En hommage à

Billy
2001 / 2015


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En hommage à
Billy
BORDER-COLLIE
Il est né le:25/09/2001
Il nous a quittés le:29/05/2015
 


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En hommage à Billy

Au revoir mon Bébé d'Amour - tu me manques tellement
...
29/05/2015

Mon beau Billy ma peine est immense. La maladie t'a rattrapé pourtant tu t'es battu jusqu'au bout je sais que tu ne voulais pas me quitter depuis ce mois de juillet 2009 ou je t'ai vu pour la première fois abandonné et malade. Je souhaite que tu sois heureux dans cette autre dimension ou tu te trouves et surtout attends moi bien sagement tu sais qu'un jour nous serons de nouveau réunis toi et moi. Je t envoie mille gros câlins et autant de bisous mon bébé d'amour a qui je pense jour et nuit.





J espère qu il existe un au delà ou je pourrai te retrouver. Qui peut me le dire.je sais aussi que l on ne peut jamais faire son deuil car l absence d un être aimé est insupportable.
Gros bisous sur ta belle truffe mon bel ange.
Je t aime pour l éternité.

29 mai 2023
Huit ans aujourd'hui que tu es parti rejoindre les étoiles mon ange et pourtant il ne s est pas passé un seul jour ni une seule nuit sans que je ne pense à toi. Ton départ précipité m est toujours aussi insupportable.

Puissions nous tôt ou tard nous retrouver.
Je t aime pour l éternité




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2140 messages

Déposé par BILLY2B le 31/07/2015  
Ma petite lumière qui brille dans la nuit mon espérance le je ne sais quoi qui fait que j allais bien mon ange mon Billy tout s est enfuit avec toi il ne me reste que l absence . Je voudrais me réveiller de ce mauvais rêve mon bébé d amour tu me manques a l infini

Déposé par colombine67 le 30/07/2015  
Toi dont la voix s’entend dans le souffle de la brise,
Toi dont l’haleine donne vie au monde,
Nous avons besoin de ta force et de ta sagesse.
Fais que nous marchions dans ta beauté,
Que jamais nos yeux ne se lassent de contempler
les ors et les pourpres du soleil couchant.
Aide-nous à lire les messages que tu as cachés dans les feuilles et les rochers.
Rends-nous sages, afin que nous saisissions ce que tu nous as enseigné.
Fais que nous soyons toujours prêts à venir à toi
les mains propres et le regard clair.
Ainsi quand la vie s’éteindra comme s’éteint le couchant,
sans honte, nos esprits pourront venir à toi.
Transforme nos cœurs afin que nous n’enlevions jamais
à la beauté de ta création plus que nous ne lui donnons.
Apprend-nous à ne jamais rien détruire à la légère
pour satisfaire notre avidité, à ne jamais oublier de prêter nos mains
pour édifier la beauté de la terre ;
à ne jamais prendre ce dont nous n’avons pas besoin.
Rends-nous capables de comprendre que détruire la musique de la terre,
c’est créer la confusion, ruiner son apparence,
et nous rendre aveugles à la beauté.
Polluer son doux parfum par notre insouciance,
c’est en faire une maison de puanteur.
Mais si nous prenons soin d’elle, la terre prendra soin de nous.
(prière amérindienne)

Déposé par rafia le 29/07/2015  
Parce que notre souffrance est la même...lorsque notre Amour/Canin.....nos Amours /Canins..ns quitte//ent
Il est des faits et des images qui restent gravées à jamais
Ds ma mémoire, comme un album souvenirs, ils sont stockés.
Certains évoquent des moments tendres,
Si joyeux qu'ils me font fondre.
Mais dans les moments d'infinie tristesse
C'est l'absence qui blesse;
Les souvenirs accumulés au fil des ans
Me font tjrs souffrir autant.
Ma douleur je voudrais l'assimiler,
Mais toutes vos absences me font pleurer,
Lorsque je feuillette le livre de ma vie
Seule, quand vient la nuit.
Je me surprends à rêver,
Ts mes souvenirs déambulent ds mes pensées.
Je ne peux que constater
Mes amours/westies combien vs me manquez.
Je n'ai que des moments de bonheur
Ds toute leur splendeur,
Je peux encore ressentir toute la joie
Que vs ns donniez autrefois.
Mais la douleur atroce dégaine
Pendant que nos souvenirs j'égrène,
Le bonheur s'est éteint
Avec vos départs, il a pris fin.
Il y a aussi les moments d'accalmie
Qui adoucissent ma vie,
C'est un peu comme les nuages
Qui avant l'orage, passent.
Avec vs j'ai écrit
Les plus belles pages de ma vie,
Il faisait si bon vivre
Je pourrais en écrire tout un livre.
Je sais que d'autres épreuves m'attendent,
La vie n'est jamais tendre
Mais peut-être qu'un peu de bonheur
Dans l'avenir mettra de la couleur.

