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En hommage à
Boul

Il nous a quittés le:18/08/1994
 


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En hommage à Boul

BOUL je t'ai longtemps attendu. Petite fille je voulais pour mon chien : non un appartement mais une maison avec un jardin et un bois pour se promener.

Ce 22 juin 1980, je t'ai vu agé de 4 mois, roulé en boule ... et mon rêve d'enfant s'est réalisé.

BOUL tu étais le chien le plus gentil, le plus doux, le plus intelligent, le plus beau pour moi de la terre.
Tu est toujours resté craintif, mais comment ne pas l'être après ce que tu avais vécu : jeté dans un sac en plastique avec ton frère et ta soeur pour être noyés. J'imagine votre terreur :vous débattant dans le noir, le froid jusqu'à la liberté sur le bord d'un étang isolé où l'on vous a trouvé.
Pourtant tu m'a donné toute ta confiance : seule, j'ai eu le droit de te soigner, un coup de langue sur ma main et je savais que je te faisais mal.

Je te revoie toujours sortant de la chambre des parents quand mon père rentrait, le nez en l'air, comme sifflotant "je ne fais que passer" . Tu aimais bien faire une petite sieste sur ce lit interdit !!! Complice, je n'ai jamais vendu la mèche !!!

Les années ont passé : c'est court une vie de chien.
Tu as vieilli ... mais celà nous a encore plus rapproché : je t'aidais à monter l'escalier.
A la fin tu n'en pouvais plus. Ton regard douloureux m'a fait mal.Tu t'es endormi à jamais ta tête entre mes bras : que t'importait ... nous étions ensemble !!!
La première chose que j'ai fait en rentrant sans toi, c'est de jeter ce rideau de perles qui me prévenait que tu descendais au jardin : je ne supportais plus ce bruit.

BOUL, mon BOUL je n'ai jamais eu de plus fidèle ami que toi.
J'ai peu de photos de toi ... mais tant de belles images dans mon coeur.
Sois tranquille, tu garderas toujours une place privilégiée dans mon coeur.

MERCI à toi d'avoir fait d'un rêve de petite fille ... une merveilleuse réalité.


* * * * * * *
18 aout 1994 - 18 aout 2011.

"J'ai été ta religion, j'ai été ta gloire ...
Si tu pouvais savoir, ô mon chien,
Combien ton dieu est triste de ta mort ...
Les dieux pleurent quand meurt le chien
Qui leur lécha les mains."

Miguel de Unamuno.

* * * * * * *
18 aout 1994 - 18 aout 2012

Mon BOUL ... Mon AMI ... Mon CHIEN ...
Malgrès le temps passé je sens encore tellement ta présence.
Dans la maison il y a un peu partout ces jolis cailloux que nous ramassions ensemble. Quand je passe la main c'est un peu TOI que je caresse ...

* * * * * * *
18 août 1994 - 18 août 2013 / 18 août 2014

Mon BOUL ... je t'ai attendu enfant puis adolescente
je t'ai attendu longtemps ... de nombreuses années pour qu'enfin nos destins se croisent.
J'avais trente ans passés mais ce jour là Tu as réalisé mon rêve.
Maintenant Tu n'es plus là ...
Pourtant Tu vis encore dans mon coeur et ma mémoire garde tant de beaux souvenirs partagés.
Vingt longues années aujourd'hui sont passées :
Tu es toujours mon BOUL ... Mon AMI ... Mon CHIEN ...

* * * * * * * *

18 août 1994 - 18 août 2015

Mon BOUL, j'ai eu tant de mal à revenir me promener dans ce bois où nous nous promenions ensemble.
Tout est pareil et pourtant différent.
Le beton a hélas dévoré beaucoup d'arbres ... la promenade préféré de HELIOT est devenu un sinistre parking ... Ne lui dit rien ... mais moi j'en aurais pleuré de rage et de désespoir.
Notre petit coin favori est toujours là : les oiseaux chantent et çà sent bon le pin. Le chemin est juste un peu plus défoncé.
Quand j'ai fermé les yeux une ombre fugitive est passée : Toi débout m'attendant à l'entrée du chemin...
Mais quand je les ai ouvert il n'y avait plus rien ... les oiseaux chantaient toujours ... mais j'étais seule là immobile à fixer un buisson.
J'ai continué ma route solitaire...
Je reviendrai respirer la bonne odeur des pins, écouter le chant joyeux des oiseaux ... et nous nous retrouverons comme avant, ta silhouette au creux de ma mémoire.

*******

18 Aout 2018

Je te demande pardon pour mon silence mon AMI ... non je ne pourrais jamais t'oublier ... tu reste toujours avec moi fidèle à mon coté... mais je suis si fatiguée ...
VIOLET est là désormais ... elle est mon soutien pour m'occuper de Papa comme tu l'a été pour Maman.

Mais je t'avoue mon AMI je n'ai pas eu le courage de revenir dans ce bois où nous nous promenions ensemble ...




JE T'AIME ... POUR TOUJOURS ET A JAMAIS ...

Tu es toujours mon BOUL ... Mon AMI ... Mon CHIEN ...


💔💓💘 18 Aout 2019 - 18 Aout 2020 - 18 Aout 2021 - 18 Aout 2022 - 18 Aout 2023 💔💓💘

C'est avec beaucoup d'émotion que je remercie tous ceux et toutes celles qui ont déposé fleurs, messages ou poèmes pour mon BOUL ...



