Paroles * J'aurais aimĂ© mon bel Ange T'Ă©crire une chanson Sur cette mĂ©lodie RencontrĂ©e une nuit J'aurais aimĂ© mon bel Ange Rien qu'au point d'Alençon T'Ă©crire un long poème T'Ă©crire un long " je t'aime " * Je t'aurais dit " amour " Je t'aurais dit " toujours " Mais de mille façons Mais par mille dĂ©tours Je t'aurais dit " partons " Je t'aurais dit " aimons" Aimons de jour en jour De saisons en saisons * Mais le temps que s’allume l’idĂ©e sur le papier Le temps de prendre une plume Le temps de la tailler Le temps de me dire : « comment vais-je l’écrire » Et le temps est venu OĂą tu n’es plus… |
Déposé par poutounou le 20/10/2024Que c’est drĂ´le, point d’exclamation !!! * Ponctuation * Un point d'interrogation Comment ? Une question ? Et un point d'exclamation Oh ! Quelle Ă©motion ! Sur mon Ă©critoire, J'invente une histoire, J'aligne les mots Avec mon stylo. Puis trois points de suspension, HĂ© hĂ© hĂ©sitation ... Je rajoute une virgule Et regarde la pendule. Quand j'ai tout Ă©crit, Alors je relis. L'histoire est jolie, Un point c'est fini. * Daniel Coulon. |
Déposé par poutounou le 16/10/2024Ce qu'il faut pour ĂŞtre heureux * Il faut penser ; sans quoi l'homme devient, MalgrĂ© son âme, un vrai cheval de somme. Il faut aimer ; c'est ce qui nous soutient ; Sans rien aimer il est triste d'ĂŞtre homme. * Il faut avoir douce sociĂ©tĂ©, Des gens savants, instruits, sans suffisance, Et de plaisirs grande variĂ©tĂ©, Sans quoi les jours sont plus longs qu'on ne pense. * Il faut avoir un ami, qu'en tout temps, Pour son bonheur, on Ă©coute, on consulte, Qui puisse rendre Ă notre âme en tumulte, Les maux moins vifs et les plaisirs plus grands. * Il faut, le soir, un souper dĂ©lectable OĂą l'on soit libre, oĂą l'on goĂ»te Ă propos, Les mets exquis, les bons vins, les bons mots Et sans ĂŞtre ivre, il faut sortir de table. * Il faut, la nuit, tenir entre deux draps Le tendre objet que notre coeur adore, Le caresser, s'endormir dans ses bras, Et le matin, recommencer encore. * Voltaire |
Déposé par poutounou le 13/10/2024Oh oui, des bons marrons rĂ´tis dans la cendre avec un dĂ©licieux vin chaud Ă la cannelle ! Quelle rĂ©galade…Je m’en lèche les “babines”!!! * L'automne * On voit tout le temps, en automne Quelque chose qui vous Ă©tonne, C'est une branche tout Ă coup, Qui s'effeuille dans votre cou ; C'est un petit arbre tout rouge, Un, d'une autre couleur encor, Et puis partout, ces feuilles d'or Qui tombent sans que rien ne bouge. Nous aimons bien cette saison, Mais la nuit si tĂ´t va descendre ! Retournons vite Ă la maison RĂ´tir nos marrons dans la cendre. * Lucie Delarue-Mardrus |
Déposé par poutounou le 09/10/2024Il arrive au Paradis...lĂ oĂą se trouvent nos Anges... * L'Ă®le des rĂŞves * Il a mis le veston du père, Les chaussures de la maman Et le pantalon du grand frère Il nage dans ses vĂŞtements. * Il nage, il nage Ă perdre haleine. Il croise des poissons volants, Des thons, des dauphins, des baleines... Que de monde, dans l'ocĂ©an ! * Écume blanche et coquillages, Il nage depuis si longtemps Qu'il aborde enfin au rivage Du pays des rĂŞves d'enfants (et d'animaux...). * Jacques Charpentreau |
