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En hommage à
Boul
Il nous a quittés le:18/08/1994
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En hommage à
Boul
23 bougies
15130 Fleurs
Déposé par myriam31 Une envolée de gros bisous et de douces papouilles pour toi bel ange,la maman de BB Lucky Déposé par Rebelwriter Un brin de muguet et plein de bonheur dans ton doux paradis ainsi qu'a ta maman sur qui tu veilles Déposé par vallou33 Un petit brin de fleur,un petit brin tout simple mais plein de bonheur pour Boul et sa maman Déposé par mindy Mille clochettes remplies de tendresse pour le 1er mai et plein de bonheur à ceux qui t'ont aimé Déposé par nounours Des milliers de doux bisous sur ta petite truffe et toute mon amitié a ta douce maman. Déposé par nounours Une seconde sans toi est une éternité. Tu es le sens de ma vie... Tu es le coeur de ma vie... Tu me manques tellement ...amitié.. Déposé par tinou20042001 Fais ty parti de ces anges qui ont accompagné les cloches de pâques pour délivrer un message d'amour. Gros câlins |
2645 messages
Déposé par rafia le 01/06/2014Mes très chère Anne-Marie Le texte suivant m'inspire..."laissons parler notre coeur et notre aide sera tjrs positive". Comme je suis en..."indisponibilité" à cause de mon pied..j'en profite pr passer un peu plus de temps sur le site. Mille bisous pr vs, mon adorable amie ma tendresse pr la belle Violet. Votre amie Maryem Les bons conseils Un homme tomba dans un trou et se fit très mal. Un Cartésien se pencha et lui dit : « Vous n'êtes pas rationnel, vous auriez dû voir ce trou ». Un spiritualiste le vit et dit : « Vous avez dû commettre quelque péché». Un bouddhiste le vit et dit : « C'est votre karma, je compatis». Un scientifique calcula la profondeur du trou. Un journaliste l'interviewa sur ses douleurs. Un yogi lui dit : « Ce trou est seulement dans ta tête, comme ta douleur ». Un médecin lui lança deux comprimés d'aspirine. Une infirmière s'assit sur le bord et pleura avec lui. Un thérapeute l'incita à trouver les raisons pour lesquelles ses parents le préparèrent à tomber dans le trou. Une pratiquante de la pensée positive l'exhorta : « Quand on veut, on peut ! » Un optimiste lui dit : « Vous avez de la chance : vous auriez pu vous casser une jambe ». Un pessimiste ajouta : « Et ça risque d'empirer ». Puis un enfant passa ........ et lui tendit la main... (Christelle Heurtault), |
Déposé par rafia le 30/05/2014Fidèle comme Bobby ! BobbyEn 1856, un certain John Gray, jardinier de son métier mais au chômage, quittait avec sa famille la campagne écossaise pour tenter de survivre dans la capitale : Edinburgh… La chance fut avec lui car il trouva sans difficulté un poste de policier. Sa fonction prévoyait qu’il soit accompagné d’un chien de garde, et l’administration lui confia un chiot Skye Terrier, qu’il nomma Bobby. Tous les jours, John Gray prit sa permanence au château, accompagné de Bobby, et les habitants du quartier s’habituèrent à les voir, au coup de treize heures, annoncées traditionnellement par le canon, rejoindre une petite auberge où John prenait un repas frugal. Bobby profitait des restes du repas de son maître, et même y gagnait en supplément une brioche ! Ce bonheur tranquille hélas ne dura que deux ans, quand John Gray décéda de tuberculose. Le jour des funérailles, plusieurs témoins attestèrent avoir reconnu Bobby en tête du cortège funèbre. Une fois la cérémonie terminée, le chien ne réapparut pas, la famille du défunt crut qu’il s’en était allé… C’est pourquoi, dès le lendemain, le gardien du cimetière de l’église de Greyfriars, où était enterré John Gray, fut très étonné de voir Bobby couché sur la tombe de son maître. Mais comme les chiens étaient interdits dans le