En hommage à
Sissy
1997 / 2014


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Sissy
CANICHE
Il nous a quittés le:06/10/2014
 

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En hommage à Sissy

Je t'ai adopté 20 decembre 2010 tu avait 14ans.Nous avons passez 3ans et 10 mois ensembles que de joie et de bonheur Nous avons eu de très bon moments,avec toi et tes copines Cannelle et Suzy.Le temps a passé très vite, nous ne pouvons rien contre la vieillesse. Ton cœur était encore assez solide,mais ton corp n'en pouvait plus.Je ne pouvez te laisser ainsi;tes pattes arrieres te lacher,ta vue aussi, tu te cognais, tu vivait depuis quelques mois dans ton monde.Que c'est dure de te voir ainsi,alors avec ton vètèrinaire nous avons prit la decision de te liberer pour que tu puisses enfin te reposer.Tu va me manquer ma cherie,je n'oublirais jamais ta belle frimousse et ce regard doux.Va retrouvé ton copain Noah,et mes felins que tu as connue,et ma douce Joy.Soit heureuse ma Sissy Je t'aime




0 bougie

1094 Fleurs
Déposé par spanky
Déposé par spanky
Certains jours, vous l'imaginer allongé dans un beau champ de fleurs qui trempe le soleil éternel, qu'il court dans ce très beau champ et libre, et que la douleur ou l'âge sont inconnus où il est.
Déposé par coucky
Déposé par coucky
merci pour mon petit Youky
Déposé par spanky
Déposé par spanky
Avoir le coeur gros, j'aime cette locution qui laisse entendre que le chagrin n' est pas un manque mais un trop-plein au contraire, un trop-plein qui déborde de souvenirs, d' émotions et de larmes.
Déposé par spanky
Déposé par spanky
Si vous pouviez le rejoindre là où il est vous le feriez de suite, qu'il vous donne seulement un signe, une adresse ou vous pourriez le retrouver et vous reprendrez votre vie commune comme avant.
Déposé par coucky
Déposé par coucky
merci pour mon petit Angélo
Déposé par spanky
Déposé par spanky
Plus loin que la mort, plus loin que la vie, jusqu'au bout de vos nuits vous l'aimerez pour toute votre vie votre ami 4 pattes.
Déposé par spanky
Déposé par spanky
Petite étoile du soir ami des petits anges tel un oiseau poses-toi délicatement, murmure une douce mélodie à ce petit coeur et tout en douceur une part de bonheur.
Déposé par spanky
Déposé par spanky
Asseyez-vous et écouté le souffle lent du vent, et dans ces murmures, c'est le nom de votre compagnon à 4 pattes qui vous manque énormément que vous entendez.
Déposé par spanky
Déposé par spanky
Vous vous réfugiez dans votre cœur,c'est un rêve,une magie,c'est votre jardin secret où vous vous réfugiez et ne cessez de l'aimer,c'est un endroit merveilleux ce rêve,et ce paradis c'est son cœur.
Déposé par spanky
Déposé par spanky
Il y a des larmes que vous n'essuierez pas, celles qui glissent dans votre cœur et qui ne sortent pas, celles qui vous brûlent à l'intérieur, comme mille volcans que seul le temps endormira.
Déposé par spanky
Déposé par spanky
Votre ami à 4 pattes n'est plus là,de votre coeur orphelin coule une source amère qui au ruisseau est devenue rivière!c'est d'un fleuve de larmes qu'alors éploré vous noierez le monde d'un océan salé.
Déposé par spanky
Déposé par spanky
Quand vous reprenez le chemin de promenade où vous alliez, vous l'imaginez à vos côtés en courant comme un fou dans toutes les directions. Et ces souvenirs effacent un peu votre tristesse.
Déposé par spanky
Déposé par spanky
La nuit,vous imaginez ce que vous désirez et tout paraît possible,soudain vous le voyez courir vers vous,son allure fière et légère,le voilà dans vos bras,c'est un rêve,mais vous y croyez et il est là
Déposé par spanky
Déposé par spanky
Vous le voyez sur un nuage,dans le bleu du ciel,quand la pluie tombe,le souffle du vent,sur une feuille d'automne,de l'été du soleil,de l'hiver qui tonne,le bruit de ses pattes car il est ici et là.
Déposé par spanky
Déposé par spanky
Quand vos journées vous semblent trop mouvementées, allez le retrouver sous l'arbre de la Paix. Et plus que jamais, l'un à l'autre vous serez liés.
Déposé par spanky
Déposé par spanky
Il ne se passe pas un jour sans que vous pensiez à votre ami à 4 pattes, vous savez qu'il est là, heureux, et libre de respirer, de courir à sa guise sans cette maladie qui l'empêchait de vivre.
Déposé par spanky
Déposé par spanky
Vous voulez lui dire que depuis qu'il est arrivé chez vous,vos yeux n'arrêtaient pas de le regarder,il était le plus beau,le plus tendre,le plus gentil,le plus beau cadeau que la vie vous avez donné.
Déposé par spanky
Déposé par spanky
Vous aimeriez le sortir de votre passé et le ramener dans votre présent, mais il est entre les étoiles et dans votre coeur, et sans lui votre vie n'a plus de sens car il était votre joie de vivre.
Déposé par spanky
Déposé par spanky
Vous lui avez offert du bonheur tout ce que vous aviez dans votre coeur,cela lui a beaucoup suffi,mais un jour il est parti,ses yeux magnifiques vous manquent,et vous paniquez sans le voir à vos côtés
Déposé par spanky
Déposé par spanky
" Nous devrions rendre grâce aux animaux pour leur innocence fabuleuse et leur savoir gré de poser sur nous la douceur de leurs yeux inquiets sans jamais nous condamner." Christian Bobin.


