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En hommage à
Spanky
BOXER
Il est né le:05/07/2002
Il nous a quittés le:07/10/2010

Au revoir mon Spanky d'Amour

Après 8ans et 3mois de vie commune, tu nous as quitté pour un très long voyage en t'endormant calmement et tout doucement dans nos bras le jeudi 7 octobre à 9h car la maladie t'avait tendu les bras très méchamment.
Comme j'aurais voulu arrêter le temps.
Me remémorer chaque moment de bonheur, chaque câlin, chaque regard, tu n'as pas mérité ce destin.

Toi et moi, nous avons tour à tour découvert l'obéissance, le pistage, et surtout le mordant que tu adorais tant.

Tu as reçu plusieurs surnoms dans ta vie: ma petite crevette, mon gros bébé d'amour, mon ptit kiki, gros chien,
Spankynou, mais tu savais toujours très bien que c'était de toi qu'il s'agissait.

Tu étais adorable, gentil, unique, d'une patience à toute épreuve et sociable tant avec les gens qu'avec les autres animaux, enfin presque car les chats et les loulous mâles tu ne les aimais pas.

Tu as été aussi un super papa cool, admirable, puisque tu as adopté et éduqué (enfin essayer) les deux pestouilles Tekila et Diana.

Tu nous as accompagné partout en vacances, tu étais facile et bien éduqué, tu faisais l'admiration de tous les gens que l'on croisait.

Tous ceux qui t'ont connu t'ont aimé et ont apprécié ton merveilleux caractère (de boxer).

Par ta force tranquille, tu maintenais la paix dans la petite meute.

La maison semble bien vide maintenant sans toi, ton frère Junior, Tekila et Diana sont orphelins et tu nous manques énormément.

Tu es parti au Paradis des Toutous et j'espère que tu y galopes joyeusement et librement en compagnie de tes copains anciens et nouveaux.

Je ne t'oublierai jamais mon gros bébé d'Amour, ton souvenir, ton regard et ta fidélité resteront pour toujours gravés dans mon coeur.

Je ne pourrai oublier ces instants passés ensemble, ces instants immenses, ces instants inoubliables, ces instants intenses.

Je ne pourrai jamais oublier cette larme dans tes yeux,
qui avait l'air de me dire pourquoi mon Dieu?
Pourquoi tu vas faire ça! je croyais que tu m'aimais!
Mais c'est justement parce que je t'aimais que j'ai du faire ça.
Cette larme m'a glacé le coeur et elle restera toujours devant moi, je ne pourrai plus jamais l'oublier.
Comme je n'oublierai jamais ce jour ou la main de la mort a agit et m'a enlevé mon éternel Amour, un Amour comme on en voit peu, l'Amour d'un chien sincère et éternel.

Je te dis tout simplement " MERCI " pour tout l'Amour et le Bonheur que tu m'as donnés durant ces 8ans et 3mois passés ensemble.
Je sais que de là haut tu me vois et jamais je ne t'oublierai, on ne peut oublier ceux qui vous aime.
Il me reste des souvenirs et ces souvenirs je les conserverai au fond de mon coeur à tout jamais.

Au revoir mon gros bébé d'Amour Spanky et sois heureux là où tu te trouves.

Je t'embrasse très très fort.

Ta mamou qui t'aime et qui t'aimera toujours.

Gros câlin de ton frère Junior et de Tekila et Diana.

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Après 1mois de sa disparition mon Spanky m'a envoyé ce message.

Ouaf ouaf à vous, de mon paradis,

J’ai compris, cela fait un mois aujourd'hui que je suis parti
Pour je ne sais quelle maladie,
Au fait, je vous écris du paradis…
Oui je sais, beaucoup d’objets cassés,
De sol encrassés ou de poubelles déplacées…
Trop de bêtises, mais vous, toujours là pour moi
Maman tes derniers mots, sont gravés dans ma mémoire,
D’ici je vous vois dans notre belle maison,
Je vous regarderais chacune des saisons,
Je vois mon jardin et repense en me marrant,
A Junior qui ne jouait pas avec mes ballons.
A ma chute dans la piscine gelée...
Je suis dans vos cœurs bien qu’absent dans ce salon…
Je vous écris et vous dis tout,
De gros bisous tout doux,
Made in le paradis des toutous…
Et voici que du bout de mes pattes,
Je vous salue parents terriens…
Voici un aboiement divin,
Guidés a vous par les vents,
Ainsi parmi les défunts,
Un je vous aime de la part d’un boxer de divan…
La mort c’est dur, et c’est durable,
J’aimais ma vie, j’aurais encore voulu du rab,
J’ai été ce Spankinou, qui n’aime que vous,
Répondez moi à voix basse car je n’ai pas d’adresse,
En manque de vous, j’attends vos mots, ça presse…
Je vous envoie des léchouilles par douzaine,
Mémoire d’un bobox avec 2 ailles,
Papou, mamou moi je vous aime…
Faites des bisous à mon frérot Junior et aux deux pestouilles
J’attends avec impatience un colis d’os…
Si on m’offrait une vie, je demanderais la même…
Les jeux, les ballons, les vacances, le canapé, les fauteuils, le lit.....
Les gros câlins avec ma mamou et mon papou
Il s’avère, que bien que peu sévère,
Vous êtes les meilleurs parents qu’un bobox puisse avoir…
Je ne suis plus ce baby box, déposé par une cigogne,
Le paradis je sillonne,
Mamou tes baisers dans mon cou me manquent beaucoup,
Papou un peu ronchon, mais très très doux…
J’honore les gens en or,
Ainsi de mes larmes je cultive,
Espoir, que d’autres chiens la vivent aussi…
En bref, moi, Spanky
Vous aime et vous remercie,
De cette vie que vous m'avez donné.
L’empreinte de la qualité…
Vous et moi, main dans la patte à jamais…

A ceux qui ont fait de ma vie un rêve,
A l’heure ou d’autres rêvent de vivre…

Grosses léchouilles ma mamou que j'aimerai toujours.

--------------------------------------------------------------------------

Après 4 mois que mon Spanky d'Amour est parti rejoindre le pays de l'arc en ciel je lui ai écrit cet hommage.

Tu étais un être cher et extrêmement précieux à mes yeux.
Tu étais un membre de la famille à part entière.
Ta mort brutale et trop mystérieuse pour moi tu ne la méritais pas, d'ailleurs aucun animal ne mérite ce qui t'es arrivé.
Je t'en prie attends-moi là-haut car je suis persuadée qu’on se retrouvera.

La seule peine que tu ne m’as jamais faites, c'est de partir si tôt.