cimetière, il l’en chassa. Néanmoins le jour suivant, Bobby était revenu ! L’homme avait beau le poursuivre, chaque matin il retrouvait Bobby revenu sur la tombe. Une telle constance et une telle obstination dans le souvenir ne pouvait qu’émouvoir le cœur d’un gardien, aussi endurci soit-il, qui finit par obtenir de la ville une dérogation qui permettait à Bobby de rester. Quelques jours plus tard, l’aubergiste eut la surprise de voir arriver, sous le coup de treize heures, Bobby ; tenaillé par la faim, il avait exceptionnellement quitté le cimetière, et venait chercher sa pitance. Qui lui fut donnée avec amour : quelques os et une brioche. A partir de ce jour, Bobby ne quitta plus la tombe de John Gray que pour aller chercher son repas. L’histoire de Bobby émut bientôt toute la ville, si ce n’est toute l’Ecosse, et bien des familles d’Edinburgh voulurent l’adopter… ! Bobby refusa toujours de se laisser enfermer dans une maison, aussi accueillante soit-elle. Exceptionnellement il accepta la compagnie d’un soldat de la garde du château, sans doute parce que l’homme prenait ses repas à la même auberge qui continuait de nourrir Bobby, qui revenait, sans traîner, sur la tombe de son maître… Les années passèrent sans que la fidélité de Bobby fléchisse… seize années exactement ! Quand un jour, vieux et épuisé par tant de veilles et sans doute de tristesse, Bobby ne retourna pas au cimetière après avoir pris son repas. Il resta auprès de la famille Trail, propriétaire de l’auberge. Le lendemain matin, après une froide nuit d’hiver 1872, on le retrouva mort. Bobby était allé retrouver John Gray, qu’il avait fidèlement veillé pendant quatorze années… Voilà… si, maintenant, vous voulez pleurer, ne vous en privez pas… Stèle de BobbyStèle de John-Gray Il y a bien des histoires semblables de chiens fidèles, mais sans doute pas aussi émouvantes que celle de Bobby ! L’année même de sa mort, la baronne Burdett-Coutts fit construire une fontaine surmontée de la statue de Bobby, qui existe toujours. Bobby fait partie du circuit touristique organisé par la ville d’Edinburgh, un petit musée lui est consacré. La tombe de Bobby est la première que l’on voit en entrant dans le cimetière, à quelques pas de celle de John Gray, qu’un riche donateur américain a fait remettre en état. Mais à l’entrée du site, un panneau municipal rappelle qu’il est toujours interdit aux chiens d’entrer… |
Déposé par rafia le 29/05/2014Un chien attend son maître depuis 5 ans Depuis 5 ans un chien revient sur le lieu d'accident de son maître. Hachi a perdu son maître, victime d'un accident de la route. Depuis ce jour, Hachi vient chaque jour sur le lieu où s'est produit l'accident, en pleurant la mort de son maître et en aboyant. "Son propriétaire est mort à la suite d'un accident de moto. Le chien le suivait derrière. L'accident remonte à cinq ans. Mais le chien est resté là depuis lors", raconte Roman Bilbao, boucher sur l'avenue Papa Paulo, à quelques rues du lieu du drame, et même si plusieurs personnes ont essayé de l'adopter, en vain, celui ci refuse de quitter l'endroit. Une belle preuve de loyauté et de persévérance d'un chien envers son maître. Plus la peine de se poser la fameuse question à savoir si les animaux sont fidèles ! Source et crédit photo : Misiones Cuatro et Jordana Net, |