Déposé par poutounou le 29/07/2015  
Une très belle histoire avec une belle fin comme on les aime…
*
A la Réunion, un chien s'évade du chenil de la SPA et fait 10 km pour retrouver son frère!
*
Le comportement des animaux n'a pas fini de nous surprendre.
*
Christian, en adoptant Atchy à la SPA de Sainte-Marie, était loin d'imaginer qu'il allait en fait adopter aussi le frère de l'animal. "En adoptant ce chien, j'avais remarqué un autre chien qui avait l'air triste. En fait, c'était son frère", explique-t-il.
*
Ne souhaitant adopter qu'un seul chien, Christian emmène Atchy chez lui.
*
Quinze jours plus tard, Atchy s'est parfaitement habitué à son nouveau domicile. "C'est un chien très gentil", indique Marie-Lina, l'épouse de Christian.
*
Jeudi dernier, Marie Lina remarque un chien au rond-point de la Rivière des Pluies. "Je ne pouvais savoir qu'il s'agissait en fait du frère d'Atchy", affirme Marie-Lina, laissant transparaître son émotion.
*
Dimanche dernier, toute la famille est surprise de voir Atchy aboyer pendant un long moment après un autre chien au portail. "Ils ont longtemps aboyé et j'ai fini par ouvrir le portail", raconte Christian. "Quand l'autre chien est entré, il s'est mis tout de suite à jouer avec Atchy. J'en ai eu des frissons à cause de l'émotion qui est monté à cet instant. Le lendemain, lorsque j'ai appelé la SPA, ils m'ont expliqué que ce deuxième chien était le frère d'Atchy et qu'il s'était échappé depuis plusieurs jours, sûrement parce que son frère lui manquait trop".
*
Appelé Rex, le frère d'Atchy est encore un peu maigre à cause de son périple de plusieurs jours pour effectuer les 10 km qui séparent le chenil de la SPA de la maison de Christian et Marie-Lina . Depuis, les deux chiens ne se quittent plus et ils ont droit chaque soir à une petite balade dans le quartier de Beauséjour.
*
Aujourd'hui, Christian et Marie-Lina s'interrogent. Comment Rex a-t-il fait pour retrouver la maison où Atchy avait été emmené ? S'est-il servi de son odorat pour y arriver ? Ou est-ce que ce sont plutôt les aboiements d'Atchy qui étaient audibles à 10km de distance et qui ont guidé Rex jusqu'à Beauséjour ? Une bien belle histoire en tous les cas...

Déposé par choupinou le 29/07/2015  
"La légende du pont de l’arc en ciel"
"Il y a là-bas un pont qui connecte le ciel et la terre, on l'appelle le Pont de l'Arc-en-ciel"
Dans cette partie du Paradis existe un endroit nommé Pont de l'Arc-en-ciel.
Lorsque meurt un animal de compagnie, il se rend dans ce pays qui connecte le Ciel avec la Terre.
On y retrouve là-bas, prairies ondoyantes, paisibles collines et vallées luxuriantes et tous les amis à quatre pattes qui y sont réunis peuvent y courir et s'amuser ensemble.
Ils peuvent enfin y creuser tous les trous qu'ils désirent, courir dans de jolies plates-bandes, se rouler dans de généreux marais, bref toutes les interdictions terrestres n'y font plus loi.
Dans cette contrée lointaine abonde eau, nourriture et soleil, et tous nos amis y sont confortables et bien au chaud, à moins que l'on ne décide d'aller courir un peu dans les hautes montagnes coiffées de neiges éternelles.
Ceux qui étaient malades ou trop vieux ont recouvré ici santé et vigueur; ceux qui étaient blessés ou infirmes sont devenus sains et forts, ceux qui étaient abandonnés, négligés ou maltraités ont enfin trouvé chaleur et réconfort.
Les animaux sont heureux et en paix, mais pour un grand nombre d'entre eux, il manque quelque chose de précieux à leur cœur.
Ils ont perdu quelqu'un de très spécial qu'ils aimeraient tellement avoir de nouveau à leurs côtés.
Des jours de bonheur se coulent donc doucement dans d'interminables jeux et courses folles à l'intérieur de cette grande meute pacifique.
Mais un jour, arrivera le temps ou l'un d'eux s'arrêtera soudainement, tous ses sens se tiendront aux aguets.
Ses yeux perçants miroiteront de mille feux, ses oreilles attentives se dresseront tels des miradors, son corps frénétique palpitera de toutes parts.
L'élu commencera à courir hors du groupe, volant au-dessus des verts pâturages, traversant les larges rivières, ses pattes le portant de plus en plus vite, de plus en plus haut.
Ça y est, vous le voyez courir vers vous dans ce point de lumière au bout du tunnel... en toute fidélité votre chien vous a repéré entre tous et il est venu à cette ultime rencontre.
Vous souriez !
Enfin, vous vous retrouvez ensemble, ses joyeux bisous d'antan pleuvant de partout sur votre visage, vos mains pouvant à nouveau caresser son cou, son flanc, sa tête, vous pouvez enfin plonger votre regard dans les yeux confiants et aimants de votre chien.
Plus rien ne pourra dorénavant vous séparer, vous serez à jamais réunis.
Ainsi vous traverserez ensemble le Pont de l'Arc-en-ciel..."