" Si Dieu nous prend un à un nos amis c'est pour faire d'eux les étoiles de notre ciel " (C. Journet)




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Chaque pétale contient de la douceur et des bisous affectueux rien que pour toi
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Déposé par rafia le 09/06/2014  
N'abandonne surtout mon ami/amie
Lorsque dans la vie rien ne va plus,
que les problèmes tourmentent ton esprit
et que l'absence te cause tant de chagrin.
Repose-toi s'il le faut, mais n'abandonne surtout pas.
Lorsque trop d'erreurs ont été commises,
que tout ton univers menace de s'écrouler
et que, fatigué//e, tu sens la confiance t'abandonner...
Repose-toi s'il le faut, mais n'abandonne surtout pas.
Tu sais, la vie est parfois étrange, avec son lot de surprises et d'imprévus,
et il ne ns est pas donné de savoir à l'avance combien d'étapes nous devrons franchir,
ni combien d'obstacles nous devront surmonter
avant d'atteindre le bonheur et la réussite.
Combien de gens ont malheureusement cessé de lutter
alors qu'il n'aurait peut-être fallu qu'un petit pas de plus
pour transformer un échec en réussite ?
Et, pourtant, un pas à la fois n'est jamais trop difficile.
Tu dois donc avoir le courage et la ténacité nécessaire
pour faire ce petit pas de plus,
en affirmant que la vie est une grande et puissante amie
qui se tient toujours à tes côtés, prête à te porter secours.
Car RIEN n'est plus beau que la VIE !!!
Tu verras alors que cette attitude appellera
du plus profond de toi-même,
des forces de vie que tu ne soupçonnais même pas
et qui t'aideront à réaliser ce que tu entreprendras.
Mais surtout et avant tout, rappelle-toi bien:
Quand dans ta vie, des moments difficiles viendront...
Repose-toi s'il le faut, mais n'abandonne surtout pas !!!
.
,

Déposé par goulou50 le 08/06/2014  
Petit ange,
Si loin de nos coeurs
vous devez avoir peur.
Peur d'être oubliés
et plus jamais aimés.
Mais comment chasser de notre coeur
tout ce bonheur
que vous nous avez donné
à chacun de nos instants tendresse.
Petit ange parti
mais restant dans nos vies,
chaques jours décomptés
viennent nous rapprocher.
Alors si loin de vous,
on devient souvent fou.
Fou de rage et de haine
De nous avoir enlever notre petit être
Le temps passe mais l'amour reste.

Déposé par rafia le 08/06/2014  
Cet acte de courage va vs épater
Publié par Solène Filly, le 25 avril 2014
Un chien adopté a sauvé la vie d'un bébé
La famille Brusseau a adopté un chien dans un refuge il y a maintenant six ans. L'animal leur a aujourd'hui rendu la pareille en les alertant en pleine nuit car leur petite fille de neuf semaines ne respirait plus.
Duke est un chien exactement comme les autres. Affectueux et très obéissant, il vivait heureux avec ses propriétaires. Mais il est devenu encore plus précieux à leurs yeux lorsqu'il les a réveillés en pleine nuit parce que leur petite fille de neuf semaines, qui dormaient dans la chambre d'à côté, avait cessé de respirer.
Contrairement à ses habitudes, le chien a soudain sauté sur le lit de ses maîtres, sans réussir à s'arrêter de trembler. Alertés par cet étrange comportement, ils ont alors décidé d'aller voir comment se portait leur fille, la petite Harper. Lorsqu'ils ont découvert qu'elle ne respirait plus, les parents ont tout de suite appelé les secours qui ont heureusement pu intervenir à temps et donc sauver la vie du nourrisson. Les Brusseau sont extrêmement reconnaissants envers leur chien, car s'il n'avait pas été là, ils ne se seraient jamais réveillés et n'auraient donc pas pu sauver leur fillette à temps. ,

Déposé par rafia le 07/06/2014  
Ces chiens qui sauvent des vies
VENDREDI 26 MARS 2010 | ACTU CHIEN - HÉROS
chiens sauvent vie
La société protectrice des animaux des Etats-Unis a décerné un prix aux chiens courageux qui ont sauvé des vies.
Kenai, un croisé Bouvier bernois de 14 ans, a reçu le prix « Chien de valeur ». Ce chien vivant avec sa famille à Erie, dans le Colorado, a été choisi parmi neuf finalistes. Ce prix récompense les chiens qui ont fait preuve d’un courage extraordinaire en aidant des personnes dans le besoin.
Le chien les sauve d’une fuite de monoxyde de carbone
Le chien Kenai a, l’hiver dernier, a prévenu ses maîtres d’une fuite de monoxyde de carbone dans leur maison de vacances. Il a aboyé et gémis jusqu’à ce que la maison soit évacuée. Grâce au chien, il n’y a eu aucun blessé.
Ce concours a également mis à l’honneur, à travers les votes de célébrités, Calamity Jane, d’Aledo, au Texas. Amputée d’une patte et ayant donné naissance à une portée de 7 chiots, la chienne a réussi à affronter des personnes ayant pris des résidents de la maison voisine en otage.
Les finalistes du prix « Chien de valeur » étaient les chiens suivants :
Benson, un Golden Retriever de 5 ans, qui a alerté sa famille d’un feu de maison ayant débuté dans leur rue. Les habitants de la maison concernée ont donc pu être sauvés.
Le Doberman Jackson a sauvé un voisin de 90 ans qui était coincé sous des débris. Il est allé chercher son maître pour qu’il lui vienne en aide.
Jobe, un Braque hongrois, a prévenu les parents que leur fils de 19 ans faisait une réaction allergique grave. Le fils a été conduit aux urgences et sauvé.
Max a sauvé la vie d’une femme de 89 ans qui s’était effondrée dans son jardin, incapable de se relever. Le Labrador a aboyé et sauté sur la clôture jusqu’à ce que ses propriétaires réagissent et appellent les secours. Le chien a été invité au 90e anniversaire de la femme !
Le propriétaire de Milky Way, un croisé Corgi -Terrier, était allé se coucher et n’aurait pas pu sauver sa sœur, victime d’un accident vasculaire cérébral et effondrée dans une pièce de la maison, si le chien n’avait pas donné l’alarme.
Porkchop, croisé Beagle-Teckel, a aboyé et hurlé lorsque son maître est tombé dans sa cour, délogeant de son emplacement le tube à oxygène dont il était équipé à cause d’une grave maladie respiratoire. Un voisin a entendu les cris du chien et a appelé les urgences.
Prozac, Un croisé Bichon frisé-Caniche, a alerté sa famille des problèmes respiratoires d’une personne âgée et les a également prévenus lors d’un départ d’incendie dans le grenier : un double héros !
RaeLee, un croisé Terrier, a réussi à faire comprendre à son maître qu’il devait rentrer dans la maison, son fils handicapé faisant un arrêt cardiaque. Il a donc pu prodiguer les premiers secours en attendant l’arrivée des secours, et lui sauver la vie.
Mots clés : chien héros
Par Sophia Da Silva