Déposé par rafia le 28/05/2014Une humanisation de plus en plus importante des animaux de compagnies Considérés comme un membre de la famille à part entière, les animaux de compagnies reçoivent les plus belles attentions. Des huiles essentielles aux produits alimentaires bio, le nombre de produits spécialisés pour nos compagnons ne cesse d’augmenter et les budgets qui y sont dédiés explosent. Les enjeux économiques sont forts : vêtements, bijoux, vernis, teintures, draps, calendriers de l’Avent garnis de croquettes, tout est possible pour nos animaux chéris. Un nouveau marché dont le potentiel n’est pas à négliger, même le secteur tertiaire s’y met. Effectivement, il existe aujourd’hui des comportementalistes, des coachs pour animaux permettant à nos compagnons de ne pas être trop stresser, de faire attention à leur poids… Des animaux humanisés ? Les dépenses occasionnées par les propriétaires de chiens ou de chats peuvent parfois paraitre incompréhensibles mais, comme nous le souligne Fanny Lamarque, gérante d’une animalerie de luxe à Cannes, « chacun fait ce qu’il veut de son argent, plutôt que de traiter de gagas ceux qui dépensent de l’argent pour leur animal on devrait plutôt se rebeller contre ceux qui les maltraitent. » Et vous, qu’en pensez-vous ? Source et crédit-photo : Varmatin, |
Déposé par rafia le 27/05/2014Balto et sa course contre la mort Connaissez-vous l’histoire de Balto ? Balto était un chien de traîneau de race husky sibérien né en 1919 en Alaska dans l'élevage de Leonhard Seppala qui travaillait pour une compagnie minière en tant que conducteur de traîneaux à chiens. Il est célèbre pour sa participation à la course au sérum de 1925, pendant laquelle un médicament antidiphtérique dut être transporté d’urgence de Anchorage à Nome (en Alaska) par chemin de fer puis par traîneaux à chiens. Balto à Central Park En janvier 1925, la diphtérie, maladie mortelle pour les enfants, se développe à Nome. Du sérum est demandé en urgence à tous les hôpitaux des alentours. Les autorités apprennent qu'il en reste dans la ville d'Anchorage, à 1 600 kms de là. Le blizzard qui souffle en violentes rafales empêche l'acheminement par avion. Par contre, un train pourra transporter le sérum jusqu'à la ville de Nenana, mais pas plus loin, faute de chemin de fer. Or, Nenana se trouve encore à 1085 kms de Nome. Une seule solution : faire l'aller-retour en traîneau à chiens, un voyage de 25 jours en temps normal. Cette mission fut confiée à Leonhard Seppala qui partit de Nome en direction de Nenana avec un attelage de 20 huskies dirigé par Togo, son meilleur chien de tête. Alors que Seppala était déjà en route, les autorités pensèrent qu'un relais de plusieurs attelages avait des chances de délivrer le précieux sérum plus rapidement. C'est ainsi que 20 mushers et plus de 100 huskies prirent part à la course. On demanda à Gunnar Kassen, l'assistant de Seppala, dont l'équipage de huskies était dirigée par Balto, de faire partie du relais. Arrivant au dernier point de contrôle avant Nome, Kassen trouva son remplaçant endormi. Considérant que son équipage se comportait bien, il décida alors de poursuivre jusqu'à Nome. Le sérum fut ainsi livré de Nenana à Nome en seulement 5 jours et demi. Bien que Seppala et Togo aient parcouru près du double de distance dans la portion la plus dangereuse du parcours, la presse, qui s'empara de l'histoire, fit de Balto le nouveau héros de la nation. À la fin de l'année, une statue sculptée par F.G. Roth, fut érigée à Central Park, à New York, avec ces mots : « Endurance - Fidélité - Intelligence ». Après la mort de Balto le 14 mars 1933, ses restes empaillés furent donnés au musée d'histoire naturelle de Cléveland aux Etats-Unis. Le chemin parcouru par Balto donne lieu à une course de traîneau annuelle, nommée Iditarod, dont la première édition répertoriée eut lieu en 1973., ******************** Ma très chère Anne-Marie Je suis ravie de vs retrouver..vs m'avez bcp manqué. Mille mercis pr avoir aussi bien accueilli Ma¨¨el...mais aussi pr vos messages et bouquets...offerts avec une si grande générosité. Ma¨¨el me lisait les messages reçus...il a trouvé que vs aviez bcp d'humour. Je vs écrirai..plus tard..car très fatiguée par le décalage horaire. merci pr votre compréhension. Mille bisous. Tendresse pr Miss Violet Votre amie Maryem |
