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En hommage à
YORKSHIRE-TERRIERPresto
Il est né le:01/07/1999
Il nous a quittés le:05/07/2016
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80 Fleurs
692 messages
Déposé par poutounou le 26/11/2016Soulagement * Quand je n'ai pas le coeur prêt à faire autre chose, Je sors et je m'en vais, l'âme triste et morose, Avec le pas distrait et lent que vous savez, Le front timidement penché vers les pavés, Promener ma douleur et mon mal solitaire Dans un endroit quelconque, au bord d'une rivière, Où je puisse enfin voir un beau soleil couchant. * O les rêves alors que je fais en marchant, Dans la tranquillité de cette solitude, Quand le calme revient avec la lassitude ! Je me sens mieux. * Je vais où me mène mon coeur. Et quelquefois aussi, je m'assieds tout rêveur, Longtemps, sans le savoir, et seul, dans la nuit brune, Je me surprends parfois à voir monter la lune. |
Déposé par poutounou le 21/11/2016Nous aimons vous parler de belles histoires d'adoption sur Yummypets... Aujourd'hui, c'est une histoire très touchante que nous nous apprêtons à vous raconter. * Un chat rejeté par tout le monde * Ce pauvre chat qui était rejeté de tous car il n'avait pas d'oreilles a fini par être adopté. * Ce chat blanc s'appelle Otitis. Il a attendu d'être adopté pendant très longtemps. En effet, personne ne voulait de lui car il ne ressemblait pas aux standards du "chat trop mignon". Jusqu'au jour où une jeune femme l'a rencontré et est tombée amoureuse de lui. * Molly Lichtenwalner, une étudiante, était à la recherche d'une solution pour lutter contre son anxiété : "J'étais souffrante d'une anxiété sévère à cause d'un accident que j'ai eu étant plus jeune... J'ai décidé qu'il était temps pour moi d'adopter un animal pour m'aider à apaiser cette anxiété. Rien ne m'a plus aidé que de câliner des chats..." * Leurs destins se sont croisés * Molly a grandi dans une ferme, elle était entourée de chats. La jeune fille souhaitait adopter un chat, et non un chaton, avec des besoins spécifiques. Un chat qui aurait du mal à être adopté en quelque sorte. Lorsqu'elle s'est rendue sur PetFinder, elle a vu ce chat de neuf ans, un peu différent. "Lorsque j'ai vu Otitis, je savais que c'était lui". Molly s'est donc immédiatement rendue au refuge pour voir Otitis. Le chat a perdu ses oreilles à cause de nombreux kystes. Ses anciens propriétaires n'avaient pas les moyens financiers de le faire soigner. Ses oreilles ont donc dû être retirées, par conséquent Otitis est maintenant sourd. * Ce handicap ne compte pas pour Molly. "J'étais la première personne à avoir fait la demande pour l'adopter" explique-t-elle. * De l'amour à revendre * Un jour après son adoption, Otitis est sorti de sa coquille et n'a plus arrêté de câliner Molly. Chaque jour, il se blottit contre elle et lui donne de l'affection. Le duo a complètement changé de vie. Désormais, Molly est moins stressée et Otitis vit une vie heureuse. * Auriez-vous adopté Otitis ? |
Déposé par Touky le 20/11/2016Les jours se suivent et ne se ressemblent pas mon pépère, certains froids et mouillés, gris et maussades, d'autres comme aujourd'hui ensoleillés.... mais une constance, le manque de toi est encore fort. Moins quand il fait mauvais, mais toujours autant quand le soleil brille, et qu'à chaque instant je te revois danser autour de moi, t'arrêter soudain et attendre ton bonbon, tu en faisais un jeu, tu repartais gaillardement. Tendres bisous mon Presto, je pense à toi à chaque instant. |
