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En hommage à
LABRADOROvanek dit Max
Il est né le:19/02/1998
Il nous a quittés le:06/01/2012
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En hommage à
Ovanek dit Max
101 bougies
56990 Fleurs
7222 messages
Déposé par ovanek le 05/03/2015❤ **** Le chemin des Âmes **** C´est les chemins des âmes en peine où vont traîner ceux qui s´aiment Et quand l´amour qui va mourir voit s´enfuir l´avenir La boutique aux souvenirs vous y vendra vos désirs Et on y trouve un rêve ou deux pour se croire presque heureux Dans les chemins des âmes en peine je traîne avec mes chaînes Loin de toi. Oui... mes pas m´emmènent les jambes lourde Je marche je trébuche et me relève sans faire de trêve Dans ce chemins où tout s´achève je vois s´en aller mes rêves Dans cette vie des âmes en peine j´apprends à oublier les journées Mais pas les années et surtout pas le passé... Suis de mes pensées En vers toi mon être de bonté, Toi qui ma donné ta fidélité Tout au long de ce chemin des âmes en peine Ne pas oublier que je t´aime *** Pensée ….Phil *** ❤ |
Déposé par poutounou le 05/03/2015MERCI ! * C’est un petit mot tout simple Mais qui pèse lourd. Si mes lèvres l’expriment avec douceur C’est qu’il prend naissance au fond de mon cœur. Un grand Merci, un petit Merci, Peu importe sa taille Il n’a pas de dimension… Que ce soit dans la joie ou dans la tristesse, C’est un signe de reconnaissance Qui ne connait pas l’indifférence. Merci ! Un petit mot qui fait du bien quand on le prononce ; Un petit mot gracieux qui calme et réjouit. Merci ! Merci ! Merci de m’avoir permis de vous dire : * « MERCI » ! * Merci encore pour le beau poème et les fleurs de ta douce maman et gros bisounou pour toi, beau Max... |
Déposé par ovanek le 05/03/2015❤ **** Le chemin des Anges **** Les petits anges danse autour d'un être s'endormant douceur immense pour le départ d'un compagnon. Puis le vent s’arrête un instant Le temps peint aux couleurs des saisons des bleus lisses roses et blancs ce répand Lentement visages tendres et humide Des mains tremblantes te glisse dans ton jardin du paradis Se sourient de larme sans chuchotant… sans le moindre tourment ont prend sur nous ce long moment de ce départ nos pensées folles s'envolent dans nos yeux brillants et rougies. elles s'unissent aux lucioles pour vivre un dernier instant pour qu’à jamais restent en suspens nous avons si souvent souhaités que ce jour n’excitait pas pour ne pas hériter de cette flamme qui s'éteint en gardant le sentiment que nous vivront éternellement et simplement qu'ils fassent que les nuit soit claire comme aux feux de la Saint-Jean que nos yeux soient grands ouverts Pour fêter ce triste enterrement… celle du relâchement nous qui t’aimons puissamment N'adressons aucune prière mais des milliers de pensées Où que tu aille nous te retrouverons... nos cœurs veillent si le corps n’est plus… l’âme reste et Vie hors du temps... alors les anges nous réuniront à nouveaux. *** Pensée. Phil *** ❤ |
Déposé par colombine67 le 05/03/2015*~*~*Salauds au coeur tendre par François Cavanna. *~*~* Salauds au coeur tendre Écoutez. Le tuer, j’ai pas le cœur. Alors, je vous l’amène. Vous, vous les tuez pas. Vous les sauvez. Un refuge, c’est fait pour ça, pour les sauver. Alors bon, le voilà ! C’est à prendre ou à laisser. Si vous en voulez pas, j’irai le perdre dans les bois. Je l’attacherai à un arbre, pour ne pas qu’il me coure derrière, vous savez comment ils sont, paraît qu’il y en a qui ont retrouvé leur maison après des centaines de kilomètres, alors vaut mieux l’attacher et puis se sauver, pas l’entendre crier, c’est trop triste, on n’est pas des bêtes. Bon, vous le prenez, ou vous le prenez pas ? Faut vous décider, j’ai pas que ça à faire, on n’a pas encore fini les bagages. Évidemment, il ou elle le prend. Quoi faire d’autre ? Le bon ****** le sait bien. Quand on gère un refuge pour animaux, c’est qu’on a le cœur tendre, qu’on ne peut absolument pas