En hommage à

Billy
2001 / 2015


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En hommage à
Billy
BORDER-COLLIE
Il est né le:25/09/2001
Il nous a quittés le:29/05/2015
 

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En hommage à Billy

Au revoir mon Bébé d'Amour - tu me manques tellement
...
29/05/2015

Mon beau Billy ma peine est immense. La maladie t'a rattrapé pourtant tu t'es battu jusqu'au bout je sais que tu ne voulais pas me quitter depuis ce mois de juillet 2009 ou je t'ai vu pour la première fois abandonné et malade. Je souhaite que tu sois heureux dans cette autre dimension ou tu te trouves et surtout attends moi bien sagement tu sais qu'un jour nous serons de nouveau réunis toi et moi. Je t envoie mille gros câlins et autant de bisous mon bébé d'amour a qui je pense jour et nuit.





J espère qu il existe un au delà ou je pourrai te retrouver. Qui peut me le dire.je sais aussi que l on ne peut jamais faire son deuil car l absence d un être aimé est insupportable.
Gros bisous sur ta belle truffe mon bel ange.
Je t aime pour l éternité.

29 mai 2023
Huit ans aujourd'hui que tu es parti rejoindre les étoiles mon ange et pourtant il ne s est pas passé un seul jour ni une seule nuit sans que je ne pense à toi. Ton départ précipité m est toujours aussi insupportable.

Puissions nous tôt ou tard nous retrouver.
Je t aime pour l éternité




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Déposé par colombine67 le 12/07/2016  
Voila l’histoire de KARA.
L’année passée, je voyais souvent un berger malinois se balader dehors, bien sûr, rien de très inquiétant vu que j’habite dans la campagne et que beaucoup de chiens sont en liberté pour se dégourdir les jambes. Mais un soir, elle était dehors couchée contre la façade d’une maison. J’étais tellement triste pour elle que j’en ai parlé à ma maman. Elle est allée la voir et est rentrée à la maison avec. Après avoir fait les présentations avec mon beagle et mon chat, elle est restée toute la soirée dans le salon près de nous. Le lendemain, je l’ai lavée (elle était noire de poussières). Avant de se dire qu’on allait la garder, nous avons été voir les voisins, le chien n’appartenait à personne et d’ailleurs les voisins avaient déjà essayé de l’attraper mais elle ne se laissait pas prendre. Nous sommes donc aller dans le refuge proche de chez nous. Elle avait une puce, la femme qui s’occupait du refuge a téléphoné au propriétaire, sa réponse fut : elle est partie depuis 2 mois, ce chien n’écoute pas ! Je ne la veux plus. Nous avons aussi appris que son 1er propriétaire l’avait enfermée dans une cave et battue. Nous avons donc décidé de la garder avec nous, en effet pour nous c’était un signe qu’elle se soit approchée de ma maman et d’aucune autre personne. Depuis KARA vit avec nous, elle a beaucoup d’amis et je n’ai jamais vu un chien qui écoutait aussi bien. Elle commence tout doucement à ne plus avoir peur des hommes et on ne voit plus ses côtes !!!!
Avant de vouloir un animal de compagnie, réfléchissez à ce que vous allez en faire.... Ça vous plairait qu’on vous jette dehors ? Qu’on vous enferme dans une cave ou qu’on vous batte ??? Un chien est comme un être humain sauf qu’il a une qualité en plus : il est dévoué pour nous jusqu’à sa mort et jamais il n’abandonne sa famille !!! Essayez de faire la même chose.

Déposé par poutounou le 11/07/2016  
Encore une histoire qui nous démontre à quel point ils sont "indispensables", nos amours à 4 pattes....
*
Pétrus, un véritable chien héros
Nous avons vécu, l'automne dernier, un moment difficile qui, sans la présence de notre Fox Pétrus aurait pu être dramatique, voire même catastrophique. Dans la nuit du 6 au 7 octobre, nous sommes profondément endormis. Pétrus aboie, cela lui arrive rarement : il est respectueux du sommeil de ses maîtres et s'il se manifeste c'est qu'il y a quelque chose : présence de chats sur son territoire, passage et ou stationnement prolongé de véhicules devant la maison, bruits inhabituels...
*
Cette nuit -là donc Pétrus aboie. Comme chaque fois que cela se produit, je lui ordonne, depuis la chambre, de se coucher et de se taire, et les choses en restent là. Mais cette nuit-là il n'obéit pas et il continue à donner de la voix, moi à lui ordonner de se taire et de se coucher ; cependant il se manifeste d'une manière tellement impérieuse et inhabituelle que je me vois obligée de me lever.
*Arrivée dans l'entrée, je trouve notre chien qui m'ignore et qui cherche à sortir, je lui intime l'ordre de se coucher, il persiste dans sa demande de sortie. Avec le recul aujourd'hui, je réalise que j'aurais dû commencer à m'inquiéter. Mais dans les brumes du sommeil, je n'ai pensé qu'à faire taire Pétrus pour retrouver mon lit au plus tôt.
J'ai donc pris mon chien sous le bras et l'ai ramené autoritairement dans la cuisine dans son panier, et c'est à ce moment que j'ai compris le pourquoi des aboiements de Pétrus : par la fenêtre de la cuisine, j'ai vu notre garage en flammes.
*
Le temps de réveiller mon mari, d'appeler les pompiers, d'aller confier Pétrus aux voisins et déjà les flammes dépassaient le toit.
Le seul élément qui a souffert de l'incendie est le garage ; il est attenant à la maison par un auvent, celle-ci a juste eu les façades noircies. La chaleur y était telle que les murs ont éclaté. Il y avait à l'intérieur deux bouteilles de gaz qui, Dieu merci, n'ont pas explosé.
*
Tout ce qui se trouvait dans le garage a été totalement détruit : 2 voitures, salon de jardin, tondeuse, machinerie piscine, etc. Tout le monde est d'accord pour dire que nous devons beaucoup à Pétrus.
Sans lui, la maison aurait été gravement endommagée, nos bouteilles de gaz auraient pu provoquer des dégâts dans tout le quartier et serions-nous aujourd'hui là pour le raconter ? Comme disait Marie, la fille d'amis, après qu'on lui ait raconté ces événements: « On devrait tous avoir un chien ».
Et j'ajouterai : un Fox ! Depuis Pétrus a retrouvé ses habitudes : Farniente sur le canapé, chasse aux lézards, piscine avec les jeunes.