931 messages

Déposé par poutounou le 29/09/2019  
Vous êtes mort un matin, un après-midi ou un soir, magnifiques Anges !!! « Et la plus morte mort est d’avoir survécu » !!!
*
Vous êtes mort un soir
*
Vous êtes mort un soir à l'heure où le jour cesse.
Ce fut soudain. La douce et terrible paresse
En vous envahissant ne vous a pas vaincu.
Rien ne vous a prédit la torpeur et la tombe.
Vous eûtes le sommeil. Moi, je peine et je tombe,
Et la plus morte mort est d'avoir survécu.
*
Anna de NOAILLES (1876-1933)

Déposé par lili2248 le 23/09/2019  
Et voilà la fin de l’été !!! L’automne s’en vient à grands pas !!! Et il faut commencer à se couvrir un peu plus… Brrrrr...
*
L'automne
*
Voici venu le froid radieux de septembre :
Le vent voudrait entrer et jouer dans les chambres ;
Mais la maison a l'air sévère, ce matin,
Et le laisse dehors qui sanglote au jardin.
*
Comme toutes les voix de l'été se sont tues !
Pourquoi ne met-on pas de mantes aux statues ?
Tout est transi, tout tremble et tout a peur ; je crois
Que la bise grelotte et que l'eau même a froid.
*
Les feuilles dans le vent courent comme des folles ;
Elles voudraient aller où les oiseaux s'envolent,
Mais le vent les reprend et barre leur chemin
Elles iront mourir sur les étangs demain.
*
Le silence est léger et calme ; par minute
Le vent passe au travers comme un joueur de flûte,
Et puis tout redevient encor silencieux,
Et l'Amour qui jouait sous la bonté des cieux
*
S'en revient pour chauffer devant le feu qui flambe
Ses mains pleines de froid et ses frileuses jambes,
Et la vieille maison qu'il va transfigurer
Tressaille et s'attendrit de le sentir entrer...

Déposé par poutounou le 22/09/2019  
Et voilà la fin de l’été !!! L’automne s’en vient à grands pas !!! Et il faut commencer à se couvrir un peu plus… Brrrrr...
*
L'automne
*
Voici venu le froid radieux de septembre :
Le vent voudrait entrer et jouer dans les chambres ;
Mais la maison a l'air sévère, ce matin,
Et le laisse dehors qui sanglote au jardin.
*
Comme toutes les voix de l'été se sont tues !
Pourquoi ne met-on pas de mantes aux statues ?
Tout est transi, tout tremble et tout a peur ; je crois
Que la bise grelotte et que l'eau même a froid.
*
Les feuilles dans le vent courent comme des folles ;
Elles voudraient aller où les oiseaux s'envolent,
Mais le vent les reprend et barre leur chemin
Elles iront mourir sur les étangs demain.
*
Le silence est léger et calme ; par minute
Le vent passe au travers comme un joueur de flûte,
Et puis tout redevient encor silencieux,
Et l'Amour qui jouait sous la bonté des cieux
*
S'en revient pour chauffer devant le feu qui flambe
Ses mains pleines de froid et ses frileuses jambes,
Et la vieille maison qu'il va transfigurer
Tressaille et s'attendrit de le sentir entrer...
*
Anna de NOAILLES (1876-1933)