Déposé par rafia le 24/05/2014La brebis et le chien La brebis et le chien, de tous les temps amis, Se racontaient un jour leur vie infortunée. - Ah ! disait la brebis, je pleure et je frémis Quand je songe aux malheurs de notre destinée. Toi, l'esclave de l'homme, adorant des ingrats, Toujours soumis, tendre et fidèle, Tu reçois, pour prix de ton zèle, Des coups et souvent le trépas. Moi, qui tous les ans les habille, Qui leur donne du lait, et qui fume leurs champs, Je vois chaque matin quelqu'un de ma famille Assassiné par ces méchants. Leurs confrères, les loups, dévorent ce qu'il reste. Victimes de ces inhumains, Travailler pour eux seuls, et mourir par leurs mains, Voilà notre destin funeste ! - Il est vrai, dit le chien, mais crois-tu plus heureux Les auteurs de notre misère ? Va, ma soeur, il vaut encore mieux Souffrir le mal que de le faire. Fable de Jean-Pierre Claris de Florian, |
Déposé par rafia le 23/05/2014« Va la chercher! » : Un chien héroïque sauve la vie d'une fillette L’homme aperçoit une fillette qui se débat dans l’eau glacée, hors de sa portée. Il crie aussitôt à son chien : « Va la chercher! » LISA FITTERMAN Deux jeunes soeurs empruntent un sentier non loin d’une passerelle. De là, elles contemplent la rivière Saskatchewan-Nord qui serpente dans la vallée entre deux rives gelées. Mais elles se lassent vite. Cheveux bruns et expression résolue, Krymzen descend un sentier recouvert de neige. Elle a 10 ans. Samara, sa cadette d’un an, visage rond et d’adorables fossettes, la suit. Elles se dirigent vers le seul lieu que leur mère leur a défendu d’approcher… la rivière. Et ses festons de glace. Les fillettes avancent à petits pas prudents sur la glace. Leurs bottes de caoutchouc baignent dans l’eau. Puis il se produit un craquement sourd. Rocky court devant Adam et Kelsey Shaw, essayant de renifler un maximum avant d’arriver au camion de son maître. Rocky est un grand chien de huit ans au poil hirsute, enjoué, avec un brin d’indépendance. Il n’est pas prêt à rentrer à la maison. Il adore chasser et rapporter, surtout s’il faut se mouiller. Venus de Fort Saskatchewan, à 25 km au nord d’Edmonton, les Shaw ont passé un bel après-midi au parc. Ici, les grands sentiers dégagés permettent de bien circuler avec la poussette où dorment leurs jumeaux. En trois heures, ils n’ont croisé qu’une poignée de marcheurs endurcis dans leur genre. Vers 16 h 20, ils empruntent la passerelle du parc pour regagner le stationnement. C’est alors qu’ils entendent des cris. Ils regardent par-dessus la rambarde. Ils sont alors pétrifiés quelques secondes par une scène d’horreur : une petite fille a traversé la glace, une autre essaie de la tirer de là. « On vous voit ! hurlent-ils. On arrive ! » Pendant que sa femme fait le 911, Adam lance : « Rocky, on descend ! » L’homme de 28 ans dévale le même talus que les deux fillettes. Il enfonce dans la neige, parfois jusqu’aux hanches, mais pas question de ralentir. Le souvenir lui revient de Ben, son frère et meilleur ami, tué dans une collision frontale sur l’autoroute six semaines auparavant, durant un blizzard le jour de la Saint-Valentin. « Pas aujourd’hui, se dit-il. Personne ne mourra aujourd’hui. » Krymzen voit le couple s’égosiller du haut de la passerelle, mais elle ne peut attendre : sa sœur est dans l’eau. En entendant le craquement, elle a fait demi-tour et s’est mise en sûreté. Samara, non. À présent, Krymzen donnerait n’importe quoi pour retourner en haut et ne jamais descendre. Pourquoi se sont-elles aventurées sur la glace ? « Peux-tu attraper ma main ? » crie-t-elle à sa sœur qui se débat à la surface. Mais voilà que la glace cède sous son poids et elle tombe à l’eau, elle aussi, tout en se cramponnant à un éperon de glace. Puis l’homme au chien se penche au-dessus d’elle, la soulève et la dépose en sûreté. « Ma femme est là, sur le pont, dit-il en la montrant du doigt. Elle a appelé les secours et va t’aider. Attends-la. Ne bouge pas. » Krymzen frissonne. « Ma sœur ! Où est ma sœur ? » Miranda Wagner vient de sortir la dinde du four quand on frappe à la porte. Son mari Cory Sunshine, un travailleur du pétrole, est en congé à la maison, mais ne peut répondre, car il s’occupe des deux fils cadets. Elle s’essuie les mains, ouvre. C’est le petit voisin de six ans qui est là, très énervé. « Les filles sont à l’eau ! — Dans une mare ? — Non, dans la rivière, répond le garçon. Samara flotte à la dérive. » Sa petite fille potelée, tombée à l’eau ? Miranda reste figée. Puis elle secoue la tête, hurle à son mari de surveiller les garçons et se précipite à l’extérieur. Une prière muette remue ses lèvres. Les paroles du gamin résonnent dans sa tête. Dans le courant qui l’emporte, Samara prie elle aussi, avec la même ferveur qu’à l’école catholique Sainte-Bernadette. « De grâce, Seigneur, laissez-moi vivre », implore-t-elle silencieusement. Elle a déjà perdu son manteau et une botte rose. Ses parents seront furieux ! Pour avoir des ennuis, tu dois survivre, lui chuchote une voix intérieure. Il fait si froid, plus froid qu’elle n’aurait cru possible. Elle sait nager, mais en est incapable. Pas là-dedans. Ses membres refusent. Huit minutes se sont écoulées -depuis qu’elle est tombée à l’eau. Elle a beau n’avoir que neuf ans, elle sait que le temps lui est compté. Krymzen sanglote pendant qu’Adam cherche sa sœur des yeux. Il la repère rapidement, un peu plus loin en aval, grâce à son t-shirt rouge et à son collant rose. Rocky et lui s’élancent, mais la glace fondante est recouverte de 15 cm de neige, et l’enfant flotte à un mètre et demi de la croûte solide, emportée comme un morceau de bois par le courant. Elle pourrait tout aussi bien se trouver à cinq kilomètres d’Adam chaque fois qu’il tente d’avancer vers elle, il sent la glace ployer sous lui. « Je ne peux pas bouger mes bras, ni mes jambes », crie-t-elle. En homme qui travaille dans les champs de pétrole et qui pratique le plein air, Adam reconnaît bien les symptômes d’hypothermie. Les muscles de Samara sont paralysés parce que tout son sang afflue aux organes internes pour les réchauffer. Bientôt, elle perdra connaissance, et ses fonctions vitales s’arrêteront. Elle n’a plus que quelques minutes à vivre. Adam lance la laisse de Rocky dans sa direction. Trop court. Il recommence un peu plus loin, mais – Dieu ! – la glace cède sous son poids et celui du chien, et il se retrouve dans l’eau jusqu’au cou, Rocky nageant à côté du lui. Quand il essaie de se soulever, le bloc de glace immergé sur lequel il s’appuie se dérobe sous ses pieds, et il doit nager frénétiquement pour se sauver lui-même. Dix secondes, puis vingt – l’heure tourne. Rocky prend enfin appui sur une plaque qui tient bon. Adam le pousse hors de l’eau et sort à son tour en s’accrochant au cou du chien. Il se relève en titubant et cherche Samara des yeux. À une quinzaine de mètres, il aperçoit une tête sombre et une tache rouge. L’homme et le chien repartent en courant, se rapprochent, mais la glace cède de nouveau. Adam reste là, impuissant, Rocky à ses côtés. Que faire ? La réponse fuse dans sa tête dictée par la confiance qu’il met dans son chien – ce chien qui porte le nom d’un boxeur de cinéma devenu champion contre toute attente. Rocky, chasseur et rapporteur hors pair, si heureux au froid qu’il a déjà creusé une