Je ne peux effacer les années passées à tes cotés
Les heures de bonheur et de toute cette chaleur
Tu vivras pour toujours dans mon cœur
Je suis encore si triste, si fragile en pensant à toi
Mon cœur pèse lourd de ton absence, tu me manques

Arriverais-je à fonctionner un jour…sans peine
Je t’en pris aide-moi d’où tu es..
Je suis si désemparée, si désorientée
je dois m’habituer à vivre sans toi
Ce qui n’est pas facile, tu étais si présent
On a fait tant de belles choses ensembles
On c’est dit tant de secrets…
La distance est lourde à porter..

Un jour, je sais, on se retrouvera, dans les cieux
Mais d’ici là la vie sera difficile
Car tout de toi me manque,
Ton odeur, ton regard d'arzouille, tes aboiements, ta douceur,
Tes léchouilles, tes bêtises, ton amour que tu avais pour moi ainsi que pour
Ton frère Junior qui te cherche encore.

Je dois vivre sans tout ça et j’ai si mal..
Partout où je vais, je te cherche
Dite-moi que ce n’est qu’un mauvais rêve
Un cauchemar que l’on veut oublier…
J’ai perdu la moitié de moi, ce jour là

Comme j'aimerais que le paradis
Soit équipé d’un téléphone pour entendre ta voix à nouveau.
J’ai pensé à toi aujourd’hui, j’ai pensé à toi hier et la journée d'avant aussi.
Je pense à toi en silence, je mentionne souvent ton nom.
Tout ce que je possède se trouve dans ma mémoire,
Et tes photos dans le salon, cuisine, chambre...... tes objets, laisse, collier, jouet, ........
Et tes cendres qui repose dans une urne.
Les anges t’ont dans leurs bras, et moi, je t’...ai dans mon cœur..

Il y a dans le ciel tant d’étoiles
Pourrais-je te retrouver
Tu y es parti si loin
Si loin de mon regard!
Il me semble qu’il y en a une qui brille de mille feux
Serais-ce toi?
Je sais que lorsque nous nous retrouverons
Plus jamais nous ne nous quitterons
Ce sera pour l’éternité…
Je voudrais tant que tu sois encore là
Ce que je regrette le plus
C’est de n'avoir pas su te sauver de la mort,
J'aurais tant voulu que tu vives encore longtemps, très longtemps...

Si seulement le temps pouvait revenir en arrière et te permettre de revenir à la maison mon grand......
Grosses papouilles à toi mon beau.
Ta mamou qui t'aime et qui t'aimera toujours.

Mon Spankinou m'a répondu par ce message.

Ma Mamou d'amour, il y un 4 mois je passais le pont de l'arc en ciel, et depuis ce jour, je te vois de là haut du pays des anges ma Mamou, et tu me fais de la peine car je te vois pleurer souvent depuis que je suis parti et ça me fait mal, je sais que c'est difficile, que je te manque énormément mais il faut que tu penses à nos bons moments, et s'il te plait remonte la pente, tu dois t'occuper de mon frérot de coeur Junior il en a grand besoin, et puis il y a les pestouilles qui t'en font voir depuis que je ne suis plus là et si j'en avais les moyens, de l'ordre j'irais mette de suite, et il y a aussi Paco qui a besoin de ton amour également car il en a manqué je le sais.

Tu as fait tout ce que tu pouvais donc arrête de t'en vouloir.

Je sais que tu aimais, quand je posais mes pattes sur tes épaules et que je restais de longues minutes avec ma tête dans ton cou et puis, je te faisais de grosses léchouilles et toi tu me donnais des bisous.

Je voudrais aussi te dire, que de là-haut, je veille sur toi, et que tous les jours je suis avec toi par la pensée et si je ne suis resté avec toi que 8 ans et 3 mois, ça a été de merveilleuses années.

Gros câlins ma Mamou, et je t'en prie, arrête de pleurer pense que là où je suis, je suis heureux et qu'il ne me manque rien, à part toi.

S'il te plait, pense un peu à toi et ne t'en veut pas,
Tu as fait tout ce que tu pouvais pour me sauver,
Ne pleure plus, même si je sais que c'est difficile,
On se reverra un jour ma petite Mamou,

Tu étais et tu resteras ma Mamou formidable et je t'aimerai toujours.

TON SPANKYNOU D'AMOUR

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Après 6 mois de son départ, j'ai écrit cet hommage.

Cela fait 6 mois que mon Spanky d'Amour est parti et il me manque toujours terriblement., j ai encore beaucoup de mal et le pleure encore.
Jamais je n'aurais pensé que mon Spanky pouvait mourir un jour, il était tout pour moi, un agréable compagnon, un loulou remarquable, merveilleux, un monde de tendresse, un amour absolu...... je l ai beaucoup aimé, choyé, soigné.....

La décision prise par moi même de soulager ses souffrances pour son dernier voyage, me hante encore et on a beau me dire que j'ai bien fait........ dans ma tête, je me dis: ai je pris la bonne décision? et si on aurait encore pu le soigner et le sauver!

J'aurais préféré le garder des années encore car 8 ans c est beaucoup trop tôt pour partir au paradis des toutous.

Il est en permanence présent dans mon coeur, mais je donnerais beaucoup pour pouvoir le tenir dans mes bras au moins de temps en temps, pouvoir sentir son odeur, mettre ma tête dans son cou, lui donner des bisous.......

Au revoir mon Spankynou d' Amour toi qui m'a apporté tellement de bonheur.

Ta maman qui t'aime et qui t aimera toujours.

Tu manques toujours autant à ton frèrot Junior mon grand, il est souvent couché là où tu t'es couché le dernier jour de ta vie.

Les pestouilles restent les pestouilles mais si tu étais encore parmi nous, tu aurais mis de l'ordre j'en suis certaine, tu étais le chef pour elles et elles arrêtaient à ton moindre grognement.

Tu vois mon bébé tu manques à tout le monde dans la maison.

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Le jour de son anniversaire, j'ai écrit ceci.

Aujourd'hui mon grand tu aurais eu 9 ans, cette année hélas, pas de gâteau, pas de bisous, pas de cadeau, car cela fera 9mois le 7 que tu m'as quitté pour le pays de l'arc en ciel.

Comme tu me manques mon bébé. La douleur est toujours aussi forte, mes larmes coulent toujours autant tu étais tout pour moi, un seul regard et on se comprenait. Toi et moi nous ne faisions qu'un.

La nuit avant de t'emmener chez le véto, lorsque je te disais des "je t'aime" en te tenant dans mes bras et que tu me faisais des léchouilles sur le bout de mon nez, comment aurais je pu deviner que se seraient les dernières que j'allais recevoir car quelques heures plus tard tu allais pour toujours sortir de ma vie!
Ces derniers "je t'aime" et ces "dernières léchouilles" je les bénirai jusqu'à la fin de mes jours.

