A mon sultan adoré
Lorsque je l’ai vu naître
Je l’ai pris pour enfant,
C’était un petit être,
Il était si charmant.
Quand je l’ai vu grandir
Ce fut mon compagnon,
J’aimais le voir courir
Dans toute la maison.
Quand je l’ai vu vieillir
Ce fut moi son enfant
Bien qu’il sut m’obéir
Toute sa vie durant.
Quand je l’ai vu mourir,
Je compris que ce jour
Venait de s’accomplir
La fin d’un bel amour
Car tu me fus fidèle,
Serviteur dévoué,
Ton amour fraternel
N’a pas démérité.
Je t’aimais bien mon chien
Ô, mon sultan
Et, pour toi, mon chagrin
Ne saura s’effacer.
je t'aime et t'aimerais toujour mon coeur
cete bougie brilleras toujour pour toi mon pimpounet , comme je t'appellais
ta maman qui ne t'oublieras jamais
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