Déposé par colombine67 le 11/07/2016  
Alise ou le chien qui ne devait pas mourir…..
Alise la Setter Gordon et la vieille dame vivaient une relation quasi fusionnelle depuis des années, et l’une vivait mal sans l’autre. La vieille dame disait bien que sa chienne ne serait pas éternelle, elle savait qu’un jour il lui faudrait la perdre, mais elle ne l’acceptait pas, c’était au-dessus de ses forces.
Alise devenait de plus en plus l’objet de toutes ses attentions.
Tout le soin que la vieille dame prenait d’elle, devrait c’est sûr, garantir une plus longue et meilleure vieillesse à sa chienne. Alors la vie était réglée autour du vieil animal, et les emplois du temps et déplacements aménagés pour son confort.
Alise en venait à exercer une sorte de tyrannie passive sur la vieille dame. Comment même penser à refuser quoique ce soit à une vieille chienne si douce et si près de sa fin, il aurait fallu n’avoir pas de cœur.
La vieille dame n’en manquait pas, de cœur, et qui faiblissait d’ailleurs. De visites en visites, chez le médecin pour l’une et le vétérinaire pour l’autre, on voyait s’allonger la liste des médicaments de chacune.
A chaque malaise d’Alise, la vieille dame affolée répondait par une attention anxieuse et redoublée ; elle guettait chaque hoquet, chaque essoufflement, chaque perte d’appétit comme un signe menaçant d’une fin redoutée, haïe, insupportable.
Cela dura des années, car l’espérance de vie d’un Gordon était déjà dépassée depuis longtemps, mais Alise, diminuée, fatiguée, ne quittait pas sa maîtresse.
La vieille dame tomba malade, gravement, il fallut l’hospitaliser. Un drame pour elle, de devoir laisser sa chienne aux bons soins de son mari ; non pas qu’il fût mauvais homme, loin de là, mais Alise allait sûrement tellement s’ennuyer.
Les choses se passaient plutôt bien entre Alise et son maître, et la vieille chienne semblait attendre vaillamment sa maîtresse.
Mais les hospitalisations se sont succédées, la vieille dame ne se remettait pas et son état nécessita une lourde et délicate opération à cœur ouvert.
Séparée de sa vieille chienne adorée, se demandait-elle si elle la reverrait jamais vivante ? Elle parlait assez peu de cette séparation douloureuse, elle voulait juste rentrer chez elle au plus vite près d’Alise, mais son état de santé ne le permettait pas.
Alise avait maintenant 15 ans ½ de plus en plus fatiguée, vacillante, s’amaigrissant, elle tenait bon cependant.
La vieille dame put enfin rentrer chez elle pour de bon, après maintes hospitalisations de plusieurs semaines chacune, où les séparations étaient devenues de plus en plus angoissantes pour elle.
Extrêmement affaiblie, sapée par toutes les épreuves de la maladie et de l’opération, la vieille dame devait encore affronter le lent dépérissement d’Alise.
La chienne avait maintenant 16 ans, elle ne marchait plus qu’avec difficultés. Elle dormait de longues heures durant, et quand péniblement elle se relevait et non sans aide sortait dans le jardin, squelettique, il lui arrivait encore de sautiller maladroitement, comme secouée par une étrange joie.
De ce moment là, on ne sut plus laquelle tenait l’autre en vie. Jusqu’ici, il avait semblé que la vieille dame voulant tellement garder sa chienne, celle-ci en avait trouvé la force de continuer à vivre.
Voilà que maintenant, c’est comme si Alise ne se permettait pas de mourir, pour ne pas précipiter dans la mort avec elle, sa maîtresse bien trop diminuée par la maladie.
Leur entourage en craignait de les voir basculer ensemble. La vieille dame s’épuisait à continuer de prendre soin de sa vieille chienne de plus en plus dépendante, incontinente, confuse parfois maintenant au point de se perdre dans le jardin.
Mais quel ancien tourment faisait craindre tant la mort de son vieux chien, à la vieille dame malade ? Quelle ancienne douleur, quelle ancienne blessure non cicatrisée lui rendait-elle impossible l’idée qu’Alise devrait la quitter ?
Car enfin, la pauvre bête, épuisée, sourde, raidie par les ans, dédaignant de plus en plus tous les petits plats sans cesse renouvelés dont elle était si gourmande, n’en pouvait visiblement plus de s’éterniser.
La vieille dame semblait aveugle à cette grande souffrance de l’animal qui pourtant aurait dû susciter sa compassion ; il lui fallait trop ne pas voir, ne pas entendre, ne pas penser qu’Alise pouvait souffrir.
Fermée à cette réalité trop insupportable, elle se tenait un discours menteur qui laissait son entourage effaré devant un tel déni, désemparé, incapable de mieux défendre le droit à la mort de la vieille chienne, aux yeux de sa maîtresse.
Alise se mit à ne plus pouvoir boire, puis à ne plus vouloir s’alimenter du tout, deux jours durant.
La vieille dame m’appela pour lui porter secours.
Arrivée sur place je trouvais la vieille chienne exténuée par une matinée passée à errer nerveusement dans la maison et le jardin, obligeant sa maîtresse à la soutenir tant bien que mal, à la relever à chaque chute.
À mon approche Alise s’apaisa, s’effondra, je crus qu’enfin trop épuisée, elle allait s’éteindre. Doucement je me tins près d’elle, puis encore plus près, bientôt je pus la caresser, puis la tenir dans mes bras, lui parler tout bas.
Prendre tout contre moi l’animal décharné me fut d’abord difficile, j’ai dû apprivoiser ma propre peur de la mort, pour venir frôler, puis enfin contenir celle des Deux qui ne pouvaient se quitter.