grotte dans la neige et joué dedans par moins 46 degrés Celsius. Rocky, prêt à tirer jusqu’à la rive une Kelsey paresseusement accrochée à sa laisse. Pourquoi ne recommencerait-il pas aujourd’hui ? « Je vais attacher solidement la laisse et faire sauter le chien à l’eau un peu plus bas, hurle-t-il à Samara. Accroche-toi à lui, à la laisse, à sa fourrure, à n’importe quoi et ne lâche pas. » Le chien est leur dernière chance. « Rocky, vas-y ! » L’animal se jette à l’eau et nage vigoureusement à contre-courant pour rejoindre Samara. À bout de forces, elle le regarde approcher, les oreilles collées au crâne. Elle aime les chiens, même les grands, et n’a pas peur de lui, mais c’est à peine si elle parvient à garder les yeux ouverts quand il la pousse de sa truffe. Elle n’essaie pas d’attraper la laisse. Rocky lui donne un coup de patte comme pour dire : « Dépêche-toi, nous n’avons pas de temps à perdre. » Il est calme, solide comme le roc. Samara sent une partie de cette force passer en elle. Elle attrape la laisse. Rocky fera le reste, elle le sait. « Tiens-toi à deux mains », crie Adam avant d’ordonner : « Rocky, viens ! » Samara ferme enfin les yeux, le chien la ramène au bord. Adam la tire de l’eau et la serre dans ses bras. Il a l’impression de tenir un glaçon. « Tiens bon, dit-il. Tiens bon. » Il sursaute en entendant la sonnerie de son portable. Difficile de croire que l’appareil fonctionne encore après son bain forcé. Le responsable des urgences 911 est au bout du fil. Il est 16 h 35. À peine 15 minutes se sont écoulées depuis qu’Adam a gravi la passerelle, dans une autre vie. Le trio trempé se prépare à attendre. Rocky et Adam encadrent Samara pour la soutenir et tenter de la réchauffer. « C’est bon », murmure sans arrêt Adam comme s’il récitait un mantra. Miranda entre en trombe à l’hôpital de l’Université de l’Alberta en réclamant ses filles. Elle trouve une Krymzen contrite et larmoyante au fond d’un lit, sous une couverture chauffante. Samara dégèle au centre de traumatologie dans un cocon de couvertures. Le sang de Miranda se glace quand les médecins lui expliquent que sa fille n’avait que deux petites minutes à vivre lorsque Rocky l’a remorquée jusqu’à la berge. « Maman, j’ai failli mourir. » Miranda voudrait rire, hurler, pleurer. Sermonner ses filles, les raisonner, ne plus jamais les laisser hors de sa vue. Mais elle ne peut que serrer très fort Samara contre elle. |
Déposé par myriam31 le 23/05/2014De tendres pensées s'envolent vers toi petit ange,avec plein de bisous Si regarder en arrière te donne du chagrin, Si regarder en avant t’inspire ce chagrin, Alors regarde à côté de toi, je serai toujours là. Amitiés sincères |
Déposé par rafia le 22/05/2014EXPLOIT de Roselle LABRADOR blonde. Publié par Alpharococo in Chiens Tags11 septembre 2001, héros canin Michael Hingson était à son bureau du 78e étage de la tour nord du World Trade Center le matin du 11 septembre 2001. Il a survécu pour raconter son histoire grâce à son chien guide, Roselle. La labrador blonde a calmement guidé son maitre non-voyant parcourant les 1463 pieds les séparant de la sortie de l’édifice et alors que débris et poussière tombait sur eux, elle trouva une station de métro, assurant leur sécurité. Roselle est décédée en juin 2011 à l’âge de 13 ans mais sont héroïsme vivra à jamais. "Elle m’a sauvé la vie" écrivit Hingson sur le site de l’American Humane Association. Juste comme ils sortaient du building le jour du 11 septembre, la tour sud s’effondrait. "Pendant que tout le monde paniquait, Roselle est demeurée complètement concentrée sur son travail" mentionna Hingson. 11 ans après ces tragiques attentats, j’aimerais souligner et saluer le courage dont Roselle a fait preuve. ============================================================ |