supporter l’idée qu’une bête souffre, soit abandonnée, perdue, vouée à la piqûre, fatale, ou pis, aux pourvoyeurs des laboratoires. Les pseudos-amis des bêtes qui, lorsque le chien ne veut plus chasser, ou bien est devenu trop vieux, ou bien a osé donner un coup de dent au sale môme qui le harcèle, ou lorsque le mignon chaton offert pour Noël est devenu au 14 juillet, un gros matou qui a son caractère et ne veut plus jouer les nounours en peluche, ou encore lorsque “ces gentils compagnons” se mettent à être malades et coûtent “les yeux de la tête” en visites au véto, ces salopards délicats qui décident de les supprimer mais n’ont pas le courage de faire le vilain geste qui tue vont les déposer à la porte du refuge (variantes : ils les jettent par-dessus le grillage, ils enferment dans une boite en carton la chatte miaulante et ses petits...) comme on déposait jadis les nouveaux nés non désirés à la porte des couvents. Fonder un refuge pour animaux est la pire façon de s’empoisonner la vie. Non seulement cela ne peut pas rapporter d’argent (les abandonneurs ne laissent jamais de quoi acheter un peu de bouffe, cela ne leur vient même pas à l’idée), mais c’est un gouffre financier. Fonder un refuge ne peut être qu’une action bénévole et précaire, un élan de révolte contre l’indifférence générale devant l’omniprésence de la misère animale. C’est le fait d’âmes sensibles qui mettent sur le même plan toute souffrance, toute angoisse, humaine ou non humaine. La plupart du temps, dans le cas des petits refuges, il s’agit de gens à faibles ressources qui s’épuisent à mener un combat sans fin comme sans espoir, mais qui ne pourraient pas ne pas le mener. Ils sont parfois aidés par de maigres subventions (dans le meilleur des cas), par la générosité de quelques adhérents, mais en général abandonnés à leurs seules ressources personnelles. Un refuge est vite submergé. Là comme ailleurs, la mode imposée par les éleveurs et la publicité des fabricants d’aliments ont stimulé une frénésie d’achat dont les conséquences sont la versatilité du public et la cupidité des éleveurs et des marchands. La “rentabilité” exige qu’une femelle d’une race “vendeuse” ponde et ponde jusqu’à en crever. On achète par caprice, le caprice passé on est bien emmerdé, et comme on n’est pas des tueurs on se débarrasse, au plus proche refuge. Et là, c’est le chantage cynique de tout à l’heure : “Vous le prenez ou je vais le perdre”. C’est exactement le coup de l’otage à qui le malfrat a mis le couteau sur la carotide : “Vous me la donnez la caisse ou je l’égorge.” On ne sait pas assez, même chez ceux qui considèrent l’animal comme un être vivant et souffrant à part entière (je n’aime pas dire “amis des bêtes”), quelle terrible et décourageante corvée est la gestion d’un refuge quand on dispose de peu de moyens. Pour un animal placé à grand-peine, il en arrive dix, vingt, cent ! Cela vous dévore la vie, vous écrase sous une conviction d’inéluctable impuissance. Beaucoup de petits refuges de province luttent envers et contre tous, ignorés, méprisés, abandonnés à leurs seules ressources, et, cela va de soi, en butte aux sarcasmes des imbéciles et aux froncements de sourcils des vertueux qui jugent bien futile de s’occuper d’animaux alors qu’il y a tant de détresses humaines... Et quand l’apôtre qui a englouti sa vie dans un refuge meurt ou devient impotent, que deviennent les bêtes ? Pardi, l’euthanasie en masse par les services de l’hygiène publique, pas fâchés d’être débarrassés. Savez-vous que, si vous possédez plus de 9 chiens, vous devenez de ce seul fait “refuge” et devez déclarer la chose à votre mairie et à la D.S.V. (Direction des Services Vétérinaires) ? A partir de là, vous serez soumis aux inspections d’usage concernant les règles d’hygiène, de sécurité, etc. En somme le bénévolat est pénalisé. Tout se passe comme si la seule voie “normale” était l’euthanasie systématique, le sauvetage étant considéré comme anormal, suspect et fortement