Déposé par colombine67 le 29/07/2015  
LE CONTE DE GRAND-PAPA QUI N'AIMAIT PAS LES GÂTEAUX
Il était une fois un vieux grand-père qui assistait au repas de mariage de sa dernière petite-fille. Il était heureux, serein, apaisé devant le merveilleux spectacle de toute sa famille réunie. Leur joie, leur bonheur à tous l'entouraient d'une émotion tendre.
Comme elle était belle, sa petite-fille dans une éblouissante robe blanche ! Elle riait de bon cœur en découpant avec son jeune époux la somptueuse pièce montée toute scintillante de caramel blond et de dragées roses.
- Servez-vous tous et faites passer à vos voisins de table, disait-elle en déposant les choux tout rebondis de crème sur les assiettes chaudes.
Quand la petite-fille passa l'assiette à son grand-père :
- Tiens, Pépé Paco ! prends donc du gâteau !
- Mais non ! fais passer le plat, l'interrompit sa mère, toujours attentive, tu sais que Pépé n'aime pas les gâteaux.
Il y eut un instant de silence et l'on entendit soudain la voix joyeuse du grand-père :
- Mais oui ! j'aime les gâteaux. Tiens, je vais prendre ce beau chou-là.
Regard stupéfait de sa fille.
- Comment ça, tu aimes les gâteaux ? Mais tu n'as jamais aimé les gâteaux ! Moi ta fille, j'ai cinquante ans et je ne t'ai jamais vu manger un gâteau de toute ma vie...
- De ta vie à toi, ma fille, oui…Mais pas de la mienne ! C'est que je les aime, les gâteaux ! J'ai toujours aimé les gâteaux… Seulement, nous étions si pauvres quand vous étiez petits avec tes sœurs et ton frère, tu le sais bien…Des gâteaux, votre mère ne pouvait en acheter qu'une fois de temps en temps, et encore seulement les dimanches de fête… Elle en prenait un pour chacun, c'est sûr, mais moi, quand je voyais tes yeux à toi, ma toute petite, quand tu venais t'asseoir sur mes genoux et que tu dévorais ton gâteau avec tant de plaisir, mon plaisir à moi, tu vois, c'était de te regarder manger mon gâteau que je te donnais si volontiers. Et j'ajoutais toujours pour que ton plaisir soit complet : " Mange ma petite petitounet, va !…moi je n'aime pas les gâteaux : "
Le grand-père en disant cela souriait tendrement, dodelinant doucement de la tête. Il dit encore en riant franchement :
- Tiens, ma fille, aujourd'hui c'est fête, donne-moi aussi celui qui reste sur le plat, là… D'ailleurs il va finir par tomber si tu continues à trembler comme ça ! Tu as froid ou c'est l'émotion de marier ta fille ?
Il arrive quelquefois que les cadeaux d'amour mettent de longues années avant d'être reconnus comme tels. Il suffit parfois d'un moment de tendresse, qui vient se poser sur un souvenir avec la délicatesse d'un pétale de fleur pour qu'ils se révèlent au grand jour.

Déposé par rafia le 28/07/2015  
La nuit n’est jamais complète.
Il y a toujours, puisque je le dis,
Puisque je l’affirme,
Au bout du chagrin
Une fenêtre ouverte,
Une fenêtre éclairée,
Il y a toujours un rêve qui veille,
Désir à combler, Faim à satisfaire,
Un cœur généreux,
Une main tendue, une main ouverte,
Des yeux attentifs,
Une vie, la vie à se partager.
La nuit n’est jamais complète. Paul Eluard