Déposé par poutounou le 16/11/2016Quelle est la fin de tout ? * Quelle est la fin de tout ? la vie, ou bien la tombe ? Est-ce l'onde où l'on flotte ? est-ce l'ombre où l'on tombe ? De tant de pas croisés quel est le but lointain ? Le berceau contient-il l'homme ou bien le destin ? Sommes-nous ici-bas, dans nos maux, dans nos joies, Des rois prédestinés ou de fatales proies ? * Ô Seigneur, dites-nous, dites-nous, ô Dieu fort, Si vous n'avez créé l'homme que pour le sort ? Si déjà le calvaire est caché dans la crèche ? Et si les nids soyeux, dorés par l'aube fraîche, Où la plume naissante éclôt parmi des fleurs, Sont faits pour les oiseaux ou pour les oiseleurs ? * Victor HUGO (1802-1885) |
Déposé par poutounou le 11/11/2016Très belle histoire et tellement vraie ! * L'aveugle et le paralytique * Aidons-nous mutuellement, La charge des malheurs en sera plus légère ; Le bien que l'on fait à son frère Pour le mal que l'on souffre est un soulagement. Confucius l'a dit ; suivons tous sa doctrine. Pour la persuader aux peuples de la Chine, Il leur contait le trait suivant. * Dans une ville de l'Asie Il existait deux malheureux, L'un perclus, l'autre aveugle, et pauvres tous les deux. Ils demandaient au Ciel de terminer leur vie ; Mais leurs cris étaient superflus, Ils ne pouvaient mourir. Notre paralytique, Couché sur un grabat dans la place publique, Souffrait sans être plaint : il en souffrait bien plus. L'aveugle, à qui tout pouvait nuire, Etait sans guide, sans soutien, Sans avoir même un pauvre chien Pour l'aimer et pour le conduire. Un certain jour, il arriva Que l'aveugle à tâtons, au détour d'une rue, Près du malade se trouva ; Il entendit ses cris, son âme en fut émue. Il n'est tel que les malheureux Pour se plaindre les uns les autres. " J'ai mes maux, lui dit-il, et vous avez les vôtres : Unissons-les, mon frère, ils seront moins affreux. - Hélas ! dit le perclus, vous ignorez, mon frère, Que je ne puis faire un seul pas ; Vous-même vous n'y voyez pas : A quoi nous servirait d'unir notre misère ? - A quoi ? répond l'aveugle ; écoutez. A nous deux Nous possédons le bien à chacun nécessaire : J'ai des jambes, et vous des yeux. Moi, je vais vous porter ; vous, vous serez mon guide : Vos yeux dirigeront mes pas mal assurés ; Mes jambes, à leur tour, iront où vous voudrez. Ainsi, sans que jamais notre amitié décide Qui de nous deux remplit le plus utile emploi, Je marcherai pour vous, vous y verrez pour moi. " * Jean-Pierre Claris de FLORIAN (1755-1794) |
Déposé par Touky le 11/11/2016Drôle de temps aujourd'hui mon Presto, il pleut, il fait soleil... il faut profiter entre deux averses, sinon c'est le sèche-cheveux. Toi, du moment que tu étais couvert, que tu n'avais pas froid, tu me suivais, toujours avec bonne humeur, confiant, tu savais que je te ménageais, qu'en cas de grosse pluie ou de grand vent je cherchais un endroit abrité, limitant la balade à tes besoins. Tout-à-l'heure un arc-en-ciel est apparu, un peu pâle et furtif, mais quelle émotion de le contempler en pensant à toi, qui a traversé le pont pour t'en aller vivre ailleurs, et dont l'absence est toujours aussi dure. Je suis contente malgré tout, Chanel va mieux qu'en début de semaine, elle est plus gaie, demande sa balle même sous la pluie, quel bonheur de la voir ainsi. Tendres bisous mon pépère, |
Déposé par spanky le 11/11/2016Mon cœur hurle de douleur. Mes sanglots, mes gémissements, nul ne les connaît, ne les entend. Je porte un masque de fausse gaieté devant les gens. Nul ne sait à quel point je souffre, ni ne voit quel est mon tourment. J’ai si mal ! Tellement mal !! Une souffrance infernale ! Je pleure quand je suis seule, quand personne ne me voit, dans l’intimité de mon cœur. Dans les silences de ma vie, mon cœur meurtri saigne et hurle de douleur. Ta disparition est une torture infinie qui fait désormais partie de ma vie. |
