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En hommage à
YORKSHIRE-TERRIERSEVEN
Il est né le:25/12/2001
Il nous a quittés le:18/08/2016
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176 Fleurs
589 messages
Déposé par co33 le 18/08/2019Mon Venou Il y a 3 ans aujourd’hui, j’ai eu connu la plus grande douleur jamais vécue, cet été là, j’ai dû te dire ce dernier au revoir, il m’a brisé le cœur. Toi mon Merveilleux Amour, qui m’a donné tant d’amour durant toute ta vie, Toi qui étais tout pour moi, mon Bébé, mon fils, mon ami, mon confident, mon Bien Aimé, je n’arrive toujours pas à faire ce deuil de Toi, je t’aime trop pour accepter l’inacceptable. Toi qui qui m’a tant aimé, tu n’avais d’yeux que pour moi, tu savais comment me rendre heureuse, mettre du baume sur mon cœur lorsque j’étais triste, tu savais tout de moi, tu me rendais heureuse, nous étions fusionnels tous les deux, pas besoin de paroles pour se comprendre, un regard suffisait. Je n’oublierai jamais ce dernier « je t’aime » dans tes yeux ce jour-là, ce maudit jour où tu t’es endormi dans mes bras pour toujours. Mon Venou, ce jour-là, je n’aurais jamais voulu le vivre, je l’ai tant redouté… Devoir te laisser partir m’a anéantie, j’avais tant d’amour à te donner encore. Sans Toi à mes côtés, c’est comme un été sans soleil, un printemps sans fleurs, une nuit sans étoiles, ma vie n’est et ne sera plus jamais la même, les nuages ont assombri mon ciel, et mon cœur est naufragé. Tu manques à ma vie mon Tendre Amour, comment retrouver la paix dans mon cœur alors que tu n’es plus là ? Je voudrais encore pouvoir te serrer contre moi et te murmurer cette douce chanson que je te chantais, Toi mon Bien Aimé, mon Petit Garçon, mon plus Grand Amour, si tu savais combien je t’aime… Mon Merveilleux Seven, tu m’as tant donné durant toute ta vie, grâce à Toi, j’ai connu le meilleurs, mes plus belles années aussi je le ai partagées avec Toi, Petit par la taille mais si grand par tout l’amour que tu me donnais, les petits coups de langue sur mon visage le matin au réveil, les câlinous à n’en plus finir, les parties de balle, ce rituel auquel tu tenais chaque soir, les regards remplis d’amour que tu me donnais, notre vie était faite que de moments de bonheur. Je n’imaginais pas qu’il pouvait y avoir autant d’amour en Toi lorsque je suis venue te chercher alors que tu n’étais encore qu’un Bébé. Mon Bébé adoré, tu as grandi dans l’amour, même si nous avons aussi partagé bien des tempêtes, notre amour nous a rendus plus forts Toi et moi pour les affronter, je ne te remercierais jamais assez pour m’avoir soutenue dans toutes ces périodes difficiles que j’ai dû affronter. Je ne cesserais jamais de t’aimer, tu es l’amour de ma vie pour toujours, mon Petit Venou adoré, mon Trésor, mon Ange, je t’aime à l’infini |
Déposé par poutounou le 11/08/2019Un Paradis où « l'infini flotte dans l'éternel », comme le Paradis blanc de nos Anges !!! * Savez-vous pas... * Savez-vous pas quelque douce retraite, Au fond des bois, un lac au flot vermeil, Où des palmiers la grande feuille arrête Les bruits du monde et les traits du soleil - Oh ! je voudrais, loin de nos vieilles villes, Par la savane aux ondoyants cheveux, Suivre, en rêvant, les écureuils agiles, Et voir sauter, sur les branches mobiles, L'ara de pourpre et les bengalis bleus ! * Savez-vous pas, sur les plages lointaines Où n'ont jamais passé les matelots, Une île heureuse aux suaves haleines, Bouquet de fleurs effeuillé sur les flots ? - Oh ! je voudrais, seul avec ma pensée, Jetant au vent la poussière des jours, Sentir mon âme aux vagues balancée, Et m'endormir sur l'onde cadencée Comme un enfant que l'on berce toujours ! * Savez-vous pas, loin de la froide terre, Là-haut ! là-haut ! dans les plis du ciel bleu, Un astre d'or, un monde solitaire Roulant en paix sous le souffle de Dieu ? - Oh ! je voudrais une planète blonde, Des cieux nouveaux, d'étranges régions, Où l'on entend, ainsi qu'un vent sur l'onde, Glisser la nuit, sous la voûte profonde, Le char brillant de constellations ! * Où fuir ? où fuir ? Par les routes humaines Le sable est dur et le soleil est lourd. Ma bouche ardente a tari les fontaines Et l'arbre est mort où j'ai cueilli l'amour. - Oh ! je voudrais, loin du temps et des choses, Débarrassé de tout lien charnel, Courir joyeux dans les métamorphoses, Puis me plonger à la source des causes, Où l'Infini flotte dans l'Éternel ! * Louis BOUILHET (1822-1869) |
