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En hommage à
Paco
BOXER
Il est né le:10/06/2008
Il nous a quittés le:26/05/2015
 


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En hommage à Paco

Mon Paco, mon tombeur des ces dames tu es né le 10 06 2008 et tu es rentré dans ma vie le 5 novembre 2010 jour où je t'ai sorti de la spa, tu avais déjà été abandonné deux fois et n'avais que 19 kg!

Tu n'auras seulement connu le vrai bonheur que 4ans et 6 mois, car aujourd'hui ce 26 mai 2015 est un jour atroce pour moi car je me suis donnée le pouvoir de décider la fin de ta vie sur terre et ça, je ne pourrai jamais l'oublier.
Pardon mon grand, cela a été une décision très difficile à prendre pour moi, mais c'est le coeur gros avec des larmes plein les yeux que j'ai appris que tu avais une saleté de crabe en toi, et que malgré tous les traitements que tu avais reçu, radiothérapie, chimiothérapie il avait pris le dessus.
Jusqu'au bout, j'ai voulu croire qu'un miracle se produirait..
mais plus aucun traitement n'était possible après ce dernier scanner fait le 19 mai 2015 dont le résultat était dramatique et qui montrait bien que cette p.....de chose t'avais envahis le crâne, et commençait à te bouffer petit à petit à une vitesse incroyable, j'ai commencé à réaliser que tu ne t'en sortirais pas et que je ne pouvais pas me permettre de te laisser souffrir,
et que cet acte de te laisser partir est le dernier geste d'Amour que je pouvais te donner, pardonne moi mon coeur.

Tu étais un loulou super gentil, câlin, obéissant aimant tout le monde, les deux pattes comme les quatre pattes ......... ton seul défaut était ta destruction, mais jamais au grand jamais je n'ai pensé aller t' abandonner, l'enfer des barreaux et la maltraitance c'étaient fini pour toi.

Je t'ai conduis chez notre vétérinaire à qui tu as encore fait la fête.
Je sais que tu avais compris
Car dans tes yeux s'est dessiné une larme
Cette larme m'a détruit m'a brisé....
J'aurai tant voulu ne pas la voir
Elle m'a culpabilisé
Elle a augmenté mon désespoir.... je t'ai accompagné jusqu'au bout , dans mes bras tu t'es blotti et je t'ai chuchoté à l'oreille combien je t'aimais et que ce n'était pas un adieu mais juste un au revoir car on se retrouverait là haut lorsque mon heure serait venue.
T'es beaux yeux alors se sont fermés et tu t'es endormi pour ne jamais te réveiller.

Au Paradis blanc,
les anges ne t'y attendaient pas si tôt, tu aimais la vie, tu aimais courir dans les prés et dans les bois, tu adorais les caresses, tu étais heureux et cela se voyait dans tes teux.
Ta disparition m'a plongé dans le plus grand désarroi, la maison est tellement vide aujourd'hui, même tes soeurettes Tekila et Diana ainsi que ton frérot Lyos te cherchent partout, là où il y a ton odeur....ils se couchent sur ton (tes) coussins..., l'atmosphère y est tellement pesante.
Je n'oublierai jamais ces merveilleuses trop courtes années que j'ai vécu près de toi.
Je n' oublierai pas ton bon coeur.
Je me souviendrai de la fierté que tu arborais.
Tu as été un compagnon fidèle, aimant et par dessus tout, tu as lutté de toutes tes forces jusqu'à ton dernier souffle avec tant de courage.

j'ai beau me dire que tu étais heureux,
que tu avais de quoi faire des envieux,
oui j'ai beau me dire tout cela,
mais la réalité,elle est bien là !
Sous mon toit tu n'es plus là,
dans mon espace il ne manque que toi,
ta place, même si le vide s'en est accaparé,
dans mon coeur, elle restera à jamais.

Je suis certaine que mon Spanky et mon Junior seront là pour t'accueillir, je compte sur toi pour leur dire de ma part que je les aime et qu'ils me manquent toujours autant, tu verras tu vas bien t'éclater avec Spanky car il était comme toi, il adorait jouer avec des ballons, avec
mon Juju qui était le plus boxérien des labradors il te montreras des bonnes positions pour faire des gros dodos. Ils ne te laisseront pas seul vous allez gambader tous les trois au paradis blanc là ou la maladie et la souffrance
n'existent plus avec tous les autres copains et copines qu'ils te feront connaître.

Je t'aime et t'aimerai toujours mon Paco et tu resteras pour toujours dans mon coeur.

Gros gros bisous sur ton si beau museau mon ange.




73 bougies

19647 Fleurs
Déposé par rafia
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Chaque pétale contient de la douceur et des bisous affectueux rien que pour toi
Déposé par chloute59
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Avec toute ma tendresse.🤍🌸🤍 Amitiés🌸
Déposé par poutounou
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Chacun pleure à sa façon le temps qui passe. Et oui, le temps passe, mais nos larmes coulent encore, moins souvent, mais encore… !!!
Déposé par Rebelwriter
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Tout plein de doux et énormes câlins
Déposé par valetheo
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Déposé par Christ
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Déposé par Binouche
Déposé par Binouche
Tu es l’amour qui fait chanter nos cœurs, le velours sur nos peurs. Tu es l’histoire qui s’écrit dans notre âme, l’espoir gravé sur notre oriflamme.
Déposé par mistral
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Déposé par nina1997
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Je ne cesserai jamais de t'aimer🐕 car le soleil ne cesse de briller☀️Tant qu'il y aura de la lumière dans le ciel 🌈 il y en aura dans mon cœur ❤️
Déposé par Rebelwriter
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Plein d'affectueuses papouilles
Déposé par goulou50
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Avec tendresse, j'ai déposé des milliers de bisous dans ce bouquet