Déposé par rafia le 06/06/2014  
INCROYABLE mais VRAI !!!
Etats-Unis. Un chien sauve son maître en appelant les secours sur son téléphone
Publié le 14/05/2014 à 09:07,
Terry Mc Glade et son chien Terry
Major est ce qu'on appelle un chien très bien dressé. Ce fruit d'un croisement entre un pitbull et un labrador a sauvé la vie de son maître en composant le 911 sur son téléphone portable ! Comme le rapporte ABC News et Fox News, l'ancien Marine américain était victime d'une attaque cardiaque et aurait perdu la vie si l'arrivée des secours n'avait pas été aussi rapide.
Il appelle le 911 et aboie
Le propriétaire de ce chien très intelligent l'avait éduqué à détecter les situations de crise et à savoir comment réagir. Lorsque l'ancien Marine s'est effondré dans son jardin, l'animal a immédiatement compris qu'il se passait quelque chose de grave. Il a sorti le téléphone de la poche de son maître et a appuyé avec sa patte sur une touche spécialement configurée pour appeler le numéro des secours. En l'entendant aboyer de toutes ses forces au téléphone, les urgentistes ont décidé de se rendre au domicile du propriétaire pour vérifier s'il n'avait pas de soucis. "J'aurais probablement eu de sérieux problèmes s'il n'avait pas appelé", a témoigné la victime, reconnaissante !
LaDépêche.fr
,

Déposé par tinou20042001 le 05/06/2014  
TOUT EST POSSIBLE
Nombre de gens pourraient mieux s’amuser
Ils ne sont heureux qu’à moitié
Toujours accrochés à leur passé
Ils n’ont qu’un désir, recommencer
Ils ont vécu des moments bons, ou mauvais
Même de très bons, ou de très mauvais
C’est redevenir jeune qu’ils aimeraient
Pouvoir, tout revivre ce qu’ils ont fait
Ils pensent d’ailleurs et trop souvent
Que leur vie ne sera plus comme avant
Ils se rappellent, des amis importants
Se souviennent, de leur vie évidemment
Ils voudraient encore leur parler
Ils voudraient, les entendre se raconter
Ils aimeraient encore, les revoir sourire
Ils vivent dès lors, tous leurs vieux souvenirs
Au fond, s’ils pouvaient justes se décider
Se dire, qu’ils en ont vraiment assez
S’ils pouvaient, revenir dans leur présent
S’ils essayaient, de sourire plus souvent
Ils ne seraient plus, heureux qu’à moitié
C’est toute leur vie qui pourrait changer
On peut tous hélas ! Vivre une belle vie
Il suffit de vouloir, de relever ce défi
Texte Claude Marcel Breault

Déposé par rafia le 05/06/2014  
Ce chien avait sauvé la vie de ce militaire. Pour le remercier, il a décidé de l'adopter
Publié par Solène Filly, le 30 mai 2014
Ce chien a sauvé la vie de ce soldat
Lorsqu'il était sur le terrain, ce soldat américain travaillait avec un chien qui l'aidait à trouver des bombes. L'animal lui a sauvé la vie ainsi que celle d'autres soldats et, quand il a été blessé, il a décidé de lui rendre la pareille.
Le sergent Julian McDonald avait été envoyé en Afghanistan avec d'autres soldats et une chienne Layka. L'animal s'est fait tirer quatre fois dessus mais a continué à faire son travail, sauvant ainsi la vie des hommes avec lesquels elle était en mission. Suite à son accident, la pauvre Layka a dû être amputée d'une patte et, lorsque Julian McDonald est revenu aux États-Unis, il a décidé de tout faire pour l'adopter et lui offrir une belle vie.
Cela n'a pas été aussi simple qu'il le pensait puisque beaucoup de personnes la jugeaient dangereuse, mais l'homme s'est battu et Layka fait maintenant partie de la famille. Il explique que, dès son arrivée, elle s'est très bien habituée à sa nouvelle vie et a été très douce avec les enfants. Il l'emmène régulièrement avec lui lorsqu'il va travailler afin de pouvoir lui permettre de se dépenser et de se défouler et la laisse trouver quelques bombes pour satisfaire sa curiosité. Par cette vidéo, il aimerait convaincre plus de gens que les animaux qui sont envoyés au combat peuvent ensuite reprendre une vie normale. Et si le gouvernement les considère souvent comme un simple équipement, les chiens qui sont sur le terrain sont pour les soldats de véritables frères d'armes qui ont un rôle très important et qu'ils respectent énormément.,

Déposé par rafia le 04/06/2014  
L'ami
Auteur : Aliza Claude Lahav
Depuis peu j'ai un nouvel ami. Il est toujours réconfortant de se dire que l'on est encore capable de se faire de nouveaux amis. Une nouvelle amitié c'est un renouveau d'espoir et d'énergie. C'est la vie qui s'écoule et qui met sur notre chemin des rencontres qui, on ne sait pourquoi, deviennent plus significatives que d'autres. L'amitié est une plante fragile, elle pousse sur tout terrain mais elle demande beaucoup de soins et d'attention.
Dès son ensemencement il est évident qu'elle ne ressemble qu'à elle-même et qu'il est inutile de reproduire des schèmes de développement connus. Il faudra la soigner, l'arroser, l'alimenter, la biseauter, la chouchouter, l'écouter, lui parler… en un mot la façonner à nos besoins et à notre image. Un ami c'est un cadeau mais il faut le mériter.
J'ai fait la connaissance de mon nouvel ami sur Internet, grâce au cahier de brouillons.
Une grand-mère et un jeune garçon de quinze ans trouvent des points d'intérêt communs, des sujets de conversation, des échanges d'idées. Est-ce qu'une telle rencontre peut se produire dans une vie non virtuelle ? Je ne le crois pas, dans la vraie vie les générations nous séparent alors que sur le Net les anciens retrouvent leur jeunesse et les jeunes présentent leur côté mature.
Peut-être parce qu'il ne s'agit pas d'une conversation face à face, mais d'un dialogue qui a une dynamique bien spécifique que nous devrions prendre en ligne de compte dans tous nos échanges, avec tous nos amis internautes. En effet, la relation sur Internet est encore plus complexe que dans la vie de tous les jours dans ce sens qu'elle incite à une projection permanente de nous-mêmes. C'est-à-dire que nos interprétations priment et que souvent nous attribuons à autrui nos propres pensées, il peut arriver que nous n'aimions pas toujours les interprétations des autres sur nos idées.
Pourtant, seul le principe de réciprocité peut nous enrichir et nous avons besoin du " regard virtuel " de l'autre pour parfaire notre identité de penser. Internet a élargi notre monde nous permettant des possibilités d'échanges qui étaient impensables il y a quelques années, il nous offre également les moyens de nous ouvrir aux autres et à nous-mêmes. Ces dernières années j'ai eu la chance d'acquérir de nombreux amis, d'ailleurs la plupart d'entre eux lisent ces lignes en ce moment.
Belle expérience que l'internautamitié !!!