Déposé par poutounou le 06/11/2016Moi j'adore la vérité : ça peut faire mal sur le coup, mais on peut "construire" dessus ; les bases sont solides. Par contre, on ne peut rien construire sur ce qui n'est pas "vrai". * La fable et la vérité * La vérité, toute nue, Sortit un jour de son puits. Ses attraits par le temps étaient un peu détruits ; Jeune et vieux fuyaient à sa vue. La pauvre vérité restait là morfondue, Sans trouver un asile où pouvoir habiter. A ses yeux vient se présenter La fable, richement vêtue, Portant plumes et diamants, La plupart faux, mais très brillants. Eh ! Vous voilà ! Bon jour, dit-elle : Que faites-vous ici seule sur un chemin ? La vérité répond : vous le voyez, je gêle ; Aux passants je demande en vain De me donner une retraite, Je leur fais peur à tous : hélas ! Je le vois bien, Vieille femme n'obtient plus rien. Vous êtes pourtant ma cadette, Dit la fable, et, sans vanité, Partout je suis fort bien reçue : Mais aussi, dame vérité, Pourquoi vous montrer toute nue ? Cela n'est pas adroit : tenez, arrangeons-nous ; Qu'un même intérêt nous rassemble : Venez sous mon manteau, nous marcherons ensemble. Chez le sage, à cause de vous, Je ne serai point rebutée ; A cause de moi, chez les fous Vous ne serez point maltraitée : Servant, par ce moyen, chacun selon son goût, Grâce à votre raison, et grâce à ma folie, Vous verrez, ma soeur, que partout Nous passerons de compagnie. * Jean-Pierre Claris de FLORIAN (1755-1794) |
Déposé par Touky le 06/11/2016Mon bisounours, L'hiver approchant, j'ai ressorti les manteaux de Chanel, et j'ai mis dans une boîte tes affaires.... que c'était difficile, mon bébé… Dans cette boîte au fond, le petit panier en tissu, si pratique en camping, à l'arrière de la voiture aux autres périodes. Et tes habits....tous tes habits: le petit pull gris, reçu lors de ton adoption, peu porté car un peu court; le petit aux losanges style burberry, le petit rouge à col roulé, portés seuls ou sous la doudoune les jours de grands froids, parfois à l'intérieur quand il faisait un peu frais en automne. Et celui tricoté amoureusement dans une laine plus épaisse l'automne à 2015... Puis les manteaux, ceux que j'ai confectionnés : le premier, en polaire brun motif pattes de chien, le même en deux épaisseurs avec une capuche, car tu étais fragile des oreilles les jours de bise. Le tissu devenant moins chaud au fil des lavages, ce fut alors les deux polaires, beiges cette fois, mais toujours motif pattes de chien, un avec capuche, l'autre sans. Et le dernier polaire, brun chocolat, pour remplacer le premier devenu un peu moche avec les années. Pour la pluie, un imper en ciré rouge doublé polaire, avec capuche amovible, le même pour Chanel... à chaque sortie, on trouvait adorables ces deux chiens habillés de la même manière, marchant côte à côte, que j'étais heureuse…. Puis ceux achetés dans le commerce : gabardine noire sans col, doublée polaire; le manteau de pluie à pattes mais sans capuche. Ces deux là n'ont pas été beaucoup portés car un peu trop grands. C'était difficile, les mesures standard ne s'adaptant pas bien à ta taille. Enfin les doudounes, mêmes modèles pour Chanel et toi, une très chaude rouge pour la neige, l'autre noire plus imperméable. J'avais dû reprendre les capuches, aussi bien pour toi que pour Chanel, elles étaient beaucoup trop grandes et vous tombaient sur le museau, vous empêchant de voir clair; qu’est-ce qu’on ri de vous observer ! Ca peut paraître beaucoup, ce n'était pas trop les jours de grosses pluie, car ne séchant pas entre deux sorties, vous étiez si près du sol. Tu appréciais d'être au chaud, car frileux, mais ne rechignait jamais à sortir bien couvert. Il faut dire que tu te laissais