Alise semblait se laisser aller, je ne sais si elle m’entendait lui dire qu’elle avait gagné le droit de partir, le droit d’aller rejoindre la paix, la lumière…
Ma tête contre la sienne, combien de temps sommes-nous restées ? Je guettais sa respiration, croyant parfois ne plus la percevoir. J’aspirais pour Alise à une fin comme celle-ci, un départ tranquille, dans un souffle qui s’arrêterait…Une fin toute en douceur qui stopperait la violence que la vieille dame et sa chienne mettaient à ne pas pouvoir se séparer.
La vieille dame et son mari m’avaient laissée seule depuis longtemps avec Alise. Espéraient-ils follement que se produise quelque miracle, souhaitaient-ils secrètement que leur chienne meure simplement dans mes bras, alors qu’eux même n’auraient pu le supporter ?
Un peu médusée, je vis le vieil animal comme se réveiller, puis se redresser, faire effort pour parvenir enfin à se relever ; moi qui croyais son dernier souffle arrivé…
Maintenant taraudée par un mal de tête qui enflait de plus en plus, je ne pus qu’accompagner Alise dans ce qui allait devenir une folle errance dans le jardin.
Sous un soleil éclatant de milieu de journée, je suivis la vieille chienne qui de sa démarche plus qu’incertaine, divaguait plus qu’elle n’allait. Plusieurs fois elle trébucha, s’écroula. Je croyais chaque fois qu’elle ne se relèverait pas, que c’était la fin. Elle parvenait pourtant à se redresser, et je continuais de la suivre, anxieuse, un peu désarçonnée, devant ce comportement que je cherchais à m’expliquer. Puis j’ai accepté de seulement l’accompagner, sans vouloir quoi que ce soit et pas même comprendre, comme plus tôt dans l’après-midi, quand penchée sur elle, je n’avais fait qu’être là, rien qu’être là près d’elle.
Alors je fus sûre soudain que l’on ne pouvait pas mourir sous une telle lumière, dans une telle clarté.
Ce soleil éclatant qui faisait jaillir la vie, empêchait de mourir. Je vis enfin qu’Alise dans cette errance cherchait à gagner l’ombre ou une pénombre, comme une cache.
Doucement j’essayai de la faire retourner dans la maison ; j’y parvins péniblement, et là je demandai à ce que l’on fermât un peu les volets. Il me semblait de plus en plus qu’il faudrait aider Alise à mourir.
Cette décision ne m’appartenait pas, mais je devais offrir à ces Trois qui ne savaient que faire, la force qu’ils n’avaient pas d’affronter la mort légitime.
Qui étais-je pour décider que cet animal devait mourir maintenant et pas plus tard ? que savais-je de ses souffrances ? laquelle d’abord était la plus grande, celle de son pauvre corps trop vieux, ou celle de son âme de chien immensément fidèle, qui ne pouvait pas trahir sa vieille maîtresse qui lui exigeait de ne pas la laisser seule ?
Je pris néanmoins le parti d’essayer de convaincre ses maîtres, de soulager Alise du poids de cette vie de douleurs.
D’ailleurs celle-ci de plus en plus agitée semblait se débattre, ne sachant plus où se mettre, ni que faire de sa peau de misères.
La vieille dame affligée semblait céder, admettre l’indignité de son désir de vouloir retenir encore son Alise. Puis l’instant d’après, affolée à l’idée de cet irrémédiable, aveuglée de douleur, elle approcha avec un plat de je ne sais quoi, le mis sous le nez du pauvre animal mourant, dans l’espoir fou qu’il susciterait son appétit.
Mise au centre de ce tableau surréaliste, je décidai non sans mal de soutenir davantage l’animal que la maîtresse.
Il leur fallait ma force et mon assurance, que le vétérinaire soulagerait et rendrait douce la fin de leur animal, dont la vie d’ailleurs ne serait abrégée que de quelques heures, tellement maintenant sa fin était proche.
Je les ai accompagnés tous les trois jusqu’au bout ; j’ai tenu la vieille dame tout contre sa chienne quand le vétérinaire a fait glisser dans les veines le liquide qui endort et celui qui fait mourir sans souffrance.
Alise s’est laissée faire sans se défendre comme presque déjà partie. La vieille dame a laissé faire aussi, elle avait capitulé ; son mari, lui, s’est tenu éloigné n’ayant pu affronter de près, la mort de l’une et l’immense douleur de l’autre. Alise avait 16 1/2 ans.
Il me restait encore à terminer mon travail, c’est à dire à les aider tous deux à accepter l’insupportable. Il me semblait qu’il ne fallait pas les séparer brutalement du vieil animal.
Tous deux souhaitaient une crémation pour Alise. Je proposai qu’ils puissent garder la vieille chienne près d’eux pour la nuit, pour la voir morte mais apaisée enfin, délivrée de son manteau de vieillesse douloureuse.
Pour qu’ils entament un vrai deuil, il me fallait les aider à regarder en face la fin de la vie. La force de ma présence pouvait leur permettre d’accompagner leur Alise jusqu’à l’acte de crémation. La vieille dame ne s’y est pas dérobée. Je l’ai soutenue jusque dans cette dernière et douloureuse démarche d’immense respect pour sa vieille chienne.
Cette ultime épreuve vécue de la crémation lui laissera à jamais l’irremplaçable réconfort de ne s’être pas détournée, de n’avoir jamais abandonné son animal chéri, en l’accompagnant même jusqu’après la mort du corps.
Je garde d’Alise, le souvenir ému d’un chien pathétique qui ne voulait pas faillir.
Danièle MIRAT