Déposé par rafia le 03/06/2014  
Un chien accompagne un ancien combattant
Un ancien combattant revenu d'Irak réapprend à vivre grâce à Gunner, un labrador attachant.
C'est une bien belle histoire qui est en train de s'écrire entre Gunner, le labrador, et cet ancien soldat qui a combattu en Irak. En effet, Brian K Pearce est revenu de deux mois de coma et semblait diminué aussi bien sur un plan physique (champ de vision réduit, pertes de mémoire...) que psychologique (traumatismes d'après guerre...) à son réveil et les jours suivants.
C'est alors que Gunner, un chien d'aveugle, est entré dans sa vie et l'a ainsi aidé à traverser les épreuves mais surtout à lui redonner la joie de vivre.
Plus qu'un soutien, Gunner est devenu un véritable ami pour Brian K Pearce et lui permet petit à petit de remonter la pente après le traumatisme subi en Irak.
Cette belle histoire n'est pas un cas isolé affirme le fondateur de l'association de chien d'aveugle puisque beaucoup de gens se sont déjà faits accompagnés par des chiens pour aveugle afin de les soutenir dans leur quotidien mais surtout pour retrouver le goût de vivre !
Dans le même esprit, retrouvez notre article sur le chien qui vient à la rescousse d'un homme de 78 ans.
Source et crédit photo : letribunaldunet,
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Déposé par goulou50 le 03/06/2014  
Un nuage
Y a-t-il plus beau paysage
Qu’au ciel un blanc nuage
Qui vous invite au voyage
A la rencontre d’un visage
Ce nuage je l’ai visité
Et j’ai voulu l’habiter
Y vivre en toute liberté
Dès que je t’ai vu,toi mon petit chien
De ta truffe tu touché mon visage
Dans ma main tu as glissé ta patte
Quand je suis avec toi
Je suis toute à ma joie
Il n’y a plus rien pour moi
Que la chaleur de ta tendresse
Le floconneux nuage blanc
Est là haut qui m’attend
Je m’y pelotonne sagement
Et m’y endors en rêvant
Et je flotte dans l’air
Avec ma boule de tendresse
Ca a l’air de lui plaire
L’escapade en ciel clair
Voici un gros nuage gris
Qui lâche ses larmes de pluie
Qu’est ce qui lui a pris
De nous réveiller ainsi
Et c’est la descente infernale
Qui nous ramène au point final
Après ce voyage merveilleux
Ce n’était qu’un rêve
Une toute petite trêve
Ces moments sont inoubliables
Et ce bonheur inexplicable

Déposé par rafia le 02/06/2014  
Chose promise..chose dûe !!! et je tiens tjrs mes promesses fussent-elles bonnes ou bien mauvaises !!!
Comme pr les personnes qui s'amusent à lancer de fausses rumeurs...Je leur dis "que les rumeurs sont des MENSONGES inventés pr des ENVIEUX/SES...souvent répétés par des..crétins/crétines..et crus par des idiots/idiotes. Les gens intelligents VERIFIENT avant de croire !!!"
Mille bisous
Maryem votre amie fidèle.
***************************
Silverton Bobbie : l'histoire d'un chien extraordinaire
Aujourd’hui, je vais vous raconter une petite histoire, celle d’un chien au courage et à la loyauté incroyable : Silverton Bobbie. J'espère que cela va renforcer votre amour pour le meilleur ami de l’Homme !
Silverton Bobbie est né en 1921, dans l’Etat de l’Oregon, dans la ville de Silverton aux Etats-Unis ; c’était un chien croisé Collie et Berger Anglais, avec un long museau, des poils doux et des yeux vifs.
Il fut adopté par une famille, où il vivait heureux, entouré d’amour. En 1923, toute la famille décida de partir en vacances dans l’Etat de l’Indiana ; évidemment, ils emmenèrent avec eux leur compagnon adoré. Mais au bout de quelques jours, lorsqu’il fut temps de rentrer à la maison, personne ne retrouva Silverton Bobbie ! La famille le chercha partout, ainsi que leurs amis et les habitants de la ville où ils se trouvaient. Mais hélas, ils ne retrouvèrent pas leur chien.
Epuisés par leurs recherches, les membres de la famille durent malgré tout rentrer dans l’Oregon, le cœur brisé. Ils étaient effondrés, car ils savaient qu’ils ne reverraient jamais leur chien.
Six mois plus tard, un beau jour, ils découvrirent un animal blessé devant leur porte : c’était leur fidèle Silverton Bobbie qui avait réussit à retrouver le chemin de la maison ! Le pauvre chien était décharné, déshydraté et épuisé, avec une patte presque cassée : en effet, il avait tout seul parcouru les quelques 2551 miles, soient 4105 kilomètres qui le séparaient de sa famille chérie ! Pour cela, il avait du marcher dans des plaines, des déserts et des montagnes, et tout cela pendant un hiver particulièrement rude. Un vrai héro !
Après son arrivée, il fut l’objet d’une grande attention (méritée !) : des dizaines d’articles ont paru dans les journaux locaux et nationaux, des livres ont été écrits en son honneur ainsi qu’un film. En 1924, il joua d’ailleurs son propre rôle dans un long métrage muet appelé The Call of The West. La famille de Silverton Bobbie reçu des centaines de lettres venues des quatre coins des Etats-Unis, et il se vit offrir les clés de la ville de Silverton ainsi qu’un superbe collier en pierres précieuses.
A sa mort en 1927, il fut enterré avec les honneurs au cimetière des animaux de la Oregon Humane Society à Portland. Sa pierre tombale fut honorée par Rin Tin Tin, le célèbre chien. A Silverton, sa ville natale, on célébra son courage et sa loyauté durant des parades, dont la première fut menée par son fils Pal. En 2012, un groupe de fans commença même à manifester dans la ville dans le but de rapatrier les restes de Silverton Bobbie dans sa ville natale ; il existe même un site pour leur cause.
Voici l’histoire d’un compagnon extraordinaire, qui nous rappelle que le chien est un animal très loyal et courageux, qui serait capable d’énormément de choses pour son maître. Tâchons d’être digne de cette confiance qu’ils portent en nous, et de leur rendre cet amour inconditionnel.
Site officiel de Silverton Bobbie
Source : wikipedia,