Déposé par poutounou le 06/10/2024L’automne est lĂ !!! Il faut commencer Ă se couvrir un peu plus… Brrrrr... * L'automne * Voici venu le froid radieux d’octobre : Le vent voudrait entrer et jouer dans les chambres ; Mais la maison a l'air sĂ©vère, ce matin, Et le laisse dehors qui sanglote au jardin. * Comme toutes les voix de l'Ă©tĂ© se sont tues ! Pourquoi ne met-on pas de mantes aux statues ? Tout est transi, tout tremble et tout a peur ; je crois Que la bise grelotte et que l'eau mĂŞme a froid. * Les feuilles dans le vent courent comme des folles ; Elles voudraient aller oĂą les oiseaux s'envolent, Mais le vent les reprend et barre leur chemin Elles iront mourir sur les Ă©tangs demain. * Le silence est lĂ©ger et calme ; par minute Le vent passe au travers comme un joueur de flĂ»te, Et puis tout redevient encor silencieux, Et l'Amour qui jouait sous la bontĂ© des cieux * S'en revient pour chauffer devant le feu qui flambe Ses mains pleines de froid et ses frileuses jambes, Et la vieille maison qu'il va transfigurer Tressaille et s'attendrit de le sentir entrer... * Anna de NOAILLES (1876-1933) |
Déposé par poutounou le 02/10/2024Le bonheur c'est... * Le bonheur c’est... : • de savoir s’émerveiller peu importe son âge • de rire de bon coeur en agrĂ©able compagnie • de savoir dire « je t’aime » • de se planifier des moments de tendresse • de savoir relever des dĂ©fis, mĂŞme si cela me fait peur • d’avoir assez de grandeur d’âme pour pardonner • de profiter de ses moments de solitude pour enfin faire des choses pour soi seulement • de regarder un bon film et de laisser libre cours Ă ses sentiments • de regarder ce que j’ai accompli et non ce qu’il me reste Ă faire • d’être maĂ®tre de soi et non des autres • de possĂ©der l’humour nĂ©cessaire pour surmonter les difficultĂ©s de la vie • de reconnaĂ®tre que le nĂ©gatif existe, mais de dĂ©cider de ne pas lui ouvrir la porte. * Quand tu as le « BONHEUR » dans ta vie, N’oublie pas de le cultiver Pour qu’il reste longtemps. * Anonyme |
Déposé par poutounou le 29/09/2024Partout, je t'ai vu, bel Ange... * Air vif * J'ai regardĂ© devant moi Dans la foule, je t'ai vu Parmi les blĂ©s, je t'ai vu Sous un arbre, je t'ai vu * Au bout de tous mes voyages Au fond de tous mes tourments Au tournant de tous les rires Sortant de l'eau et du feu * L'Ă©tĂ©, l'hiver je t'ai vu Dans ma maison, je t'ai vu Entre mes bras, je t'ai vu Dans mes rĂŞves, je t'ai vu * Je ne te quitterai plus. * Paul Éluard ("Derniers poèmes d'amour") |
Déposé par poutounou le 25/09/2024Oui, tu vis Ă l'infini mon Ange... * Ă€ l'infini * LĂ -haut, tu es. LĂ -haut quoiqu'il advienne, ange-soleil d'un miracle Ă jamais que rien ne sĂ©pare de la pure lumière ni du souffle ascendant de notre amour promis * A une autre altitude, tu es lĂ , hors d'atteinte, hors du monde oĂą meurent les âmes et les corps. Tu danses sur l'horizon que je porte en moi pour abolir l'espace et le temps. Tu vis Ă l'infini. * AndrĂ© Velter ("L'amour extrème, poèmes pour Chantal Mauduit", Ă©ditions Gallimard, 2000) |
Déposé par poutounou le 22/09/2024Qui nous surveille ??? Notre Ange peut-ĂŞtre !!! * Quelqu'un * De l'autre cĂ´tĂ© du miroir Quelqu'un nous Ă©pie Quelqu'un compte nos fils d'argent un Ă un. Quelqu'un regarde se serrer l'Ă©pervier des rides Quelqu'un nous garde Quelqu'un nous emporte Quelqu'un ouvre et ferme des portes Ă l'envers. Quelqu'un nous oublie Quelqu'un vend de l'espoir Quelqu'un au visage blanc ou dorĂ© de l'autre cĂ´tĂ© du miroir sur le tain de la nuit. Quelqu'un, quelqu'un, quelqu'un mais qui ? * Armand Lanoux ("La tulipe orageuse " Seghers 1959) |