Déposé par Biscuit le 10/07/2016  
"Pour tous ces jours passé avec toi
Pour tous ces moments où j'ai joué avec toi
Pour tous ces reves ou j'ai penser à toi
Pour tous ces léchouilles que tu ma fait
Pour tous ces fou rire que j'ai passer avec toi
Pour tous ces jours où je penserais a toi
Je ne voudrais te perdre pour rien au monde
Je t'aime mon rayon de soleil."

Déposé par colombine67 le 10/07/2016  
Témoignage d'un chien abandonné.
"Je ne sais pas où tu m’emmènes, mais je sais que tu es en colère contre moi. Tout à l’heure tu m’as fais monter dans la voiture, et tu m’as ordonné sèchement de me coucher à côté du siège passager. La voiture est pleine de poils je ne le fais pas exprès tu sais, mais tu ne m’as pas brossé depuis longtemps. Je sais qu’hier, j’ai été un VILAIN CHIEN.
J’ai pourtant essayé de vous faire comprendre, à toi et à ELLE, que j’avais une grosse envie que c’était pour la grosse commission. Mais tu m’as dit de me taire et de filer dans mon coin. Je te promets que j’ai essayé, aussi longtemps ,que j’ai pu, de retenir la commission lorsqu’ ELLE et toi, vous êtes partis.
Jai tourné en rond et puis c’est parti. Je sais que j’ai fait CA au milieu de la cuisinevje m’en suis beaucoup voulu tu sais, je me suis mordu les pattes, j’ai beaucoup pleuré Et puis je ne sais pas ce qui ma pris, j’ai ressenti beaucoup de colère pour toi et pour ELLE, tous ces moments où je me suis senti délaissé, et de trop entre vous deux, me sont revenus
et j’ai fais toutes ces bêtises,
j’ai mordu les coussins et arraché un peu de papier peint. J’ai eu peur lorsque tu es rentré, j’ai vu de la colère dans tes yeux, et j’ai su que la punition allait être terrible. C’était si bien au début toi et moi seuls contre les imbéciles tu m’emmenais partout avec toi et j’avais le droit de venir t’embêter avec ma baballe pleine de bave et me coucher sur tes pieds pour mâchouiller tes pantoufles, on faisait de longues balades dans la forêt, et au retour j’avais droit à pleins de câlins et puis ELLE est arrivée.
Au début, je ne la gênais pas trop et je pouvais encore circuler librement dans l’appartement, comme je l’avais toujours fait avec toi. Et puis elle a commencé à se plaindre : tu me donnais trop d’affection, je mangeais trop je perdais mes poils, j’étais sale, je sentais mauvais… et puis elle était allergique (hahaha)
Hier lorsque vous êtes rentrés elle t’a dit c’est lui ou moi et tu m’as lancé un regard triste mais résigné. Nous nous sommes arrêtés. Tu m’as emmené dans la forêt où nous venions souvent, avant, tu as noué ma laisse autour du tronc d’arbre et tu es parti dans ta grosse voiture pleine de mes poils. C’est une blague ? un nouveau jeu ? une punition ? tu vas revenir ?
Je me souviens du premier regard que tu m’as lancé à travers la grille de ma cage. Tu t’es arrêté et agenouillé devant moi et je suis venu mordiller ton doigt. Tu as dit à la dame du refuge que tu vivais seul et que tu aurais largement le temps de t’occuper de moi. Moi je t’aimais déjà, au premier regard. La grande cage s’est ouverte et j’ai sauté dans tes bras. J’étais tout chiot à l’époque ça fait déjà deux ans !
Et que de bonheur depuis !! Jusqu’à ce jour. Il y a longtemps que tu es parti maintenant. Je m’ennuie, j’ai peur et j’ai commencé à ronger ma laisse mais elle est en acier et je me suis fait mal aux dents. Mon collier me sert car je n’ai pas assez de mou pour ne serait ce que m’allonger. Et puis j’ai faim, j’ai soif. Deux jours que je suis là j’ai arrêté de compter les minutes et de japper, à force de pleurer je n’ai plus de voix et tu n’es pas revenu. Le collier a entamé ma peau à force de tirer dessus et cela me fait très mal. Jai très peur
Est-ce donc si terrible de faire la commission à l’intérieur ?Je ne sais plus depuis combien de temps je suis là à force de tirer sur la laisse j’ai réussi à pouvoir m’allonger un peu mais jai très mal au cou et cela me brûle beaucoup les mouches commencent à me tourner autour. Je ne me sens plus très bien, je n’ai même plus soif, même plus faim et je crois que j’aimerais rester seulement là , allongé et attendre que tout s’arrête autour de moi.
Juste un murmure qui se rapproche je distingue quelques voix serait ce toi mon amour d’humain qui revient me chercher ? Suis-je assez puni ? Je me suis réveillé à l’hôpital pour chiens. Une dame très gentille ma dit que désormais j’allai dépendre du refuge SPA. Ça je connais. J’y ai passé les premiers mois de ma vie. La dame est très gentille. Je viens de passer deux longues semaines à la clinique vétérinaire et j’ai quinze points de suture au cou. Le collier en acier avait entamé ma chair, et les mouches avaient commencé à pondre dans la plaie. Je suis un miraculé me dit la dame très gentille.
Elle me dit que je suis beau et que je ne devrais pas tarder à trouver de nouveaux maîtres. Mais ce ne sont pas de nouveaux que je veux ! Pourquoi ne vient- il pas me chercher ? je ne comprend pas. Ma compagne de cellule est une adorable border collie de quatorze ans.
Elle se nomme Mitsy. La directrice du refuge la chargée de me mettre au courant en ce qui concerne la vie au pensionnat, les horaires de promenade, de repas, le règlement intérieur. Mitsy est là depuis qu’elle a neuf ans. A la mort de sa maîtresse, elle a été amené au refuge, car aucun des cinq enfants (que Mitsy a pourtant vu grandir) n’a voulu assumer un vieux chien malade et à demi aveugle. Mais elle ne leur garde pas rancune. Et puis depuis qu’elle est là, Mitsy est devenue en quelques sortes la mascotte du refuge. Elle rentre, elle sort à sa guise, si bien qu’en général, la journée je me retrouve tout seul.
Dans la cage de droite, il y Snoop, un vieux briard, que l’enfermement a rendu aigri et qui passe ses journées à grogner. A force de s’en prendre à ses compagnons de cellule, les humains ont été obligé de l’isoler. Et puis à droite, il y a Roots Trois ans déjà qu’il traîne ses pattes au refuge, et pourtant il ne perd pas espoir de repartir un jour. Quand un humain arrive, il fait le beau, il jappe il frétille, il amuse la galerie. Au début j’ai pris des cours avec Lui et je faisais le singe dans ma cage espérant attirer l’attention sur moi, mais les visiteurs vite écoeurés détournaient la tête de mon pelage, terni et de ma longue balafre boursouflée, longue dune dizaine de centimètres, entravant mon cou.
Petit à petit mon espoir est mort. Les gens me regardaient et s’en allaient. A chaque fois que je ressentais quelque espoir, une main caressante, un regard appuyé, les gens me donnaient quelques mots affectueux puis continuaient leur promenade. Je me sentais mourir à petit feu. D’abord ce fut ma jeunesse.
Elle me quitta.
Je me désintéressais des balles et des pouics pouics en tout genres. Et puis un jour, je me désintéressai même de ma gamelle. Jamais plus je ne connaîtrai la chaleur d’un panier garni d’une douce couverture pour mes papattes, où de juteux restes de repas glissés avec amour dans ma gamelle. Je fus résigné à attendre la fin couché sur ma paillasse, à l’autre bout de la cage, bien loin des manifestations d’intérêt du genre bipède.
J’étais devenu maigre à faire peur, mes pattes ne me portaient plus. Bien qu’âgé de quatre ans, j’en paraissais 10 de plus. Ils vinrent. Deux bipèdes. Ils se tenaient par la main, expliquant à la dame du refuge qu’ils avaient mûrement réfléchi, qu’ils avaient décidé d’adopter un chien de la SPA plutôt que de prendre un chiot chez un éleveur. Ils s’en remettaient au choix de la directrice, même si celui ci se portait sur un pas très beau, plus très neuf leur seul envie était de faire trois heureux. Ils s’arrêtèrent devant ma cage. On se regarda longuement, et je voyais bien que LUI comptait mes côtes, très apparentes sous mon pelage, et qu’ ELLE détaillait ma longue cicatrice inesthétique.
- ORLY a été trouvé attaché à un arbre, dans la forêt, parce que son maître n’a pas eu le courage de s’en débarrasser au refuge. Il est resté cinq jours dans les bois, sans boire sans manger, couché dans ses excréments. La plaie que vous lui voyez au cou, c’est le collier qui a entamé sa peau. Sachez bien que la cicatrice s’estompera mais ne disparaîtra pas complètement. Ce n’est pas une bête de concours. Mais il est avec nous depuis un an et la vie au refuge lui pèse. Je crois qu’il a décidé de se laisser mourir, malgré toute notre affection.
ELLE s’approcha doucement de moi. Je grognai. Après tout pourquoi leur accorder la moindre importance. Ils me cajoleraient, puis me laisseraient tomber comme tous les autres avant eux. ELLE passa une main douce dans mes poils et sur mon museau, me toucha les oreilles et je vis que ses yeux brillaient. LUI se tenait à quelques pas derrière elle. La directrice dansait d’un pied sur l’autre pleine d’un secret espoir.. ELLE était si douce, et en cet instant je me sentais si bien, que je vins me blottir contre elle et posait ma grande tête sur ses genoux. Et puis je fermai les yeux. J’attendis la sentence.
Une voix très émue au loin, hors de mon rêve C’est possible de l’emmener aujourdhui ? La directrice battit des mains, joyeuse. Bien sûr ! je vais vous expliquer pour les papiers, et les démarches. Elle voulut refermer la cage mais ELLE me prit par le collier et me dit doucement de venir avec elle .
Je la regardais, impuissant, n’y croyant pas vraiment. Je passai devant Roots et tous les autres qui me jappaient des félicitations et des cris de joie. Mitsy, confortablement installée dans un vieux fauteuil en cuir passé, me fit un clin d’oeil en me voyant arriver dans le bureau des adoptions. Mon nouveau maître , tout en me caressant longuement, me promit que tout ce que j’avais vécu là était terminé et que j’allais avoir droit à une vie de rêve, bien méritée, un bon panier bien moelleux, des restes de repas bien juteux et à l’avenir un jardin où je pourrai creuser à volonté. Je partis avec eux, allongé sur le siège arrière de la voiture, avec un dernier regard sur le refuge, où attendent encore des centaines de mes compagnons à quatre pattes, et ne pensait qu’à ma nouvelle vie.