Déposé par rafia le 01/06/2014  
Mes très chère Anne-Marie
Le texte suivant m'inspire..."laissons parler notre coeur et notre aide sera tjrs positive".
Comme je suis en..."indisponibilité" à cause de mon pied..j'en profite pr passer un peu plus de temps sur le site.
Mille bisous pr vs, mon adorable amie
ma tendresse pr la belle Violet.
Votre amie Maryem
Les bons conseils
Un homme tomba dans un trou et se fit très mal.
Un Cartésien se pencha et lui dit :
« Vous n'êtes pas rationnel, vous auriez dû voir ce trou ».
Un spiritualiste le vit et dit :
« Vous avez dû commettre quelque péché».
Un bouddhiste le vit et dit :
« C'est votre karma, je compatis».
Un scientifique calcula la profondeur du trou.
Un journaliste l'interviewa sur ses douleurs.
Un yogi lui dit :
« Ce trou est seulement dans ta tête, comme ta douleur ».
Un médecin lui lança deux comprimés d'aspirine.
Une infirmière s'assit sur le bord et pleura avec lui.
Un thérapeute l'incita à trouver les raisons
pour lesquelles ses parents le préparèrent à tomber dans le trou.
Une pratiquante de la pensée positive l'exhorta :
« Quand on veut, on peut ! »
Un optimiste lui dit :
« Vous avez de la chance : vous auriez pu vous casser une jambe ».
Un pessimiste ajouta : « Et ça risque d'empirer ».
Puis un enfant passa ........
et lui tendit la main...
(Christelle Heurtault),

Déposé par rafia le 30/05/2014  
Fidèle comme Bobby !
BobbyEn 1856, un certain John Gray, jardinier de son métier mais au chômage, quittait avec sa famille la campagne écossaise pour tenter de survivre dans la capitale : Edinburgh… La chance fut avec lui car il trouva sans difficulté un poste de policier. Sa fonction prévoyait qu’il soit accompagné d’un chien de garde, et l’administration lui confia un chiot Skye Terrier, qu’il nomma Bobby. Tous les jours, John Gray prit sa permanence au château, accompagné de Bobby, et les habitants du quartier s’habituèrent à les voir, au coup de treize heures, annoncées traditionnellement par le canon, rejoindre une petite auberge où John prenait un repas frugal. Bobby profitait des restes du repas de son maître, et même y gagnait en supplément une brioche ! Ce bonheur tranquille hélas ne dura que deux ans, quand John Gray décéda de tuberculose. Le jour des funérailles, plusieurs témoins attestèrent avoir reconnu Bobby en tête du cortège funèbre. Une fois la cérémonie terminée, le chien ne réapparut pas, la famille du défunt crut qu’il s’en était allé…
C’est pourquoi, dès le lendemain, le gardien du cimetière de l’église de Greyfriars, où était enterré John Gray, fut très étonné de voir Bobby couché sur la tombe de son maître. Mais comme les chiens étaient interdits dans le cimetière, il l’en chassa. Néanmoins le jour suivant, Bobby était revenu ! L’homme avait beau le poursuivre, chaque matin il retrouvait Bobby revenu sur la tombe. Une telle constance et une telle obstination dans le souvenir ne pouvait qu’émouvoir le cœur d’un gardien, aussi endurci soit-il, qui finit par obtenir de la ville une dérogation qui permettait à Bobby de rester. Quelques jours plus tard, l’aubergiste eut la surprise de voir arriver, sous le coup de treize heures, Bobby ; tenaillé par la faim, il avait exceptionnellement quitté le cimetière, et venait chercher sa pitance. Qui lui fut donnée avec amour : quelques os et une brioche. A partir de ce jour, Bobby ne quitta plus la tombe de John Gray que pour aller chercher son repas.
L’histoire de Bobby émut bientôt toute la ville, si ce n’est toute l’Ecosse, et bien des familles d’Edinburgh voulurent l’adopter… ! Bobby refusa toujours de se laisser enfermer dans une maison, aussi accueillante soit-elle. Exceptionnellement il accepta la compagnie d’un soldat de la garde du château, sans doute parce que l’homme prenait ses repas à la même auberge qui continuait de nourrir Bobby, qui revenait, sans traîner, sur la tombe de son maître…
Les années passèrent sans que la fidélité de Bobby fléchisse… seize années exactement ! Quand un jour, vieux et épuisé par tant de veilles et sans doute de tristesse, Bobby ne retourna pas au cimetière après avoir pris son repas. Il resta auprès de la famille Trail, propriétaire de l’auberge. Le lendemain matin, après une froide nuit d’hiver 1872, on le retrouva mort. Bobby était allé retrouver John Gray, qu’il avait fidèlement veillé pendant quatorze années…
Voilà… si, maintenant, vous voulez pleurer, ne vous en privez pas…
Stèle de BobbyStèle de John-Gray
Il y a bien des histoires semblables de chiens fidèles, mais sans doute pas aussi émouvantes que celle de Bobby ! L’année même de sa mort, la baronne Burdett-Coutts fit construire une fontaine surmontée de la statue de Bobby, qui existe toujours. Bobby fait partie du circuit touristique organisé par la ville d’Edinburgh, un petit musée lui est consacré. La tombe de Bobby est la première que l’on voit en entrant dans le cimetière, à quelques pas de celle de John Gray, qu’un riche donateur américain a fait remettre en état. Mais à l’entrée du site, un panneau municipal rappelle qu’il est toujours interdit aux chiens d’entrer…