Maintenant, mon Spanky d'amour je t'appelle mon ange gardien, le soir avant de m'endormir, je prends ta photos dans mes mains et je m'adresse à toi, je lui répète combien je l'aime, je lui demande de me donner un coup de pouce chaque fois que j'ai du mal à m'en sortir avec les pestouilles, je lui demande surtout de veiller sur son frère Junior qui en a bien besoin.
Je sais que, quand ma tristesse s'apaise, quand la colère, la souffrance et la culpabilité refluent, Spanky s'apprête à me visiter en rêve.

Je sais également que mon gros bébé est toujours dans la maison, je le sens, j'entends ses pas, sa respiration...., il ne se passe pas un jour où je ne dis pas son nom.

Et je ne doute pas non plus qu'un jour, mon heure venue, nous serons de nouveau réunis. J'ai hâte d'y être!

Je t'aime et t'aimerai toujours mon Spanky.

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Le mois passé, le 7/10/2011 cela faisait 1an que mon gros bébé d'amour était parti et je lui ai redu cet hommage.

Mon ange, aujourd'hui à 9h00 ce matin, cela fait 1an que tu m'as quitté, et j'ai encore du mal à le croire je te croyais Immortel...
Je ne pourrai jamais oublié ce jour ou j'ai du me résigné à t'emmener chez le vétérinaire et sentir ta vie s'éteindre dans mes bras ...mon coeur aussi s'est arrêté.

Spanky, mon gros bébé d'amour ton histoire est trop courte
Pour aller du lit où tu dormais jusqu’à l’urne où tu reposes il n'aura fallu que 8 ans.

Toi mon Spanky qui était mon confident, mon complice
Je t'ai aimé comme mon enfant,
Tu as su m'aimer comme personne
Ton absence est toujours une souffrance quotidienne malgré cette année sans toi, tu es toujours là.

Je sais qu'autour de moi personne ne comprend cette complicité que nous avions. Un simple regard nous suffisait pour nous comprendre. Je me sens tellement seule sans toi. Tu me manques horriblement mon grand, quand je parles de toi, les larmes me viennent toujours au yeux!

Ce que j’espère, aujourd’hui vendredi 7 octobre2011, est que tu sois dans de bonnes mains, heureux, car je veux avant tout ton bonheur...
J’ai toujours pensé que rien ne pourrait nous séparer, et j’ai eu tort, il ne faut pas penser trop vite, il faut laisser le temps s’écouler...
Je dis cela pour les gens qui sont comme moi, pensant que le bonheur n’aurait pas de limites, qu’il ne s’arrêterait jamais...

Souvent, par la fenêtre je contemple le ciel.
Car maintenant tu comptes parmi les immortels

Je pense toujours et encore tellement à toi,
Toi, mon doux petit compagnon, mon roi...

Comme j'aimerais encore pouvoir glisser mes mains sur ton pelage,
Enfouir mon visage dans ton cou pour un câlin...

Je voudrais de mes bras t’entourer, te serrer,
Dans la chaleur de ton amour me réchauffer...

Mon fidèle Spanky tu me manques infiniment...
Pour te garder, j’aurais voulu stopper le temps...

Lorsque sur ton souvenir, je viens me pencher,
Mon cœur se serre, les larmes se mettent à couler...

J’ai revécu maintes fois l’infinie douleur
De cet affreux jour, où ton angoisse et ta peur
A mon désarroi, mon chagrin, se sont mêlés ;
Je t’aimais tant et t’ai pourtant abandonné...

Je t’aime tant et suis noyée dans les remords...
Quelle lâcheté ! Quel courage, pour te mener à la mort...

Une dernière fois, je t’ai tendu mes mains,
Tu y as déposé ta tête et ton destin,
Avec une confiance aveugle, sans hésitation,
Sans un seul doute, sans te poser de question...
Dans mes bras tu as alors succombé,
Au sommeil de Morphée,
Pour ne plus jamais te réveiller!
Depuis cet instant, dans mon coeur, un grand vide est laissé.
Et ne pourra jamais être rebouché.

Le soir, quand j’observe le ciel,
Je pense à toi car tu es l'étoile perdue
Que j’ai aperçue.

Cette étoile du berger parmi tant d’autres,
Est comme les secondes d’une montre,
On l’aperçoit peu,
Mais tu es avec eux.

Alors, je me suis retournée
Et dans la nuit étoilée
Je t’ai vu, sur le chemin
Me tendant la patte, Spanky mon chien.

En me disant: ne te laisse pas envahir par le chagrin,
Tu restes à jamais ma mamou, je veille sur toi,
Ma vie avec toi était belle, j'étais heureux, j’ai vécu comme un roi
Je te regarde, je t’entends, je ne suis pas loin.
Juste de l’autre coté du chemin.

Je sais mon grand que tu ne voudrais pas voir mes larmes
Alors je vais essayer
De t’imaginer au paradis des animaux.

Et je t’adresse dans ces mots
Des tonnes de caresses
Quelles traversent les cieux
Et te rejoignent.
Je t'aime trop mon bébé, mon chien
Et, pour toi, mon chagrin
Ne saura s'effacer

Tu me manques tellement mon ange je ne t'oublierai jamais.
Ta mamou qui t'aime et qui t'aimera toujours.
Un jour j'en suis certaine, on se retrouvera pour ne plus jamais ce quitter.