Déposé par colombine67 le 09/07/2016  
Si je suis le (la) premier (ère) à décéder.
Que le deuil n`obscurcisse pas longtemps ton ciel.
Que ton chagrin soit courageux mais discret.
Il y a eu un changement mais pas un départ.
La mort fait partie de la vie.
Et les défunts ne cessent de vivre dans les vivants.
Toutes les richesses cueillies au cours de notre voyage.
Les moments de partage, les mystères explorés ensemble.
Les strates d`intimité sans cesse accumulées.
Ce qui nous a fait rire ou pleurer, ou chanter.
La joie de la neige sous le soleil et l`éclosion du printemps.
Le savoir…
Chacun donnant et chacun recevant.
Autant de fleurs qui ne flétrissent pas.
Pas plus que les arbres ne tombent et ne s`écroulent.
Que même les pierres…
Car même les pierres, ne peuvent résister au vent et à la pluie.
Et avec le temps, même les cimes de la montagne majestueuse.
Sont réduites à du sable.
Ce que nous étions, nous le sommes encore.
Ce que nous avions, nous l`avons encore.
Tout notre passé conjoint demeure impérissablement présent.
Alors, quand tu marcheras dans les bois.
Comme nous l`avons déjà fait ensemble.
Tu chercheras en vain la tache de mon ombre à tes côtés.
Et tu t`arrêteras au sommet de la colline.
Comme nous l`avons toujours fait, pour contempler la plaine.
Et tu remarqueras quelque chose, tout en cherchant.
Comme d`habitude, ma main qui n`est plus là.
Et si tu te sens envahie par le chagrin.
Ne bouge pas, ferme les yeux, écoute mes pas dans ton cœur.
Je ne t`ai pas quitté, je marche tout simplement dans ton cœur !

Déposé par colombine67 le 08/07/2016  

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Déposé par poutounou le 07/07/2016  
Petit poème sur "l'habitude" qui nous aide à poursuivre notre chemin malgré les durs moments de la vie...
*
L'habitude
*
La tranquille habitude aux mains silencieuses
Panse, de jour en jour, nos plus grandes blessures ;
Elle met sur nos coeurs ses bandelettes sûres
Et leur verse sans fin ses huiles oublieuses ;
*
Les plus nobles chagrins, qui voudraient se défendre,
Désireux de durer pour l'amour qu'ils contiennent,
Sentent le besoin cher et dont ils s'entretiennent
Devenir, malgré eux, moins farouche et plus tendre ;
*
Et, chaque jour, les mains endormeuses et douces,
Les insensibles mains de la lente Habitude,
Resserrent un peu plus l'étrange quiétude
Où le mal assoupi se soumet et s'émousse ;
*
Et du même toucher dont elle endort la peine,
Du même frôlement délicat qui repasse
Toujours, elle délustre, elle éteint, elle efface,
Comme un reflet, dans un miroir, sous une haleine,
*
Les gestes, le sourire et le visage même
Dont la présence était divine et meurtrière ;
Ils pâlissent couverts d'une fine poussière ;
La source des regrets devient voilée et blême.
*
A chaque heure apaisant la souffrance amollie,
Otant de leur éclat aux voluptés perdues,
Elle rapproche ainsi de ses mains assidues,
Le passé du présent, et les réconcilie ;
*
La douleur s'amoindrit pour de moindres délices ;
La blessure adoucie et calme se referme ;
Et les hauts désespoirs, qui se voulaient sans terme,
Se sentent lentement changés en cicatrices ;
*
Et celui qui chérit sa sombre inquiétude.
Qui verserait des pleurs sur sa douleur dissoute,
Plus que tous les tourments et les cris vous redoute,
Silencieuses mains de la lente Habitude.
*
Auguste ANGELLIER (1848-1911)