Déposé par choupinou le 18/09/2019  
c'est un mot joli qui vient de l'enfance
un mot ennemi de l'indifférence
c'est un mot très court que l'on nous a appris
qui mêle a la fois le coeur et l'esprit
bien qu'il soit passé dans nos habitudes
il est le reflet de nos gratitudes
il sait être doux tout en étant fort,
et il est reçu tel un réconfort.
J'ai donc le grand plaisir,pour vous aujourd'hui avec du retard mais sûrement,de prononcer,ce seul petit mot MERCI
MERCI de m'avoir permis de le dire,
de vous dire MERCI
Un petit être cher ne vous quitte jamais,il vit au plus profond de votre âme,de votre coeur et pour le revoir,il suffit de fermer les yeux,de penser a lui très fort
a tout nos petits amours
MERCI pour votre soutien,de votre gentillesse lors du décès de notre petit lapin Pampan et de mon amie Dulka
MERCI d'être toujours présent ,de votre amour pour les anniversaires de mes petits trésors,ma douce Polka,mon merveilleux Titus et pour mon amie Corona,par vos fleurs,messages,bougies
MERCI pour eux ,MERCI pour moi,ils vous en seront toujours reconnaissant,tout comme moi MERCI
choupinou

Déposé par poutounou le 15/09/2019  
C’est la vie qui nous blesse le coeur et les yeux lorsque nous perdons un de nos Anges...et pourtant nous continuons à marcher, ne jamais s’arrêter, supportant la souffrance comme on peut !!!
*
C'est La Vie – Marc Lavoine
*
Tous les matins, c'est la même corrida
Lever la tête, ouvrir les bras
Tous les matins, c'est le même numéro
Trouver l'amour, chercher les mots
*
Je suis coincé comme un évadé
Faut marcher, ne jamais s'arrêter
Je suis piégé, comme un condamné
A marcher, ne jamais se retourner
*
C'est la vie, la vie c'est du vent
Qui nous souffle les rêves d'enfant
C'est la nuit qui descend,
C'est jamais comme avant
Il ne faut plus faire semblant, attends
C'est la vie, la vie qui le veut
Qui nous blesse, le coeur et les yeux
C'est la nuit qui retombe
Comme la pluie et les bombes
Il ne faut plus faire semblant, attends
*
Tous les matins c'est le même cinéma
Tendre les mains, croiser les doigts
Tous les matins, c'est la même comédie
Chercher quelqu'un, trouver celle ou celui qui
*
Je suis piégé comme un naufragé
Faut marcher, ne jamais s'arrêter
Je suis coincé, comme un révolté
A marcher, jamais se retourner
*
C'est la vie, la vie c'est du vent
Qui nous souffle les rêves d'enfant
C'est la nuit qui descend,
C'est jamais comme avant
Il ne faut plus faire semblant, attends
C'est la vie, la vie qui le veut
Qui nous blesse, le coeur et les yeux
C'est la nuit qui retombe
Comme la pluie et les bombes
Il ne faut plus faire semblant, attends

Déposé par poutounou le 08/09/2019  
Jolie chanson sur l’espoir...
Rester debout mais à quel prix ???
Debout peu importe le prix !!!
*
Le Premier Jour Du Reste De Ta Vie – Etienne Daho
*
Un matin comme tous les autres
Un nouveau pari
Rechercher un peu de magie
Dans cette inertie morose
*
Clopin clopan sous la pluie
Jouer le rôle de sa vie
Puis un soir le rideau tombe
C'est pareil pour tout l'monde
*
Rester debout mais à quel prix
Sacrifier son instinct et ses envies
Les plus essentielles
*
Mais tout peut changer aujourd'hui
Et le premier jour du reste de ta vie
Plus confidentiel
*
Pourquoi vouloir toujours plus beau
Plus loin plus haut
Et vouloir décrocher la lune
Quand on a les étoiles
*
Quand les certitudes s'effondrent
En quelques secondes
Sache que du berceau à la tombe
C'est dur pour tout l'monde
*
Rester debout mais à quel prix
Sacrifier son instinct et ses envies
Les plus confidentielles
*
Mais tout peut changer aujourd'hui
Et le premier jour du reste de ta vie
C'est providentiel
*
Debout peu importe le prix
Suivre son instinct et ses envies
Les plus essentielles
*
Tu peux exploser aujourd'hui
Et le premier jour du reste de ta vie
Non accidentel
*
Oui tout peut changer aujourd'hui
Et le premier jour du reste de ta vie
Plus confidentiel