Déposé par rafia le 21/05/2014Les golden retriever, héros du World Trade Center Bear, un golden retriever, s'est illustré après les attentats du 11 septembre 2001, accompagné de plus de 300 de ses congénères. Tout comme April Moon, une jolie golden retriever de deux ans, qui sauve Marie, non-voyante : Marie reçoit April Moon le jour-même des attentats ; son chien-guide la conduira à travers 51 étages. Le calvaire dure près d'une heure, et Marie sortira indemne du World Trade Center peu avant que ses bâtiments s'effondrent. Les autres races canines s'illustrent également : un doberman a retrouvé un enfant d'un an et demi qui s'était égaré en campagne lors d'un mariage dans un hôtel, un border collie a localisé un ouvrier au fond d'une tranchée de plusieurs mètres qui s'était effondrée, un berger allemand a retrouvé une victime suite à une explosion... La liste est longue et non exhaustive. Nombreux sont les animaux qui resteront anonymes en dépit d'une brillante carrière. De nombreux organismes leur rendent fréquemment hommage, soyez attentif ! |
Déposé par rafia le 20/05/2014L'amitié et l'ami La réelle amitié d'un ami est sacrée, Un merveilleux trésor qu'il faut protéger. On peut se passer de l'amour, Mais l'amitié il en faut toujours. À qui confier nos joies, nos chagrins ? Si ce n'est à un ami, tel un frangin. Il est agréable de se sentir indispensable, Quand lui vit des problèmes semblables. L'amitié c'est beau, mais tellement rare, Que la vie parfois ainsi nous sépare. On oubliera jamais le véritable ami, À qui on s'est confié sur sa vie. Mais on oubliera bien plus vite, Ces faux amis qui autour de nous gravitent. Maxalexis., ==================================================================================================== Pas encore familiarisé avec les messages joints aux bouquets. Je fais de mon mieux. Espérant que ce soit positif. Très respectueusement. Maël S-M |
Déposé par rafia le 19/05/2014Ecoute moi Écoute-moi, s'il te plaît, j'ai besoin de parler. Accorde-moi seulement quelques instants, Accepte ce que je vis, ce que je sens, Sans réticence, sans jugement. Écoute-moi, s'il te plaît, j'ai besoin de parler. Ne me bombarde pas de conseils et d'idées, Ne te crois pas obligé de règler mes difficultés. Manquerais-tu de confiance en mes capacités ? Écoute-moi, s'il te plaît, j'ai besoin de parler. N'essaie pas de me distraire ou de m'amuser, Je croirais que tu ne comprends pas L'importance de ce que je vis en moi Écoute-moi, s"il te plaît, j'ai besoin de parler. Surtout, ne me juge pas, ne me blâme pas. Voudrais-tu que ta moralité Me fasse crouler de culpabilité ? Écoute-moi, s'il te plaît, j'ai besoin de parler Ne te crois pas non plus obligé d'approuver Si j'ai besoin de me raconter C'est simplement pour être libéré Écoute-moi, s'il te plaît, j'ai besoin de parler N'interprète pas et n'essaie pas d'analyser Je me sentirais incompris et manipulé Et je ne pourrais plus rien te communiquer Écoute-moi, s'il te plaît, j'ai besoin de parler. Ne m'interromps pas pour me questionner, N'essaie pas de forcer mon domaine caché. Je sais jusqu'où je peux et veux aller Écoute-moi, s'il te plaît, j'ai besoin de parler. Respecte les silences qui me font cheminer. Gardes-toi bien de les briser, C'est par eux bien souvent que je suis éclairé. Alors maintenant que tu m'as bien écouté Je t'en prie, tu peux parler Avec tendresse et disponibilité À mon tour, je t'écouterai Jacques Salomé , |
Déposé par goulou50 le 19/05/2014Deux cœurs qui battaient à l'unisson c'était le tien, c’était le mien Le tien fatigué s'est arrête de battre et le mien a continué pour que ton souvenir perdure malgré la douleur... J'ai longé le gouffre qui s'ouvrait devant moi, sans y tomber pour continuer à dire ton nom malgré les larmes. Chaque jour est une bataille mais pour continuer à dire ton nom cette bataille je la gagnerais, chaque jour... Boul...., |