Déposé par colombine67 le 28/07/2015  
Un Roi avait pour fils unique un jeune Prince courageux, habile et intelligent. Pour parfaire son apprentissage de la Vie, il l'envoya auprès d'un Vieux Sage.
- Eclaire-moi sur le Sentier de la Vie, demanda le Prince.
- Mes paroles s'évanouiront comme les traces de tes pas dans le sable, répondit le Sage. Cependant je veux bien te donner quelques indications. Sur ta route, tu trouveras 3 portes. Lis les préceptes indiqués sur chacune d'entre elles. Un besoin irrésistible te poussera à les suivre. Ne cherche pas à t'en détourner, car tu serais condamné à revivre sans cesse ce que tu aurais fui. Je ne puis t'en dire plus. Tu dois éprouver tout cela dans ton coeur et dans ta chair. Va, maintenant. Suis cette route, droit devant toi.
Le Vieux Sage disparut et le Prince s'engagea sur le Chemin de la Vie.
Il se trouva bientôt face à une grande porte sur laquelle on pouvait lire
CHANGE LE MONDE
« C'était bien là mon intention, pensa le Prince, car si certaines choses me plaisent dans ce monde, d'autres ne me conviennent pas» et il entama son premier combat. Son idéal, sa fougue et sa vigueur le poussèrent à se confronter au monde, à entreprendre, à conquérir, à modeler la réalité selon son désir. Il y trouva le plaisir et l'ivresse du conquérant, mais pas l'apaisement du coeur. Il réussit à changer certaines choses mais beaucoup d'autres lui résistèrent.
Bien des années passèrent.
Un jour il rencontra le Vieux Sage qui lui demande :
- Qu'as-tu appris sur le chemin ?
- J'ai appris, répondit le Prince, à discerner ce qui est en mon pouvoir et ce qui m'échappe, ce qui dépend de moi et ce qui n'en dépend pas.
- C'est bien, dit le Vieil Homme. Utilise tes forces pour agir sur ce qui est en ton pouvoir. Oublie ce qui échappe à ton emprise.
Et il disparut.
Peu après, le Prince se trouva face à une seconde porte. On pouvait y lire
CHANGE LES AUTRES
« C'était bien là mon intention, pensa-t-il. Les autres sont source de plaisir, de joie et de satisfaction mais aussi de douleur, d'amertume et de frustration.» et il s'insurgea contre tout ce qui pouvait le déranger ou lui déplaire chez ses semblables. Il chercha à infléchir leur caractère et à extirper leurs défauts. Ce fut là son deuxième combat.
Bien des années passèrent.
Un jour, alors qu'il méditait sur l'utilité de ses tentatives de changer les autres, il croisa le Vieux Sage qui lui demanda :
- Qu'as-tu appris sur le chemin ?
- J'ai appris, répondit le Prince, que les autres ne sont pas la cause ou la source de mes joies et de mes peines, de mes satisfactions et de mes déboires. Ils n'en sont que le révélateur ou l'occasion. C'est en moi que prennent racine toutes ces choses.
- Tu as raison, dit le Sage. Par ce qu'ils réveillent en toi, les autres te révèlent à toi-même. Soit reconnaissant envers ceux qui font vibrer en toi joie et plaisir. Mais sois-le aussi envers ceux qui font naître en toi souffrance ou frustration, car à travers eux la Vie t'enseigne ce qui te reste à apprendre et le chemin que tu dois encore parcourir.
Et le Vieil Homme disparut.
Peu après, le Prince arriva devant une porte où figuraient ces mots
CHANGE-TOI TOI-MEME
« Si je suis moi-même la cause de mes problèmes, c'est bien ce qui me reste à faire» se dit-il. Et il entama son 3ème combat. Il chercha à infléchir son caractère, à combattre ses imperfections, à supprimer ses défauts, à changer tout ce qui ne lui plaisait pas en lui, tout ce qui ne correspondait pas à son idéal. Après bien des années de ce combat où il connut quelque succès mais aussi des échecs et des résistances, le Prince rencontra le Sage qui lui
demanda :
- Qu'as-tu appris sur le chemin ?
- J'ai appris, répondit le Prince, qu'il y a en nous des choses qu'on peut améliorer, d'autres qui nous résistent et qu'on n'arrive pas à briser.
- C'est bien, dit le Sage.
- Oui, poursuivit le Prince, mais je commence à être las de ma battre contre tout, contre tous, contre moi-même. Cela ne finira-t-il jamais ? Quand trouverai-je le repos ? J'ai envie de cesser le combat, de renoncer, de tout abandonner, de lâcher prise.
- C'est justement ton prochain apprentissage, dit le Vieux Sage. Mais avant d'aller plus loin, retourne-toi et contemple le chemin parcouru.
Et il disparut.
Regardant en arrière, le Prince vit dans le lointain la 3ème porte et s'aperçut qu'elle portait sur sa face arrière une inscription qui disait
ACCEPTE-TOI TOI-MEME
Le Prince s'étonna de ne point avoir vu cette inscription lorsqu'il avait franchi la porte la première fois, dans l'autre sens. «Quand on combat, on devient aveugle, se dit-il.» Il vit aussi, gisant sur le sol, éparpillé autour de lui, tout ce qu'il avait rejeté et combattu en lui : ses défauts, ses ombres, ses peurs, ses limites, tous ses vieux démons. Il apprit alors à les reconnaître, à les accepter, à les aimer. Il apprit à s'aimer lui-même sans plus se comparer, se juger, se blâmer.
Il rencontra le Vieux Sage qui lui demanda :
- Qu'as-tu appris sur le chemin ?
- J'ai appris, répondit le Prince, que détester ou refuser une partie de moi, c'est me condamner à ne jamais être en accord avec moi-même. J'ai appris à m'accepter moi-même, totalement, inconditionnellement.
- C'est bien, dit le Vieil Homme, c'est la première Sagesse. Maintenant tu peux repasser la 3ème porte.
A peine arrivé de l'autre côté, le Prince aperçut au loin la face arrière de la seconde porte et y lut
ACCEPTE LES AUTRES
Tout autour de lui il reconnut les personnes qu'il avait côtoyées dans sa vie ; celles qu'il avait aimées comme celles qu'il avait détestées. Celles qu'il avait soutenues et celles qu'il avait combattues. Mais à sa grande surprise, il était maintenant incapable de voir leurs imperfections, leurs défauts, ce qui autrefois l'avait tellement gêné et contre quoi il s'était battu.
Il rencontra à nouveau le Vieux Sage.
- Qu'as-tu appris sur le chemin demanda ce dernier.
- J'ai appris, répondit le Prince, qu'en étant en accord avec moi-même, je n'avais plus rien à reprocher aux autres, plus rien à craindre d'eux. J'ai appris à accepter et à aimer les autres totalement, inconditionnellement.
- C'est bien, dit le Vieux Sage. C'est la seconde Sagesse. Tu peux franchir à nouveau la deuxième porte.
Arrivé de l'autre côté, le Prince aperçut la face arrière de la première porte et y lut
ACCEPTE LE MONDE
« Curieux, se dit-il, que je n'aie pas vu cette inscription la première fois.» Il regarda autour de lui et reconnut ce monde qu'il avait cherché à conquérir, à transformer, à changer. Il fut frappé par l'éclat et la beauté de toute chose. Par leur perfection. C'était pourtant le même monde qu'autrefois. Etait-ce le monde qui avait changé ou son regard ?
Il croisa le Vieux Sage qui lui demanda.
- Qu'as-tu appris sur le chemin ?
- J'ai appris, dit le Prince, que le monde est le miroir de mon âme. Que mon âme ne voit pas le monde, elle se voit dans le monde. Quand elle est enjouée, le monde lui semble gai. Quand elle est accablée, le monde lui semble triste. Le monde, lui, n'est ni triste ni gai. Il est là ; il existe, c'est tout. Ce n'était pas le monde qui me troublait, mais l'idée que je m'en faisais. J'ai appris à accepter sans le juger, totalement, inconditionnellement.
- C'est la 3ème Sagesse, dit le Vieil Homme. Te voilà à présent en accord avec toi-même, avec les autres et avec le Monde.
Un profond sentiment de paix, de sérénité, de plénitude envahit le Prince. Le Silence l'habita.
- Tu es prêt, maintenant, à franchir le dernier Seuil, dit le Vieux Sage, celui du passage du silence de la plénitude à la Plénitude du Silence.
Et le Vieil Homme disparut.
Merci à Françoise Laurent pour ce texte