Gros bisous l'AMOUR DE MA VIE

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3506 messages

Déposé par spanky le 12/10/2024  
Jolie petite histoire d’amour et de fidélité :
------
Cela se passe à Thouars, dans les Deux-Sèvres.
Vivaient là, en parfaite harmonie, un vieux monsieur à la retraite et sa fille Françoise qui escortait son crépuscule avec amour et dévouement.
Vivait là aussi un chat, Doudou, un Européen noir comme l'ébène, qui vouait à Monsieur Sallé une véritable passion.
Et le bonheur habitait la maison.
---
Et puis, un matin, Monsieur Sallé se réveilla très mal en point.
La faculté diagnostiqua une maladie très grave.
Il déclina rapidement et, une nuit, il s'éteignit doucement, comme la flamme d'une bougie à bout de course.
Françoise pleura toutes les larmes de son corps et, deux jours plus tard, elle enferma Doudou dans la maison et s'en fut conduire son père dans le cimetière de Thouars,
à l'autre bout de la ville.
---
Deux semaines passèrent.
C'est en refermant une fenêtre malencontreusement ouverte qu'elle s'aperçut que Doudou en avait profité pour s'évader.
Elle le chercha dans le voisinage, car il lui arrivait de fuguer, mobilisa médias et gendarmerie et dut se rendre à l'évidence : Doudou demeurait introuvable.
---
Le dimanche suivant, elle se rendit au cimetière pour déposer des fleurs sur la tombe de son papa et là, que vit-elle ?
Doudou assis sur le marbre, immobile et squelettique...
Et cela, déjà, est stupéfiant ! Ce cimetière, il n'y était jamais allé, Doudou...
Et à l'autre bout de la ville, en plus !
Cette tombe, rien ni personne ne lui avait indiqué que c'était la bonne !...
Et pourtant, il ne s'était pas trompé...
---
Françoise voulut le ramener chez elle.
Le chat s'y refusa énergiquement.
Alors elle rentra seule et, un peu plus tard, elle lui ramena de quoi manger et boire.
Elle tenta encore de le convaincre de la suivre, elle le caressa, le prit dans ses bras...
Peine perdue. Doudou sauta sur le marbre froid du tombeau et s'y allongea, décidé à ne jamais quitter son grand ami.
---
Des témoins alertèrent un journaliste de Thouars et la presse locale s'empara de l'affaire.
J'ai lu les articles qui furent alors publiés et Françoise me confia une superbe photo de Doudou, assis sur la tombe de Monsieur Sallé.
Et bien, croyez-le ou pas, pendant deux ans, Françoise vint tous les jours au cimetière nourrir le chat.
Et, une nuit d'hiver où il gelait à pierre fendre, Doudou mourut de froid, seul dans ce grand cimetière enneigé.
Il avait enfin rejoint celui qu'il aimait jusqu'à en mourir.
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Je t'Aime mon Spanky d'Amour et tu me manques énormément, je t'envoie de gros bisous volants sur ta jolie frimousse.
---

Déposé par spanky le 10/10/2024  
- Que regardes-tu ?-
Je regarde le chien.
Celui qui venait de répondre était un jeune garçon.
Celui qui avait posé la question, notre ami le moine.
---
- Je ne comprends pas pourquoi il reste attaché-là !
la corde qui le retient n’est pas très grosse,avec la force qu’il a il pourrait la casser et se sauver !
Le moine souriait.
- Et toi qu’en penses-tu ?
- Peut-être qu’on l’a dressé à rester là !
- Alors pourquoi l’attacher, si ce chien est dressé il n’a pas besoin de corde !
Le jeune garçon secoua la tête.
Le moine avait raison.
Alors comment se fait-il que ce chien reste là ?
---
Le moine raconta l’histoire de ce chien.
- Vois-tu, il y a très longtemps, ses arrières grands parents étaient des chiens sauvages.
Ils étaient libres, ils parcouraient des dizaines de kilomètres pour trouver l’endroit pour vivre.
Quand l’hiver arrivait, ils s’en allaient pour d’autres contrées plus clémentes.
Un jour, des hommes posèrent le pied dans ces régions inhabitées, ils virent ces chiens.
Ils les trouvèrent résistant, courageux, puissants et décidèrent de les utiliser.
Ils attrapèrent les petits qu’ils attachèrent à l’aide de corde près de leur campement, ceci afin de les domestiquer.
---
Celui-ci, depuis son plus jeune âge, a été attaché.
Au début, le sang de la liberté, qui coulait dans ses veines, le poussait à vouloir s’échapper, partir, mais la corde était solide et toutes ses tentatives échouèrent.
Chaque jour, il mettait toute son énergie à vouloir partir … en vain.
Un jour, il s’avoua vaincu et accepta son sort.
Il sut qu’il était impossible de se sauver,impossible de courir les vastes paysages comme le faisait ses ancêtres.
Malgré la fragilité de cette corde aujourd’hui, il se sait incapable de la casser.
Ceci est inscrit au plus profond de lui.
---
Mais il n’a jamais essayé maintenant qu’il est plus grand ?
le moine souriait.
- Il est un peu comme nous lorsque nous faisons quelque chose qui ne fonctionne pas.
On pense que c’est impossible, que l’on ne peut pas y arriver,que c’est au-dessus de nos forces.
---
Parfois cela va encore plus loin,
cette corde, nous l’attachons autour de nos proches
persuadé qu’eux aussi ne pourront pas y arriver,
et nous les privons de liberté.
---
- Je comprends, dit l’enfant.
Il s’approcha du chien, lentement, avalant sa salive car le chien avait l’air féroce.
Une fois près de lui, il s’agenouilla.
- Tu sais, tu es plus fort que la corde, tu peux reprendre ta liberté
et courir comme tes ancêtres.
---
L’enfant se releva et retourna vers le moine.
Tous les deux regardaient le chien.
Il était sur ses quatre pattes.
Plus que les mots c’était le regard de l’enfant qui avait parlé.
Le chien le regarda et d’un seul coup bondit, cassant net l’attache symbolique.
Sentant la liberté, le chien courut droit devant lui
accompagné par l’Esprit de ses ancêtres.
Atteignant le haut de la colline, il se retourna et regarda les deux formes humaines,
l’une plus petite, mais toutes les deux arboraient un immense sourire.
En trois bonds le chien disparut.
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Je t'Aime mon Spanky d'Amour et tu me manques énormément, je t'envoie de gros bisous volants sur ta jolie frimousses.
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Déposé par choupinou le 10/10/2024  
Moi, je ne tourne pas les pages, je déteste cette expression simpliste, je n'oublie rien, je ne zappe pas, je ne renouvelle pas ma vie comme si rien avant n'avait existé. Elle est un fil continu que je tisse, je ne gomme pas mes chiens tant aimés, je suis faite de tous mes souvenirs, de mes amours, je suis un patchwork vivant de moments de vie, je suis faite d'eux, pour eux, et chacun d'entre eux mon construite ou meurtrie, sans le vouloir. Je ne tourne pas les pages, je leur écris, je leur parle pour que vive toujours et éternellement dans mon coeur, mes petits anges ainsi ils continue de vivre à jamais et puissamment en moi et dans ma mémoire, ils l'ont tellement mérité...Je leur le dois...