découragé. Il faut que l’animal cesse d’être considéré comme un objet, un bien “meuble” qu’on achète, qu’on vend, qu’on cède, avec à peine quelques restrictions concernant les “mauvais traitements”, d’ailleurs bien légèrement punis. Il faut que la survenue d’un animal dans un foyer soit aussi grave, aussi importante, aussi contraignante que la naissance d’un enfant. C’est le formidable et trop prévu nombre d’abandons liés aux départs en vacances qui m’a mordu au cul. Savez-vous qu’ils font la queue aux portes des refuges, les enfoirés, avant d’aller faire bronzer leurs gueules de sales cons ? “Avec la planche à voile sur le toit de la voiture” m’a-t-on confié. Que leurs têtes, à ces sous-m****s, volent haut dans l’air, propulsées par les pales tranchantes des hélices des hors-bord, pêle-mêle avec celles des toréadors et des aficionados ! PS : Vous qui les aimez, faites les STÉRILISER ! Les laisser proliférer est criminel : ce sont ces portées innombrables qui fournissent la matière première des vivisecteurs et condamnent les refuges au naufrage. S'il vous plaît, ayez du coeur ! |
Déposé par colombine67 le 04/03/2015"Ce n'est qu'un chien de refuge..." Par avance condamné... "Ce n'est qu'un chien de refuge !" Mérite-t-il d'être aimé? Différent aux yeux des hommes Des autres toutous "bien nés", Voila comment on te nomme, Pauvre chien abandonné... Pourtant ton coeur est immense, Comme immense est ta douceur. Il te manque cette chance : Gagner l'amour d'un grand coeur. Parfois tu sembles lointain, Tu évites les caresses, Tu te terres dans un coin : Crains-tu tant la main qui blesse ? Car qui connaît ton histoire ? T'a-t-on battu ? Rejeté ? Tout au fond de ta mémoire, Quels souvenirs ? Quels regrets ? Sois confiant ! Un jour, la porte S'ouvrira sur ton destin, Afin qu'un maître t'emporte Pour suivre un même chemin... Qui dira "C'est d'un refuge Qu'il est venu, mon bon chien ! C'était un chien de refuge... Je l'aime, il me le rend bien !" |
Déposé par colombine67 le 03/03/2015L'homme... m'achète L'homme... me reproduit L'homme... me mutile L'homme... me bat L'homme... me force à me battre L'homme... m'abandonne et maintenant L'homme... m'a détruit pourtant je voulais seulement être AIME |
Déposé par rafia le 03/03/2015L'Amitié est la richesse d'une vie ********* L'amitié est une force dont nul ne peut prétendre pouvoir se passer. On a besoin d'amis, comme on a besoin de manger, de boire ou de dormir. L'amitié, c'est un peu la nourriture de l'âme : elle ravitaille le coeur, elle sustente l'esprit, elle nous comble de joie, d'espoir et de paix. Elle est la richesse d'une vie. Et le gage d'une certaine idée du bonheur Barbara Abel., |
Déposé par spanky le 02/03/2015Je t’aime mon Ange Je t’aime, tu ne dois jamais en douter Je t’aime, comme tu ne peux l’imaginer Je t’aime, avec tant de force Je t’aime et cela me renforce Je t’aime, cela m’aide à vivre Je t’aime et ainsi je te vais vivre Je t’aime, quelque soit le jour de la semaine Je t’aime et te le dire sans cesse atténue ma peine Ce verbe je le chante à toutes heures Je le déclame sans aucune pudeur Il m’apporte tant de bonheur Le conjuguer au passé le dénature Je ne peux utiliser que le présent et le futur Toi mon Ange sur le toit du monde De mes «je t’aime» je t’inonde Entend, reçois c’est pour toi Que ces « je t’aime » s’enracine en toi Et te fasse grandir, évoluer Dans ce nouveau monde dans lequel tu es J’aime et j’aimerai toujours ce verbe Qui jamais ne sera éphémère |