Déposé par rafia le 27/07/2015  
NOS ABSENTS chanson de Grand Corps Malade
C'est pas vraiment des fantômes, mais leur absence est tellement forte
Qu'elle crée en nous une présence qui nous rend faible ou nous supporte
C'est ceux qu'on a aimés qui créent un vide presque tangible
Car l'amour qu'on leur donnait est orphelin et cherche une cible
Pour certains on le savait, on s'était préparé au pire
Mais d'autres ont disparu d'un seul coup, sans prévenir
On leur a pas dit au revoir, ils sont partis sans notre accord
Car la mort a ses raisons que notre raison ignore
Alors on s'est regroupé d'un réconfort utopiste
À plusieurs on est plus fort mais on n'est pas moins triste
C'est seul qu'on fait son deuil, car on est seul quand on ressent
On apprivoise la douleur et la présence de nos absents
Nos absents sont toujours là, à l'esprit, dans nos souvenirs
Nos absents nous entourent et resteront à nos côtés
Ils reprennent vie dans nos rêves, comme si de rien n'était
On se rassure face à la souffrance qui nous serre le cou
En se disant que là où ils sont, ils ont sûrement moins mal que nous
Alors on marche, on rit, on chante, mais leur ombre demeure
Dans un coin de nos cerveaux, dans un coin de notre bonheur
Nous, on a des projets, on dessine nos lendemains
On décide du chemin, on regarde l'avenir entre nos mains
Et au cœur de l'action, dans nos victoires ou nos enfers
On imagine de temps en temps que nos absents nous voient faire
Chaque vie est un miracle, mais le final est énervant
Je me suis bien renseigné, on n'en sortira pas vivant
Il faut apprendre à l'accepter pour essayer de vieillir heureux
Mais chaque année nos absents sont un petit peu plus nombreux
Chaque nouvelle disparition transforme nos cœurs en dentelle
Mais le temps passe et les douleurs vives deviennent pastel
Ce temps qui, pour une fois, est un véritable allié
Chaque heure passée est une pommade, il en faudra des milliers
Moi, les morts, les disparus, je n'en parle pas beaucoup
Alors j'écris sur eux, je titille mes sujets tabous
Ce grand mystère qui nous attend, notre ultime point commun à tous
Qui fait qu'on court après la vie, sachant que la mort est à nos trousses
C'est pas vraiment des fantômes, mais leur absence est tellement forte
Qu'elle crée en nous une présence qui nous rend faible ou nous supporte
C'est ceux qu'on a aimés qui créent un vide presque infini
Qu'inspirent des textes premier degré
Faut dire que la mort manque d'ironie