Déposé par poutounou le 18/09/2024Vous croyez qu’ils jouent aux billes lĂ -haut nos Anges ? Et pourquoi pas !!! Moi j’adorais jouer aux billes… * Un Ange parfois joue aux billes… * Ah ! que de merveilles scintillent Lorsque danse une goutte d'eau ! Un ange parfois joue aux billes, Une Ă©toile tombe au ruisseau. On ne sait jamais quel manteau De fĂ©e courant dans les jonquilles On peut coudre avec une aiguille En rĂŞvant derrière un carreau. * Maurice CarĂŞme |
Déposé par poutounou le 15/09/2024Coulez, Ă´ larmes Ă©ternelles, car ici-bas je reste seul… * L'ange envolĂ©. * Mon ange a reployĂ© ses ailes Et dort glacĂ© sous un linceul ; Coulez, Ă´ larmes Ă©ternelles, Car ici-bas je reste seul. * Ă” chère ombre au ciel envolĂ©e, Chaque nuit sous les noirs cyprès Versant des pleurs sur ton blanc mausolĂ©e, Je viens Ă©pancher mes regrets. * Cette douce sĹ“ur de mon âme, Pour charmer mon cĹ“ur attristĂ©, Me parlait encore de sa flamme Sur le seuil de l'Ă©ternitĂ©. * Ă” chère ombre au ciel envolĂ©e, Chaque nuit sous les noirs cyprès Versant des pleurs sur ton blanc mausolĂ©e, Je viens Ă©pancher mes regrets. * Si jusqu'Ă toi, de cette terre S'Ă©lève mon chant dĂ©solĂ©, Sois attentive Ă ma prière En ton beau royaume Ă©toilĂ©. * Ă” chère ombre au ciel envolĂ©e, Chaque nuit sous les noirs cyprès Versant des pleurs sur ton blanc mausolĂ©e, Je viens Ă©pancher mes regrets. * François-Marie Robert-Dutertre (1815-1898) |
Déposé par poutounou le 11/09/2024Le Bonheur c’est une truffe fraĂ®che dans le cou… * Le bonheur * Le bonheur est une plume La plus lĂ©gère qui soit. Il faut l'attraper Quand elle passe. * Le bonheur se cueille dans l'instant, Avec prĂ©caution Comme une fleur, Avant qu'elle ne se fane. * Le bonheur est cette poudre de soie, Qui passe, lĂ©gère, devant la lune, L'effleure, l'enserre, Et la pĂ©nètre de sa paix. * MĂŞme fragile, le bonheur Transfigure les choses insignifiantes, Il fait oublier le rĂ©el, Alors que la pensĂ©e remodèle nos traits. * La joie monte en nous, quand nous la donnons. C'est cela le moteur du bonheur. La dĂ©couverte du bonheur d'aimer S'ajoute au bonheur d'ĂŞtre aimĂ©. * Et malgrĂ© la nuit du monde, MalgrĂ© les destructions, Tenons notre lampe allumĂ©e, Pour que vive au dehors la lumière du bonheur. * HĂ©lène Ellenberger, Ferveur d'Automne |
Déposé par poutounou le 08/09/2024La joie * O ces larges beaux jours dont les matins flamboient ! La terre ardente et fière est plus superbe encor Et la vie Ă©veillĂ©e est d'un parfum si fort Que tout l'ĂŞtre s'en grise et bondit vers la joie. * Soyez remerciĂ©s, mes yeux, D'ĂŞtre restĂ©s si clairs, sous mon front dĂ©jĂ vieux, Pour voir au loin bouger et vibrer la lumière ; Et vous, mes mains, de tressaillir dans le soleil ; Et vous, mes doigts, de vous dorer aux fruits vermeils Pendus au long du mur, près des roses trĂ©mières. * Soyez remerciĂ©, mon corps, D'ĂŞtre ferme, rapide, et frĂ©missant encor Au toucher des vents prompts ou des brises profondes ; * O ces matins de fĂŞte et de calme beautĂ© ! Roses dont la rosĂ©e orne les purs visages, Oiseaux venus vers nous, comme de blancs prĂ©sages, Jardins d'ombre massive ou de frĂŞle clartĂ© ! * A l'heure oĂą l'ample Ă©tĂ© tiĂ©dit les avenues, Je vous aime, chemins, par oĂą s'en est venue Celle qui recĂ©lait entre ses mains, mon sort ; * Je vous aime, lointains marais et bois austères, Et sous mes pieds, jusqu'au trĂ©fonds, j'aime la terre OĂą reposent mes morts. * J'existe en tout ce qui m'entoure et me pĂ©nètre. Gazons Ă©pais, sentiers perdus, massifs de hĂŞtres, Eau lucide que nulle ombre ne vient ternir, Vous devenez moi-mĂŞme Ă©tant mon souvenir. * Emile Verhaeren, La Multiple Splendeur |