2559 messages

Déposé par colombine67 le 10/04/2016  
Intrigué par des bruits s’échappant d’une poubelle vendredi dernier, deux adolescents originaires de Lorgues ont fait une terrible découverte. Un jeune chien s’y trouvait, blessé et lâchement abandonné…
Le printemps est arrivé et avec lui, le beau temps et les journées plus longues. Profitant de la clémence de la météo varoise, deux frères étaient d’ailleurs de sortie en début de soirée vendredi dernier lorsqu’ils ont entendu des gémissements plaintifs. Curieux, ils se sont alors orientés en direction des bruits… qui sortaient d’une poubelle. Prenant leur courage à quatre mains, ils ont ensuite rapidement déterminé que la source de ces sons venait d’un gros sac jeté tout au fond qu’ils ont entrepris de vider et… stupeur !
Ce ne sont en fait pas un mais bien neuf sac poubelle que les jeunes hommes ont dû déchirer pour en extirper un chien, bien vivant malgré son triste état. Libéré mais agonisant car suffoquant, le toutou a donc immédiatement été emmené chez le vétérinaire le plus proche. Un geste de la part des ados qui lui a semble-t-il été salvateur car, d’après l’un d’eux, l’animal aurait été victime d’un accident de la route voire même, de violences.
Par ailleurs, c’est sur les réseaux sociaux que le garçon a appelé les internautes à se mobiliser pour retrouver la personne coupable d’avoir mis un chien dans une situation si délicate.
L’état dans lequel il a été découvert a nécessité une intervention chirurgicale. Toutefois, l’adorable poilu âgé de moins d’un an semble désormais être tiré d’affaire. En effet, sous surveillance au sein du refuge de la SPA de Flayosc suite à l’opération menée par un vétérinaire de Lorgues, le maintenant prénommé Elliott par ses sauveurs se repose et reprend gentiment du poil de la bête.
Et dès qu’il sera remis sur pattes, plus aucune mauvaise surprise ne l’attendra : les proches des ados ainsi que le refuge se seraient effectivement mis d’accord et… Elliott rentrerait donc bientôt habiter aux côtés de ses deux anges gardiens.

Déposé par poutounou le 09/04/2016  
Si, un jour, je me retrouvais dans une telle situation au niveau santé, j'aimerais moi aussi avoir le temps de m'occuper du placement de mon petit Iron adoré. C'est un très bel acte d'amour que de chercher une famille aimante pour ces toutous peut-être un jour orphelins.
*
Kathleen Zuidema a été diagnostiquée d'un cancer des poumons. Selon ses médecins, il ne lui reste qu'un an à vivre. Depuis, Kathleen se démène pour faire adopter ses chiens avant que le cancer ne l'emporte. 
*
Une décision difficile
*
Six mois après cette terrible nouvelle, Kathleen dit se sentir mieux physiquement, mais elle est face à une décision très difficile : elle doit trouver une famille aimante pour ses trois Bergers australiens croisés, Automne Moon 11 ans, Mona Luka 4 ans et demi et Finnegan 4 ans. 
 *
Voici ce qu'elle a partagé sur son compte Facebook : 
 *
"C'est sûrement la décision la plus difficile de toute ma vie. Mon coeur est en miette et je sanglote en écrivant ces lignes. Comme beaucoup d'entre vous le savent, je me bats contre le cancer depuis un an et demi et les choses arrivent à un point où je me dois de trouver une famille aimante pour mes chiens. Ils sont à adopter ensemble. C'est une énorme faveur que je demande mais je ne peux pas supporter l'idée qu'ils soient séparés. Je vous rassure sur le fait qu'ils sont très bien éduqués et qu'ils sont de parfaits colocataires. Ils dorment sur mon lit ou dans leur panier, comme ils le souhaitent."
*
Kathleen essaye de faire au mieux pour ses chiens adorés avec cette épée de Damoclès au dessus de sa tête. Elle a partagé plusieurs photos et vidéos de ses chiens sur son profil Facebook pour montrer qu'ils sont joueurs, aimants et heureux. 
 *
"J'ai survécu aux horribles effets secondaires de la chimiothérapie et j'ai passé un merveilleux été dans mon jardin avec mes Bergers australiens. Je suis déterminée à être encore là l'été prochain car je ne suis pas prête à abandonner maintenant."
 *
Un courage incroyable de la part de Kathleen, qui, on l'espère, pourra vaincre cette maladie et garder ses chiens près d'elle. 
 

Déposé par ovanek le 09/04/2016  

💖 💖 48 💖 💖
*** je sais ***
Un amour déjà passé
Des souvenirs presque effacés
Et pourtant tu continues de hanter ma pensée
Toutes les nuits mes sentiments enfuient
Envahissent mes rêves sans me laisser de trêves
J’en suis intimement persuadée
Je sais que je vais te retrouver
Sur une simple intuition
J’ai fondé mon espoir le plus profond
Comme si nous étions destinés
Mais trop vite séparés je continue de croire en nous
Et en mes rêves fous je ne sais pas quand
Peut- être dans bien longtemps
Mais un jour c’est certain
De nouveau ensemble jusqu’à la fin
***** Pensée *****
💖

Déposé par colombine67 le 09/04/2016  
Après 10 ans de rue avec sa chienne Margot, Christophe crée des “restos du coeur » pour chiens de SDF
On sent bien qu’entre ces deux-là, c’est à la vie à la mort: lui, l’ex-SDF de 46 ans et elle, la chienne au regard doux et aux muscles puissants!
Ah, si elle pouvait parler, que de nuits et de jours d’errance, de faim, de souffrance mais aussi d’amour commun, elle pourrait raconter!
Elle a toujours été prête à tout pour le protéger et le défendre face aux multiples risques et dangers que connaissent tous les SDF, que ce soient vols, violences, bagarres et agressions en tout genre…
Au fil des 10 ans qu’ils ont passés, tous les deux, en permanence côte à côte dans la rue, elle a su le soutenir quand il glissait au bord d’un abime sans fin, lui remonter le moral et lui dire, avec ses mots à elle, avec ses yeux à elle, avec ses coups de langue à elle, que non, il n’était pas tout seul! Et que non, il n’était pas abandonné de tous! Car elle était là, elle! Et elle l’aimait de tout son être, de tout son coeur de chien… Sans jamais rien lui reprocher, sans jamais le juger, sans condition, tout simplement…
Partager ensemble le moindre quignon de pain
Alors, bien sûr, quand on est chienne de SDF, on ne mange pas tous les jours à sa faim et Christophe en était malade rien que de le savoir, quand il vivait dans la rue avec elle.
Comme tout sans abri qui vit avec un chien, il partageait le moindre quignon de pain avec elle, allant même parfois jusqu’à se priver pour qu’elle puisse manger.
Car tous les connaisseurs de la rue vous le diront: tout SDF est un ami exemplaire pour son chien et il ne recule devant aucun sacrifice pour lui.
Celui de passer tous les hivers dans la rue, même par très grand froid, pour ne pas se séparer de son ami, en est un. En effet, – scandaleusement ou par manque de moyens –, les centres de nuit n’acceptent pas les animaux.
A Paris, seule la remarquable péniche “Le Fleuron“, amarrée sur les quais de Seine et soutenue par l’association 30 millions d’amis et l’ordre de Malte, accueillent une cinquantaine de sans abri, avec leur compagnon à quatre pattes.
« Les Babines de l’Espoir“
A force de courage et de volonté, Christophe Barlier est parvenu à s’extirper de la rue après 10 ans d’enfer. Il vit maintenant – bien modestement – dans un petit logement de la banlieue nantaise avec sa chienne.
Il pourrait se reposer un peu de ses années terribles, “poser ses valises” comme l’on dit et souffler.
Et bien non! Car Christophe est convaincu que s’il a pu remonter à la surface, c’est grâce à Margot! Et qu’il se doit maintenant d’aider et soutenir toutes les “Margot” de la rue, tous les chiens de SDF!
Du coup, il a monté une association au doux nom de “Les Babines de l’Espoir”.
C’est une sorte de Restos du Coeur pour chiens de SDF.
Tous les mercredis, Christophe et une poignée d’amies et amis, arpentent inlassablement les rues de Nantes avec des sacs à dos bourrés de croquettes, de colliers anti-puces, d’os à ronger et de menues friandises.
Il fait ça depuis le mois de juin.
Maintenant, il est connu de tous les chiens de SDF et dès qu’il s’approche avec son tee-shirt noir et son sac à dos, les queues s’agitent frénétiquement, les gueules s’ouvrent comme pour sourire et les jappements de bienvenue l’accueillent joyeusement!
Son initiative fait tâche d’huile. Lancée à Nantes, “Les Babines de l’Espoir“ sont en train d’essaimer dans plusieurs autres villes et des étudiants-vétérinaires ont rejoint Christophe pour offrir des soins gratuits aux compagnons à quatre pattes des SDF et des plus démunis!
Mille bravos, Christophe! Toute ma fraternité et toutes mes amitiés!
Pierre MARTIAL
A partager le plus largement possible, mes amies et amis.
Partager, c’est déjà agir.