Déposé par choupinou le 02/03/2015Là, Derrière nos voix, Est-ce que l'on voit nos coeurs Et les tourments, à l'intérieur Ou seulement la la, là, Derrière nos voix, Est-ce que l'on voit nos coeurs Et les tourments, à l'intérieur Ou seulement la la la, Entendez-vous dans les mélodies, Derrière les mots, derrière nos voix Les sentiments, les pleurs, les envies Qu'on ne peut pas dire, non non non Entendez-vous l'amour caché là, Derrière les mots, derrière les voix, Et puis après quand l'amour s'en va Love you're on my mind You make me see You make me blind It is, so, so... Là, Derrière nos voix, Est-ce que l'on voit nos coeurs Et les tourments, à l'intérieur Ou seulement la la la, La révolté, la colère, parfois, Derrière les mots, derrière les voix, Sur une guitare tout seul et tout bas Chanter tristement en levant les yeux vers l'au-dela Il y a le rêve aussi de partir Derrière les mots, derrière nos voix, vers cette terre lointaine, qui m'attire La mer, les étoiles, Rêve à hélices ou, rêve à voiles S'en aller, hé, hé Là, Derrière nos voix, Est-ce que l'on voit nos coeurs Et les tourments, à l'intérieur Ou seulement oh oh oh Là, Derrière nos voix, Est-ce que l'on voit nos coeurs Et les tourments, à l'intérieur Ou seulement la la la, Est-ce que l'ont voit nos coeurs, Et les tourments à l'intérieur Derrière nos voix Derrière les mots Derrière nos voix Est-ce qu'on entrevoit... Laurent Voulzi et Alain Souchon (avec 2 ou 3 changements de ma part ) |
Déposé par colombine67 le 02/03/2015DEMAIN MATIN, JE VAIS MOURIR…. Demain matin je vais mourir, car je suis un chien classé deuxième catégorie. Je suis un Rottweiler, et pour moi il n’y a pas de pitié, je dois payer de ma vie. A l’aube de mes trois ans, je suis en pleine forme, et je ne demande qu’à jouer, Je suis docile, doux, gentil, je ne comprends pas la loi des hommes qui m’a jugé. Je n’ai pas connu mes parents ; tout petit j’étais chez un marchand qui m’a vendu Comme mes sœurs et frères, dans les sous-sols d’une cité, que je n’ai jamais vue. Dans un appartement je fus alors gardé, au milieu des enfants venant me taquiner, S’amusant avec moi, tout en se chamaillant, pour savoir qui pourrait me caresser. Quelques mois sont passés, dans cette famille j’ai vécu des jours de grand bonheur, Je mangeais bien, je promenais toutes les nuits, et ça durait une, deux ou trois heures. C’est au parc qu’on m’emmenait, je pouvais gambader et même aller jusqu’à l’étang, J’étais heureux, j’en profitais pour me baigner, et revenais me secouer prés des enfants. Je croisais quelques congénères, qui comme moi se promenaient, et tout se passait bien. Quelques chats aussi croisaient mon chemin, ils me narguaient parfois, je ne disais rien, Car j’entendais mon Chef, le plus vieux des enfants, celui qui devait avoir dix huit ans, Me dire : « pas bouger », « sage », et je savais que lui obéir était nécessaire et prudent. Alors pourquoi beaucoup de gens me regardaient d’un air bizarre, ou même interrogateur. Ils me donnaient l’impression de se méfier de moi, cherchant à m’éviter, ils avaient peur. J’avais remarqué, les mamans serraient de beaucoup plus prés, protégeant leurs enfants. Pourtant, leurs petites mains se tendaient vers moi, leurs yeux pétillaient en me voyant. Et ce soir fatidique, du début de juillet, en rentrant au quartier, j’ai vu surgir trois ombres, Et j’entendrais toujours : « halte, Police ! » Il en arriva d’autres, je ne sais plus le nombre, Mais tous autour de nous, menaçants de leurs armes, disant : « s’il nous mord on le plombe » Ils étaient là pour moi, en mission très spéciale, commençant ici pour finir… dans ma tombe. Mon jeune maître du s’expliquer, je fus mis en laisse et muselé, puis enfermé dans une cage, Pendant que ces messieurs de la police, constataient que j’étais illégal, ni papiers ni tatouage. Alors à la fourrière on m’emmena, ou sans ménagement on me jeta dans un bien triste chenil, Ou finissent beaucoup de chiens errants, qui sont retrouvés aux environs ou au centre ville. A partir de cet instant, j’étais condamné, victime innocente d’une loi aussi bête qu’injuste, Un peu du même genre que celle que l’on voudrait prendre en ce moment pour les « putes ». Il est vrai, j’étais « sans papiers », mais je n’en veux pas à ma famille, ils n’en ont jamais eu, Vivant dans un ghetto depuis dix ans, j’étais le cadeau des enfants qu’ils ne reverront plus. Bien sur et je le sais, certains chiens de ma race ont commis des forfaits, même des