Déposé par poutounou le 04/09/2024L'Ă©cho * RĂ´dant, triste et solitaire Dans la forĂŞt du mystère, J’ai criĂ© le coeur très las : - « La vie est triste ici-bas ! » L’Écho m’a rĂ©pondu : « Bah ! » – « Écho, la vie est mĂ©chante ! » Et, d’une voix bien touchante, L’Écho m’a rĂ©pondu : « Chante ! » – « Écho, Écho des grands bois, Lourde, trop lourde est ma croix ! » L’Écho m’a rĂ©pondu : « Crois ! » – « La haine en moi va germer, Dois-je rire ou blasphĂ©mer ? » Et l’Écho m’a dit : « Aimer ! » Comme l’Écho des grands bois M’a conseillĂ© de le faire : J’aime, je chante et je crois ! Et je suis heureux sur terre ! * ThĂ©odore Botrel (1868-1925) |
Déposé par poutounou le 01/09/2024ElĂ©vation * Au-dessus des Ă©tangs, au-dessus des vallĂ©es, Des montagnes, des bois, des nuages, des mers, Par-delĂ le soleil, par-delĂ les Ă©thers, Par-delĂ les confins des sphères Ă©toilĂ©es, * Mon esprit, tu te meus avec agilitĂ©, Et, comme un bon nageur qui se pâme dans l'onde, Tu sillonnes gaiement l'immensitĂ© profonde Avec une indicible et mâle voluptĂ©. * Envole-toi bien loin de ces miasmes morbides; Va te purifier dans l'air supĂ©rieur, Et bois, comme une pure et divine liqueur, Le feu clair qui remplit les espaces limpides. * Derrière les ennuis et les vastes chagrins Qui chargent de leur poids l'existence brumeuse, Heureux celui qui peut d'une aile vigoureuse S'Ă©lancer vers les champs lumineux et sereins ; * Celui dont les pensĂ©es, comme des alouettes, Vers les cieux le matin prennent un libre essor, Qui plane sur la vie, et comprend sans effort Le langage des fleurs et des choses muettes ! * Charles Baudelaire (1821-1867), Les fleurs du mal |
Déposé par poutounou le 28/08/2024La richesse * Un jour, le père d'une très riche famille amène son fils Ă la campagne pour lui montrer comment les gens pauvres vivent. Ils y passent quelques jours sur la ferme d'une famille qui n'a pas beaucoup Ă leur offrir. Au retour, le père demande Ă son fils : "As-tu aimĂ© ton sĂ©jour?" "C'Ă©tait fantastique, papa". "As-tu vu comment les gens pauvres vivent ?" demande encore le père. "Ah oui" rĂ©pond le fils. "Alors qu'as-tu appris ?" Le fils lui rĂ©pond : "J'ai vu que nous n'avions qu'un chien, alors qu'ils en ont quatre. Nous avons une piscine qui fait la moitiĂ© du jardin et ils ont une grande rivière. Nous avons des lanternes dans notre jardin et eux ont des Ă©toiles partout dans le ciel. Nous avons une immense galerie Ă l'avant, et eux ont l'horizon. Nous avons un domaine, mais eux ont des champs Ă perte de vue. Nous avons des serviteurs alors qu'eux servent les autres. Nous achetons nos denrĂ©es et eux les cultivent. Nous avons des murs autour de la propriĂ©tĂ© pour nous protĂ©ger, eux ont des amis qui les protègent." Le père en resta muet. Le fils rajouta : "Merci papa de m'avoir montrĂ© tout ce que nous n'avons pas." Trop souvent nous oublions ce qui nous est acquis pour nous morfondre sur ce que nous n'avons pas... Ce qui est un objet sans valeur pour un, peut très bien ĂŞtre un trĂ©sor pour un autre. Ce n'est qu'une question de perspective. C'est Ă se demander ce qui arriverait si on rendait grâce pour tout ce que nous avons, au lieu d'en vouloir plus. Apprenez Ă apprĂ©cier ce que vous avez, y compris vos amis. * Anonyme |