Déposé par colombine67 le 08/04/2016  

Tous les jours, ce pauvre homme mendiait, toujours au même endroit… Et malgré tout, il gardait le sourire et restait poli y compris devant les gens moins généreux. Cet homme avait un chien. Un chien aussi gentil que lui qui n’aboyait que rarement et ne montrait jamais les dents. J’entendais les médisants dire que cet homme était fou d’avoir un chien auprès de lui alors qu’il parvenait à peine à se nourrir lui-même.
Un jour, je marchais dans la rue où ce SDF et son chien se trouvaient comme à leur habitude, je les trouvais là en train de se réchauffer l’un contre l’autre. Il faisait un temps glacial et les voir ainsi m’a donné l’effet d’un coup de poignard. Loin d’être riche, j’ai tout de même décidé de faire quelque chose…
Le lendemain, j’ai dit à mon patron que je prenais ma demi-journée. Muni d’une couverture et d’une grande boîte remplie de nourriture pour l’homme et son chien, j’ai décidé d’acheter deux cafés et je me suis approché de l’homme : « peut-on parler quelques instants ? », lui ai-je demandé.
C’est avec plaisir qu’il acquiesça même s’il restait suspicieux : « pourquoi me parlez-vous ? »
Donc je lui ai dit : « tous les jours, je vais au travail. Chaque jour, je vois des gens qui ont l’air si tristes. Tous, sauf vous. Vous avez toujours l’air souriant. Vous avez toujours l’air heureux malgré vos conditions de vie et chaque jour, vous me réchauffez le coeur. Je me dis que même si je passe une mauvaise journée, ou que je ne suis pas aussi heureux que je voudrais l’être, il y a cet homme qui vit dans la rue et qui a l’air beaucoup plus épanoui que moi même s’il n’a rien. »
A ce moment-là, il m’arrêta et me dit : « J’ai quelque chose, quelque chose qui n’a pas de prix : ce petit gars dans mes bras (le chien). »
Je lui ai demandé où est-ce qu’il l’avait trouvé. Il m’a donc répondu :
« un jour, je me demandais à quoi bon être en vie si c’est juste pour mendier et survivre. J’avais personne à qui penser et personne ne m’aurait regretté si j’étais mort. C’était il y a deux ans, j’étais sur ce pont, prêt à me suicider… Et là, ce petit gars est arrivé, m’a aboyé dessus et a mordu mes vêtements m’empêchant ainsi de sauter dans le vide. Alors je lui ai donné le dernier cookie que j’avais dans la poche. Il était tellement heureux que j’en ai pleuré et j’ai décidé de ne plus sauter.
Depuis ce moment, il est tout ce que j’ai et est comme mon enfant. Parfois, il va se promener et revient avec quelque chose à manger pour nous deux : un bout de gâteau, une moitié de sandwich… Il veut toujours dormir avec moi. »
Je lui ai demandé s’il avait déjà trouvé une place dans un centre d’accueil ou une maison pour vivre, ce à quoi il m’a répondu une chose qui m’a bouleversé : « Il y a huit mois, j’aurais pu avoir une place où dormir, quelque chose à manger et un endroit chaud pour me reposer. Le problème : les chiens n’étaient pas acceptés. J’ai donc refusé. Ce petit gars est tout ce qui me reste. Je préfère mourir plutôt que de l’abandonner. Quand je me suis rendu compte que je n’avais plus rien, il m’a appris l’amour, m’a donné une raison de vivre et je le remercierai jamais assez pour ça. Quand les passants me donnent de l’argent, j’achète toujours de la nourriture pour lui. Je ne m’achète à manger que lorsque je suis sûr qu’il ne manque de rien. Parfois, j’entends les gens qui disent que je suis bête d’avoir un chien, à ces gens-là, je réponds : peut-être que ce n’est qu’un animal mais il m’a donné beaucoup plus d’amour que tous les êtres humains que j’ai rencontrés et il ne me fera jamais de mal. »
Quand il a dit ça, je lui ai donné la couverture et la fameuse boîte de nourriture. Il m’a remercié comme personne ne l’a jamais fait. Tout simplement parce que grâce à moi, Bobby (le chien) allait bien manger et n’aurait plus jamais froid.
A ce moment, je ne sais toujours pas pourquoi, je lui ai donné un morceau de papier avec mon adresse dessus, je l’ai attaché au collier du chien en disant « tu n’as plus à te faire de soucis, s’il devait t’arriver malheur, je prendrais soin de Bobby et il ne sera plus jamais seul. »
Il a pleuré. Ce jour-là, j’ai vu l’homme le plus heureux au monde. Et je vous souhaite la même aventure.