Déposé par poutounou le 01/09/2019  

Poème de Mr. de LAMARTINE, un peu triste mais tellement beau :
« On entend, dans l’espace, les choeurs mystérieux de l’Ange qui passe... »
*
La tristesse
*
L'âme triste est pareille
Au doux ciel de la nuit,
Quand l'astre qui sommeille
De la voûte vermeille
A fait tomber le bruit ;
*
Plus pure et plus sonore,
On y voit sur ses pas
Mille étoiles éclore,
Qu'à l'éclatante aurore
On n'y soupçonnait pas !
*
Des îles de lumière
Plus brillante qu'ici,
Et des mondes derrière,
Et des flots de poussière
Qui sont mondes aussi !
*
On entend dans l'espace
Les choeurs mystérieux
Ou du ciel qui rend grâce,
Ou de l'ange qui passe,
Ou de l'homme pieux !
*
Et pures étincelles
De nos âmes de feu,
Les prières mortelles
Sur leurs brûlantes ailes
Nous soulèvent un peu !
*
Tristesse qui m'inonde,
Coule donc de mes yeux,
Coule comme cette onde
Où la terre féconde
Voit un présent des cieux !
*
Et n'accuse point l'heure
Qui te ramène à Dieu !
Soit qu'il naisse ou qu'il meure,
Il faut que l'homme pleure
Ou l'exil, ou l'adieu !
*
Alphonse de LAMARTINE (1790-1869)

Déposé par poutounou le 25/08/2019  

Le cri tinte l’obscur et triste adieu de quelque vie éteinte….
*
Le cri
*
Près d'un étang désert, où dort une eau brunie,
Un rai du soir s'accroche au sommet d'un roseau ;
Un cri s'écoute, un cri désespéré d'oiseau,
Un cri pauvre et perdu dans la plaine infinie.
*
Comme il est faible et frêle et peureux et fluet !
Et comme avec tristesse il se traîne et s'écoute,
Et comme il se répète et comme avec la route
Il s'enfonce et se perd dans l'horizon muet !
*
Et comme il marque l'heure, au rythme de son râle,
Et comme, en son accent minable et souffreteux,
Et comme, en son écho languissant et boiteux,
Se plaint infiniment la douleur vespérale !
*
Il est si doux parfois qu'on ne le saisit pas.
Et néanmoins toujours, et sans fatigue, il tinte
L'obscur et triste adieu de quelque vie éteinte ;
Il dit les pauvres morts et les pauvres trépas :
*
La mort des fleurs, la mort des insectes, la douce
Mort des ailes et des tiges et des parfums ;
Il pleure au souvenir des vols qui sont défunts
Et qui gisent, cassés, dans l'herbe et dans la mousse.
*
Émile VERHAEREN (1855-1916)

Déposé par poutounou le 18/08/2019  
« Paradis où le coeur donne ses rendez-vous... »
*
Le sommeil
*
Les perdus, les absents, les morts que fait la vie,
Ces fantômes d'un jour si longuement pleurés,
Reparaissent en rêve avec leur voix amie,
Le piège étincelant des regards adorés.
*
Les amours prisonniers prennent tous leur volée,
La nuit tient la revanche éclatante du jour.
L'aveu brûle la lèvre un moment descellée.
Après le dur réel, l'idéal a son tour !
*
Ô vie en plein azur que le sommeil ramène,
Paradis où le coeur donne ses rendez-vous,
N'es-tu pas à ton heure une autre vie humaine,
Aussi vraie, aussi sûre, aussi palpable en nous,
*
Une vie invisible aussi pleine et vibrante
Que la visible vie où s'étouffent nos jours,
Cette vie incomplète, inassouvie, errante,
S'ouvrant sur l'infini, nous décevant toujours ?
*
Augustine-Malvina BLANCHECOTTE (1830-1895)