drames, Souvent rendus méchants par des Maîtres infâmes, ils ont mordu enfants, messieurs ou dames. Mais moi je suis gentil, doux et caressant, je n’ai jamais mordu ni grogné, et je dois partir, Laissant tous seuls ces enfants qui m’adorent, qui ne comprennent pas pourquoi je dois mourir. La société humaine ainsi a décidé, qu’être un Rottweiler en famille immigrée, sans papiers, Etait un acte grave, passible de la mort, sans autre alternative et surtout sans procès, ni pitié. Soyez bien surs que s’ils osaient, ils ne se contenteraient pas d’euthanasier seulement le chien, Mais pour l’instant la vie humaine, heureusement vaut bien plus cher, et c’est ce qui les retient. |
Déposé par rafia le 02/03/2015Savoir attendre Sans vouloir tout comprendre Savoir hurler Sans pour autant se résigner, Savoir pleurer Sans pour cela désespérer. Essayer d'avancer Pour ne pas retomber, Essayer d'oublier Pour ne pas se noyer, Essayer d'espérer Pour ne pas se révolter. Laisser couler son coeur Comme s'ouvre une fleur, Laisser sortir son âme Comme s'élève une flamme, Laisser renaître la vie Comme pousse l'épi. Regarder l'horizon Pour une autre ascension, Attendre un navire Pour un autre avenir, Guetter l'Espérance Pour une autre naissance. ( Elisabeth Lafont ) |
Déposé par bouffie le 01/03/2015Les adieux sont pour ceux qui aiment avec leurs yeux car pour ceux qui aiment avec leur coeur et leur âme il n y a pas de séparation Rumi tendres câlins pour toi merveilleux Max pensée pour ta maman |
Déposé par ovanek le 01/03/2015❤ **** le Cri du Vent **** Si tu pars Je veux que la Terre entière se couvre de brouillard Et que le silence s´installe dans les villages Que plus rien ne bouge en vie et sur les plages Qu´on n´entende que le vent qui hurle, qui crie, et qui comprend Si tu pars Je veux qu´on brûle les violons et les guitares Qu´on renvoie les musiciens et les poètes Qu´on oublie Noël et tous les jours de fête Qu´on exile les oiseaux que l´on bannisse ce qui est beau Si tu pars Je veux que tous les trains du monde restent dans leur gare Je veux qu´on bloque les routes qu´on ferme les frontières Qu´on instaure le couvre-feu, le droit de guerre Que le rire soit interdit que le plaisir soit aboli Si tu pars.... Si tu pars.... et puis tu es parti.....mais pas mes larmes Alors je veux que la Terre entière se couvre de Fleurs Et que le silence disparaisse pour que je t'entende encore Que tout revive. Les plages ou tu jouais les bois ou tu marchais et tous l’endroit où tu te baladais Qu´on n´entende encore le vent Qui hurle qui crie, et qui me comprends *** Je t'aime mon Chien ....Phil *** ❤ |
Déposé par colombine67 le 01/03/2015"Ses yeux ont rencontrés les miens lorsqu' elle a descendu le couloir regardant fixement et avec appréhension dans les niches. J'ai senti son besoin immédiatement et savais que je devais l'aider. J'ai remué ma queue, non trop avec exubérance, ainsi elle n'a pas eu peur. Comme elle s'est arrêtée à ma niche, j'ai bloqué sa vue d'un petit accident que j'avais derrière moi dans ma cage. Je n'ai pas voulu qu'elle ait su que je n'avais pas été marché aujourd'hui. Parfois les gardiens de refuges surmenés sont trop occupés, et je n'ai pas voulu qu'elle ait pensé du mal d'eux. Comme elle a lu ma carte de niche j'ai espéré qu'elle ne serait pas triste de mon passé. J'ai seulement l'avenir pour me réjouir et chercher à fabriquer une vie différente avec quelqu'un. Elle est descendue sur ses genoux et m'a fait un peu de baisers. J'ai posé mon épaule et le côté de ma tête contre les barreaux pour la réconforter. Une main douce a caressé mon cou ; elle était désespérée elle avait grand besoin de compagnie. Une larme est tombée de sa joue et j'ai levé ma patte pour l'assurer que tout irait bien. Bientôt ma porte de niche s'est ouverte et son sourire était si brillant que j'ai immédiatement sauté dans ses bras. Je promettais de garder son coffre-fort. Je promettais de toujours être à ses côtés. Je promettais de faire tout ce que je pourrais pour ne voir que le sourire radieux et miroiter dans ses yeux. J'étais si chanceux qu'elle soit descendue dans mon couloir. Tellement plus là-bas qui n'ont pas marché dans les couloirs. Tellement plus aurait pu être sauvé. Au moins je pourrais sauver celle-ci." |
