|
|
|
![]() Connectez vous pour utilisez Mails privés, carnet d'adresses et favoris |
En hommage à
YORKSHIRE-TERRIERfanny
Il est né le:13/12/2000
Il nous a quittés le:18/03/2011
En hommage à
fanny
2 bougies
De la part de 

9772 Fleurs
|
1833 messages
Déposé par choupinou le 19/03/2023PRINTEMPS Cris d窶册nfants, de voitures, du quotidien transperテァant le silence de nos coeur des cerisiers en fleur, et des abricotiers De loin une berceuse rythme chaque pas Promenade solitaire au cナ砥r de la campagne anesthテゥsiテゥe Dans le labyrinthe du prテゥsent malade et complテゥtement fou l窶冩xygティne flotte entre les branches parfumテゥes de mort Sybille Rembard, avec quelques changement de ma part |
Déposé par poutounou le 19/03/2023Hテゥlas ! Faut-il que meure ce bonheur ? * Impression de printemps * Il est des jours - avez-vous remarquテゥ ? - Oテケ l'on se sent plus lテゥger qu'un oiseau, Plus jeune qu'un enfant, et, vrai ! plus gai Que la mテェme gaietテゥ d'un damoiseau. * L'on se souvient sans bien se rappeler... テ益idemment l'on rテェve, et non, pourtant. L'on semble nager et l'on croirait voler. L'on aime ardemment sans amour cependant * Tant est lテゥger le coeur sous le ciel clair Et tant l'on va, sテサr de soi, plein de foi Dans les autres, que l'on trompe avec l'air D'テェtre plutテエt trompテゥ gentiment, soi. * La vie est bonne et l'on voudrait mourir, Bien que n'ayant pas peur du lendemain, Un dテゥsir indテゥcis s'en vient fleurir, Dirait-on, au coeur plus et moins qu'humain. * Hテゥlas ! faut-il que meure ce bonheur ? Meurent plutテエt la vie et son tourment ! テ dieux clテゥments, gardez-moi du malheur D'テ jamais perdre un moment si charmant. * Paul VERLAINE (1844-1896) |
Déposé par poutounou le 15/03/2023テ閣re seul, c窶册st la mort ! テ閣re deux, c窶册st la vie ! * Le ballet des heures * (Le Dieu Pan parle :) * Les heures sont des fleurs l'une aprティs l'autre テゥcloses Dans l'テゥternel hymen de la nuit et du jour ; Il faut donc les cueillir comme on cueille les roses Et ne les donner qu'テ l'amour. * Ainsi que de l'テゥclair, rien ne reste de l'heure, Qu'au nテゥant destructeur le temps vient de donner ; Dans son rapide vol embrassez la meilleure, Toujours celle qui va sonner. * Et retenez-la bien au grテゥ de votre envie, Comme le seul instant que votre テ「me rテェva ; Comme si le bonheur de la plus longue vie テ液ait dans l'heure qui s'en va. * Vous trouverez toujours, depuis l'heure premiティre Jusqu'テ l'heure de nuit qui parle douze fois, Les vignes, sur les monts, inondテゥs de lumiティre, Les myrtes テ l'ombre des bois. * Aimez, buvez, le reste est plein de choses vaines ; Le vin, ce sang nouveau, sur la lティvre versテゥ, Rajeunit l'autre sang qui vieillit dans vos veines Et donne l'oubli du passテゥ. * Que l'heure de l'amour d'une autre soit suivie, Savourez le regard qui vient de la beautテゥ ; テ閣re seul, c'est la mort ! テ閣re deux, c'est la vie ! L'amour c'est l'immortalitテゥ ! * Gテゥrard de NERVAL (1808-1855) |