Déposé par colombine67 le 07/07/2016  
Comme des milliers de chiens abattus pour leur viande en Chine, Tiger était destiné à être mangé. Mais sa bonne étoile en a décidé autrement.
Dans les rues de Beijing (Pékin), une jeune femme chinoise passait tous les jours devant un chien enfermé dans une cage beaucoup trop petite pour lui. Une triste banalité, qui a toutefois fini par l’interpeller. Elle demanda au vendeur ce qu’il adviendrait de ce chien. Et l’homme de lui répondre qu’il serait envoyé à l’abattoir. Sans plus tarder, la jeune femme décida d’acheter le chien pour le sauver.
Dans sa nouvelle maison, ce beau Berger allemand s’avéra un merveilleux chien de compagnie. Il s’entendait particulièrement bien avec les enfants. Un nom lui fut donné : Tiger. Mais sa sauveuse ne pouvant le garder, elle se promit de trouver des adoptants pour ce merveilleux chien.
Une famille américaine
Lorsque la famille s’envola pour San Francisco, Tiger fut de la partie. Pris en charge par l’association Duo Duo Project, qui vient en aide aux chiens sauvés de l’abattage en Chine, il fut proposé à l’adoption. C’est là que son chemin croisa celui de Jenny Sehic.
Auparavant, cette américaine avait eu l’occasion de voyager en Chine, et elle avait vu les camions pleins de chiens entassés dans des cages minuscules qui étaient conduits à l’abattoir. « J’ai commencé à suivre Duo Duo Project sur les réseaux sociaux pour mieux comprendre ce commerce de la viande de chien et chat, et ce que nous, en tant qu’Américains, pourrions faire pour arrêter cette pratique », a expliqué Jenny Sehic à The Dodo.
Alors qu’elle cherchait un chien à adopter provenant de Chine, la jeune femme a découvert la photo de Tiger. « Nous avons su immédiatement que nous avions trouvé notre chien », se souvient-elle.
Une amie pour la vie
Lorsque Tiger est arrivé dans sa nouvelle maison, « il avait l’air d’un vieux chien tant il était maigre et sans muscles. Il était recroquevillé, et sur son dos, il y avait encore la cicatrice du haut de la cage qui était clairement trop petite pour lui ». Timide et anxieux au début, Tiger a rapidement trouvé en Sloane, 3 ans, une alliée et une meilleure amie pour la vie.
Amoureuse des animaux, la petite fille de la famille est vite devenue une partenaire de jeu idéale pour le jeune Tiger. Les deux acolytes grandissent désormais ensemble, loin de la tragédie qui frappe des milliers de chiens et chats en Chine. Rappelons que le seul festival de Yulin, qui a commencé le 21 juin, cause la mort de 40 000 chiens et 10 000 chats chaque année.

Déposé par colombine67 le 05/07/2016  
Il suffit simplement d’observer nos chiens ou les animaux en général pour nous rappeler ces leçons de vie que nous, les humains, avons oublié dans notre société de course à la consommation, d’égocentrisme et de perte de ces valeurs fondamentales qui pourtant, nous permettraient de vivre plus en harmonie les uns avec les autres.
Nous vous parlons très régulièrement, et à travers de belles histoires, de ces leçons de vie exemplaires que nous enseignent nos chiens. Dans cet article, nous avons choisi de vous énoncer six d’entres elles, illustrées d’histoires émouvantes que nous vous avons narré sur Guide du Chien :
1. La fidélité
Depuis les débuts de la civilisation, le chien a toujours incarné un véritable symbole de fidélité et un exemple de celle-ci pour l’humanité. Le chien est le meilleur ami de l’homme, son plus fidèle compagnon, qui ne lui fait jamais défaut.
Le chien est prêt à donner sa vie pour défendre celle de son maître comme en témoignent les histoires de Chako et  Lefty, ces deux magnifiques Pit Bulls qui ont risqué leur vie pour sauver celle de leur maître.
Mais pour aller encore plus loin et prouver encore cette incroyable fidélité de nos amis à quatre pattes, certains chiens ont même dédié le reste de leur vie à veiller sur la tombe de leur maître défunt. Pour preuve, nous vous avons raconté l’histoire de Bobby qui est resté sur la tombe de son maître pendant 14 ans ou encore Coly qui veillé la tombe de son maître pendant 9 ans.
2. Le pardon
Combien de chiens ont été lâchement battus, maltraités et abandonnés par des maîtres odieux ? Hélas il est impossible de compter tant il y en a.
Mais nos chiens ont cette incroyable faculté à pardonner leur bourreau, le responsable de leurs plus grands maux sur cette terre : l’être humain.
Les chiens font preuve d’une incroyable clémence à notre égard et malgré toutes leurs souffrances, sont capables de nous ouvrir à nouveau leur cœur et placer toute leur confiance en nous.
Ces chiens sont nombreux à attendre dans les refuges et sauront bien vous le rendre, croyez-moi… Les histoires de Gideon et Cadence en sont de parfaits exemples.
3. L’amour inconditionnel
Les chiens nous aiment de tout leur cœur et nous le montrent chaque jour que nous passons à leurs cotés. Votre chien vous a-t-il un jour fait défaut lorsque vous êtes rentré à la maison après une longue journée de travail ?
Vous a-t-il un jour boudé parce que la veille vous ne vous êtes pas promené assez longtemps avec lui ? Ou alors un jour lorsque vous vous êtes emporté et l’avez grondé excessivement et à tord ?
Certainement que non, ou alors votre chien peut souffrir d’un grave problème médical et il faut consulter un vétérinaire très rapidement.
Quelles que soient les circonstances de la vie, heureuses ou malheureuses, votre chien éprouvera et vous montrera un amour inconditionnel et sans faille. Notre article sur les 20 plus belles citations canines contemporaines illustre parfaitement cet amour absolu.
4. L’altruisme
Votre chien n’est pas votre plus fidèle ami par intérêt, parce que vous le nourrissez chaque jour et lui apportez un confort matériel. Non, votre chien vous aime du plus profond de son être parce qu’il a de profonds sentiments pour vous et ce, de façon complètement désintéressée.
Si vous devriez vivre demain (ou plutôt survivre) dans la rue et que vous éprouviez les pires difficultés financières et matérielles, votre chien sera toujours à vos cotés pour vous apporter le réconfort nécessaire et vous donner ce sourire qui s’esquisse à la simple vue de son regard et de sa queue qui remue.
Votre chien sera toujours à vos cotés, peu importe que vous soyez riche ou pauvre, notable ou ouvrier, triste ou heureux.
5. Aider ou sauver son prochain
L’être humain est de plus en plus égoïste. Nos sociétés à priori « civilisées », à travers les médias et les politiques, nous véhiculent peur et méfiance de « l’étranger » au sens le plus large du terme (un voisin, un passant ou simplement quelqu’un qui ne nous « ressemble » pas).
J’ai le souvenir marquant d’une étude qui mettait en situation une personne qui simulait un malaise dans la rue et qui avait pour but de mesurer le nombre de personnes qui s’arrêteraient pour lui prêter secours. Les résultats ont été sidérants : les trois quarts des personnes ne s’arrêtaient pas et pire, changeaient de trottoir à la vue de l’acteur étendu sur le sol, qui pourtant simulait à la perfection un malaise nécessitant un secours d’urgence.
À notre différence, les chiens se portent au secours de n’importe quelle personne ou animal en danger, inconnue ou non, et en faisant preuve d’un grand courage. Nous vous avons relaté l’histoire de ces chiens errants sauvant une jeune fille en proie à un prédateur sexuel ou encore l’histoire de cette conductrice gravement blessée et qui doit le vie à un chien abandonné.
6. L’esprit de famille
Ou si je puis me permettre « l’esprit de meute » pour faire un parallèle logique avec nos amis les chiens. Combien de nos aînés sont abandonnés dans des maisons de retraite dans des conditions parfois exécrables, recevant une visite par mois tout au plus de leurs enfants ou leur proche famille ? Dans leur plus grande sagesse, nos parents âgés, nos grand-mères et grand-pères nous ont porté, soutenu et jamais abandonné.
Pourtant combien de ces pensionnaires contraints malgré eux dans la solitude des ces maisons de retraite meurent dans le plus grand anonymat pour des pseudos « querelles de familles » ou à cause de l’indifférence de leur proches ?
Nos chiens nous montrent quant à eux un tout autre exemple du respect des « anciens » et des malades également
Pour illustrer cela, nous pouvons simplement prendre l’exemple de chiens qui vivent à l’état sauvage ou des nombreux chiens errants qui peuplent certaines de nos villes. Ces chiens font tout pour leurs semblables, vieux ou malades, quitte à risquer leur vie pour sauver l’un des leurs. Nous vous en parlions lors de notre article sur l’exceptionnel sauvetage d’un chien errant par l’un de ses congénères également abandonné, alors qu’il s’était fait percuté par un camion.
Pour conclure
Nous avons vu dans cet article 6 leçons de vie que nous enseignent les chiens au quotidien et dans leur plus grande authenticité. Bien entendu il en existe encore beaucoup d’autres telles que le courage, la compassion ou encore la sincérité pour ne prendre que trois exemples supplémentaires. N’hésitez pas à enrichir l’article par vos commentaires plus-bas et nous parlez de vos expériences sur le sujet.
Nous conclurons cet article par une citation d’Alphonse Lamartine (poète français, 1790-1869) :
« Partout où il y a un malheureux, Dieu envoie un chien. »