Déposé par colombine67 le 10/10/2024  
J'ai sauvé un humain aujourd'hui.
.
Ses yeux rencontrèrent les miens alors qu'elle marchait dans le couloir, scrutant avec appréhension les chenils. J'ai immédiatement ressenti son besoin et je savais que je devais l'aider. J’ai remué la queue, sans trop d’exubérance, pour qu’elle n’ait pas peur.
.
Alors qu'elle s'arrêtait à mon chenil, je lui ai bloqué la vue à cause d'un petit accident que j'ai eu au fond de ma cage. Je ne voulais pas qu’elle sache que je n’avais pas marché aujourd’hui. Parfois, les gardiens du refuge sont trop occupés et je ne voulais pas qu’elle ait une mauvaise opinion d’eux.
.
En lisant ma carte de chenil, j’espérais qu’elle ne se sentirait pas triste de mon passé. Je n’ai que l’avenir à espérer et je veux faire une différence dans la vie de quelqu’un.
.
Elle s'est mise à genoux et m'a fait de petits bruits de baisers. J'ai poussé ma tête contre les barreaux pour la réconforter. Des doigts doux caressèrent mon cou ; elle avait désespérément besoin de compagnie. Une larme tomba sur sa joue et je levai la patte pour lui assurer que tout irait bien.
.
Bientôt, la porte de mon chenil s'est ouverte et son sourire était si éclatant que j'ai immédiatement sauté dans ses bras.
.
Je promets de la garder en sécurité.
Je promets d'être toujours à ses côtés.
Je promets de faire tout ce que je peux pour voir ce sourire radieux et cette étincelle dans ses yeux.
.
J'ai tellement de chance qu'elle soit venue dans mon couloir. Il y en a tellement d’autres qui n’ont pas parcouru les couloirs. Il y en a tellement d’autres à sauver. Au moins, je pourrais en sauver un.
.
J'ai sauvé un humain aujourd'hui. Par Janine Allen.

Déposé par poutounou le 09/10/2024  
Il arrive au Paradis...là où se trouvent nos Anges...
*
L'île des rêves
*
Il a mis le veston du père,
Les chaussures de la maman
Et le pantalon du grand frère
Il nage dans ses vêtements.
*
Il nage, il nage à perdre haleine.
Il croise des poissons volants,
Des thons, des dauphins, des baleines...
Que de monde, dans l'océan !
*
Écume blanche et coquillages,
Il nage depuis si longtemps
Qu'il aborde enfin au rivage
Du pays des rêves d'enfants (et d'animaux...).
*
Jacques Charpentreau

Déposé par colombine67 le 09/10/2024  
"La légende du pont de l’arc en ciel"
"Il y a là-bas un pont qui connecte le ciel et la terre, on l'appelle le Pont de l'Arc-en-ciel"
Dans cette partie du Paradis existe un endroit nommé Pont de l'Arc-en-ciel.
Lorsque meurt un animal de compagnie, il se rend dans ce pays qui connecte le Ciel avec la Terre.
On y retrouve là-bas, prairies ondoyantes, paisibles collines et vallées luxuriantes et tous les amis à quatre pattes qui y sont réunis peuvent y courir et s'amuser ensemble.
Ils peuvent enfin y creuser tous les trous qu'ils désirent, courir dans de jolies plates-bandes, se rouler dans de généreux marais, bref toutes les interdictions terrestres n'y font plus loi.
Dans cette contrée lointaine abonde eau, nourriture et soleil, et tous nos amis y sont confortables et bien au chaud, à moins que l'on ne décide d'aller courir un peu dans les hautes montagnes coiffées de neiges éternelles.
Ceux qui étaient malades ou trop vieux ont recouvré ici santé et vigueur; ceux qui étaient blessés ou infirmes sont devenus sains et forts, ceux qui étaient abandonnés, négligés ou maltraités ont enfin trouvé chaleur et réconfort.
Les animaux sont heureux et en paix, mais pour un grand nombre d'entre eux, il manque quelque chose de précieux à leur cœur.
Ils ont perdu quelqu'un de très spécial qu'ils aimeraient tellement avoir de nouveau à leurs côtés.
Des jours de bonheur se coulent donc doucement dans d'interminables jeux et courses folles à l'intérieur de cette grande meute pacifique.
Mais un jour, arrivera le temps ou l'un d'eux s'arrêtera soudainement, tous ses sens se tiendront aux aguets.
Ses yeux perçants miroiteront de mille feux, ses oreilles attentives se dresseront tels des miradors, son corps frénétique palpitera de toutes parts.
L'élu commencera à courir hors du groupe, volant au-dessus des verts pâturages, traversant les larges rivières, ses pattes le portant de plus en plus vite, de plus en plus haut.
Ça y est, vous le voyez courir vers vous dans ce point de lumière au bout du tunnel... en toute fidélité votre chien vous a repéré entre tous et il est venu à cette ultime rencontre.
Vous souriez !
Enfin, vous vous retrouvez ensemble, ses joyeux bisous d'antan pleuvant de partout sur votre visage, vos mains pouvant à nouveau caresser son cou, son flanc, sa tête, vous pouvez enfin plonger votre regard dans les yeux confiants et aimants de votre chien.
Plus rien ne pourra dorénavant vous séparer, vous serez à jamais réunis.
Ainsi vous traverserez ensemble le Pont de l'Arc-en-ciel..."

Déposé par choupinou le 08/10/2024  
Certains disent que l'amour est une rivière, d'autres une chanson triste. Certains disent qu'il est partout autour de nous. cela nous conduit à regarder le ciel. Certains disent que c'est un rire sous la pluie mais nous savons tous que l'amour, c'est la douleur

Déposé par spanky le 08/10/2024  
Une empreinte, une boîte joliment décorée, voilà ce qu'il reste d'une vie.
Quelques objets, une laisse, un jouet, pour poser sur les souvenirs les repères du passé.
Si le manque est d'abord physique, il est également psychologique, émotionnel.
Des sensations perdues, la peur d'oublier la précision des merveilleux moments partagés ensemble.
Parfois, un soupçon de culpabilité, était-ce le bon moment ?
Cela aurait-il pu se passer autrement ?
Nous gardons en nous ces interrogations parfois toute une vie malgré les dénégations rassurantes de nos proches.
L'amour est ainsi fait qu'il exacerbe tout sentiment : la joie, la sérénité, la peine, la tristesse, le manque, l'espoir.
Nos pieds ancrés dans la terre nourricière, les yeux tournés vers un ciel qui garde jalousement ses secrets, pauvres humains que nous sommes,
tourmentés par le sens de nos vies, séparés de l'affection de nos chers disparus par une frontière invisible,
il nous reste la confiance en notre intuition et une folle espérance.
Que survive au-delà​ de ces existences si courtes, la plénitude d'un amour intact, l'émotion des retrouvailles, les douces émotions de nos sentiments révélés.
Et surtout, effacer les doutes, savourer cette vie, le regard attendrissant de nos compagnons, revenir au présent et laisser le futur dévoiler ses surprises...
Sereinement.
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Je t'Aime mon Spanky d'Amour et tu me manques énormément, je t'envoie de gros bisous volants sur ta jolie frimousse.
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Déposé par colombine67 le 08/10/2024  
Les 10 commandements du chien
1. Ne me laisse pas longtemps tout seul. Mon espérance de vie n'est que de 10 à 15 ans. Et je souffrirai dès que je serai séparé de toi. Ne l'oublie pas quand tu m'adopteras !
2. Sois patient. Laisse-moi le temps de comprendre ce que tu attends de moi.
3. Accorde-moi ta confiance. Pour que je me sente bien, c'est très important que tu me fasses confiance.
4. Ne te fâche pas contre moi trop longtemps. Et si tu me punis, ne m'enferme pas. Toi, tu as ton travail, tes loisirs, tes amis... Moi, je n'ai que toi.
5. Parle-moi de temps en temps. Même si je ne comprends pas chaque mot, j'en comprends le sens général grâce aux intonations de ta voix.
6. N'oublie pas que quelle que soit la façon dont tu me traites, je ne l'oublierai jamais.
7. Souviens-toi avant de me frapper : je peux facilement te broyer les os de la main d'un coup de dents. Mais j'ai fait le choix de ne pas te mordre.
8. Avant de me gronder parce que je suis peu coopératif, têtu ou fainéant, demande-toi si tout va bien. Peut-être que j'ai mangé quelque chose de mauvais ou que je suis resté au soleil trop longtemps. Ou encore, peut-être que mon coeur vieillit et devient faible.
9. Prends soin de moi quand je serai vieux. Eh oui, toi aussi, tu vas vieillir.
10. Soutiens-moi dans les moments difficiles. Ne dis jamais : "je ne peux pas supporter de le voir comme ça". "Que cela se produise pendant mon absence". Les choses sont plus faciles pour moi quand tu es là. Et surtout, souviens-toi que je t'aime.
Voilà, vous connaissez les 10 commandements du chien :-)