Déposé par poutounou le 11/08/2019  

Un Paradis où « l'infini flotte dans l'éternel », comme le Paradis blanc de nos Anges !!!
*
Savez-vous pas...
*
Savez-vous pas quelque douce retraite,
Au fond des bois, un lac au flot vermeil,
Où des palmiers la grande feuille arrête
Les bruits du monde et les traits du soleil
- Oh ! je voudrais, loin de nos vieilles villes,
Par la savane aux ondoyants cheveux,
Suivre, en rêvant, les écureuils agiles,
Et voir sauter, sur les branches mobiles,
L'ara de pourpre et les bengalis bleus !
*
Savez-vous pas, sur les plages lointaines
Où n'ont jamais passé les matelots,
Une île heureuse aux suaves haleines,
Bouquet de fleurs effeuillé sur les flots ?
- Oh ! je voudrais, seul avec ma pensée,
Jetant au vent la poussière des jours,
Sentir mon âme aux vagues balancée,
Et m'endormir sur l'onde cadencée
Comme un enfant que l'on berce toujours !
*
Savez-vous pas, loin de la froide terre,
Là-haut ! là-haut ! dans les plis du ciel bleu,
Un astre d'or, un monde solitaire
Roulant en paix sous le souffle de Dieu ?
- Oh ! je voudrais une planète blonde,
Des cieux nouveaux, d'étranges régions,
Où l'on entend, ainsi qu'un vent sur l'onde,
Glisser la nuit, sous la voûte profonde,
Le char brillant de constellations !
*
Où fuir ? où fuir ? Par les routes humaines
Le sable est dur et le soleil est lourd.
Ma bouche ardente a tari les fontaines
Et l'arbre est mort où j'ai cueilli l'amour.
- Oh ! je voudrais, loin du temps et des choses,
Débarrassé de tout lien charnel,
Courir joyeux dans les métamorphoses,
Puis me plonger à la source des causes,
Où l'Infini flotte dans l'Éternel !
*
Louis BOUILHET (1822-1869)

Déposé par choupinou le 06/08/2019  
on peut oublier,un visage,une image,mais on ne peut tout à fait effacer de sa mémoire la chaleur d'une émotion,la douceur d'un geste,le son d'une voix tendre qui vous parle dans le silence et qui vous dit merci de ne pas nous avoir oublié,car de cette façon nous savons que nous faisons partis un peu de vous;d'une grande famille qui aujourd'hui nous'aime et pense a nous,simplement par vos fleurs et petits messages,merci pour nos anniversaires et jours hommages,merci de ne pas nous laisser dans un petits coins sans venir nous voir,nous qui avons subit l'indifférence et la maltraitance,votre amour et soutien nous sommes précieux,vos petits amis
AK47 /MINETTE /ARTURO / GAGY /CECILE et tous nos amis d'infortunes....
MERCI d'être là pour nous....
même si notre amie choupinoucelibab ne peut pas toujours vous remerciez pour nous,soyez sur que nous vous en serons toujours reconnaissant et veillerons sur vous de la haut ,nous,petites étoiles,parmi vos petits anges de lumière et d'amour........

Déposé par poutounou le 04/08/2019  

Que c’est bien dit : « Le vivre vous chagrine et le mourir vous fâche... »
*
Voix intérieure
*
Mon ami, quels ennuis vous donnent de l'humeur ?
Le vivre vous chagrine et le mourir vous fâche.
Pourtant, vous n'aurez point au monde d'autre tâche
Que d'être objet qui vit, qui jouit et qui meurt.
*
Mon âme, aimez la vie, auguste, âpre ou facile,
Aimez tout le labeur et tout l'effort humains,
Que la vérité soit, vivace entre vos mains,
Une lampe toujours par vos soins pleine d'huile.
*
Aimez l'oiseau, la fleur, l'odeur de la forêt,
Le gai bourdonnement de la cité qui chante,
Le plaisir de n'avoir pas de haine méchante,
Pas de malicieux et ténébreux secret,
*
Aimez la mort aussi, votre bonne patronne,
Par qui votre désir de toutes choses croît,
Et, comme un beau jardin qui s'éveille du froid,
Remonte dans l'azur, reverdit et fleuronne ;
*
L'hospitalière mort aux genoux reposants
Dans la douceur desquels notre néant se pâme,
Et qui vous bercera d'un geste, ma chère âme,
Inconcevablement éternel et plaisant...
*
Anna de NOAILLES (1876-1933)