Déposé par poutounou le 03/07/2016  
Il y a des jours comme ça…
*
Il y a des jours comme ça,
Des jours où ça ne va pas.
Des jours où on aimerait
Serrer notre Ange contre soi.
Lui murmurer des mots doux,
Lui faire des câlinous tout partout
Il y a des jours comme ça…
Depuis qu’il n’est plus là.

Déposé par colombine67 le 03/07/2016  
Un chien reste aux côtés de son maître, que celui-ci soit riche ou pauvre, en bonne santé ou malade, pourvu qu'il soit auprès de lui.
Il dormira sur le sol froid quand les vents glacials souffleront et que la neige tombera avec force.
Il embrassera la main qui n'a pas de nourriture à lui offrir, léchera les plaies et les blessures causées par la rudesse de ce monde.
Il veillera sur le sommeil d'un pauvre comme si ce dernier était un prince.
Quand les ami(es) font défaut, le chien LUI reste fidèle. Lorsque la richesse s'envole et que la réputation s'effrite, son amour demeure aussi immuable que la trajectoire du soleil à travers le ciel.
Si le sort fait de son maître un proscrit en ce monde, sans ami(es) ni maison, il ne demande pas de plus grand privilège que celui de l'accompagner pour le protéger et se battre contre ses ennemis.
Et quand vient le dernier moment, que la mort étreint son maître et que le corps de celui-ci est abandonné dans la terre froide, peu importe si tous les amis poursuivent leur route, on trouvera le noble chien là, sur la tombe, la tête entre ses pattes, les yeux tristes mais vigilants, fidèle et loyal jusque dans la mort !!!!

Déposé par colombine67 le 01/07/2016  
Hier auprès de son maître, aujourd'hui seul et perdu.
Hier protégé et soigné, aujourd'hui en danger.
Hier aimé, aujourd'hui oublié et délaissé...
Un animal ne pleure pas ... il souffre en silence !

Déposé par Galiama le 30/06/2016  
Nous devions nous aimer, c'était écrit là-haut...
Les âmes sœurs finissent par se trouver quand
elles savent attendre...
Théophile GAUTIER

Déposé par colombine67 le 30/06/2016  
DEMAIN MATIN, JE VAIS MOURIR….
Demain matin je vais mourir, car je suis un chien classé deuxième catégorie.
Je suis un Rottweiler, et pour moi il n’y a pas de pitié, je dois payer de ma vie.
A l’aube de mes trois ans, je suis en pleine forme, et je ne demande qu’à jouer,
Je suis docile, doux, gentil, je ne comprends pas la loi des hommes qui m’a jugé.
Je n’ai pas connu mes parents ; tout petit j’étais chez un marchand qui m’a vendu
Comme mes sœurs et frères, dans les sous-sols d’une cité, que je n’ai jamais vue.
Dans un appartement je fus alors gardé, au milieu des enfants venant me taquiner,
S’amusant avec moi, tout en se chamaillant, pour savoir qui pourrait me caresser.
Quelques mois sont passés, dans cette famille j’ai vécu des jours de grand bonheur,
Je mangeais bien, je promenais toutes les nuits, et ça durait une, deux ou trois heures.
C’est au parc qu’on m’emmenait, je pouvais gambader et même aller jusqu’à l’étang,
J’étais heureux, j’en profitais pour me baigner, et revenais me secouer prés des enfants.
Je croisais quelques congénères, qui comme moi se promenaient, et tout se passait bien.
Quelques chats aussi croisaient mon chemin, ils me narguaient parfois, je ne disais rien,
Car j’entendais mon Chef, le plus vieux des enfants, celui qui devait avoir dix huit ans,
Me dire : « pas bouger », « sage », et je savais que lui obéir était nécessaire et prudent.
Alors pourquoi beaucoup de gens me regardaient d’un air bizarre, ou même interrogateur.
Ils me donnaient l’impression de se méfier de moi, cherchant à m’éviter, ils avaient peur.
J’avais remarqué, les mamans serraient de beaucoup plus prés, protégeant leurs enfants.
Pourtant, leurs petites mains se tendaient vers moi, leurs yeux pétillaient en me voyant.
Et ce soir fatidique, du début de juillet, en rentrant au quartier, j’ai vu surgir trois ombres,
Et j’entendrais toujours : « halte, Police ! » Il en arriva d’autres, je ne sais plus le nombre,
Mais tous autour de nous, menaçants de leurs armes, disant : « s’il nous mord on le plombe »
Ils étaient là pour moi, en mission très spéciale, commençant ici pour finir… dans ma tombe.
Mon jeune maître du s’expliquer, je fus mis en laisse et muselé, puis enfermé dans une cage,
Pendant que ces messieurs de la police, constataient que j’étais illégal, ni papiers ni tatouage.
Alors à la fourrière on m’emmena, ou sans ménagement on me jeta dans un bien triste chenil,
Ou finissent beaucoup de chiens errants, qui sont retrouvés aux environs ou au centre ville.
A partir de cet instant, j’étais condamné, victime innocente d’une loi aussi bête qu’injuste,
Un peu du même genre que celle que l’on voudrait prendre en ce moment pour les « putes ».
Il est vrai, j’étais « sans papiers », mais je n’en veux pas à ma famille, ils n’en ont jamais eu,
Vivant dans un ghetto depuis dix ans, j’étais le cadeau des enfants qu’ils ne reverront plus.
Bien sur et je le sais, certains chiens de ma race ont commis des forfaits, même des drames,
Souvent rendus méchants par des Maîtres infâmes, ils ont mordu enfants, messieurs ou dames.
Mais moi je suis gentil, doux et caressant, je n’ai jamais mordu ni grogné, et je dois partir,
Laissant tous seuls ces enfants qui m’adorent, qui ne comprennent pas pourquoi je dois mourir.
La société humaine ainsi a décidé, qu’être un Rottweiler en famille immigrée, sans papiers,
Etait un acte grave, passible de la mort, sans autre alternative et surtout sans procès, ni pitié.
Soyez bien surs que s’ils osaient, ils ne se contenteraient pas d’euthanasier seulement le chien,
Mais pour l’instant la vie humaine, heureusement vaut bien plus cher, et c’est ce qui les retient.
Texte de : Gilbert DUMAS