Déposé par colombine67 le 07/04/2016  
Comme toutes les étudiantes australiennes, une jeune fille a célébré sa dernière année de lycée début mars par le bal de promo. Un rêve rendu possible grâce à Lacey sa chienne. Vous allez fondre en découvrant comment…
Le bal de promo ? Une institution aux Etats-Unis comme en Australie si bien que tous les plus jeunes rêvent. Et pour cause : il célèbre la fin de la scolarité. Pour l’occasion, filles et garçons se mettent alors sur leur 31, dégainant jolies robes et costumes chics. Si généralement c’est en couple qu’ils se rendent à l’évènement, il arrive parfois que certains – comme Erin Condrin – défraient la chronique pour réaliser leur rêve.
Et pour cause, c’est en effet accompagné d’une personne toute particulière pour elle que la jeune fille s’est rendue au premier soir du reste de sa vie. Cette personne ? C’est Lacey, sa chienne d’assistance. Si Erin est une jeune fille comme toutes les autres, elle souffre néanmoins d’une maladie très rare qui la contraint à se déplacer en fauteuil roulant ou en béquilles : le syndrome d’Ehlers-Danlos type classique. Mais grâce à la compagnie de sa fidèle quatre-pattes, elle a pu vivre ce beau jour le plus sereinement au monde.
«Lacey me rend la vie plus facile. Elle ramasse des objets tombés par terre, ouvre et ferme les portes, amène des objets, appuie sur l’interrupteur de la lumière, et bien plus encore», confie en effet la jeune femme sur la page Facebook, Life with Lacey, qu’elle tient en l’honneur de sa fidèle amie.
«La relation que j'ai avec ce chien est au-delà des mots», résume par ailleurs celle qui, grâce à Lacey, a pu réaliser son rêve.

Déposé par lili2248 le 06/04/2016  
Aujourd'hui quand j'ai levé ma tête
J'ai pu voir dans le ciel clair
Illuminé de tes beaux yeux,
Le bonheur que j'avais perdu.
Je me rappelle alors,
Les beaux souvenirs que tu m'as laissé,
Et le soleil dans mon coeur,
Ne m'a jamais paru si beau,
Il me caresse de ses rayons,
Et réchauffe mon âme.
Le temps d'un instant,
Mes rêves me trahissent,
Lorsqu'ils me font croire
Que tu es près de moi.
Mais aujourd'hui j'ai vu dans le ciel,
Que c'était bien réel.

Déposé par colombine67 le 06/04/2016  
Le cri d’un vétérinaire … à méditer
« Je suis vétérinaire. Il y a certains détails que j’ai changés ou omis pour préserver mon anonymat et parce que je vais me faire allumer pour ce que je vais vous raconter. Aujourd’hui, un homme m’a amené son chien.
C’était un grand chiot adolescent et tapageur. Il s’est rué dans la salle de consultation, me sautant dessus avec enthousiasme, remuant sa queue sans arrêt et poussant ma main avec son museau. Ses grosses pattes douces s’écrasaient contre mon torse à chaque fois qu’il s’arrêtait pour me saluer, pendant qu’il sautait partout dans la pièce pour sentir de plus près toutes les odeurs. C’était un croisé atypique, très beau et il était clairement intelligent et énergique, en un mot adorable.
Voilà l’histoire: le chien avait été acheté lorsqu’il était un petit chiot par un couple à qui l’on avait dit que c’était un croisé ‘dernier cri’ de deux races de petite taille. Si ce couple s’était juste un minimum informé, ils auraient su immédiatement que ce chien n’était pas un mélange de deux petites races. Bref, ils n’avaient aucune idée donc ils ont acheté le petit chiot mignon de cette source douteuse (ça leur a surement coûté plusieurs centaines d’euros) et l’ont ramené dans leur famille où il y avait un jeune enfant. Le chien a un peu grandi et il est devenu évident qu’en fait il allait être très grand. Il sautait partout, était énergique et destructeur. Il courait partout sans cesse et faisait tomber l’enfant.
Donc ils l’ont rapatrié chez un membre de la famille. Celui-ci avait aussi des enfants mais ils étaient un peu plus grands. Il avait vraiment à cœur de bien faire les choses, alors il a essayé de ‘discipliner’ le chien. Celui-ci commençait à montrer parfois des signes d’agressivité et il était complètement hyperactif dans la maison, destructeur et ingérable.
Je n’étais pas surpris d’entendre ça, car il était évident pour moi que c’était le type de chien qui aurait besoin d’énormément d’exercice et de stimulation. Dans un dernier espoir de résoudre le problème, la famille a fait castrer le chien. Mais, il fallait s’y attendre, cela n’a eu aucun impact. Aujourd’hui, le chien m’a été amené pour être piqué. Il a grogné agressivement quand un enfant a mis son visage trop près du sien. A cela s’est ajouté un changement imminent de mode de vie, et la personne s’est sentie incapable de continuer à gérer le chien. Il a demandé à des refuges locaux et nationaux, tous étaient complets. Il n’avait personne qui pouvait s’en occuper à partir de ce soir-là. Il ne pouvait pas le ramener à la maison, en partie par mesure de sécurité et en partie parce que la décision avait déjà été prise en famille.
C’est ainsi que j’ai euthanasié ce chien plein de vie, dynamique et en excellente santé, pendant qu’il mâchouillait ses friandises et que son troisième maître pleurait dans sa fourrure. Et quand je me suis retrouvé seul avec la dépouille de ce pauvre chiot, j’ai éclaté en sanglots. Je sais que certains penseront que j’ai eu raison d’euthanasier un chien qui avait montré des signes d’agressivité à un moment de sa vie.
Je ne suis pas d’accord.
Je sais que d’autres penseront que j’ai eu tort de l’euthanasier et que j’aurais dû le prendre chez moi et lui trouver un nouveau foyer.
Je ne suis pas d’accord.
Je sais aussi qu’énormément de gens ignorent que ce n’est pas un fait isolé, mais une réalité très courante dans ce pays, à cause de gens irresponsables et cupides, qui ne cherchent pas à s’informer. Lesquels vendent des chiens à des gens tout aussi irresponsables et inconscients. Qui les donnent à des personnes naïves et irréfléchies qui souhaitent les « sauver » mais qui finissent à bout de nerfs et me les amènent pour que je les euthanasie. C’est toujours comme ça que ça se passe.
Ce sont des chiens qui ont mordu les enfants de la maison parce que leurs maîtres n’avaient pas les connaissances suffisantes sur leur race, qu’ils attendaient beaucoup trop d’eux et qu’ils n’ont pas fourni les efforts nécessaires pour les socialiser.
Ce sont des chiens dont les maîtres peuvent se permettre de dépenser des sommes à quatre chiffres pour avoir la dernière « race » hybride à la mode affublée d’un nom ridicule fraîchement inventé, mais qui ne peuvent pas débourser 50€ pour leur vaccin ni aucune charge pour les problèmes de santé mineurs.
Ce sont des chiens qui peuplent les refuges de tout le pays et qui attendent, comme des milliers et des milliers d’autres, des foyers sans enfant, sans autre animal domestique, entourés d’un jardin avec une clôture de 2m50, dont les habitants ont l’habitude de gérer les problèmes comportementaux canins, travaillent à domicile, ont un mobilier en acier inoxydable et font des chèques en blanc pour soigner les maladies que les chiens ont héritées. Des foyers qui n’existent pas.
Voilà les chiens que je dois euthanasier parce que je sais que je me montre plus responsable en leur ôtant la vie de façon indolore qu’en les condamnant à attendre, parmi d’innombrables autres chiens « difficiles » dans tous les refuges du pays.
S’il vous plaît, s’il vous plaît, je vous en supplie, renseignez-vous avant de vous procurer un chien, auprès de vétérinaires, de vétérinaires comportementalistes, de clubs canins, de la Société Centrale Canine, des associations de chiens de race, des SPAs, d’Internet… Vous avez des tas de sources d’information à votre disposition. A vous d’en faire bon usage. Vous n’avez aucune excuse.
Allez voir un refuge où le personnel vous interroge beaucoup pour cerner votre mode de vie et trouver le chien qui vous conviendra le mieux.
Apprenez à élever votre chiot correctement. Comme ça, si vous ne pouvez plus l’assumer, vous aurez au moins fait en sorte qu’il soit adoptable.
Pensez à toujours avoir un peu d’argent de côté pour un imprévu.
Assurez-vous que le chien puisse répondre à vos attentes.
S’il vous plaît. Parce que je suis incapable de continuer ainsi .»