Déposé par poutounou le 12/03/2023Qu窶册lle est belle cette poテゥsie de Thテゥophile Gautier !!! Mais qu窶冓l se dテゥpテェche un peu le printemps : envie d窶冰n peu de chaleur et de doux rayons du soleil窶ヲ * Premier sourire du printemps * Tandis qu'テ leurs oeuvres perverses Les hommes courent haletants, Mars qui rit, malgrテゥ les averses, Prテゥpare en secret le printemps. * Pour les petites pテ「querettes, Sournoisement lorsque tout dort, Il repasse des collerettes Et cisティle des boutons d'or. * Dans le verger et dans la vigne, Il s'en va, furtif perruquier, Avec une houppe de cygne, Poudrer テ frimas l'amandier. * La nature au lit se repose ; Lui descend au jardin dテゥsert, Et lace les boutons de rose Dans leur corset de velours vert. * Tout en composant des solfティges, Qu'aux merles il siffle テ mi-voix, Il sティme aux prテゥs les perce-neiges Et les violettes aux bois. * Sur le cresson de la fontaine Oテケ le cerf boit, l'oreille au guet, De sa main cachテゥe il テゥgrティne Les grelots d'argent du muguet. * Sous l'herbe, pour que tu la cueilles, Il met la fraise au teint vermeil, Et te tresse un chapeau de feuilles Pour te garantir du soleil. * Puis, lorsque sa besogne est faite, Et que son rティgne va finir, Au seuil d'avril tournant la tテェte, Il dit : " Printemps, tu peux venir ! " * Thテゥophile GAUTIER (1811-1872) |
Déposé par poutounou le 08/03/2023Vous テェtes mort un matin, un aprティs-midi ou un soir, magnifiques Anges !!! ツォ Et la plus morte mort est d窶兮voir survテゥcu ツサ !!! * Vous テェtes mort un soir * Vous テェtes mort un soir テ l'heure oテケ le jour cesse. Ce fut soudain. La douce et terrible paresse En vous envahissant ne vous a pas vaincu. Rien ne vous a prテゥdit la torpeur et la tombe. Vous eテサtes le sommeil. Moi, je peine et je tombe, Et la plus morte mort est d'avoir survテゥcu. * Anna de NOAILLES (1876-1933) |
Déposé par poutounou le 05/03/2023Que c窶册st bien dit : ツォ Le vivre vous chagrine et le mourir vous fテ「che... ツサ * Voix intテゥrieure * Mon ami, quels ennuis vous donnent de l'humeur ? Le vivre vous chagrine et le mourir vous fテ「che. Pourtant, vous n'aurez point au monde d'autre tテ「che Que d'テェtre objet qui vit, qui jouit et qui meurt. * Mon テ「me, aimez la vie, auguste, テ「pre ou facile, Aimez tout le labeur et tout l'effort humains, Que la vテゥritテゥ soit, vivace entre vos mains, Une lampe toujours, par vos soins, pleine d'huile. * Aimez l'oiseau, la fleur, l'odeur de la forテェt, Le gai bourdonnement de la citテゥ qui chante, Le plaisir de n'avoir pas de haine mテゥchante, Pas de malicieux et tテゥnテゥbreux secret, * Aimez la mort aussi, votre bonne patronne, Par qui votre dテゥsir de toutes choses croテョt, Et, comme un beau jardin qui s'テゥveille du froid, Remonte dans l'azur, reverdit et fleuronne ; * L'hospitaliティre mort aux genoux reposants Dans la douceur desquels notre nテゥant se pテ「me, Et qui vous bercera d'un geste, ma chティre テ「me, Inconcevablement テゥternel et plaisant... * Anna de NOAILLES (1876-1933) |
Déposé par poutounou le 04/03/2023Mes amis (es) du cimetiティre virtuel, * Aujourd窶冑ui cela fait 10 ans que Rubens m窶兮 quittテゥe. Vous savez tous et toutes comme ces ツォ dates ツサ, qui reviennent tous les ans, nous rappellent des souvenirs, et pas que des bons malheureusement窶ヲ !!! Alors j窶兮i dテゥcidテゥ de vous envoyer ce petit message, accompagnテゥ d窶冰n joli cナ砥r de fleurs, en vous remerciant chaudement pour tous les bouquets, les poティmes, les bougies, les petits ツォ mots doux ツサ que vous dテゥposez rテゥguliティrement sur la page de ma ツォ tendre boule de poils ツサ窶ヲ Il me manque toujours autant窶ヲ Merci encore, bonne journテゥe テ vous et bizzz テ tous vos Anges窶ヲ !!! * Martine et Iron |