Déposé par choupinou le 07/10/2024  
DE TA FAMILLE A TOI SPANKY
En ce jour anniversaire
Je pose ici, mes pensées,
mes mains sur mon clavier,
histoire de ne pas oublier,
les doux mots d'amour,
de douleurs et de toujours,
de penser à ces moments forts,
que tu m'as donné, sans compter
et de l'amour que nous avons partagé
je suis là, en ce jour mon aimé
pour te demander, de ne pas oublier.
l'amitié d'un chien et son gardien
d'une vie, d'une histoire, ce lien
triste vérité, on s'est quitté,
pour ce chemin que tu as du emprunter,
et j'ai pleuré, tendre sincérité ,
mon être tout entier continu a t'aimer
le vent souffle sur ces années,
mais loin de toi, mon regard n'a pas changé
je continue sans faille a te faire vivre
dans mon coeur a l'infini, et je chavire,
car je sais que tu es là au chaud a tout jamais
une larme au coin des yeux, la tristesse m'envahit
je sens ta chaleur qui me réchauffe et s'en va la pluie...

Déposé par spanky le 07/10/2024  
Mon Spanky d'Amour,
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14 ans mon Fils.
14 ans mon doudou.
14 ans que je m'attends à voir ta bouille d' Amour à la porte quand je rentre.
14 ans que je m'attends à te voir la tête encore toute endormie quand je me lève.
14 ans que je m'attends à t'entendre aboyer quand on ouvre la porte d'entrée.
14 ans que je m'attends à t'entendre monter les escaliers du jardin comme un fou parce que je t'ai dit "au revoir" par la fenêtre.
14 ans que chaque matin, j'ai les boules parce que je réalise que plus jamais, tu ne feras tout ça.
14 ans que ton regard rempli d'amour me manque.
14 ans que tes câlins, le bruit de tes pattes sur le carrelage, tes ronflements, tes soupirs, le bruit des croquettes dans ta gamelle quand tu les dévorais me manquent.
14 ans que j'ai pris la pire décision de ma vie pour te soulager, pour soulager cette souffrance qui te bouffait et qui faisait de toi un chien malheureux,
toi qui avait été si heureux durant tes 8 dernières années...
14 ans que je suis malheureuse de ne plus t'avoir à mes côtés.
14 ans qu'il y a un vide dans mon cœur.
Tu me manques énormément mon Amour de ma vie...
Tu me manques mon Fils Adoré...
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Déposé par spanky le 06/10/2024  
Hôtel chiens admis.
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Un vieux monsieur, veuf, avait envie de prendre quelques jours de repos dans un petit hôtel de la France profonde.
« Il voulait échapper pendant quelques jours à la solitude qu’il partageait avec son chien.
« Il écrivit en substance:
« Je souhaiterais amener avec moi mon chien, qui est adorable, soigné,bien dressé et très propre.
Pourra-t-il partager ma chambre, pourra-t-il dormir dans ma chambre ? »
« Il reçut la réponse suivante :« Monsieur, je suis dans ce métier depuis de longues années.
Je n’ai jamais vu un chien quitter un hôtel en emportant des serviettes, des draps, des peignoirs de bains ou autres cendriers et tableaux décoratifs.
Je n’ai jamais eu à renvoyer « manu militari » un chien qui était ivre et faisait du tapage nocturne, au préjudice des honnêtes gens qui habitaient mon hôtel.
Je n’ai jamais dû discuter avec un chien pendant de longues heures autour d’une addition incomprise et jugée scandaleuse, voire, malhonnête.
Pour ces raisons - la liste n’étant pas exhaustive – OUI, votre chien est le bienvenu dans mon hôtel.
Si votre chien peut, par retour de courrier, se porter garant de vous-même, vous serez également le bienvenu.
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Je t'Aime mon Spanky d'Amour et tu me manques énormément, je t'envoie de gros bisous volants sur ta jolie frimousses.
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Déposé par poutounou le 06/10/2024  
L’automne est là !!! Il faut commencer à se couvrir un peu plus… Brrrrr...
*
L'automne
*
Voici venu le froid radieux d’octobre :
Le vent voudrait entrer et jouer dans les chambres ;
Mais la maison a l'air sévère, ce matin,
Et le laisse dehors qui sanglote au jardin.
*
Comme toutes les voix de l'été se sont tues !
Pourquoi ne met-on pas de mantes aux statues ?
Tout est transi, tout tremble et tout a peur ; je crois
Que la bise grelotte et que l'eau même a froid.
*
Les feuilles dans le vent courent comme des folles ;
Elles voudraient aller où les oiseaux s'envolent,
Mais le vent les reprend et barre leur chemin
Elles iront mourir sur les étangs demain.
*
Le silence est léger et calme ; par minute
Le vent passe au travers comme un joueur de flûte,
Et puis tout redevient encor silencieux,
Et l'Amour qui jouait sous la bonté des cieux
*
S'en revient pour chauffer devant le feu qui flambe
Ses mains pleines de froid et ses frileuses jambes,
Et la vieille maison qu'il va transfigurer
Tressaille et s'attendrit de le sentir entrer...
*
Anna de NOAILLES (1876-1933)