Déposé par maman18 le 27/07/2015  

Billy
Tu es parti il y a peu de temps, presque 2 mois.
Je ressens la tristesse de ta maman lorsqu'elle m'écrit pour ma Lolita.
Elle t'aimait beaucoup, elle souffre et elle souffrira encore beaucoup de ton absence
A 14 ans, la vie devait être bien difficile physiquement même si tu ne le montrais pas car pour rien au monde, tu ne lui aurais fait de la peine.
Mais ton corps était fatigué et ton temps était venu. Toi tu le savais, Elle ne voulait pas le voir.
Il faudra du temps, un peu, beaucoup, mais il en faudra c'est certain pour que ta maman accepte ton départ.
Toi, tu resteras près d'elle mais elle ne le saura pas.
Bien sur, il y aura des jours ou tu auras une furieuse envie de passer le pont de l'Arc en Ciel pour t'amuser comme avant, quand ce corps ne t'avait pas encore trahi.
Mais tu resteras car ton Amour pour elle sera le plus fort
Tant qu'elle aura besoin de toi, tu seras là, compagnon invisible, éternel soutien.
Si son chagrin laisse de la place à sa raison, elle te ressentira certains jours, elle SAURA. Elle rêvera de toi, elle se rappellera, elle SAURA
Un jour, comme je viens de le faire, elle te laissera enfin partir. Oh ! pas maintenant, pas demain non plus mais tu verras, çà viendra.
Un jour elle comprendra que de te laisser partir la rapprochera de toi
Et le fil invisible qui vous unit sera de nouveau tissé.
Ta maman a mal, tu le sais, mais un jour vous serez de nouveau réunies, ici ou ailleurs.
Veille sur Elle, doux Ange, qui le mérite tant.
Maman 18

Déposé par rafia le 26/07/2015  
J'ai l'âme en détresse et le coeur en miette
Comme un navire en pleine tempête
J'ai les yeux qui pleurent ma peine et mon désespoir
Comme un enfant perdu dans le noir.
Les larmes coulent lentement
Comme autant de mots emportés par le vent
Mon coeur se serre douloureusement
Le mal est là, affreusement.
Avec toute ma bien sincère amitié.
+ 1000 mercis.
+ 1000 bisous pr vs, mon adorable amie.
Si vs avez besoin d'une...béquille...je suis là, pr vs...bien que je ne sois moi-même pas très "stable"...mais deux "éclopées"( pr la même souffrance).....peuvent encore arriver à se soutenir...j'en suis convaincue.
Maryem, votre amie.

Déposé par bouffie le 26/07/2015  
Petits anges, nos amours à quatre pattes,
Hélas votre vie est si courte,
Cependant la trace d'amour que vous laissez derrière vous est infinie.
Vos doux petits corps libérés de cette terre ont disparus,
Nous laissant dans un désarroi, un manque et une peine immense.
Mais vos tendres et lumineuses petites âmes si pures demeurent
Et elle resteront avec nous à jamais.
gros et doux câlins mon adorable ange Billy merci à ta maman

Déposé par BILLY2B le 26/07/2015  
Mon ange Billy comme j aimerais te serrer dans mes bras te faire des câlinous tu adorais les petits bisous cela te rendait fou de joie tu frétillais dans tous les sens. Un petit Boby est arrivé chez nous il est tout jeune tu l aurais adoré ç est un vrai pot de colle il joue avec tous les chiens qu il croise mais il ne peux te remplacer je l aime mais je pense a toi en continu. Tu me manques mon Billy et malgré sa présence je me sens seule il est tout jeune et tout fou je ne suis pas habituée. Ç est épuisant parfois . Toi mon gros pépère tu étais tout calme et la ç est un vrai typhon il s agite dans tous les sens il n écoute pas quand je l appelle il part a l oppose je n en peux plus mais je vais le garder quand même comme tu te serais amusé avec lui j avais pensé te prendre un petit copain mais ton départ m a pris de court. Ç est bientôt le 29 je détesterai toute ma vie cette date. Mon bel ange je t aime et je survis difficilement sans toi j espère que de la ou tu es tu peux me voir et que tu m attends d ailleurs tu dois surement connaître la date de nos retrouvailles malin comme tu es ..... Je te fais mille papouilles mon toutou d amour sois bien sage et à bientôt .