Déposé par rafia le 29/05/2014  

Un chien attend son maître depuis 5 ans
Depuis 5 ans un chien revient sur le lieu d'accident de son maître.
Hachi a perdu son maître, victime d'un accident de la route. Depuis ce jour, Hachi vient chaque jour sur le lieu où s'est produit l'accident, en pleurant la mort de son maître et en aboyant.
"Son propriétaire est mort à la suite d'un accident de moto. Le chien le suivait derrière. L'accident remonte à cinq ans. Mais le chien est resté là depuis lors", raconte Roman Bilbao, boucher sur l'avenue Papa Paulo, à quelques rues du lieu du drame, et même si plusieurs personnes ont essayé de l'adopter, en vain, celui ci refuse de quitter l'endroit.
Une belle preuve de loyauté et de persévérance d'un chien envers son maître.
Plus la peine de se poser la fameuse question à savoir si les animaux sont fidèles !
Source et crédit photo : Misiones Cuatro et Jordana Net,

Déposé par rafia le 28/05/2014  
Une humanisation de plus en plus importante des animaux de compagnies
Considérés comme un membre de la famille à part entière, les animaux de compagnies reçoivent les plus belles attentions. Des huiles essentielles aux produits alimentaires bio, le nombre de produits spécialisés pour nos compagnons ne cesse d’augmenter et les budgets qui y sont dédiés explosent.
Les enjeux économiques sont forts : vêtements, bijoux, vernis, teintures, draps, calendriers de l’Avent garnis de croquettes, tout est possible pour nos animaux chéris. Un nouveau marché dont le potentiel n’est pas à négliger, même le secteur tertiaire s’y met. Effectivement, il existe aujourd’hui des comportementalistes, des coachs pour animaux permettant à nos compagnons de ne pas être trop stresser, de faire attention à leur poids… Des animaux humanisés ?
Les dépenses occasionnées par les propriétaires de chiens ou de chats peuvent parfois paraitre incompréhensibles mais, comme nous le souligne Fanny Lamarque, gérante d’une animalerie de luxe à Cannes, « chacun fait ce qu’il veut de son argent, plutôt que de traiter de gagas ceux qui dépensent de l’argent pour leur animal on devrait plutôt se rebeller contre ceux qui les maltraitent. »
Et vous, qu’en pensez-vous ?
Source et crédit-photo : Varmatin,

Déposé par rafia le 27/05/2014  
Balto et sa course contre la mort
Connaissez-vous l’histoire de Balto ?
Balto était un chien de traîneau de race husky sibérien né en 1919 en Alaska dans l'élevage de Leonhard Seppala qui travaillait pour une compagnie minière en tant que conducteur de traîneaux à chiens.
Il est célèbre pour sa participation à la course au sérum de 1925, pendant laquelle un médicament antidiphtérique dut être transporté d’urgence de Anchorage à Nome (en Alaska) par chemin de fer puis par traîneaux à chiens.
Balto à Central Park
En janvier 1925, la diphtérie, maladie mortelle pour les enfants, se développe à Nome. Du sérum est demandé en urgence à tous les hôpitaux des alentours. Les autorités apprennent qu'il en reste dans la ville d'Anchorage, à 1 600 kms de là. Le blizzard qui souffle en violentes rafales empêche l'acheminement par avion. Par contre, un train pourra transporter le sérum jusqu'à la ville de Nenana, mais pas plus loin, faute de chemin de fer. Or, Nenana se trouve encore à 1085 kms de Nome. Une seule solution : faire l'aller-retour en traîneau à chiens, un voyage de 25 jours en temps normal. Cette mission fut confiée à Leonhard Seppala qui partit de Nome en direction de Nenana avec un attelage de 20 huskies dirigé par Togo, son meilleur chien de tête.
Alors que Seppala était déjà en route, les autorités pensèrent qu'un relais de plusieurs attelages avait des chances de délivrer le précieux sérum plus rapidement. C'est ainsi que 20 mushers et plus de 100 huskies prirent part à la course.
On demanda à Gunnar Kassen, l'assistant de Seppala, dont l'équipage de huskies était dirigée par Balto, de faire partie du relais. Arrivant au dernier point de contrôle avant Nome, Kassen trouva son remplaçant endormi. Considérant que son équipage se comportait bien, il décida alors de poursuivre jusqu'à Nome. Le sérum fut ainsi livré de Nenana à Nome en seulement 5 jours et demi.
Bien que Seppala et Togo aient parcouru près du double de distance dans la portion la plus dangereuse du parcours, la presse, qui s'empara de l'histoire, fit de Balto le nouveau héros de la nation. À la fin de l'année, une statue sculptée par F.G. Roth, fut érigée à Central Park, à New York, avec ces mots : « Endurance - Fidélité - Intelligence ».
Après la mort de Balto le 14 mars 1933, ses restes empaillés furent donnés au musée d'histoire naturelle de Cléveland aux Etats-Unis.
Le chemin parcouru par Balto donne lieu à une course de traîneau annuelle, nommée Iditarod, dont la première édition répertoriée eut lieu en 1973.,
********************
Ma très chère Anne-Marie
Je suis ravie de vs retrouver..vs m'avez bcp manqué. Mille mercis pr avoir aussi bien accueilli Ma¨¨el...mais aussi pr vos messages et bouquets...offerts avec une si grande générosité.
Ma¨¨el me lisait les messages reçus...il a trouvé que vs aviez bcp d'humour.
Je vs écrirai..plus tard..car très fatiguée par le décalage horaire. merci pr votre compréhension.
Mille bisous.
Tendresse pr Miss Violet
Votre amie Maryem

Déposé par rafia le 24/05/2014  
La brebis et le chien
La brebis et le chien, de tous les temps amis,
Se racontaient un jour leur vie infortunée.
- Ah ! disait la brebis, je pleure et je frémis
Quand je songe aux malheurs de notre destinée.
Toi, l'esclave de l'homme, adorant des ingrats,
Toujours soumis, tendre et fidèle,
Tu reçois, pour prix de ton zèle,
Des coups et souvent le trépas.
Moi, qui tous les ans les habille,
Qui leur donne du lait, et qui fume leurs champs,
Je vois chaque matin quelqu'un de ma famille
Assassiné par ces méchants.
Leurs confrères, les loups, dévorent ce qu'il reste.
Victimes de ces inhumains,
Travailler pour eux seuls, et mourir par leurs mains,
Voilà notre destin funeste !
- Il est vrai, dit le chien, mais crois-tu plus heureux
Les auteurs de notre misère ?
Va, ma soeur, il vaut encore mieux
Souffrir le mal que de le faire.
Fable de Jean-Pierre Claris de Florian,