Déposé par choupinou le 08/08/2019on peut oublier,un visage,une image,mais on ne peut tout à fait effacer de sa mémoire la chaleur d'une émotion,la douceur d'un geste,le son d'une voix tendre qui vous parle dans le silence et qui vous dit merci de ne pas nous avoir oublié,car de cette façon nous savons que nous faisons partis un peu de vous;d'une grande famille qui aujourd'hui nous'aime et pense a nous,simplement par vos fleurs et petits messages,merci pour nos anniversaires et jours hommages,merci de ne pas nous laisser dans un petits coins sans venir nous voir,nous qui avons subit l'indifférence et la maltraitance,votre amour et soutien nous sommes précieux,vos petits amis AK47 /MINETTE /ARTURO / GAGY /CECILE et tous nos amis d'infortunes.... MERCI d'être là pour nous.... même si notre amie choupinoucelibab ne peut pas toujours vous remerciez pour nous,soyez sur que nous vous en serons toujours reconnaissant et veillerons sur vous de la haut ,nous,petites étoiles,parmi vos petits anges de lumière et d'amour........ |
Déposé par poutounou le 04/08/2019Que c’est bien dit : « Le vivre vous chagrine et le mourir vous fâche... » * Voix intérieure * Mon ami, quels ennuis vous donnent de l'humeur ? Le vivre vous chagrine et le mourir vous fâche. Pourtant, vous n'aurez point au monde d'autre tâche Que d'être objet qui vit, qui jouit et qui meurt. * Mon âme, aimez la vie, auguste, âpre ou facile, Aimez tout le labeur et tout l'effort humains, Que la vérité soit, vivace entre vos mains, Une lampe toujours par vos soins pleine d'huile. * Aimez l'oiseau, la fleur, l'odeur de la forêt, Le gai bourdonnement de la cité qui chante, Le plaisir de n'avoir pas de haine méchante, Pas de malicieux et ténébreux secret, * Aimez la mort aussi, votre bonne patronne, Par qui votre désir de toutes choses croît, Et, comme un beau jardin qui s'éveille du froid, Remonte dans l'azur, reverdit et fleuronne ; * L'hospitalière mort aux genoux reposants Dans la douceur desquels notre néant se pâme, Et qui vous bercera d'un geste, ma chère âme, Inconcevablement éternel et plaisant... * Anna de NOAILLES (1876-1933) |
Déposé par poutounou le 28/07/2019Il y a une vie après la mort, c’est sûr !!! Mais qu’il est beau ce poème ! « Mort qu’on appelle enfin quand on l’a méditée… !!!» * Prière * Fantôme qui nous dois dans la tombe enfermer, Mort dont le nom répugne et dont l'image effraie, Mais qu'à force de crainte on finit par aimer, Puisque la vie est vaine et que toi seule es vraie ; * Ô Mort, qui fais qu'on vit sans but et qu'on est las, Et qu'on rejette au loin la coupe non goûtée, Mort qu'on maudit d'abord et dont on ne veut pas, Mais qu'on appelle enfin quand on t'a méditée ; * Ô la peur et l'espoir des âmes, bonne Mort, Dont le souci nous trouble un temps, et puis nous aide, Mystérieux écueil où se blottit un port, Et poison merveilleux où se cache un remède. ... * Jules TELLIER (1863-1889) |
Déposé par poutounou le 21/07/2019Merci Monsieur Verlaine pour vos magnifiques poèmes !!! * Il pleure dans mon coeur * Il pleure dans mon coeur Comme il pleut sur la ville ; Quelle est cette langueur Qui pénètre mon coeur ? * Ô bruit doux de la pluie Par terre et sur les toits ! Pour un coeur qui s'ennuie, Ô le chant de la pluie ! * Il pleure sans raison Dans ce coeur qui s'écoeure. Quoi ! nulle trahison ?... Ce deuil est sans raison. * C'est bien la pire peine De ne savoir pourquoi Sans amour et sans haine Mon coeur a tant de peine ! * Paul VERLAINE (1844-1896) |