Déposé par poutounou le 01/03/2023Nos anges ne seront jamais oubliテゥs... * Le calmant * Plus qu'ennuyテゥe Triste. Plus que triste Malheureuse. Plus que malheureuse Souffrante. Plus que souffrante Abandonnテゥe. Plus qu'abandonnテゥe Seule au monde. Plus que seule au monde Exilテゥe. Plus qu'exilテゥe Morte. Plus que morte Oubliテゥe. * Marie Laurencin ("Poティmes" - Bernouard テゥditeur, 1926) Marie Laurencin (1883-1956) , peintre certes, mais テゥgalement poティte sous le pseudonyme de Louis Lalanne, |
Déposé par poutounou le 26/02/2023La vie se rテゥsume テ ces quelques mots, que l窶冩n soit un humain ou un chien : "Entrez, sortez et puis bonsoir !" * Epitaphe pour n'importe qui * On ne sait pourquoi cet homme prit naissance. Et pourquoi mourut-il ? On ne l'a pas connu. Il vint nu dans ce monde, et, pour comble de chance, Partit comme il テゥtait venu. * La gaテョtテゥ, le chagrin, l'espテゥrance, la crainte, Ensemble ou tour テ tour ont fait battre son coeur. Ses lティvres n'ignoraient le rire ni la plainte. Son oeil fut sincティre et moqueur. * Il mangeait, il buvait, il dormait ; puis, morose, Recommenテァait encor dormir, boire et manger ; Et chaque jour c'テゥtait toujours la mテェme chose, La mテェme chose pour changer. * Il fit le bien, et vit que c'テゥtait des chimティres. Il fit le mal ; le mal le laissa sans remords. Il avait des amis ; amitiテゥs テゥphテゥmティres ! Des ennemis ; mais ils sont morts. * Il aima. Son amour d'une autre fut suivie, Et de plusieurs. Sur tout le dテゥgoテサt vint s'asseoir. Et cet homme a passテゥ comme passe la vie Entrez, sortez, et puis bonsoir ! * Jean RICHEPIN (1849-1926) |
Déposé par poutounou le 22/02/2023Que c窶册st beau : ツォ voile ma douleur solitaire ツサ窶ヲ * A la nuit * Toujours le malheureux t'appelle, テ nuit, favorable aux chagrins ! Viens donc, et, porte sur ton aile L'oubli des perfides humains. Voile ma douleur solitaire ; Et, lorsque la main du Sommeil Fermera ma triste paupiティre, テ dieux ! reculez mon rテゥveil ; Qu'テ pas lents l'aurore s'avance Pour ouvrir les portes du jour : Importuns, gardez le silence, Et laissez dormir mon amour. * Evariste de PARNY (1753-1814) |
Déposé par poutounou le 19/02/2023Ton souvenir aussi se creuse plus avant, mon doux Ange... * La Grand-mティre * Voici trois ans qu'est morte ma grand'mティre, La bonne femme, et, quand on l'enterra, Parents, amis, tout le monde pleura D'une douleur bien vraie et bien amティre. * Moi seul j'errais dans la maison, surpris Plus que chagrin ; et, comme j'テゥtais proche De son cercueil, quelqu'un me fit reproche De voir cela sans larmes et sans cris. * Douleur bruyante est bien vite passテゥe : Depuis trois ans, d'autres テゥmotions, Des biens, des maux, des rテゥvolutions, Ont dans les murs sa mテゥmoire effacテゥe. * Moi seul j'y songe, et la pleure souvent ; Depuis trois ans, par le temps prenant force, Ainsi qu'un nom gravテゥ dans une テゥcorce, Son souvenir se creuse plus avant ! * Gテゥrard de Nerval ("Odelettes", 1832) |
Déposé par poutounou le 15/02/2023Il est oテケ le "chemin de clartテゥ" ??? C'est peut-テェtre le chemin du coeur !!! * Le veilleur solitaire * Il y a toujours dans la nuit de la ville une petite fenテェtre qui brille trティs loin au bord du ciel une fenテェtre au loin, une lampe qui brテサle, un homme ou peut-テェtre un enfant penchテゥ sur la page d'un livre oテケ les mots brテサlent et brillent. Et le cナ砥r de l'homme ou de l'enfant brテサle d'un sang plus vif, s'exalte, s'illumine. * Il y a toujours au bord du ciel un veilleur solitaire qui cherche dans la nuit son chemin de clartテゥ. * Jean Joubert ("La maison du poティte" - Pluie d'テゥtoiles テゥditions, 1999) |