Déposé par rafia le 23/05/2014  
«  Va la chercher!  » : Un chien héroïque sauve la vie d'une fillette
L’homme aperçoit une fillette qui se débat dans l’eau glacée, hors de sa portée. Il crie aussitôt à son chien : «  Va la chercher!  »
LISA FITTERMAN
Deux jeunes soeurs empruntent un sentier non loin d’une passerelle. De là, elles contemplent la rivière Saskatchewan-Nord qui serpente dans la vallée entre deux rives gelées.
Mais elles se lassent vite. Cheveux bruns et expression résolue, Krymzen descend un sentier recouvert de neige. Elle a 10 ans. Samara, sa cadette d’un an, visage rond et d’adorables fossettes, la suit. Elles se dirigent vers le seul lieu que leur mère leur a défendu d’approcher… la rivière. Et ses festons de glace.
Les fillettes avancent à petits pas prudents sur la glace. Leurs bottes de caoutchouc baignent dans l’eau. Puis il se produit un craquement sourd.
Rocky court devant Adam et Kelsey Shaw, essayant de renifler un maximum avant d’arriver au camion de son maître. Rocky est un grand chien de huit ans au poil hirsute, enjoué, avec un brin d’indépendance. Il n’est pas prêt à rentrer à la maison. Il adore chasser et rapporter, surtout s’il faut se mouiller.
Venus de Fort Saskatchewan, à 25 km au nord d’Edmonton, les Shaw ont passé un bel après-midi au parc. Ici, les grands sentiers dégagés permettent de bien circuler avec la poussette où dorment leurs jumeaux. En trois heures, ils n’ont croisé qu’une poignée de marcheurs endurcis dans leur genre. Vers 16 h 20, ils empruntent la passerelle du parc pour regagner le stationnement. C’est alors qu’ils entendent des cris.
Ils regardent par-dessus la rambarde. Ils sont alors pétrifiés quelques secondes par une scène d’horreur : une petite fille a traversé la glace, une autre essaie de la tirer de là.
« On vous voit ! hurlent-ils. On arrive ! » Pendant que sa femme fait le 911, Adam lance : « Rocky, on descend ! » L’homme de 28 ans dévale le même talus que les deux fillettes. Il enfonce dans la neige, parfois jusqu’aux hanches, mais pas question de ralentir. Le souvenir lui revient de Ben, son frère et meilleur ami, tué dans une collision frontale sur l’autoroute six semaines auparavant, durant un blizzard le jour de la Saint-Valentin. « Pas aujourd’hui, se dit-il. Personne ne mourra aujourd’hui. »
Krymzen voit le couple s’égosiller du haut de la passerelle, mais elle ne peut attendre : sa sœur est dans l’eau. En entendant le craquement, elle a fait demi-tour et s’est mise en sûreté. Samara, non. À présent, Krymzen donnerait n’importe quoi pour retourner en haut et ne jamais descendre. Pourquoi se sont-elles aventurées sur la glace ? « Peux-tu attraper ma main ? » crie-t-elle à sa sœur qui se débat à la surface. Mais voilà que la glace cède sous son poids et elle tombe à l’eau, elle aussi, tout en se cramponnant à un éperon de glace. Puis l’homme au chien se penche au-dessus d’elle, la soulève et la dépose en sûreté.
« Ma femme est là, sur le pont, dit-il en la montrant du doigt. Elle a appelé les secours et va t’aider. Attends-la. Ne bouge pas. »
Krymzen frissonne. « Ma sœur ! Où est ma sœur ? »
Miranda Wagner vient de sortir la dinde du four quand on frappe à la porte. Son mari Cory Sunshine, un travailleur du pétrole, est en congé à la maison, mais ne peut répondre, car il s’occupe des deux fils cadets. Elle s’essuie les mains, ouvre. C’est le petit voisin de six ans qui est là, très énervé.
« Les filles sont à l’eau !
— Dans une mare ?
— Non, dans la rivière, répond le garçon. Samara flotte à la dérive. »
Sa petite fille potelée, tombée à l’eau ? Miranda reste figée. Puis elle secoue la tête, hurle à son mari de surveiller les garçons et se précipite à l’extérieur. Une prière muette remue ses lèvres. Les paroles du gamin résonnent dans sa tête.
Dans le courant qui l’emporte, Samara prie elle aussi, avec la même ferveur qu’à l’école catholique Sainte-Bernadette.
« De grâce, Seigneur, laissez-moi vivre », implore-t-elle silencieusement. Elle a déjà perdu son manteau et une botte rose. Ses parents seront furieux ! Pour avoir des ennuis, tu dois survivre, lui chuchote une voix intérieure. Il fait si froid, plus froid qu’elle n’aurait cru possible. Elle sait nager, mais en est incapable. Pas là-dedans. Ses membres refusent. Huit minutes se sont écoulées -depuis qu’elle est tombée à l’eau. Elle a beau n’avoir que neuf ans, elle sait que le temps lui est compté.
Krymzen sanglote pendant qu’Adam cherche sa sœur des yeux. Il la repère rapidement, un peu plus loin en aval, grâce à son t-shirt rouge et à son collant rose. Rocky et lui s’élancent, mais la glace fondante est recouverte de 15 cm de neige, et l’enfant flotte à un mètre et demi de la croûte solide, emportée comme un morceau de bois par le courant. Elle pourrait tout aussi bien se trouver à cinq kilomètres d’Adam  chaque fois qu’il tente d’avancer vers elle, il sent la glace ployer sous lui. « Je ne peux pas bouger mes bras, ni mes jambes », crie-t-elle. En homme qui travaille dans les champs de pétrole et qui pratique le plein air, Adam reconnaît bien les symptômes d’hypothermie. Les muscles de Samara sont paralysés parce que tout son sang afflue aux organes internes pour les réchauffer. Bientôt, elle perdra connaissance, et ses fonctions vitales s’arrêteront. Elle n’a plus que quelques minutes à vivre.
Adam lance la laisse de Rocky dans sa direction. Trop court. Il recommence un peu plus loin, mais – Dieu ! – la glace cède sous son poids et celui du chien, et il se retrouve dans l’eau jusqu’au cou, Rocky nageant à côté du lui. Quand il essaie de se soulever, le bloc de glace immergé sur lequel il s’appuie se dérobe sous ses pieds, et il doit nager frénétiquement pour se sauver lui-même.
Dix secondes, puis vingt – l’heure tourne. Rocky prend enfin appui sur une plaque qui tient bon. Adam le pousse hors de l’eau et sort à son tour en s’accrochant au cou du chien. Il se relève en titubant et cherche Samara des yeux. À une quinzaine de mètres, il aperçoit une tête sombre et une tache rouge.
L’homme et le chien repartent en courant, se rapprochent, mais la glace cède de nouveau. Adam reste là, impuissant, Rocky à ses côtés.
Que faire ?
La réponse fuse dans sa tête dictée par la confiance qu’il met dans son chien – ce chien qui porte le nom d’un boxeur de cinéma devenu champion contre toute attente.
Rocky, chasseur et rapporteur hors pair, si heureux au froid qu’il a déjà creusé une grotte dans la neige et joué dedans par moins 46 degrés Celsius. Rocky, prêt à tirer jusqu’à la rive une Kelsey paresseusement accrochée à sa laisse. Pourquoi ne recommencerait-il pas aujourd’hui ?
« Je vais attacher solidement la laisse et faire sauter le chien à l’eau un peu plus bas, hurle-t-il à Samara. Accroche-toi à lui, à la laisse, à sa fourrure, à n’importe quoi et ne lâche pas. »
Le chien est leur dernière chance.
« Rocky, vas-y ! » L’animal se jette à l’eau et nage vigoureusement à contre-courant pour rejoindre Samara. À bout de forces, elle le regarde approcher, les oreilles collées au crâne. Elle aime les chiens, même les grands, et n’a pas peur de lui, mais c’est à peine si elle parvient à garder les yeux ouverts quand il la pousse de sa truffe. Elle n’essaie pas d’attraper la laisse.
Rocky lui donne un coup de patte comme pour dire : « Dépêche-toi, nous n’avons pas de temps à perdre. » Il est calme, solide comme le roc. Samara sent une partie de cette force passer en elle. Elle attrape la laisse. Rocky fera le reste, elle le sait.
« Tiens-toi à deux mains », crie Adam avant d’ordonner : « Rocky, viens ! »
Samara ferme enfin les yeux, le chien la ramène au bord. Adam la tire de l’eau et la serre dans ses bras. Il a l’impression de tenir un glaçon.
« Tiens bon, dit-il. Tiens bon. »
Il sursaute en entendant la sonnerie de son portable. Difficile de croire que l’appareil fonctionne encore après son bain forcé. Le responsable des urgences 911 est au bout du fil.
Il est 16 h 35. À peine 15 minutes se sont écoulées depuis qu’Adam a gravi la passerelle, dans une autre vie. Le trio trempé se prépare à attendre. Rocky et Adam encadrent
Samara pour la soutenir et tenter de la réchauffer.
« C’est bon », murmure sans arrêt Adam comme s’il récitait un mantra.
Miranda entre en trombe à l’hôpital de l’Université de l’Alberta en réclamant ses filles. Elle trouve une Krymzen contrite et larmoyante au fond d’un lit, sous une couverture chauffante. Samara dégèle au centre de traumatologie dans un cocon de couvertures. Le sang de Miranda se glace quand les médecins lui expliquent que sa fille n’avait que deux petites minutes à vivre lorsque Rocky l’a remorquée jusqu’à la berge.
« Maman, j’ai failli mourir. »
Miranda voudrait rire, hurler, pleurer. Sermonner ses filles, les raisonner, ne plus jamais les laisser hors de sa vue.
Mais elle ne peut que serrer très fort Samara contre elle.