Déposé par poutounou le 14/07/2019Quelqu’un meurt, et c’est comme un silence qui hurle !!! * L’Arbre et la graine * Quelqu’un meurt, et c’est comme des pas qui s’arrêtent. Mais si c’était un départ pour un nouveau voyage ? Quelqu’un meurt, et c’est comme un arbre qui tombe. Mais si c’était une graine germant dans une terre nouvelle ? Quelqu’un meurt, et c’est comme une porte qui claque. Mais si c’était un passage s’ouvrant sur d’autres paysages ? Quelqu’un meurt, et c’est comme un silence qui hurle. Mais s’il nous aidait à entendre la fragile musique de la vie ? * Benoît Marchon |
Déposé par poutounou le 07/07/2019Nos anges ne seront jamais oubliés... * Le calmant * Plus qu'ennuyée Triste. Plus que triste Malheureuse. Plus que malheureuse Souffrante. Plus que souffrante Abandonnée. Plus qu'abandonnée Seule au monde. Plus que seule au monde Exilée. Plus qu'exilée Morte. Plus que morte Oubliée. * Marie Laurencin ("Poèmes" - Bernouard éditeur, 1926) Marie Laurencin (1883-1956) , peintre certes, mais également poète sous le pseudonyme de Louis Lalanne, et muse de Guillaume Apollinaire ... |
Déposé par poutounou le 30/06/2019C'est exactement comme ça quand on est mélancolique... Heureusement qu'il y a de beaux moments dans la vie : Le souvenir des moments passés avec nos Anges par exemple... et le contact que nous gardons avec eux bien après leur disparition !!! C’est un poème que j’adore !!! * Spleen... * Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle Sur l'esprit gémissant en proie aux longs ennuis, Et que de l'horizon embrassant tout le cercle Il nous verse un jour noir plus triste que les nuits ; * Quand la terre est changée en un cachot humide, Où l'Espérance, comme une chauve-souris, S'en va battant les murs de son aile timide Et se cognant la tête à des plafonds pourris ; * Quand la pluie étalant ses immenses traînées D'une vaste prison imite les barreaux, Et qu'un peuple muet d'infâmes araignées Vient tendre ses filets au fond de nos cerveaux, * Des cloches tout à coup sautent avec furie Et lancent vers le ciel un affreux hurlement, Ainsi que des esprits errants et sans patrie Qui se mettent à geindre opiniâtrement. * Et de longs corbillards, sans tambours ni musique, Défilent lentement dans mon âme ; l'Espoir, Vaincu, pleure, et l'Angoisse atroce, despotique, Sur mon crâne incliné plante son drapeau noir. * Charles BAUDELAIRE (1821-1867) |
Déposé par poutounou le 23/06/2019Sauvons-nous tous dans le fond de notre cœur avec notre ou nos anges… * L'absence *. Quand je me sens mourir du poids de ma pensée, Quand sur moi tout mon sort assemble sa rigueur, D'un courage inutile affranchie et lassée, Je me sauve avec toi dans le fond de mon cœur ! * Tu grondes ma tristesse, et, triste de mes larmes, De tes plus doux accents tu me redis les charmes : J'espère ! ... car ta voix, plus forte que mon sort, De mes chagrins profonds triomphe sans effort. * Je ne sais ; mais je crois qu'à tes regrets rendue, Dans ces seuls entretiens tu m'as tout entendue. Tu ne dis pas : « Ce soir ! » Tu ne dis pas : « Demain ! » Non, mais tu dis : « Toujours ! » en pleurant sur ma main. * Marceline Desbordes-Valmore (1786-1859) |
Déposé par poutounou le 16/06/2019Oui, quand tout va mal, pensons fort à nos Anges, car ils seront toujours là pour nous... !!! * Les cloches du soir * Quand les cloches du soir, dans leur lente volée, Feront descendre l'heure au fond de la vallée ; Quand tu n'auras d'amis, ni d'amours près de toi, Pense à moi ! pense à moi ! * Car les cloches du soir avec leur voix sonore A ton cœur solitaire iront parler encore ; Et l'air fera vibrer ces mots autour de toi : Aime-moi ! aime-moi ! * Si les cloches du soir éveillent tes alarmes, Demande au temps ému qui passe entre nos larmes : Le temps dira toujours qu'il n'a trouvé que toi, Près de moi ! près de moi ! * Quand les cloches du soir, si tristes dans l'absence, Tinteront sur mon cœur ivre de ta présence : Ah ! c'est le chant du ciel qui sonnera pour toi, Et pour moi ! et pour moi ! * Marceline Desbordes-Valmore (1786-1859) |