faire, je crois que tu aimais, au contraire de Chanel qui grimace quand je l'habille. Tu ne bougeais pas pour les essayages, j'aimais tant vous confectionner des habits, les bordant au ruban, les agrémentant de stickers à coudre.... Je sais que ces habits pourraient être utiles à d'autres, puisque tu n'es plus là pour les mettre, rassures-toi je les donnerai un jour, mais pas maintenant, c'est trop tôt..... Mis de côté aussi le 1er sac ventral, pas très pratique, mais que tu étais fier, collé ainsi contre moi quand on visitait des marchés, te laissant caresser facilement. Il y a eu aussi ce sac-harnais, où l’on passait les pattes et la queue dans 4 ouvertures, se fermant sur le dos, avec une courroie pour la bandoulière, ou de transformant en laisse. Quand tu le portais, tu laissais pendre tes pattes, confiant, on aurait dit une poupée de chiffon, j’adorais. Trouvé sur un site Internet français, non livrable en Suisse, il a donc passé par Marseille avant d’arriver chez nous, renvoyé par Martine, s’en souvient-elle ? Certainement. Et finalement ton sac à main léopard, celui dans lequel tu te sentais bien entouré, te rassurant en voiture, posé sur mes genoux…. Restent ton petit harnais bleu, mieux adapté à ta vision devenue déficiente, la petite laisse.. Ton joli collier gris aux fils d’argent, acheté par Florence, reste quant à lui sur ta photo près de mon lit, avec sa petite étoile en argent…. Les couvertures sont utilisées par Chanel, de même que ton petit canapé brun sur le divan; quant au sien il lui sert l’été sur le balcon… Je vais peut-être donner tout de suite vos corbeilles, remises à votre adoption, car elles ne servent plus depuis que tu as commencé à dormir avec nous, et celle de Chanel ayant été remplacée par une plus grande. Je crois que je n’ai rien oublié dans cet inventaire à la Prévert; pourquoi ai-je éprouvé ce besoin d’écrire tout ça, que personne ne lira ? Pas pour me souvenir, rien que de voir ces objets je te verrai toujours, peut-être pour exorciser le manque de toi, si grand ? Tu m’as tant donné mon pépère, jour après jour, tu étais si positif malgré les ennuis de santé, malgré ta vision qui diminuais régulièrement, était-ce trop de bonheur, pour que ça fasse si mal ? |
Déposé par Touky le 05/11/2016Pour toi j'ai cueilli la dernière rose du jardin Près de ton urne elle fleurit La prochaine sera pour le printemps prochain son parfum adoucira-t-il mon chagrin ? 5.11.2016 |
Déposé par Touky le 05/11/20165 novembre, 4 mois déjà..... Le ciel est bien bas aujourd'hui, il déverse des trombes d'eau, tout comme j'ai de l'eau dans les yeux. On sent appprocher l'hiver, les arbres se dénudent peu à peu, perdant leurs belles couleurs chatoyantes, laisannt la place au gris, celui du ciel, celui de la nature, celui des journées empêchant les longues sorties. Les oiseaux commencent à chercher de la nourriture près des maisons, telles les 3 petites tourterelles souvent ensemble, dont l'une qui vient chaque année la première, longtemps avant les autres, se poser sur le bouleau ou le petit buisson. Il y a deux jours le corps éventré de l'une d'elles gisait dans le pré, entouré de plumes; est-ce le chat ? je l'ignore, j'espère simplement que ce n'est pas ma petite fidèle, qui a pris confiance et ne s'envole pas quand j'ouvre la fenêtre, mais au contraire me regarde, sachant qu'il y aura des graines, car je ne les ai plus revues. Ce mauvais temps me donne l'impression que tu t'éloignes de plus en plus, mon pépère, et me rend infiniment mélancolique. J'ai profité d'une accalmie pour aller faire un tour avec Chanel, on a rencontré ton copain le gros Trico et ses maîtres, on a fait un bout de chemin ensemble. Ils m'ont parlé de toi, tu vois ils ne t'oublient pas, et on s'est souvenus de la façon dont vous aviez fait connaissance, dès votre adoption, Trico vraiment adorable, malgré qu'il fasse plus de 10 fois ton poids, jamais un geste ou une attitude pouvant te faire peur, au contraire il se faisait tout petit devant toi, marchait lentement pour ne pas de bousculer, je lui en serai toujours reconnaissante. Tu me manques mon bébé, mais je veux me souvenir des bons moments passés avec toi. Câlins mon pépère adoré |