Déposé par poutounou le 28/07/2019  

Il y a une vie après la mort, c’est sûr !!! Mais qu’il est beau ce poème ! « Mort qu’on appelle enfin quand on l’a méditée… !!!»
*
Prière
*
Fantôme qui nous dois dans la tombe enfermer,
Mort dont le nom répugne et dont l'image effraie,
Mais qu'à force de crainte on finit par aimer,
Puisque la vie est vaine et que toi seule es vraie ;
*
Ô Mort, qui fais qu'on vit sans but et qu'on est las,
Et qu'on rejette au loin la coupe non goûtée,
Mort qu'on maudit d'abord et dont on ne veut pas,
Mais qu'on appelle enfin quand on t'a méditée ;
*
Ô la peur et l'espoir des âmes, bonne Mort,
Dont le souci nous trouble un temps, et puis nous aide,
Mystérieux écueil où se blottit un port,
Et poison merveilleux où se cache un remède. ...
*
Jules TELLIER (1863-1889)

Déposé par poutounou le 21/07/2019  
Merci Monsieur Verlaine pour vos magnifiques poèmes !!!
*
Il pleure dans mon coeur
*
Il pleure dans mon coeur
Comme il pleut sur la ville ;
Quelle est cette langueur
Qui pénètre mon coeur ?
*
Ô bruit doux de la pluie
Par terre et sur les toits !
Pour un coeur qui s'ennuie,
Ô le chant de la pluie !
*
Il pleure sans raison
Dans ce coeur qui s'écoeure.
Quoi ! nulle trahison ?...
Ce deuil est sans raison.
*
C'est bien la pire peine
De ne savoir pourquoi
Sans amour et sans haine
Mon coeur a tant de peine !
*
Paul VERLAINE (1844-1896)

Déposé par poutounou le 14/07/2019  
Quelqu’un meurt, et c’est comme un silence qui hurle !!!
*
L’Arbre et la graine
*
Quelqu’un meurt, et c’est comme des pas qui s’arrêtent.
Mais si c’était un départ pour un nouveau voyage ?
Quelqu’un meurt, et c’est comme un arbre qui tombe.
Mais si c’était une graine germant dans une terre nouvelle ?
Quelqu’un meurt, et c’est comme une porte qui claque.
Mais si c’était un passage s’ouvrant sur d’autres paysages ?
Quelqu’un meurt, et c’est comme un silence qui hurle.
Mais s’il nous aidait à entendre la fragile musique de la vie ?
*
Benoît Marchon

Déposé par choupinou le 12/07/2019  

La chose la plus difficile à supporter quand ils s'en vont, ces amis tranquilles, c'est qu'ils emportent avec eux tant d'années de nos propres vies.
MERCI de tout notre coeur pour notre petit Crapouille,pour avoir prit de ses nouvelles,et espérer tout comme nous a son bon rétablissement,mais la vie en a décidé autrement,et nous a prit notre petit Poupouille d'amour,le chagrin est immense,le chemin sera long et difficile sans notre petit Craps.......
MERCI de votre soutien ,message de tendresse,pour lui et pour nous,par vos fleurs,je ne vous en dirait pas plus car je sens ma poitrine se serrer,comme un coup de poignard,et mes larmes roulent sur mon visage......
juste un petit mot,tout petit ,MERCI
choupinou et sa fille pouilledamour
Perdre un chien que l'on aime n'est jamais évident. Bien que leurs vies soient plus courtes, l'espace qu'ils prennent dans nos vies sont énormes, et les souvenirs que nous gardons d'eux sont éternels.
L'amour d'un chien est quelque chose d'extraordinaire. Ils nous aiment malgré nos défauts. Ils ont bons cœurs et devraient nous montrer l'exemple. Honorons la mémoire de nos petits anges en faisant attention aux leçons de la vie et gardons toujours leur souvenir dans nos cœur.
. Aucun être au monde ne sait offrir plus d'amour qu'un chien. Il vous aime sans condition et éternellement. Alors si tu es triste, sache qu'un petit ange,des petits anges gardien à quatre pattes veille sur toi de là où il est.,de là ou ils sont..