Déposé par colombine67 le 06/10/2024  
Entre quatre murs.
Je suis né entre quatre murs.
Une petite pièce calme, sombre et tiède.
Ma mère, mes frères et sœurs.
L’odeur sucrée du lait.
Je dormais, je mangeais.
Ma mère me léchait le ventre pour que je fasse mes besoins.
J’ignorais la peur et l’ennui, je n’étais que sensations et réflexes.
C’était mon petit univers.
Petit à petit, cet univers ne m’a plus suffi.
J’avais la bougeotte, l’envie de découvrir le monde.
Le deux-pattes qui s’occupait de nous venait
souvent accompagné d’autres bipèdes,
qui nous parlaient, nous touchaient,
nous examinaient sous toutes les coutures.
Une nouvelle émotion qui m’était inconnue jusqu’à présent
commençait à pointer le bout de son museau : la peur.
Mais elle disparaissait bien vite sous l’influence
de ma curiosité insatiable de chiot.
Je finissais par me laisser manipuler avec plaisir par les deux-pattes.
Et puis un jour, une famille de quatre bipèdes m’a emmené avec elle.
Je me souviens avoir beaucoup pleuré.
Je n’avais jamais quitté ma mère et ma fratrie.
Heureusement, toute cette nouveauté à laquelle j’étais
confronté m’a fait rapidement oublier mon angoisse :
ces odeurs inédites, ces bruits inconnus,
la lumière qui défilait à travers les vitres de cette drôle de petite pièce vrombissante,
c’était inquiétant mais tellement stimulant !
Peut-être que ces bipèdes m’emmenaient vers une nouvelle vie
faite d’exploration et d’aventures excitantes.
J’étais un canidé, et tout mon corps réclamait de l’action,
de l’action et encore de l’action.
On m’a installé entre quatre murs.
C’était beaucoup plus grand que là où j’étais né.
Il y avait même quatre murs dehors au-dessus
desquels régnait un grand ciel bleu.
J’avais toujours connu un toit sur ma tête,
et j’étais un peu effrayé par cette immensité.
Mais j’ai vite appris à m’amuser dans cet espace.
À creuser le sol, à apprivoiser chaque brin d’herbe
et chaque insecte rampant ou volant.
À l’intérieur, j’étais bien installé : un endroit au chaud,
mes bipèdes pour me tenir compagnie et s’occuper de moi.
Je crois bien que j’allais être heureux dans cette nouvelle vie.
Mes deux-pattes étaient gentils, même s’ils
ne parvenaient pas toujours à me comprendre.
Et puis, je ne les voyais pas beaucoup :
ils partaient le matin et rentraient le soir.
Je rêvais qu’ils m’emmènent avec eux.
La maison était spacieuse, le jardin était vaste.
Mais je commençais à y éprouver un sentiment
qui me mettait profondément mal à l’aise : l’ennui.
Je connaissais ma maison par cœur,
et mon jardin sur le bout des griffes
Aucune odeur nouvelle, aucun congénère à renifler
ni lieu nouveau à explorer ne venait stimuler mon esprit aventureux.
La souffrance, invisible aux yeux de mes humains,
commençait à s’insinuer en moi.
J’ai vécu entre quatre murs.
Je pensais que le monde était plus vaste.
J’ai compris qu’il s’arrêtait à la maison
et au jardin de mes deux-pattes.
Mes bipèdes me nourrissait , me caressait,
j’avais même le droit de me coucher contre eux quand
ils regardaient cette drôle de boîte à images tous les soirs.
Mais ils semblaient insensibles à ma douleur.
Pourtant, je me léchais les pattes, sans cesse.
J’aboyais beaucoup, au moindre bruit,
parce que c’était la seule mission que pouvait m’offrir ma prison dorée.
Je creusais beaucoup dans le jardin,
pour trouver de nouvelles odeurs sous le sol.
Mes deux pattes se fâchaient, mais mon
besoin d’activité grondait lui aussi.
Il menaçait d’exploser et il n’y a que par le chaos
que j’arrivais à évacuer ma frustration.
Je suis mort entre quatre murs.
J’ai vécu, que dis-je, j’ai subi quinze ans de vie.
Quinze ans d’amour et quinze ans d’ennui.
J’étais l’un des animaux les plus actifs de la création,
j’étais un prédateur, un chasseur, un explorateur.
Mon corps et mon âme réclamaient à grands cris
une vie faite d’action et de découvertes.
Mais on m’a enfermé dans une cage.
Une grande cage, avec des barreaux en or massif.
Ma mort a été à l’image de ma vie :
je me suis endormi pour toujours sur un coussin moelleux,
dans le confort d’un salon.
Mon histoire est loin d’être unique :
elle est la même que celle de nombreux membres de mon espèce.
Amis bipèdes, ne projetez pas sur nous la vie que vous rêveriez d’avoir :
nous n’avons pas envie de passer notre vie entre quatre murs.
Nous ne connaissons ni Netflix, ni Facebook,
ni le bonheur de lire un bon livre.
Nos réseaux sociaux se trouvent au-dehors,
au travers des odeurs laissées par les chiens du quartier.
Notre lecture préférée, c’est la trace qu’un écureuil
a laissée en escaladant un tronc d’arbre.
Notre série préférée, c’est notre promenade du soir au parc à vos côtés.
Notre place n’est pas entre quatre murs, mais aux quatre vents.
Et je crois bien, humains, que vous êtes en train
d’oublier que c’est aussi le cas de la vôtre.
Elsa Weiss