Déposé par colombine67 le 26/07/2015  
L’arc-en-ciel de ma vie
La vie m’a choyé dans un sens
Jeune adolescente, le destin m’a donné
De grandes responsabilités que j’ai acceptées
C’était ma destinée…
J’y ai mis tout mon cœur et mon amour,
Cette grande expérience m’a permis de grandir
Des bonheurs sous le soleil
Des chagrins sous la pluie
Des montagnes à gravir
Non sans peines et difficultés
Mais j’ai toujours réussi…
Ça recommence toujours…
Mais dans mon cœur j’ai une vision.
C’est de voir la vie « belle et d’y croire »
J’y mets toute mon énergie, je garde confiance.
Avec les évènements de la vie, j’ai vu noir
Et aussi toutes les couleurs de l’arc-en-ciel
De beaux jardins remplis de fleurs
Des gestes et paroles remplis d’amour
Des montagnes qui me semblaient incontournables
Des situations qui ont perturbées le courant de ma vie
J’ai gardé confiance et le sourire.
Pour traverser le chemin de ma vie…
Je regarde toujours devant, mon vécu m’a permis
De grandir, de m’épanouir et de sourire,
J’ai aidé, j’ai donné et j’ai reçu et ça continue
La vie est belle, il faut y croire
Et ça recommence toujours…
Des montagnes à gravir
des chagrins sous la pluie
Mais des bonheurs sous le soleil sont à l’horizon
Remplis d’amour et de joies…
Christine QC Canada

Déposé par rafia le 25/07/2015  
« Arigato » Pascal Obispo
Je t’ai vu me quitter des yeux
Pour d’autres ailleurs, vers d’autres cieux
On y parle d’endroits merveilleux
Merveilleux
Mais personne n’est revenu déjà
Pour nous dire si c’est vrai ou pas
Tu aurais pu me dire « Adieu »
Tenir ma main encore un peu
Même si là-bas on y est mieux
On y est mieux
Mais personne n’est revenu encore
De cet autre côté du décor
Arigato
Mon amour…. A bientôt…
Mon amour…
Je t’ai vu t’en aller heureux
Pour un voyage vers le grand bleu
Qui ne se fait jamais à deux
Jamais à deux
Mais personne n’est revenu déjà
Pour dire qu’on vous attend là-bas
Arigato
Mon amour…. A bientôt…
Mon amour…
S’il fallait entre nous un mot
Qui soit comme un dernier cadeau
Avant de fermer les rideaux
Mon amour…. Mon amour…. Mon amour… Mon amour…
A bientôt
Arigato
Mon amour…. Mon amour… A bientôt
Arigato

Déposé par colombine67 le 25/07/2015  
"Le Bonheur
Le Bonheur ne se trouve pas avec effort et volonté,
Mais réside là, tout proche,
Dans la détente et l'abandon.
Ne sois pas inquiet, il n'y a rien à faire.
Tout ce qui s'élève dans l'esprit n'a aucune importance,
Parce que dépourvu de toute réalité.
Ne t'attache pas aux pensées, ne les juge pas.
Laisse le jeu de l'esprit se faire tout seul,
S'élever et retomber, sans intervenir.
Tout s'évanouit et recommence à nouveau, sans cesse.
Cette quête même du bonheur est ce qui t'empêche de le trouver.
Comme un arc-en-ciel qu'on poursuit sans jamais le rattraper.
Parce qu'il n'existe pas, parce qu'il a toujours été là,
Et parce qu'il t'accompagne à chaque instant.
Ne crois pas à la réalité des choses bonnes ou mauvaises,
Elles sont semblables aux arcs-en-ciel.
A vouloir saisir l'insaisissable, on s'épuise en vain.
Dès lors qu'on relâche cette saisie, l'espace est là,
Ouvert, hospitalier, et confortable.
Alors jouis-en.
Ne cherche plus.
Tout est déjà tien.
A quoi bon aller traquer dans la jungle inextricable,
L'éléphant qui demeure tranquillement chez lui.
Cesse de faire.
Cesse de forcer.
Cesse de vouloir.
Et tout se trouvera accompli,
Naturellement.
Guendune Rinpoché, Maître de méditation"

Déposé par rafia le 24/07/2015  
Ma bien chère amie,
Parce que cette prose, sans prétention, peut s'adapter à votre amour tant regretté...permettez-moi de vs l'offrir.
Si elle ne vs convient pas, SVP, ne la validez pas...je n'en serai pas fâchée pr autant !!!
Avec toute ma bien sincère amitié.
+ 1000 mercis.
+ 1000 bisous.
Excellent WE
Maryem, votre amie
Hommage à mon Punky adoré,
Comme pr Niagara, Rafia qui t'ont précédé
Et petit Rock qui t'a succédé,
Je me suis sentie mourir
Mais je n'ai pas pu partir.
Je ne me retrouvais plus
De mon chagrin, je n'en pouvais plus.
Ds ma tête trottait le souvenir
De qui j'étais avant de tant souffrir.
Mais tant de désespoir
Me maintenait ds le noir.
Pourtant un soupçon de sérénité
De ma vie antérieure, je voulais retrouver.
Mais je n'arrivais pas à rencontrer
La personne que j'étais.
Celle qui savait entendre
Sans jamais rien attendre.
Celle qui savait aider
Sans compter être remerciée.
Me confiner tjrs ds mon malheur
Ne me servait à rien, idem pr mes pleurs.
Je ne pourrai jamais effacer le passé....
Mais j'avais tant à donner.
Ma prise de conscience ne fut pas miracle,
Laissons à Dieu, les oracles
Ce fut simplement un éveil
Comme ds le ciel surgit l'arc-en-ciel.
J'ai à nouveau ressentie l'amitié
Que je pouvais encore diffuser.
Offrir autour de moi
Mon aide et non mon désarroi.
J'avais anéanti mon authenticité
Pr mieux me cacher
Mon chagrin je ne voulais le partager.
Même en faisant l'effort
D'être moins vulnérable, mon trésor,
Mon cocon, j'ai décidé de casser
Pr ne plus rester enfermée
Aux tourments des autres,
Je me suis attachée.