Déposé par poutounou le 05/04/2016  
Pour tout l’Amour qu’ils nous donnent et que nous leur donnons.
*
Extrait de la comédie musicale « Roméo et Juliette » :
*
Aimer….
*
Aimer c'est ce qu'y a d'plus beau
Aimer c'est monter si haut
Et toucher les ailes des oiseaux
Aimer c'est ce qu'y a d'plus beau
*
Aimer c'est voler le temps
Aimer c'est rester vivant
Et brûler au cœur d'un volcan
Aimer c'est c'qu'y a de plus grand
*
Aimer c'est plus fort que tout
Donner le meilleur de nous
Aimer et sentir son cœur
Aimer pour avoir moins peur
*
Aimer c'est ce qu'y a d'plus beau

Déposé par colombine67 le 05/04/2016  
Je l’ai vu tout d’abord enchaîné à une des deux cabanes. Seul, jour après jour, il me regardait travailler dans mon jardin. De cet arbre qui le retenait prisonnier avec une courte chaîne, il était assis en silence, attendant que quelqu’un lui montre un peu de gentillesse. Il n’ avait pas de bol l’eau, pas abri, autre qu’un petit arbre. Dans ces conditions, il semblait être comme un chien d’appât.
Un jour d’été particulièrement chaud, j’ai traversé les deux yards qui nous séparait, ses propriétaires qui l’enchaînait ainsi étaient là et je les ai vus, à coup de raillerie, l’abreuver avec le tuyau d’eau dont le pauvre chien essayait d’attraper quelques gouttes, souvent sans succès.
Je leur ai offert de l’argent pour le chien, ils ont refusé, ils m’ont dit qu’il « devait être enchaîné » parce qu’il s’enfuyait toujours.
Chaque jour, j’ai apporté de l’eau et de la nourriture. Malgré un contrôle Animal impliqué dans cette affaire, ces gens savaient comment éviter de se faire prendre et les contrôleurs m’ont même dit d’arrêter d’alimenter le chien car alors, je n’aurais pas de preuves contre eux. Mais je savais qu’un miracle se produirait .
Un week-end, un orage fait rage et détruit le petit arbre, le chien s’échappe il a un ruban adhésif sur sa gueule, son cou saigne et……… je le trouve assis dans notre garage, silencieux et plaidant pour recevoir de l’aide avec ses beaux yeux.
Nous l’ avons nommé Rosco et il est devenu mon chien à partir de ce moment là. Les gens me l’ont donné à contrecœur, après que la police soit intervenue. Peut-être ils ont vu combien nous étions tous deux déterminés. Sa volonté de survivre l’a amené dans une maison sûre.
Il a été le plus doux chien le plus doux que j’ ai jamais eu. Nous avons déménagé quelques temps après . Il a encore des cauchemars à certains moments, se secoue violemment. Il se réveille et moi je le caresse et alors il se calme . Partout où je vais, il est à côté de moi. Il ne sera jamais, jamais plus enchaîné à nouveau, et le bol d’eau est toujours plein. Il sait qu’il n’ aura jamais à s’ enfuir à nouveau.

Déposé par colombine67 le 04/04/2016  
Un chien sauve un bébé de sa baby-sitter
Benjamin et Hope Jordan venaient d'emménager à Charleston en Caroline du sud aux Etats-Unis.
Le couple ne tarde pas à trouver une baby-sitter pour garder Finn, leur fils de sept mois.
Alexis Khan semblait avoir de bonnes références. La confiance s’est installée... puis a totalement disparue grâce au comportement de leur chien.
"Environ cinq mois après qu’Alexis Khan soit devenue notre baby-sitter, nous avons remarqué que notre chien se mettait en position de défense quand elle arrivait, raconte les Jordan.
Il devenait tellement agressif envers elle que plusieurs fois nous avons dû nous interposer pour qu’il n’aille pas vers elle".
Benjamin et Hope Jordan deviennent soupçonneux et décident d’enregistrer ce qui se passe chez eux en leur absence.
Ils positionnent alors un smartphone sous le canapé pour qu’il enregistre tout ce qui se passe dans la journée. Le soir, à leur retour, ils écoutent la bande et découvrent, horrifiés, ce qu’Alexis Khan fait subir à leur fils. "Tais-toi! Tais-toi!" Ils entendent des bruits "de pleurs qui se transforment vite en cris de détresse et de douleur sous le bruit des claques", raconte le père.
"Je voulais rembobiner l’enregistrement et remonter dans le temps".
"Si notre chien ne nous avait pas alerté, si mon épouse n’avait pas suivi son instinct maternel pour que nous fassions quelque chose, notre fils aurait pu mourir sous les coups de la baby-sitter". Aujourd’hui, Finn va mieux et se porte bien. "L’épreuve que Finn a subi a peut-être permis de sauver la vie d’autres enfants", se console-t-il.
Alexis Khan a été arrêtée par la police.
Elle a avoué son crime et a plaidé coupable pour coups et blessures.
L’ancienne baby-sitter purge une peine de trois ans de prison et ne pourra désormais plus travailler auprès des enfants.