Déposé par poutounou le 09/06/2019Être seul, c’est la mort ! Être deux, c’est la vie ! Vous nous manquez tant, magnifiques Anges que vous êtes... * Le ballet des heures * (Le Dieu Pan parle :) * Les heures sont des fleurs l'une après l'autre écloses Dans l'éternel hymen de la nuit et du jour ; Il faut donc les cueillir comme on cueille les roses Et ne les donner qu'à l'amour. * Ainsi que de l'éclair, rien ne reste de l'heure, Qu'au néant destructeur le temps vient de donner ; Dans son rapide vol embrassez la meilleure, Toujours celle qui va sonner. * Et retenez-la bien au gré de votre envie, Comme le seul instant que votre âme rêva ; Comme si le bonheur de la plus longue vie Était dans l'heure qui s'en va. * Vous trouverez toujours, depuis l'heure première Jusqu'à l'heure de nuit qui parle douze fois, Les vignes, sur les monts, inondés de lumière, Les myrtes à l'ombre des bois. * Aimez, buvez, le reste est plein de choses vaines ; Le vin, ce sang nouveau, sur la lèvre versé, Rajeunit l'autre sang qui vieillit dans vos veines Et donne l'oubli du passé. * Que l'heure de l'amour d'une autre soit suivie, Savourez le regard qui vient de la beauté ; Être seul, c'est la mort ! Être deux, c'est la vie ! L'amour c'est l'immortalité ! * Gérard de NERVAL (1808-1855) |
Déposé par poutounou le 02/06/2019« Plus d’une voix longtemps morte murmure encor des adieux... » * La chanson du souvenir * Dans le vol tremblant de l'heure Que nul ne peut retenir Passe lentement et pleure La chanson du souvenir. * Et quand sa course l'emporte Plus loin que ne vont nos yeux, Plus d'une voix longtemps morte Murmure encor des adieux. * Ainsi chaque heure envolée Du nid fragile des jours Nous fait plus inconsolée La perte de nos amours ! * Armand Silvestre. |
Déposé par poutounou le 26/05/2019Pour toutes les mamans de coeur du cimetière virtuel, de la part des Anges et Angelettes du Paradis blanc... * Le coeur de ma maman... * Quand je suis sur tes genoux, Caché(e) tout près de ton cœur Il fait bien chaud et plus doux Qu'au fond d'un nid de bonheur Et quand, sur tes genoux, J'écoute battre ton cœur, J'entends ma maman, Tout doux, tout doux, Chanter le bonheur. |
Déposé par poutounou le 19/05/2019Une jolie petite histoire de “lapinou”... * Le petit lapin * Dans le pré qui vers l'eau dévale, Un lapin sauvage détale. Un saut bref, un rapide élan, Et montrant son panache blanc, Il fuit vers la forêt prochaine. Une touffe de marjolaine L'arrête un peu. Faisant le guet, Il entr'ouvre un œil inquiet, Et, seule, son oreille bouge ! Un bond brusque dans le foin rouge, Et, n'entendant plus aucun bruit, Le nez au vent, humant la nuit Où déjà la lune se lève, Assis sur son derrière, il rêve. * Jeanne Marvig * * * Je vous donne quelques nouvelles d’Iron !!! Il va bien ; il prend du Soliphen deux fois par jour et n’a pas fait de nouvelles crises. Apparemment il supporte bien le traitement. Le 6 juin, le véto lui fera une nouvelle analyse sanguine pour vérifier si tout va bien côté organes. Je me répète, mais encore un ENORME MERCI pour tous vos conseils et soutiens. Ce n’est jamais évident lorsqu’un de nos trésors est malade. Malheureusement ils ne parlent pas. Je vous fais à tous un gros poutounou tout doux. * Martine et Iron |
Déposé par poutounou le 12/05/2019Oui, joli Printemps avec sa douceur et son soleil… !!! * Printemps qui vient… * Printemps qui vient fleurir le temps arrive un jour sans qu’on le voit venir Printemps qui vient comme le vent souffler sur l’hiver et le faire partir Printemps qui vient renaître à nouveau nous caresser la peau et nous faire sourire Printemps qui vient avec la Douceur accueillir le Soleil qu’on avait oublié Printemps qui vient nous réchauffer arroser les jardins, faire jaillir les fleurs Printemps qui vient nous dire « Je t’aime » Afin qu’on puisse tout recommencer * Elodie Santos, 2009 |