Déposé par rafia le 01/03/2015Ta vie de chien ( Sylvie Vartan ) Le chien est un précieux réconfort lors d'une séparation à condition qu'il soit bien tenu à l'écart des conflits entre les personnes, mais hélas, ce n'est pas toujours le cas, bien au contraire. On est tous les deux mon chien, Moi ma peine, toi ton coussin, C'est toujours la même scène Quand les gens que j'aime, Brillent par toute leur absence. Encore tous les deux mon chien, Tu somnoles dans ton coin, Tu me couves d'un regard Plein de tendresse en vigilance. Ton maître et moi, tu sais bien Qu'entre nous, c'est temps de chien. Tu ne peux pas savoir pourquoi, Tes balades au bois, Tu les dois à l'un comme à l'autre. Pour toi, les problèmes humains Se règlent en léchant les mains. Fidélité, tu connais ! T'es pas là pour compter les fautes. Et moi j'ai besoin de ta vie de chien. C'est un peu comme mon dernier refuge D'avoir ta bonne tête à portée de ma main, Et d'oublier ces gens qui me jugent. Et moi j'ai besoin de tes bons yeux de chien, Pour changer des regards qu'on me lance. J'ai besoin de ta vie de chien, Sitôt qu'elle revient s'installer, l'absence. Tu sens à des petits riens, Que je ne suis pas très bien, Tu sais que ma vie et moi Quand plus rien ne va, On se regarde en chiens de faïence. Mais si ton maître revient, Obéis à ton instinct, Montre lui toute ta joie, Faut pas compliquer l'existence. Et moi j'ai besoin de ta vie de chien. C'est un peu comme mon dernier refuge D'avoir ta bonne tête à portée de ma main, Et d'oublier ces gens qui me jugent. Et moi j'ai besoin de tes bons yeux de chien, Pour changer des regards qu'on me lance. J'ai besoin de ta vie de chien, Sitôt qu'elle revient s'installer, l'absence. |
Déposé par ovanek le 28/02/2015❤ 1800 messages d'AMOUR et de Pensée je t'aime ❤ |
Déposé par colombine67 le 28/02/2015J'ai trouvé votre chien aujourd'hui. Non, il n'a pas été adopté par quelqu'un. La plupart d’entre nous qui vivent par ici ont autant de chiens qu'ils le désirent, et ceux qui n'en n'ont pas le font par choix. Je sais que vous espériez qu'il trouverait un bon foyer quand vous l'avez abandonné par ici, mais ce n'est pas le cas. La première fois que je l'ai vu il était à des kilomètres de la plus proche maison, et il était seul, assoiffé, maigre et léchant une blessure à sa patte. Comme j’aurais espéré être vous quand je me suis tenu devant lui. Voir sa queue s’agiter, ses yeux s'éclairer alors qu’il aurait sauté dans vos bras, sachant que vous l'avez retrouvé et que vous ne l'avez pas oublié. Voir son pardon dans ses yeux pour toutes les souffrances qu’il a rencontré dans sa recherche sans fin pour vous retrouver......mais ce n’était pas vous. Et malgré toute ma persuasion, ses yeux ne voient qu’un étranger. Il ne me fait pas confiance, il ne vient pas. Il s’est retourné et a continué son périple, celui qui doit le ramener vers vous. Il ne comprend pas pourquoi vous ne le recherchez pas, il sait seulement que vous n'êtes pas là et qu’il doit vous retrouver. Cela est plus important que la nourriture ou l'eau qu'un étranger pourrait lui donner. Le persuader ou le poursuivre n’aurait servi à rien, je ne connais même pas son nom. J'ai conduit jusqu'à la maison, rempli un seau d’eau et un bol avec de la nourriture et je suis retourné où je l'avais rencontré. Je ne pouvais voir aucun signe de lui, mais j’ai laissé mon offrande sous un arbre où il avait trouvé refuge du soleil et une chance de repos. Vous voyez, il n'est pas dans le désert. Lorsque vous l'avez domestiqué vous lui avez enlevé toute chance de survie. Son objectif lui demande de voyager durant la journée, il ne sait pas que le soleil et la chaleur vont le tuer, il sait seulement