Déposé par Galinette3 le 03/04/2016  

AVRIL
🌞
Simone, le soleil rit sur les feuilles de houx :
Avril est revenu pour jouer avec nous.
Il porte des corbeilles de fleurs sur ses épaules,
Il les donne aux épines, aux marronniers, aux saules ;
Il les sème une à une parmi l'herbe des prés,
Sur le bord des ruisseaux, des mares et des fossés ;
Il garde les jonquilles pour l'eau, et les pervenches
Pour les bois, aux endroits où s'allongent les branches ;
Il jette les violettes à l'ombre, sous les ronces
Où son pied nu, sans peur, les cache et les enfonce ;
A toutes les prairies, il donne les pâquerettes,
Et des primevères qui ont un collier de clochettes ;
Il laisse les muguets tomber dans les forêts
Avec les anémones, le long des sentiers frais ;
Il plante des iris sur le toit des maisons,
Et dans notre jardin, Simone, où il fait bon,
Il répandra des ancolies et des pensées,
Des jacinthes et la bonne odeur des giroflées.
🐶
Rémy de Gourmont

Déposé par colombine67 le 03/04/2016  
- Que regardes-tu ?
- Je regarde le chien.
Celui qui venait de répondre était un jeune garçon.
Celui qui avait posé la question, notre ami le moine.
|
- Je ne comprends pas pourquoi il reste attaché-là !
la corde qui le retient n’est pas très grosse,
avec la force qu’il a il pourrait la casser et se sauver !
Le moine souriait.
- Et toi qu’en penses-tu ?
- Peut-être qu’on l’a dressé à rester là !
- Alors pourquoi l’attacher, si ce chien est dressé il n’a pas besoin de corde !
Le jeune garçon secoua la tête. Le moine avait raison.
Alors comment se fait-il que ce chien reste là ?
|
Le moine raconta l’histoire de ce chien.
- Vois-tu, il y a très longtemps, ses arrières grands parents étaient des chiens
sauvages. Ils étaient libres, ils parcouraient des dizaines de kilomètres pour trouver
l’endroit pour vivre. Quand l’hiver arrivait, ils s’en allaient
pour d’autres contrées plus clémentes.
Un jour, des hommes posèrent le pied dans ces régions inhabitées, ils virent ces
chiens. Ils les trouvèrent résistant, courageux, puissants et décidèrent de les
utiliser. Ils attrapèrent les petits qu’ils attachèrent à l’aide de corde près de leur
campement, ceci afin de les domestiquer.
|
Celui-ci, depuis son plus jeune âge, a été attaché.
Au début, le sang de la liberté, qui coulait dans ses veines, le poussait à vouloir
s’échapper, partir, mais la corde était solide
et toutes ses tentatives échouèrent.
Chaque jour, il mettait toute son énergie à vouloir partir … en vain.
Un jour, il s’avoua vaincu et accepta son sort.
Il sut qu’il était impossible de se sauver,
impossible de courir les vastes paysages comme le faisait ses ancêtres.
Malgré la fragilité de cette corde aujourd’hui, il se sait incapable de la casser.
Ceci est inscrit au plus profond de lui.
|
- Mais il n’a jamais essayé maintenant qu’il est plus grand ?
le moine souriait.
- Il est un peu comme nous lorsque nous faisons quelque chose
qui ne fonctionne pas.
On pense que c’est impossible, que l’on ne peut pas y arriver,
que c’est au-dessus de nos forces.
|
Parfois cela va encore plus loin,
cette corde, nous l’attachons autour de nos proches
persuadé qu’eux aussi ne pourront pas y arriver,
et nous les privons de liberté.
|
- Je comprends, dit l’enfant.
Il s’approcha du chien, lentement, avalant sa salive car le chien avait l’air féroce.
Une fois près de lui, il s’agenouilla.
- Tu sais, tu es plus fort que la corde, tu peux reprendre ta liberté
et courir comme tes ancêtres.
|
L’enfant se releva et retourna vers le moine.
Tous les deux regardaient le chien.
Il était sur ses quatre pattes.
Plus que les mots c’était le regard de l’enfant qui avait parlé.
Le chien le regarda et d’un seul coup bondit, cassant net l’attache symbolique.
Sentant la liberté, le chien courut droit devant lui
accompagné par l’Esprit de ses ancêtres.
Atteignant le haut de la colline, il se retourna et regarda les deux formes humaines,
l’une plus petite, mais toutes les deux arboraient un immense sourire.
En trois bonds le chien disparut.

Déposé par colombine67 le 02/04/2016  
"J'ai pardonné des erreurs presque impardonnables, j'ai essayé de remplacer des personnes irremplaçables et oublier des personnes inoubliables. J'ai agi par impulsion, j'ai été déçu par des gens que 'en croyais incapables, mais j'ai déçu des gens aussi. J'ai tenu quelqu'un dans mes bras pour le protéger. J'ai ri quand il ne fallait pas. Je me suis fait des amis éternels. J'ai aimé et l'ai été en retour, mais j'ai aussi été repoussé. J'ai été aimé et je n'ai pas su aimer. J'ai crié et sauté de tant de joies, j'ai vécu d'amour et fait des promesses éternelles, mais je me suis brisé le coeur, tant de fois ! J'ai pleuré en écoutant de la musique ou en regardant des photos. J'ai téléphoné juste pour entendre une voix, je suis déjà tombé amoureux d'un sourire. J'ai déjà cru mourir par tant de nostalgie et j'ai eu peur de perdre quelqu'un de très spécial (que j'ai fini par perdre)... Mais j'ai survécu ! Et je vis encore !
Et la vie, je ne m'en passe pas... 
Et toi non plus tu ne devrais pas t'en passer. Vis !!!
Ce qui est vraiment bon, c'est de se battre avec persuasion, embrasser la vie et vivre avec passion, perdre avec classe et vaincre en osant, parce que le monde appartient à celui qui ose et que LA VIE C'EST BEAUCOUP TROP pour être insignifiante !"
      Charlie Chaplin

Déposé par poutounou le 01/04/2016  
Eh oui ! Tel est pris qui croyait prendre…
*
Le coyote tagueur
*
Un coyote rageur
Sur un mur blanc taguait
Griffonnant sa rancoeur
Contre un loup trop aisé
« C’est bien que je salisse,
Grommelait ce jaloux,
La trop belle bâtisse
De ce trop riche loup ! »
Regagnant sa masure,
Il se trouva surpris
D’y trouver la peinture
D’un plus pauvre que lui.
Moralité
Si tu veux qu’on soit correct
Avec ce qui t’appartient
Il faudra que tu respectes
De tous les autres les biens.
*
Yvon Danet