Déposé par poutounou le 12/02/2023Que c'est joli ! "Il faut savoir marier la mort avec la vie !". * Un jour de colティre * Un jour de colティre tu te gonfles comme un poisson-lune un jour de douceur ta bouche est en fleur Il ne faut pas espテゥrer tテゥter sans cesse le lait de la vie il faut savoir marier le soleil avec la pluie * Un jour de couleur l窶册nfer embrasse ton coeur mais un jour de miel comme tu es suave ! Il ne faut pas espテゥrer tテゥter sans cesse le lait de la vie il faut savoir marier Douleur avec Plaisir * Un de tes amis meurt tu es brisテゥ de chagrin un enfant naテョt ton coeur est en fテェte Il ne faut pas espテゥrer tテゥter sans cesse le lait de la vie il faut savoir marier la Mort avec la Vie * Hector Poullet ("Paroles en l窶兮ir" , テゥditions Desormeaux, 1978) |
Déposé par poutounou le 08/02/2023Soulagement * Quand je n'ai pas le coeur prテェt テ faire autre chose, Je sors et je m'en vais, l'テ「me triste et morose, Avec le pas distrait et lent que vous savez, Le front timidement penchテゥ vers les pavテゥs, Promener ma douleur et mon mal solitaire Dans un endroit quelconque, au bord d'une riviティre, Oテケ je puisse enfin voir un beau soleil couchant. * O les rテェves alors que je fais en marchant, Dans la tranquillitテゥ de cette solitude, Quand le calme revient avec la lassitude ! Je me sens mieux. * Je vais oテケ me mティne mon coeur. Et quelquefois aussi, je m'assieds tout rテェveur, Longtemps, sans le savoir, et seul, dans la nuit brune, Je me surprends parfois テ voir monter la lune. |
Déposé par poutounou le 05/02/2023ツォ La tranquille habitude aux mains silencieuses panse, de jour en jour, nos plus grandes blessures... ツサ * L'habitude * La tranquille habitude aux mains silencieuses Panse, de jour en jour, nos plus grandes blessures ; Elle met sur nos coeurs ses bandelettes sテサres Et leur verse sans fin ses huiles oublieuses ; * Les plus nobles chagrins, qui voudraient se dテゥfendre, Dテゥsireux de durer pour l'amour qu'ils contiennent, Sentent le besoin cher et dont ils s'entretiennent Devenir, malgrテゥ eux, moins farouche et plus tendre ; * Et, chaque jour, les mains endormeuses et douces, Les insensibles mains de la lente Habitude, Resserrent un peu plus l'テゥtrange quiテゥtude Oテケ le mal assoupi se soumet et s'テゥmousse ; * Et du mテェme toucher dont elle endort la peine, Du mテェme frテエlement dテゥlicat qui repasse Toujours, elle dテゥlustre, elle テゥteint, elle efface, Comme un reflet, dans un miroir, sous une haleine, * Les gestes, le sourire et le visage mテェme Dont la prテゥsence テゥtait divine et meurtriティre ; Ils pテ「lissent couverts d'une fine poussiティre ; La source des regrets devient voilテゥe et blテェme. * A chaque heure apaisant la souffrance amollie, Otant de leur テゥclat aux voluptテゥs perdues, Elle rapproche ainsi de ses mains assidues, Le passテゥ du prテゥsent, et les rテゥconcilie ; * La douleur s'amoindrit pour de moindres dテゥlices ; La blessure adoucie et calme se referme ; Et les hauts dテゥsespoirs, qui se voulaient sans terme, Se sentent lentement changテゥs en cicatrices ; * Et celui qui chテゥrit sa sombre inquiテゥtude. Qui verserait des pleurs sur sa douleur dissoute, Plus que tous les tourments et les cris vous redoute, Silencieuses mains de la lente Habitude. * Auguste ANGELLIER (1848-1911) |