Déposé par myriam31 le 23/05/2014  
De tendres pensées s'envolent vers toi petit ange,avec plein de bisous
Si regarder en arrière te donne du chagrin,
Si regarder en avant t’inspire ce chagrin,
Alors regarde à côté de toi, je serai toujours là.
Amitiés sincères

Déposé par rafia le 22/05/2014  
EXPLOIT de Roselle LABRADOR blonde.
Publié par Alpharococo in Chiens
Tags11 septembre 2001, héros canin
Michael Hingson était à son bureau du 78e étage de la tour nord du World Trade Center le matin du 11 septembre 2001. Il a survécu pour raconter son histoire grâce à son chien guide, Roselle. La labrador blonde a calmement guidé son maitre non-voyant parcourant les 1463 pieds les séparant de la sortie de l’édifice et alors que débris et poussière tombait sur eux, elle trouva une station de métro, assurant leur sécurité.
Roselle est décédée en juin 2011 à l’âge de 13 ans mais sont héroïsme vivra à jamais. "Elle m’a sauvé la vie" écrivit Hingson sur le site de l’American Humane Association. Juste comme ils sortaient du building le jour du 11 septembre, la tour sud s’effondrait. "Pendant que tout le monde paniquait, Roselle est demeurée complètement concentrée sur son travail" mentionna Hingson.
11 ans après ces tragiques attentats, j’aimerais souligner et saluer le courage dont Roselle a fait preuve.
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L'Album photo contient 140 photos
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18 août 1994 / 18 août 2015
Merci à mon amie Magalie maman de MURPHY qui la quitta elle un 19 août ...
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18 août 1994 / 18 août 2015
Merci chère Paty d'avoir pensé aujourd'hui à lui
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18 août 1994 / 18 août 2015
Pour mon BOUL merci chère Paty ... merci mon amie
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18 août 1994 / 18 août 2015
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18 août 1994 / 18 août 2015
*Ne crois pas que mon coeur puisse t'oublier ... il peut cesser de battre mais jamais de t'aimer ...*
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18 août 1994 / 18 août 2015
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18 août 1994 / 18 août 2015
Ta première photo le jour de ton arrivée chez nous un 22 juin 1980
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18 août 1994 / 18 août 2015
Ce 18 août un coin de mon coeur se brisa ...
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18 août 1994 / 18 août 2014
20 années sont passées ....
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un très beau dessin d'Olivier doux souvenir de Toi
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Un merveilleux cadeau de mon amie Mumute
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MON BOUL
veilles bien sur mon petit HELIOT comme sur PANCHO mon Petit Coeur et mes chatounes LOLA et MITZY
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MON BOUL
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MON BOUL
Je t'aime ... et tu me manques
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Merci chère Magalie pour ce magnifique montage
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Chère Magalie merci d'avoir pensé à lui
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BOUL : notre histoire ...
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Doux repos mon Ami
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C'est court une vie de chien ... bien trop court
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Je t'aime ... tout simplement
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