Déposé par colombine67 le 01/04/2016  
Je veux que tu m’écoutes sans me juger
Je veux que tu exprimes ton opinion sans me donner de conseils
Je veux que tu aies confiance en moi sans exiger de moi
Je veux que tu m’aides sans essayer de décider pour moi
Je veux que tu prennes soin de moi sans m’annihiler
Je veux que tu me regardes sans projeter tes désirs sur moi
Je veux que tu me serres dans tes bras sans m’asphyxier
Je veux que tu me donnes du courage sans me pousser
Je veux que tu me soutiennes sans me prendre en charge
Je veux que tu me protèges sans mensonges
Je veux que tu t’approches sans m’envahir
Je veux que tu connaisses les aspects de moi qui te déplaisent le plus
Que tu les acceptes et ne prétendes pas les changer
Je veux que tu saches…qu’aujourd’hui tu peux compter sur moi….
Sans conditions.
Jorge Bucay

Déposé par myriam31 le 31/03/2016  

Tendres pensées et plein de caresses pour toi beau toutou, amitiés à ta gentille maman.
Tu as quitté nos ombres,
Nos souffrances et nos peines.
Tu as pris de l’avance
Au pays de la Vie.
Je fleurirai mon cœur
En souvenir de toi,
Là où tu vis en moi,
Là où je vis pour toi.
Et je vivrai deux fois…
Par Père André Marie

Déposé par colombine67 le 31/03/2016  
Récemment, j’ai surpris un père et sa fille dans leurs derniers moments
ensemble à l'aéroport. On avait annoncé le départ.
Debout près de la porte de sécurité, ils se sont serrés et le père a dit «
Je t'aime et je te souhaite assez. »
La fille a répondu « Papa, notre vie ensemble a été plus qu'assez. Ton amour
a été tout ce dont j’avais besoin. Je te souhaite assez, aussi, papa. »
Ils se sont embrassés et la fille est partie. Le père a marché vers fenêtre
où j'étais assis.
Je pouvais voir qu’il avait besoin et qu’il voulait
pleurer. J'ai essayé de ne pas m'imposer et respecter son intimité, mais il
m'a demandé « Vous est-il déjà arrivé de dire au revoir à quelqu'un en
sachant que vous ne vous reverriez jamais ? »
« Oui. » j'ai répondu.
« Me permettez-vous de vous demander pourquoi vous croyez que vous ne vous
reverrez jamais ? ».
« Je suis vieux et elle vit si loin. J'ai de gros défis devant moi et la
réalité est que son prochain voyage sera pour mon enterrement» a-t-il dit.
« Quand vous vous disiez au revoir, je vous ai entendu dire « Je te souhaite
assez. » Est-ce que je peux vous demander ce que cela signifie ? »
Il a commencé à sourire. « C’est un souhait qui nous vient de plusieurs
générations qui nous ont précédé. Mes parents avaient l'habitude de le dire
à chacun. » Il a fait une pause un moment et regarda au plafond, comme s’il
essayait de se rappeler en détail, et il a souri encore plus. « Quand nous
disons « Je te souhaite assez » nous souhaitons que l'autre personne ait
une vie remplie de juste assez de bonnes choses pour les garder heureux. »
Alors, se tournant vers moi, il a partagé ce qui suit comme s’il récitait un
texte mémorisé.
Je te souhaite assez de soleil pour maintenir ton attitude lumineuse peu
importe que la journée soit grise et moche.
Je te souhaite assez de pluie pour apprécier le soleil encore plus.
Je te souhaite assez de bonheur pour maintenir ton esprit vivant et
éternel.
Je te souhaite assez de douleur de sorte que même la plus petite des
joies dans la vie puisse te sembler grande.
Je te souhaite assez de gain pour satisfaire tes besoins.
Je te souhaite assez de perte pour apprécier tout ce que tu possèdes.
Je te souhaite assez d’Au revoir pour te permettre de bien te rendre à
l’Au revoir final.
Il a alors commencé à pleurer et il s’est éloigné...
On dit que ça prend une minute pour trouver une personne spéciale, une heure
pour l’apprécier, un jour pour l’aimer, mais que ça prend une vie entière
pour l’oublier.
À toi mon ami (e), JE TE SOUHAITE ASSEZ !