Déposé par spanky le 04/10/2024  
Il s’en est passé des automnes
depuis que tu t’en es allé...
Les feuilles tombent monotones...
---
Et mes yeux n’ont jamais cessé
De verser des larmes le soir
Et de sourire chaque matin,
C’est dur d’avancer dans le noir
Et de supporter ce chagrin...
---
Il s’en est passé des automnes,
Des heures auxquelles je me cramponne
Pour avancer coûte que coûte
Au travers des pierres sur ma route...
---
Pourtant je sais que tu es là
Que tu ne m’abandonnes pas,
Même si parfois le désespoir
Me nargue au travers du miroir...
----
Auteur inconnu
---
Je t'Aime mon Spanky d'Amour et tu me manques énormément, je t'envoie de gros bisous volants sur ta jolie frimousse.
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Déposé par spanky le 02/10/2024  
La mort dit à l'homme...
-----
Voici que vous avez assez souffert, pauvre homme,
Assez connu l'amour, le désir, le dégoût,
L'âpreté du vouloir et la torpeur des sommes,
L'orgueil d'être vivant et de pleurer debout...
---
Que voulez-vous savoir qui soit plus délectable
Que la douceur des jours que vous avez tenus,
Quittez le temps, quittez la maison et la table ;
Vous serez sans regret ni peur d'être venu.
---
J'emplirai votre coeur, vos mains et votre bouche
D'un repos si profond, si chaud et si pesant,
Que le soleil, la pluie et l'orage farouche
Ne réveilleront pas votre âme et votre sang.
---
Pauvre âme, comme au jour où vous n'étiez pas née,
Vous serez pleine d'ombre et de plaisant oubli,
D'autres iront alors par les rudes journées
Pleurant aux creux des mains, des tombes et des lits.
---
D'autres iront en proie au douloureux vertige
Des profondes amours et du destin amer,
Et vous serez alors la sève dans les tiges,
La rose du rosier et le sel de la mer.
---
D'autres iront blessés de désir et de rêve
Et leurs gestes feront de la douleur dans l'air,
Mais vous ne saurez pas que le matin se lève,
Qu'il faut revivre encore, qu'il fait jour, qu'il fait clair.
---
Ils iront retenant leur âme qui chancelle
Et trébuchant ainsi qu'un homme pris de vin ;
Et vous serez alors dans ma nuit éternelle,
Dans ma calme maison, dans mon jardin divin...
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Anna de NOAILLES (1876-1933)
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Je t'Aime mon Spanky d'Amour et tu me manques énormément, je t'envoie de gros bisous volants sur ta jolie frimousses.
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Déposé par choupinou le 02/10/2024  
Dans le silence, j'entends ta voix, un doux murmure, un choix sincère.
Chérissez les souvenirs, serrez-les bien,
Gardez votre amour près de vous, jour et nuit.
Votre câlin poilu, un espace chaleureux et accueillant,
Un refuge contre les tempêtes de la vie, un lieu aimant et sûr.
Ta queue remuait de joie, tes yeux brillaient....
Vos câlins et vos baisers ont illuminé la nuit.
Ton amour amour était une symphonie, un mélange harmonieux,
une douce sérénade qui ne finira jamais.
Résonne dans mon coeur, une mélodie si vraie,
un amour si fort qu'il brillera pour toujours.
Dans mes rêves, je te vois, ton regard aimant, attendrissant.
Tes pattes ont touché le sol de mon esprit,
un rappel de l'amour que nous avons laissé derrière nous.
Ton amour était un jardin, une fleur épanouie,
une beauté a contempler, à chaque heure.
Elle a poussé dans mon coeur, une graine si fine,
un amour si pur qu'il sera toujours le mien.
Je garderai les souvenirs de notre temps ensemble,
de rires et de larmes, de joie et de météo.
Je garderai ton amour proche, comme un trésor si rare,
un lien si fort qu'il sera toujours là.
Repose en paix, mon cher ami, mon fidèle compagnon,
Tu seras toujours dans mon coeur, mon fidèle ami, mon ombre.
auteur internaute.

Déposé par poutounou le 02/10/2024  
Le bonheur c'est...
*
Le bonheur c’est... :
• de savoir s’émerveiller peu importe son âge
• de rire de bon coeur en agréable compagnie
• de savoir dire « je t’aime »
• de se planifier des moments de tendresse
• de savoir relever des défis, même si cela me fait peur
• d’avoir assez de grandeur d’âme pour pardonner
• de profiter de ses moments de solitude pour enfin faire des choses pour soi seulement
• de regarder un bon film et de laisser libre cours à ses sentiments
• de regarder ce que j’ai accompli et non ce qu’il me reste à faire
• d’être maître de soi et non des autres
• de posséder l’humour nécessaire pour surmonter les difficultés de la vie
• de reconnaître que le négatif existe, mais de décider de ne pas lui ouvrir la porte.
*
Quand tu as le « BONHEUR » dans ta vie,
N’oublie pas de le cultiver
Pour qu’il reste longtemps.
*
Anonyme

Déposé par spanky le 30/09/2024  
Mon Spanky, tu t'es endormi, serré tout contre moi
Tout comme ce jour que tu m'as quitté à 8 ans et 3 mois de vie commune
Je t'ai mis dans mes bras, ma boule de tendresse,
Ta tête si douce, qui demandait caresses.
---
Le vide est dans mon cœur et le froid dans mon corps
Je ne peux pas y croire, tu ne peux pas être mort.
Dans ma tête défilent de si belles images
Cette queue qui remue, sa passion de la nage.
---
Ses courses dans les bois, ses virées dans la neige
Où l'on voyait au loin, que ton beau pelage.
Tu aimais tant tes jouets, tu étais si joyeux
Tu n’étais que gaîté, dans le noir de tes beaux yeux
---
Tu demeuras si sage, que partout tu venais
Et ta tendre présence, personne ne te gênait.
Tu fis évidemment quelques minces bêtises
Qui provoquèrent surtout, de fous rires quelques crises
---
Une table de café, prenant tout son envol,
Quelques verres de table ayant besoin de colle
Un pouce retourné par un départ fougueux,
Un tapis élimé par des pâtons.
---
Et surtout quelques poils, qui ornaient ta parure
De toutes les amis et amies, qui montaient en voiture
Mais surtout tant d’amour, que nous nous sommes donnés
Pendant ce temps si court, seulement à 8ans et 3mois
---
Il me faut à présent assumer ton départ
Après que de ma vie, tu tins si grande part
Tu étais si présent, toujours auprès de moi
Comment vais-je pouvoir combler si grand émoi ?
---
Pendant toutes nos années, je t’ai aimé si fort
Mon bébé, mon poussin, tu étais mon Spanky.
Mes plaisirs, mes chagrins, j’aimais te raconter
Tes grands yeux dans les miens, tu savais m’écouter
---
Adieu mon Spanky d'Amour
Adieu nos joies passées, adieu nos liens si forts
Dans mon cœur, tu resteras gravé à tout jamais
Tu étais un merveilleux chien qu’à la folie j’aimais.
----
Je t'Aime mon Spanky d'Amour et tu me manques énormément, je t'envoie de gros bisous volants sur ta jolie frimousses.
----

Déposé par poutounou le 29/09/2024  
Partout, je t'ai vu, bel Ange...
*
Air vif
*
J'ai regardé devant moi
Dans la foule, je t'ai vu
Parmi les blés, je t'ai vu
Sous un arbre, je t'ai vu
*
Au bout de tous mes voyages
Au fond de tous mes tourments
Au tournant de tous les rires
Sortant de l'eau et du feu
*
L'été, l'hiver je t'ai vu
Dans ma maison, je t'ai vu
Entre mes bras, je t'ai vu
Dans mes rêves, je t'ai vu
*
Je ne te quitterai plus.
*
Paul Éluard ("Derniers poèmes d'amour")




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