Déposé par poutounou le 29/06/2016  
Un joli bouquet de roses de toutes les couleurs pour chaque Ange du Paradis blanc….
*
LA ROSE
*
Rose !!! J'aime tellement ton parfum, le matin
Quand tu te lèves, mouillée dans ta robe de satin
Toute belle tu t'es épanouie dans ton jardin
J'ai du plaisir à te voir et du mal à croire
Comme tu es belle, quand je te regarde
J'ai cultivé un jardin et me suis fait un bouquet
De roses pour moi, une blanche pour l'amitié
Une jaune pour le sourire, une rose pour la tendresse
Une rouge pour l'amour.
Mais ma plus belle rose c'est toi mon amour
*
- Candy -

Déposé par colombine67 le 29/06/2016  
Certains sont dans un jardin
Parfois au bout d'une chaîne
Et servent de gardiens
Certains sont là pour faire bien
Et les voir en manque d'amour fait de la peine
Lorsque l'on vit tous les jours avec son chien
Il devient notre double autant que notre gamin
Notre psy autant que notre frangin
Notre bouillote autant que notre copain
Nos oreilles autant que notre ange-gardien
Et le voir tous les jours épanoui et sain
Fait notre bonheur au quotidien

Déposé par colombine67 le 28/06/2016  
Le BÂTARD et le CLOCHARD.
Je suis un beau « bâtard » qui fête ses deux ans,
Et je vis dans la rue depuis pas mal de temps.
Je n’ai pas choisi, tout petit il m’a pris à ma mère,
Et depuis, je suis là, le compagnon de sa misère.
Tous les jours, tous les deux, on fait la manche,
Du matin du lundi, jusqu’au soir du Dimanche.
C’est pour quelques Euros, car il faut bien manger,
Un peu pour lui, beaucoup pour moi, faut l’avouer.
Toujours poli, toujours gentil, au coin de ce trottoir,
Nous venons tard le matin, et repartons tôt le soir.
Elle est longue l’attente, aux pieds de tous ces gens,
Qui jettent un dur regard, à ces gueux, ces mendiants.
Il me tient dans ses bras, tendrement il me caresse,
Baissant les yeux, honteux, devant tant de détresse,
Condamnés que nous sommes à vivre de la quête,
Nous savons que pour nous ce n’est jamais la fête.
Nous sommes heureux pourtant, nous nous aimons,
D’un Amour sain, d’un Amour pur, de la passion.
Nous ne possédons rien, et ne sommes pas jaloux
De voir ce qui se passe, ici, partout autour de nous.
Il est un homme, je suis un chien, drôle de couple,
Mais nous partageons tout, et la vie est plus souple,
Que pour ceux qui pensent au succès, et à la réussite,
Prêts à se battre ou se haïr… pour réussir plus vite.
Alors, gens de bonnes manières, responsables civils,
Qui faites les beaux jours des villages et des villes,
N’enlevez jamais à cet homme, nommé « Le Clochard »,
Ce vilain chien, son seul Ami, bien qu’il fût un «bâtard».

Déposé par colombine67 le 27/06/2016  
Le chien apporte une véritable dimension affective dans sa relation avec l’homme, de l’enfance au grand âge. Les bénéfices de la présence d’un chien sur l’être humain ne sont plus à démontrer. Chez l’enfant, on note une influence sur son développement mental et psychologique, et chez l’adulte et la personne âgée, sur le plan psychologique et physiologique.
Pour les enfants
Pour l’enfant, le chien, ou le chiot, est non seulement un compagnon de jeu, mais également un ami et un confident. Il apporte un sentiment de sécurité et de réconfort. Avec un chien à ses côtés, votre enfant comprendra mieux ce que signifient l’obéissance, l’autonomie et, de manière générale, tout ce qui concourt à son épanouissement social. Il appréhendera également la douleur.
Un modèle d’éducation pour votre enfant
Pour les adultes
Chez l’adulte, les bienfaits de la compagnie d’un chien sont multiples, notamment pour sa santé au quotidien: exercice physique, baisse de la tension et du rythme cardiaque. Il a été démontré que les problèmes de santé mineurs chez les propriétaires de chiens sont réduits de moitié. Un simple exemple: promener son chien chaque jour réduirait le nombre de fractures du col du fémur chez la personne âgée.
Pour les personnes âgées
Les établissements médicalisés pour personnes âgées sont de plus en plus nombreux à laisser entrer les animaux de compagnie dans leurs murs. Et pas seulement pour les bienfaits de leur compagnie. Certains chiens sont formés pour faciliter l’accompagnement des personnes en fauteuil roulant et participent à des programmes thérapeutiques comme, par exemple, dans le traitement de la maladie d’Alzheimer. Il s’avère en effet que la présence d’un chien participe à l’éveil du patient et déclenche ainsi des réactions positives.

Déposé par Biscuit le 26/06/2016  

Mes larmes qui couleront lentement à jamais.
Avec toi j'ai connu le sens du bonheur.
Je me répète et le répète.
Je vois et regarde souvent ces endroits ou nous étions toi et moi.
Je me souviens comme si c’était hier sensation indicible.
A mon âme.
tu as apporté un Grand Bonheur.
et beaucoup de lumière dans ma vie.
A chaque fois je pense à toi et je pleure.
C’est comme ça ...
Je ne le montre pas au autres. Je ne le dit pas.
Mais je triche.
Tu me manque.
A jamais tu as marqué mon existence mon coeur.
Tu me Manque Mon P’tit Ange d'amour...Tellement...
D’un chagrin si intense




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Les promenades
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tu adorais aller a la plage mais tu n as jamais voulu te baigner
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