Déposé par Touky le 04/11/2016Mon loulou, comme c'est dur de penser à cette nuit, ta dernière nuit, passée loin de chez toi, seul chez le vétérinaire, il y a juste 4 mois.... dont j'étais sûre qu'au lendemain on te retrouverait remis de cette crise, j'avais confiance en toi, confiance en la vie, confiance dans le vétérinaire.... |
Déposé par Touky le 01/11/2016Voilà mon bébé, on est le 1er novembre.... nous avons changé d'horaire, et si l'automne nous offre de belles journées encore quand le soleil arrive à percer les nuages, on sent déjà l'hiver arriver; cet hiver qui est entré dans mon coeur en juillet, et qui va y demeurer bien longtemps encore, tant le manque de toi est encore difficile à supporter. Si chaque jour était un jour de bonheur, chaque premier du mois marquait, depuis 2 ans, une étape importante de ta vie. Et chaque premier juillet, date de ta naissance, ainsi que chaque premier janvier, me remplissait d'une joie différente, celle d'une victoire sur le temps. Nous sommes le 1er d'un mois aujourd'hui, et bien sûr mon coeur se serre parce qu'il y a 4 mois tu passais le cap des 17 ans. Le 1er juillet était aussi la date de naissance de mon papa, et, fait étrange, j'ai entendu aujourd'hui des enfants chanter une chanson de chez nous qu'il m'avait apprise lorsque j'étais enfant : L’inverno e passato L’aprile non c’è più E ritornato il maggio Al canto del cucu. Cucu, cucu L’aprile non c’è più E ritornato il maggio Al canto del cucu. Lassu per le montagne La neve non c’è più Comincia fare il nido Il povero cucu. Cucu, cucu La neve non c’è più Comincia fare il nido Il povero cucu..... je ne me souviens plus de la suite, ni même de l'othographe exacte mais qu'împorte, j'y vois un signe, j'ai envie de croire qu'il la chante pour toi là-haut, et les autres, ceux d'avant, car il aimait les chiens, et particulièrement les petits, Chouquette et Princesse, que mes parents avaient gardé quelques fois. Tendresse mon tout petit |
Déposé par poutounou le 30/10/2016Joli poème pour la Toussaint… * Les chrysanthèmes_ * O ! Fleur pâle ornement des images d’automne Sans parfum qui nous grise, aussi sans volupté Quand je te vois t’ouvrir, la gaieté m’abandonne Mais tu souris toujours sous le ciel attristé. * Tu fleuris quand tout meurt dans la nature entière. Quand d’un feuillage d’or les arbres sont parés Tu fleuris quand la rose à son heure dernière Effeuille tristement ses pétales fanés. * Dans les jardins en deuil ta frileuse parure Jette une note gaie et sur les tapis d’or Par l’automne étendus, tes rameaux de verdure Font croire que l’hiver est loin de nous encor. * Sur les tombeaux glacés tu remplaces les roses Quand chaque fleur se fane au baiser des brouillards Tu figures partout et dans les chambres roses Et dans les grands salons et sur les corbillards. * N’es-tu pas, par ta grâce et par ta modestie, La fleur qui plaît aux yeux parmi toutes les fleurs. Puisqu’au sein de la mort tu fais briller la vie Comme un rayon d’espoir brille au sein des douleurs. |