Déposé par poutounou le 05/05/2019Allons faire un petit tour dans le Paradis blanc de nos anges : on aime et on est aimé ... * L'invitation au voyage * Mon enfant, ma soeur, Songe à la douceur D'aller là-bas vivre ensemble ! Aimer à loisir, Aimer et mourir Au pays qui te ressemble ! Les soleils mouillés De ces ciels brouillés Pour mon esprit ont les charmes Si mystérieux De tes traîtres yeux, Brillant à travers leurs larmes. Là, tout n'est qu'ordre et beauté, Luxe, calme et volupté. * Charles Baudelaire (Les Fleurs du mal) |
Déposé par choupinou le 01/05/2019Jolis carillons sonnent le mois de mai Odorantes clochettes du printemps. Blanches nacrées et ciselées Délicieuses perles sur tige montante. Brin de muguet à offrir à mon aimé Brin de muguet ,tu embaumes délicatement pour nous deux,notre coeur, Dire je t’aime tout simplement. Fleur pour un peu de bonheur,même sous une carapace triste avec un peu de joie et espoir de vous savoir quelque part ,auprès de nous Pour une journée toute en douceur. car l'amour est comme la fleur du bonheur,elle est éternelle dans nos coeurs ************************************* Aujourd'hui c'est le 1 Mai alors préparez vous.... Cherchez,,cherchez les jolis brins de Muguet dans les bois,sur les talus au coin d'un rocher,cherchez dans le beau jardin et trouvez,trouvez,.... et vous sentirez,sentirez ces belles clochettes parfumées Regarder ce massif de fleurs et oui vous avez le droit... et vous cueillerez,cueillerez tous ensemble,dans la joie l'amour que nous vous apportons,dans ces merveilleux petits brins ,blancs,ils sont pour vous ils sont le fruit,le lien de notre amour infini qui nous unis encore et pour toujours vos mamans et papas et ton amie choupinou |
Déposé par poutounou le 01/05/2019J’envoie à tous les Anges et Angelettes, ainsi qu’aux mamans et papas de coeur, un joli brin de muguet virtuel qui, je l’espère du fond du coeur, vous apportera plein d’amour, de bonheur et de santé...et un peu de monnaie pour ceux qui en auraient besoin !!! * Par un beau matin du mois de mai On vit danser Monsieur muguet Au bras d'une pervenche bleue Il dansait avec les fleurs des champs Ils s'embrassaient à cœur content Comme le font les gens heureux" * Yvette Giraud - Paroles : Henri Contet. |
Déposé par poutounou le 27/04/2019En me promenant avec Iron en forêt, je vois les premiers bourgeons, les premières feuilles et c’est magnifique le renouveau de la nature... * Une graine voyageait * Une graine voyageait toute seule pour voir le pays. Elle jugeait les hommes et les choses. Un jour elle trouva joli le vallon et agréables quelques cabanes. Elle s'est endormie. Pendant qu'elle rêvait elle est devenue brindille et la brindille a grandi, puis elle s'est couverte de bourgeons. Les bourgeons ont donné des branches. Tu vois ce chêne puissant c'est lui, si beau, si majestueux, cette graine, Oui mais le chêne ne peut pas voyager. * Alain Bosquet * * * Coucou mes amies (is), * Je vous donne des nouvelles de mon petit coeur Iron. Il va mieux, beaucoup mieux. Le véto a changé son médicament et lui a prescrit une dose plus faible. Il prend du Soliphen maintenant. Je touche du bois !!! Pour l’instant tout va bien. Il ne me fait plus de diarrhée et il bouge ses pattes arrières normalement. Nous irons voir le véto une fois par mois, ce qui lui permettra de bien suivre « petit filou ». Je vous avoue que j’ai eu bien peur : c’est très impressionnant une crise épileptique. Iron se couchait sur le côté et tremblait de tous ses membres et bavait beaucoup. On ne sait pas trop comment réagir lorsque ça arrive. Moi j’ai essayé de rester calme, et je l’ai caressé pendant toute la durée de la crise. J’espère que tout cela n’est qu’un mauvais souvenir. Je vous remercie encore pour tous vos conseils et soutiens qui m’ont fait beaucoup de bien. Je ne sais pas si j’ai pris la bonne décision en le soignant avec ce médoc, mais j’ai envie de faire confiance à mon véto qui l’a déjà sauvé de la mort il y a quelques années. Sinon, en traitement naturel, il y a Epileptyl ou Cannabidiol qui diminuent les crises. Enfin, je le surveille et on verra bien….Merci encore et bonne fin de semaine à vous tous... * Martine et Iron |
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