Déposé par poutounou le 25/08/2024Message d’un « ĂŞtre humain » pour lequel j’avais beaucoup d’estime… * Le secret du bonheur... * Vous valez ce que vaut votre coeur. Toute l'histoire de l'humanitĂ© est l'histoire du besoin d'aimer et d'ĂŞtre aimĂ©. ... * Quel que soit l'usage qu'en font les humains, le cĹ“ur, symbole de l'amitiĂ© et de l'amour, a aussi ses normes, son Ă©thique. Faire place au coeur dans la construction harmonieuse de votre personnalitĂ© n'a rien Ă voir avec la sensiblerie ni mĂŞme la sentimentalitĂ©. Le coeur, c'est l'ouverture de tout l'ĂŞtre Ă l'existence des autres, la capacitĂ© de les deviner, de les comprendre. * Une telle sensibilitĂ©, vraie et profonde, rend vulnĂ©rable. C'est pourquoi certains sont tentĂ©s de s'en dĂ©faire en se durcissant. * Aimer, c'est donc essentiellement se donner aux autres. Loin d'ĂŞtre une inclination instinctive, l'amour est une dĂ©cision consciente de la volontĂ© d'aller vers les autres. Pour pouvoir aimer en vĂ©ritĂ©, il faut se dĂ©tacher de bien des choses et surtout de soi, donner gratuitement, aimer jusqu'au bout. Cette dĂ©possession de soi, oeuvre de longue haleine, est Ă©puisante et exaltante. Elle est source d'Ă©quilibre. Elle est le secret du bonheur. * Jean-Paul II, Extrait du Message aux jeunes de France, Paris, 1980 |
Déposé par poutounou le 21/08/2024Et oui ! Alors courage et au boulot….!!! * L'amour n'est pas tout fait, il se fait * L’amour n'est pas robe ou costume prĂŞt Ă porter, mais pièce d'Ă©toffe Ă tailler, Ă monter et Ă coudre. * Il n'est pas sommet vaincu, mais dĂ©part de la vallĂ©e, escalades passionnantes, chutes douloureuses, dans le froid de la nuit ou la chaleur du soleil Ă©clatant. * Il n'est pas solide ancrage au port du bonheur, mais levĂ©e d'ancrage et voyage en pleine mer, dans la brise ou la tempĂŞte. * Il n'est pas OUI triomphant, Ă©norme point final qu'on Ă©crit en musique, au milieu des sourires et des bravos, mais il est multitude de "oui" qui pointillent la vie, parmi une multitude de "non", qu'on efface en marchant. * Il n'est pas une brusque apparition de vie nouvelle, parfaite dès sa naissance, mais jaillissement de source et long trajet de fleuve aux multiples mĂ©andres, assĂ©chĂ© quelquefois, dĂ©bordant d'autres fois, mais toujours cheminant vers la mer infinie. |
Déposé par poutounou le 18/08/2024Ralentis ton rythme ! * As-tu dĂ©jĂ observĂ© les enfants jouer sur un carrousel ou Ă©coutĂ© la pluie tomber sur le toit ? DĂ©jĂ suivi un papillon volant gaiement ou bien admirĂ© un coucher de soleil ? * Tu devrais t'y arrĂŞter. Ne danse pas trop vite car la vie est courte. La musique ne dure pas Ă©ternellement. * Est-ce que tu cours toute la journĂ©e, toujours pressĂ© ? Lorsque tu demandes "Comment ça va ?", est-ce que tu prends le temps d'Ă©couter la rĂ©ponse ? * Lorsque la journĂ©e est terminĂ©e, est-ce que tu t'Ă©tends dans ton lit avec 100.000 choses Ă faire qui courent dans ta tĂŞte ? Tu devrais ralentir. * As-tu dĂ©jĂ dis Ă ton enfant : "Nous le ferons demain" et le remettre au surlendemain ? DĂ©jĂ perdu contact avec un ami, laisser une amitiĂ© mourir parce que tu n'avais jamais le temps d'appeler pour dire bonjour * Tu ferais mieux de ralentir, ne danse pas trop vite car la musique cessera un jour. La vie est si courte. * Lorsque tu cours si vite pour te rendre quelque part, tu manques la moitiĂ© du plaisir d'y ĂŞtre. Lorsque tu t'inquiètes et te fais du souci toute la journĂ©e, c'est comme un cadeau non ouvert que tu jetterais. * La vie n'est pas une course, tu dois ralentir ton rythme, prends le temps d'Ă©couter la musique avant que la chanson ne soit terminĂ©e. * Anonyme |
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