Déposé par poutounou le 01/02/2023Les caresses des yeux les plus douces, les plus pures, sont celles de nos merveilleux Anges... * Les caresses des yeux * Les caresses des yeux sont les plus adorables ; Elles apportent l'テ「me aux limites de l'テェtre, Et livrent des secrets autrement ineffables, Dans lesquels seul le fond du coeur peut apparaテョtre. * Les baisers les plus purs sont grossiers auprティs d'elles ; Leur langage est plus fort que toutes les paroles ; Rien n'exprime que lui les choses immortelles Qui passent par instants dans nos テェtres frivoles. * Lorsque l'テ「ge a vieilli la bouche et le sourire Dont le pli lentement s'est comblテゥ de tristesses, Elles gardent encor leur limpide tendresse ; * Faites pour consoler, enivrer et sテゥduire, Elles ont les douceurs, les ardeurs et les charmes ! Et quelle autre caresse a traversテゥ des larmes ? * Auguste ANGELLIER (1848-1911) |
Déposé par poutounou le 29/01/2023Mais non, ils sont toujours lテ : dans le vent, dans la pluie, dans les rayons du soleil窶ヲ ! Il suffit d窶凖ゥcouter avec son cナ砥r窶ヲ * Sur le fil * Ma chair fissure Sous l窶兮bsence Les silences grignotent L窶冑ier Les mots gercent Les lティvres De cette vie en barbelテゥs Tu ne sens pas mon odeur Tu n窶册ntends pas le son de ma voix Tu ne me vois pas Tu ne me touches pas Tu me laisses seule ici Tu oublies de me faire un signe Tu gommes mon sourire Tu me prives de toi, de nous窶ヲ * Sandrine Davin |
Déposé par poutounou le 25/01/2023ツォ Mon テ「me immortelle reviendra prティs de toi ツサ. Elle est toujours テ nos cテエtテゥs leur belle テ「me 窶ヲ !!! * Rappelle toi * (Vergiss mein nicht) (Paroles faites sur la musique de Mozart) * Rappelle-toi, quand l窶僊urore craintive Ouvre au Soleil son palais enchantテゥ ; Rappelle-toi, lorsque la nuit pensive Passe en rテェvant sous son voile argentテゥ ; Aux doux songes du soir lorsque l窶冩mbre t窶冓nvite, Ecoute au fond des bois Murmurer une voix : Rappelle-toi. * Rappelle-toi, lorsque les destinテゥes M窶兮uront de toi pour jamais sテゥparテゥ, Quand le chagrin, l窶册xil et les annテゥes Auront flテゥtri ce coeur dテゥsespテゥrテゥ ; Songe テ mon triste amour, songe テ l窶兮dieu suprテェme ! L窶兮bsence ni le temps ne sont rien quand on aime. Tant que mon coeur battra, Toujours il te dira Rappelle-toi. * Rappelle-toi, quand sous la froide terre Mon coeur brisテゥ pour toujours dormira ; Rappelle-toi, quand la fleur solitaire Sur mon tombeau doucement s窶冩uvrira. Je ne te verrai plus ; mais mon テ「me immortelle Reviendra prティs de toi comme une soeur fidティle. Ecoute, dans la nuit, Une voix qui gテゥmit : Rappelle-toi. * Alfred de Musset |
Déposé par poutounou le 22/01/2023C窶册st テァa la vie : ツォ un fil sur lequel nous dansons ou pleurons ツサ, c窶册st selon窶ヲ !!! * Pテエles * Quand l窶冰ne s窶兮llume l窶兮utre s窶凖ゥteint la joie de la plume le poids du chagrin Entre ces deux sentiments un fil est tendu sur lequel funambules nous dansons ou pleurons La vie nous joue aux dテゥs cubes du hasard tantテエt テゥpris de lumiティre tantテエt hantテゥs par le soleil noir Quand l窶冰ne s窶兮llume l窶兮utre s窶凖ゥteint l窶凖ゥclat de ma plume l窶冩mbre de mon chagrin * Kamal Zerdoumi, 2019 |
Déposé par poutounou le 18/01/2023Vous croyez qu窶冓ls jouent aux billes lテ-haut nos Anges ? Et pourquoi pas !!! * Un Ange parfois joue aux billes窶ヲ * Ah ! que de merveilles scintillent Lorsque danse une goutte d'eau ! Un ange parfois joue aux billes, Une テゥtoile tombe au ruisseau. On ne sait jamais quel manteau De fテゥe courant dans les jonquilles On peut coudre avec une aiguille En rテェvant derriティre un carreau. * Maurice Carテェme |
L'Album photo contient 132 photos