Déposé par colombine67 le 24/07/2015  
Une jeune dame attendait l’embarquement de son vol dans un grand aéroport.
Puisqu’elle aurait à attendre plusieurs heures, elle décida de s’acheter un bon livre.
Elle acheta aussi un paquet de biscuits.
Elle s’est donc assise dans un bon fauteuil dans la salle VIP de l’aéroport pour se reposer et lire en paix.
Le sac de biscuits se trouvait sur le bras du fauteuil ; un homme vint s’asseoir dans le fauteuil adjacent et il ouvrit son magazine et se mit à lire.
Lorsqu’elle prit un premier biscuit, l’homme fit de même. Elle se sentait irritée par ce comportement mais elle ne dit rien, se contentant de penser:
“Quel effronté, j’ai envie de lui sacrer une bonne claque sur la gueule. ”
À chaque biscuit qu’elle prenait, l’homme en prenait un aussi.
Ceci la mettait dans tout ses états mais elle ne voulait pas faire une scène.
Lorsque qu’il ne resta qu’un seul biscuit elle pensa: “Et que va t’il faire maintenant cet abruti de profiteur?”
L’homme prit le dernier biscuit, le brisa en deux et lui en remis la moitié.
Ah! Mais là c’était trop!
Elle était hors d’elle à ce moment!
Dans un temps d’éclair, elle prit son livre et ses choses et sortit en trombe pour se rendre au guichet d’embarquement.
Lorsqu’elle prit son siège dans l’avion, elle ouvrit son sac à main pour y prendre ses verres de lecture et à sa grande surprise, elle y découvrit son paquet de biscuits, intact et non-ouvert !
Elle se sentit tellement MAL!!!
Elle réalisait comment elle s’était trompée...
Elle avait oublié qu’elle avait mis son paquet de biscuits dans son sac à main.
L’homme avait partagé ses biscuits avec elle sans rancune ni appréhension...
pendant qu’elle s’était choquée, pensant qu’elle avait partagé ses biscuits avec lui...et maintenant elle n’aurait plus la chance de s’expliquer ou de s’excuser...”
IL Y A 4 CHOSES QU’ELLE NE POURRAIT JAMAIS RATTRAPER...
La Pierre.... Après le Lancement...
Le mot.... ..Après l’avoir dit!
L’Occasion... Après l’avoir perdu!
Le temps... ...Lorsqu’il est passé!
Un merveilleux texte partagé par
Nadjet Tabouni
D'Algérie

Déposé par rafia le 23/07/2015  
Positivez !!!
Positivez,
Des moments de détresse
Ns passons ts par là
Ne soyez pas si las/ses
Positivez !!!
Tout malheur a sa guérison
Pensez juste à sa gestion,
Prenez les bonnes résolutions
Chassez le désespoir
Un jour, tout deviendra moins noir.
Positivez !!!
La vie continue autour de ns
IL ne faut pas se replier sur soi.
Rappelez-vs, les merveilleux moments,
Que vs passiez autrefois
Votre trésor canin était présent
Et même s'il n'est plus là maintenant,
L'espoir est le seul choix.
Positivez !!!
De là-haut il vs voit
Vos larmes lui font mal
Ne perdez pas la foi
Et pr lui, bien des fois,
Souriez, même si ça fait mal.
Positivez !!!
Le bonheur n'est pas ds le pré,
A le cueillir soyez prêt/e
Le bonheur est en soi.
Il suffit d'y croire
Et de le vouloir.
C'est à peu près la même "formule" (faisant référence à la famille du//de la patient//e)...que j'employais lorsque je faisais du bénévolat ds un hôpital.
En toute sincérité, je pense que c'est bcp plus facile de vouloir aider autrui...que de se l'appliquer à soi-même, et ce, ds un contexte de grande souffrance.
Bien amicalement
+ 1000 mercis
+ 1000 bisous
Courage !!! je partage votre souffrance.
Maryem

Déposé par BILLY2B le 23/07/2015  
Billy mon petit ange mo gros bébé plus encore que la mort la souffrance qu on ne peut soulager est une horreur je prie pour que nos amis a quatre pattes et ceux qui les aiment ne la subissent jamais.




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Les promenades
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tu adorais aller a la plage mais tu n as jamais voulu te baigner
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