Déposé par poutounou le 07/07/2019  
Nos anges ne seront jamais oubliés...
*
Le calmant
*
Plus qu'ennuyée
Triste.
Plus que triste
Malheureuse.
Plus que malheureuse
Souffrante.
Plus que souffrante
Abandonnée.
Plus qu'abandonnée
Seule au monde.
Plus que seule au monde
Exilée.
Plus qu'exilée
Morte.
Plus que morte
Oubliée.
*
Marie Laurencin ("Poèmes" - Bernouard éditeur, 1926)
Marie Laurencin (1883-1956) , peintre certes, mais également poète sous le pseudonyme de Louis Lalanne, et muse de Guillaume Apollinaire ...

Déposé par poutounou le 30/06/2019  

C'est exactement comme ça quand on est mélancolique... Heureusement qu'il y a de beaux moments dans la vie : Le souvenir des moments passés avec nos Anges par exemple... et le contact que nous gardons avec eux bien après leur disparition !!! C’est un poème que j’adore !!!
*
Spleen...
*
Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle
Sur l'esprit gémissant en proie aux longs ennuis,
Et que de l'horizon embrassant tout le cercle
Il nous verse un jour noir plus triste que les nuits ;
*
Quand la terre est changée en un cachot humide,
Où l'Espérance, comme une chauve-souris,
S'en va battant les murs de son aile timide
Et se cognant la tête à des plafonds pourris ;
*
Quand la pluie étalant ses immenses traînées
D'une vaste prison imite les barreaux,
Et qu'un peuple muet d'infâmes araignées
Vient tendre ses filets au fond de nos cerveaux,
*
Des cloches tout à coup sautent avec furie
Et lancent vers le ciel un affreux hurlement,
Ainsi que des esprits errants et sans patrie
Qui se mettent à geindre opiniâtrement.
*
Et de longs corbillards, sans tambours ni musique,
Défilent lentement dans mon âme ; l'Espoir,
Vaincu, pleure, et l'Angoisse atroce, despotique,
Sur mon crâne incliné plante son drapeau noir.
*
Charles BAUDELAIRE (1821-1867)

Déposé par poutounou le 23/06/2019  
Sauvons-nous tous dans le fond de notre cœur avec notre ou nos anges…
*
L'absence
*.
Quand je me sens mourir du poids de ma pensée,
Quand sur moi tout mon sort assemble sa rigueur,
D'un courage inutile affranchie et lassée,
Je me sauve avec toi dans le fond de mon cœur !
*
Tu grondes ma tristesse, et, triste de mes larmes,
De tes plus doux accents tu me redis les charmes :
J'espère ! ... car ta voix, plus forte que mon sort,
De mes chagrins profonds triomphe sans effort.
*
Je ne sais ; mais je crois qu'à tes regrets rendue,
Dans ces seuls entretiens tu m'as tout entendue.
Tu ne dis pas : « Ce soir ! » Tu ne dis pas : « Demain ! »
Non, mais tu dis : « Toujours ! » en pleurant sur ma main.
*
Marceline Desbordes-Valmore (1786-1859)

Déposé par poutounou le 16/06/2019  
Oui, quand tout va mal, pensons fort à nos Anges, car ils seront toujours là pour nous... !!!
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Les cloches du soir
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Quand les cloches du soir, dans leur lente volée,
Feront descendre l'heure au fond de la vallée ;
Quand tu n'auras d'amis, ni d'amours près de toi,
Pense à moi ! pense à moi !
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Car les cloches du soir avec leur voix sonore
A ton cœur solitaire iront parler encore ;
Et l'air fera vibrer ces mots autour de toi :
Aime-moi ! aime-moi !
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Si les cloches du soir éveillent tes alarmes,
Demande au temps ému qui passe entre nos larmes :
Le temps dira toujours qu'il n'a trouvé que toi,
Près de moi ! près de moi !
*
Quand les cloches du soir, si tristes dans l'absence,
Tinteront sur mon cœur ivre de ta présence :
Ah ! c'est le chant du ciel qui sonnera pour toi,
Et pour moi ! et pour moi !
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Marceline Desbordes-Valmore (1786-1859)




L'Album photo contient 8 photos
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Avec tes copines Cannelle et Suzy qui sont pres de moi ma Sissy Je t'aime
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Apres ton toilettage.Le temps du bonheur
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Le temps du bonheur quand tu es arrivée a la maison a 14ans.Tu est belle
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Je t'aime ma Sissy
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Tes deux copines qui se retrouve sans toi
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Tu regarde derrieres la chatiere
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Ton sommeil profond
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Nos derniers moments
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