Déposé par Touky le 29/10/2016Mon Presto d'amour, Jolie balade cet après-midi avec Chanel vers les vergers où tu amais bien aller, car pas d'obstacles, de la visibilité, de la belle herbe. Il faisait un peu frais avec la bise, mais tu l'aurais supportée avec le manteau adéquat. Ce manteau qui m'a fait pleurer un peu plus tard, lorsque j'ai ouvert l'armoire et qu'îl est tombé.... ce manteau que tu ne mettras plus, qu'aucun autre chien ne mettra jamais... Chanel l'a bien reniflé, elle devait sentir ton odeur, celle que je ne retrouve plus sur tes habits, et que j'aimais tant, tu sentais tellement bon, une odeur de foin, de bonheur, légère et agréable. Comme j'aimerais te sentir encore, une fois...juste pour me souvenir. Tu me manques tant, mon bébé, je t'aime |
Déposé par choupinou le 26/10/2016Quand je rêve de toi, moi je rêve d’amour Et quand je pense è toi je pense à nos beaux jours J’avance pas à pas vers cet oubli de nous Qui me blesse déjà car l’amour est si doux. Ce sont tous ces instants qui me parlent de nous Qui partent au fil du temps réduisant l’amour fou À ce petit espoir que tu te souviendras De notre belle histoire d'amour tu te rappelleras. Je n'ai que ton amours celui qui me hante Restera pour toujours ce bonheur qui m’enchante Bien du temps est passé, elle ne s’est pas éteinte La passion enflammée, celle de nos étreintes. Le temps est cruauté il éteint nos bonheurs On veut toujours aimer,ton coeur endormi fait mon malheur Le temps se fait bourreau des rêves de chacun Il nous met au repos dans nos derniers matins. Oui, je refuserai cette triste contrainte Qui épuise la flamme et deviens ma complainte Dans notre âme en éveil elle brûlera toujours Mais le corps en sommeil vibre bien moins d’amour. L’éternel assassin ce temps qui nous domine Ne nous donne plus rien que des rêves inutiles Et nous nous effaçons sans pourtant oublier Notre seul horizon, continuer à aimer. Par : Régina Augusto. |
Déposé par poutounou le 24/10/2016Le voyage * Partir avant le jour, à tâtons, sans voir goutte, Sans songer seulement à demander sa route ; Aller de chute en chute, et, se traînant ainsi, Faire un tiers du chemin jusqu'à près de midi ; Voir sur sa tête alors s'amasser les nuages, Dans un sable mouvant précipiter ses pas, Courir, en essuyant orages sur orages, Vers un but incertain où l'on n'arrive pas ; Détrempé vers le soir, chercher une retraite, Arriver haletant, se coucher, s'endormir : On appelle cela naître, vivre et mourir. La volonté de Dieu soit faite ! * Jean-Pierre Claris de FLORIAN (1755-1794) |
Déposé par zenelle le 23/10/2016❤ Mon Chien Je t’aurais tout donné mon bébé Mais mon âme-sœur s’en est allée Ainsi sont les mystères de la vie Ami, je suis là et toi tu es parti Je garde en moi nos pensées et souvenirs Ces moments de joie et d’intenses plaisirs Je ne sais comment continuer mon bébé Sans toi l’amour de ma vie à mes côtés Pensée ❤ |
Déposé par Touky le 10/10/2016Coucou mon pépère, Chanel a eu peur ce matin, des chasseurs dans le petit bois, on est vite parties se promener ailleurs. Et cet après-midi, une nouvelle dame m'a demandé après le petit, donc toi, étonnée de ne pas te voir avec nous. Tu vois, beaucoup de monde te connaissait, normal tu étais si mignon, surtout avec tes petits pulls ou manteaux, mais aussi simplement en trottinant gaiement, mon petit danseur aérien. |
Déposé par Touky le 09/10/2016Mon bonhomme, Dimanche... papy est parti faire la sieste, moi je n'y arrive plus depuis ton départ. Ah la sieste, sacrée pour toi, où tu filais sur le lit à peine ton repas terminé, mais ne te couchais pour dormir que lorsque tous étaient autour de toi... oui je la vois encore cette image de toi, tournant la tête quand tu me voyais arriver, t'installer à ta place, t'endormir, heureux, rassuré. Mon tendre petit chien, comme je t'aime, comme tu me manques. , |
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