Déposé par choupinou le 30/03/2016  

moi ton aimé
maman, prends ta guitare et envoie moi un baiser ;
La fleur de l’églantier sent ses bourgeons éclore,
Le printemps naît ce soir ; les vents vont s’embraser ;
Et la bergeronnette, en attendant l’aurore,
Aux premiers buissons verts commence à se poser.
Maman, prends ta guitare, et envoie moi un baiser.
maman te répond
Comme il fait noir dans la vallée !
J’ai cru qu’une forme voilée
Flottait là-bas sur la forêt.
Elle sortait de la prairie ;
Son pied rasait l’herbe fleurie ;
C’est une étrange rêverie ;
Elle s’efface et disparaît.
moi ton aimé/e
maman, prends ta guitare ; la nuit, sur la pelouse,
Balance le zéphyr dans son voile odorant.
La rose, vierge encore, se referme jalouse
Sur le frelon nacré qu’elle enivre en mourant.
Écoute ! tout se tait ; songe à moi ta/ton bien-aimée.
Ce soir, sous les tilleuls, à la sombre ramée
Le rayon du couchant laisse un adieu plus doux.
Ce soir, tout va fleurir : l’immortelle nature
Se remplit de parfums, d’amour et de murmure,
Comme la symphonie de nos coeur pour toujours si fou
maman te répond:
Pourquoi mon coeur bat-il si vite ?
Qu’ai-je donc en moi qui s’agite
Dont je me sens épouvanté ?
Ne frappe-t-on pas à ma porte ?
Pourquoi ma lampe à demi morte
M’éblouit-elle de clarté ?
Dieu puissant ! tout mon corps frissonne.
Qui vient ? qui m’appelle ? – Personne.
Je suis seule ; si vide ta voix me résonne ;
Ô solitude ! tu étais ma fierté !
moi ton aimé/e
Maman, prends ta guitare ; le vin de la jeunesse
Fermente cette nuit dans les veines de Dieu.
Mon âme est inquiète ; ta tristesse m’oppresse,
Et les vents altérés m’ont apprit de ton regard pluvieux.
Ô ma douce maîtresse! regarde, je suis encore là.
Ton premier baiser, ne t’en souviens-tu pas,doux comme la ouate
Quand je te vis si pâle au dernières caresses,avant l'au dela
Et que, les yeux en pleurs, tu tombas dans mes pattes ?
Ah ! je t’ai consolé d’une amère souffrance !
Hélas ! Pour moi , tu te mourais d’amour.
Console-toi ce soir, je me meurs d’espérance ;
J’ai besoin de ta joie pour vivre en attendant ce jour
Le jour ou tu viendras me rejoindre ,pour l'éternité
Je serai là pour t'attendre en toute sérénité...
maman te répond
Est-ce toi dont la voix m’appelle,
Ô ma pauvre ami/e ! est-ce toi ?
Ô ma fleur ! ô mon immortelle !
Seule être pudique et fidèle
Où vive encore l’amour de moi !
Oui, te voilà, c’est toi, ma perle
C’est toi, ma/mon bien aimé/e !
Et je sens, dans la nuit profonde,
La chaleur de ta robe d’or et noire qui m’inonde
Les rayons glisser dans mon coeur qui brille
moi ton aimé/e
Maman, prends ta guitare ; c’est moi, ton immortelle,
Qui t’ai vu cette nuit triste et ton regard silencieux,
Et qui, comme un oiseau que sa couvée appelle,
Pour pleurer avec toi descends du haut des cieux.
Viens, tu souffres, maman; mon mal ,l' ennui solitaire
Te ronge, quelque chose qui gémi dans ton coeur ;
Mon amour t’est parvenu, comme on en voit plus sur terre,
Une ombre de plaisir, un semblant de bonheur.
Viens, près de moi ; chantons dans tes pensées,
Dans tes plaisirs perdus, efface ta peine faut la briser ;
Partons, ensemble,pour un instant, pour un monde inconnu,
Éveillons au hasard les échos de ta vie,
Parlons-nous de bonheur, de gloire et de folie,
Et que ce soit un rêve,cette nuit et le premier venu.
Inventons quelque part des lieux où l’on oublie ;
Partons, nous sommes seuls, l’univers est à nous.
Voici la verte vallée et la brune de l'aurore qui fuit,
Et le paradis, et les belles allées blanches, où le miel est si doux,
Dis-moi, quel songe d’or nos chants vont-ils bercer ?
D’où vienne tes larmes que je vais doucement sécher ?
Ce matin, quand le jour a frappé ta paupière,
j'étais là, courbé sur ton chevet,
Secouait des pétales de rose de ma robe légère,
Et te contait tout bas les souvenirs qui te font rêver
Chanterons-nous l’espoir, la tristesse ou la joie ?
Suspendrons-nous l’air du temps sur l’échelle de soie ?
Jetterons-nous au vent l’écume de l'oiseau coursier ?
compterons nous, les étoiles en nombre
De la maison céleste,qui allume la nuit et reste lueur du jour
L’huile sainte de vie et d’éternel amour ?
Descendrons-nous cueillir la perle au fond des mers ?
Montrerons-nous le ciel à la Mélancolie ?
Prends ta guitare! prends ta guitare ! et chante ce petit air
Mon aile me soulève au souffle du printemps.
Le vent va m’emporter ; je vais repartir de la terre.
Une larme de toi ! Dieu m’écoute ; il est temps.
maman répond
S’il ne te faut, mon amour chéri
Qu’un baiser d’une lèvre amie
Et qu’une larme de mes yeux,
Je te les donnerai sans peine ;
De nos amours qu’il te souvienne,
Si tu remontes dans les cieux.
Je te chante,mon amour, mon espérance,
ta beauté,ta gloire, mais pas le bonheur,
Hélas ! tu restes ma souffrance.
ma bouche garde le silence
Pour écouter parler ton coeur.
moi ton aimé/e
Crois-tu donc que je sois comme le vent d’automne,
Qui se nourrit de pleurs jusque sur un tombeau,
Et pour qui la douleur n’est qu’une goutte d’eau ?
maman,je souffre aussi ! un baiser, c’est moi qui te le donne.
L’herbe que je voulais arracher de ce lieu,
C’est ton oisiveté ; ta douleur dit lui adieu.
Quel que soit le souci que ta tristesse endure,
Laisse-la s’élargir, cette sainte blessure
Que les noirs séraphins t’ont faite au fond du coeur :
Rien ne nous rend si grands qu’une grande douleur.
Mais, pour en être atteint, ne crois pas, ma douce maman,
Que ta voix ici-bas doive rester muette,écoute maman
Les plus désespérés sont les chants les plus beaux,
Et j’en sais d’immortels qui sont de purs sanglots.
Alors laisse ta blessure s'élargir afin de tout sortir
Dans les brouillards du soir redonne du sens a ta vie
Pour que je puisse dans ton coeur enlever ce qui te fait souffrir
Que notre amour en soit rendu plus grand,je ne veux plus te voir ainsi
car ta douleur est la mienne ,tu as mal alors moi aussi...
Dans ton amour sublime,je vis ,tu me berce de douceur....
Alors rit maman ,je cours près de toi ,je te suit dans ton coeur...
maman répond
Ô mon aimé/e ! mon inoubliable,
Ne m’en demande pas si long.
j'écrirai encore ton non sur le sable
tu étais tu es et sera toujours mon bourgeons
J’ai vu le temps où ta présence me redonnait la jeunesse
et mes yeux et mes lèvres étaient sans cesse
Prêt à chanter comme un oiseau ;le bonheur de t'avoir...
Mais j’ai souffert un dur martyre,
Et le moins que j’en pourrais dire,
et que ce chant de mon corps a fuit,tu as tout emporté sans le vouloir...
Alfred de Musset, avec beaucoup de modification de ma part pour la circonstance...A NOS AMOURS,

Déposé par colombine67 le 30/03/2016  
Un câlin est un merveilleux cadeau à partager
Une façon de démontrer aux autres combien nous les aimons
Un câlin peut démontrer
Toute l‘importance à ceux que nous le donnons. 
Nous en ressentons la sécurité et la chaleur
Dans les bras de ceux que nous aimons.
C‘est un réconfort pour une âme en peine et torturée par la douleur
C‘est une façon de démontrer toute l‘amour de notre cœur
Pour ceux dont nous ne voulons pas nous séparer et que nous aimons. 
Un câlin,c‘est une façon de dire, à ceux qui arrive, bonjour.
Ou de dire au revoir lorsque nous partons à notre tour.
Il nous soutient lorsque nous sommes déprimés
Et nous fait sourire lorsque nous sommes attristés
Un câlin, peut être aussi donner, sans aucune raison
Donner aux petits comme aux grands dans tous les maisons
Nous ne sommes jamais trop vieux pour ressentir
La joie qu‘il apporte et qu‘il ajoute aux petits plaisirs. 
Et pour toute sa beauté, un câlin, c‘est gratuit, ne coûte rien.
Il ne coûte rien mais combien il fait de bien
Nous devrions tous nous en donner
pour démontrer combien nous sommes sensibles et touchés
Envers tous ceux que nous chérissons
Rien ne se compare à cette belle marque d‘affection que nous donnons.




L'Album photo contient 31 photos
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