qu'il doit vous trouver. J'ai attendu qu'il revienne vers l'arbre, espérant que mon cadeau bâtirait un élément de confiance qui me permettrait de le ramener à la maison, d'enlever sa blessure à la patte, lui donner une place fraiche pour se coucher, et l'aider à comprendre que la partie de sa vie avec vous était finie. Il n'est pas revenu le matin, et le soir l'eau et la nourriture était encore là, intactes. Je suis devenu inquiet. Vous devez comprendre que beaucoup de personnes n'aideront pas votre chien. Certains le feront fuir, d'autres appelleront leur municipalité et le destin dont vous pensiez l’avoir préservé sera défait par des jours sans eau ni nourriture. J’y suis retourné à la nuit, je ne l'ai pas vu. J'y suis allé très tôt le matin d'après rien n'y avait été touché. Si seulement vous étiez là pour l'appeler par son nom, votre voix est si familière pour lui. J'ai commencé mes recherches par la direction qu’il avait pris la veille, mes doutes obscurcissant mon espoir de le trouver. C’est des heures plus tard et à une bonne distance de notre première rencontre que j’ai retrouvé votre chien. Sa soif s’est arrêtée, ce n’est plus un tourment. Sa faim a disparu, sa blessure ne l’embête plus. Votre chien a été libéré de ses tourments, voyez vous, votre chien est mort. Je me suis agenouillé à ses cotés, et je vous ai damné pour ne pas avoir été là hier pour que je puisse voir la lueur même pour un moment dans ses yeux maintenant libérés. Et j'agonise, car je sais que s’il se réveillait maintenant et que j'étais vous ses yeux se mettraient à briller de reconnaissance et sa queue s’agiterait dans un signe de pardon. |
Déposé par Biscuit le 28/02/2015Mon chien, mon souvenirToi que je connaissais Si bien tu m'as laissée Jamais je ne t'oublierai Chaque jour tu es dans mes pensées ...Je n'arrive pas à m'y faire Chaque jour c'est l'enfer Quand je pense à toi je me rappelle chaque jour Quand tu étais là Mais le principal pour moi C'est qu'un jour On se retrouvera Où que ce soit. |
Déposé par rafia le 28/02/2015Le petit chien de Madeleine Reynaud Je suis un petit chien Mais j’ai déjà quinze ans. Si je présente bien, Mon âge, je le sens. Mon cœur est fatigué, J’ai des douleurs partout, Ma vue a bien baissé, Je n’entends plus du tout. J’aimais bien la montagne Quand j’étais casse cou. Le vertige me gagne, Je fatigue beaucoup. Je vais plus doucement Et je marche très peu. Je dors bien plus longtemps, J’ai caché tous mes jeux. Quand une chienne passe, Je redeviens fringant, Je fais preuve d’audace, Je me sens élégant. Mais dès qu’elle est partie, Je retrouve mon âge Et mon dos s’arrondit : Ce n’était qu’un mirage. Mes maîtres m’aiment autant Que quand j’étais petit. Ils me disent souvent Que j’ai changé leur vie. La mienne aura été Faite de grandes joies, J’aurai été choyé, J’aurai été un roi. Quand il faudra partir, Je ne gémirai pas. Je voudrais m’endormir Blotti entre leurs bras. |
Déposé par mindy le 27/02/2015L'amour d'un chien J’ai vu au fond de tes yeux et de ton regard L’amour qu’on ne lit nulle part Que tu voudrais dire mais tu ne peux pas Souvent j’y ai vu la tendresse Mais aussi la tristesse Pour un reproche que tu ne méritais pas Ou simplement que tu ne comprenais pas Mais j’y ai vu surtout l’amour Que tu me donnes jour après jour Un amour qui ne demande rien Rien qu’une caresse de la main Je sais bien que tu n’es qu’un chien Mais ton amour vaut bien celui des humains Tu donnes sans demander même ta vie s’il le fallait Alors moi, j’ose dire que je t’aime Que je t’aime autant qu’un humain Même si on dit que tu n’es qu’un chien Un jour, hélas ! tu partiras La mort, un jour, t’emportera … Alors rien que d’y penser Mon cœur commence à regretter De ne savoir te dire les mots Que tu ne comprendrais pas Mais que j’espère, dans mes yeux Ce jour là, tu liras ... Et que moi, pauvre humain Je saurai te faire comprendre l’Amour D’un homme pour son « chien ». |
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