Déposé par rafia le 18/05/2014Le vieux et son chien S'il était le plus laid De tous les chiens du monde, Je l'aimerais encore A cause de ses yeux. Si j'étais le plus laid De tous les vieux du monde, L'amour luirait encore Dans le fond de ses yeux. Et nous serions tous deux, Lui si laid, moi si vieux, Un peu moins seuls au monde A cause de ses yeux. Pierre Menanteau ( Ce que m'a dit l'alouette ) |
Déposé par nounours le 16/05/2014. ....................L'AMITIES............ . ..........L'amitié,c'est la fidélité........... ..........L'amitié,c'est la complicité........... ..........L'amitié,c'est l'écoute,le partage,les sourires,la bonne humeur. ..........L'amitié,c'est le pouvoir de se sentir apprécié et accueilli,entendu et compris,écouté,jamais n’être pas jugé........... ..........L'amitié,c'est de savoir que l'autre,bien qu'il ait sa personnalité propre,réagira de façon similaire à nous en cas de besoin........... ..........L'amitié,c'est d'avoir une oreille toujours prête à écouter,une main prête à se tendre............... ..........L 'amitié c'est des mots de réconfort à volonté,des conseils à discrétion,des bras grands ouverts......... . ................LA OU MON COEUR VA................ . Là où je vais comme la rosée qui s'éteint aux premiers rayons du matin demain je partirai........... Ici,je ne peux rester plus longtemps vois-tu,là où je vais je sais que l'on m'attend............... J'avancerai,vers ma nouvelle destinée remplie de sérénité comme une blanche mariée........ Parce que là où je vais je sais que l'on m'attend tu verras comme ils sont nombreux.......... Ceux et celles qui m'espéraient ils seront si heureux alors ne sois pas inquiet......... Là où je vais,il n'y a plus de pleurs l'été est perpétuel et les arbres sont toujours en fleurs..... Le jour à chassé la nuit et je n'ai plus peur enfin,comme je me sens bien entourée des miens...... Par malheur,j'ai dû vous quitter je sais que vous êtes affligés mais ne soyez,ni tristes,ni préoccupés............. Je suis bel et bien arrivé jetez vos armes séchez vos larmes je vous fais le serment cas compter de maintenant et pour l'éternité jamais plus,je ne vous quitterai ni cesserai de vous AIMER........... . ..................MON PETIT CHIEN.............. . .........Il était triste le petit chien assis tout seul dans le chemin............... .........Il regardait les gens passer et ses yeux étaient mouillés............... .........Oh,bien sûr on le caressait en passant mais on repartait........... .........Et jamais on ne demandait au petit chien la cause de son chagrin................ .........Il était triste le petit chien abandonné dans ce chemin.......... .........Par d'innommables vacanciers partis dieu sait vers quelle contrée................ .........Il était triste le petit chien alors,je me suis approchée................. .........J'ai pris sa tête entre mes mains et je l'ai consolé........... .........On a parlé longtemps tous les deux lui,avec ses yeux............. .........Moi,avec mes mains qui le caressaient je lui ai demandé............. .........S'il voulait être mon petit chien il m'a léché la main,il a remué la queue............. .........Et on est repartit tous les deux,par le grand chemin,moi et mon petit chien.......... . ................AMITIES A CEUX QUI T-ON AIMER................ . . |
Déposé par rafia le 12/05/2014'Amitié Comme un arbre, l'amitié grandit au fil des ans. Ses racines prennent de la vigueur et lui permettent de devenir grande et forte. C'est de cette façon que la nôtre s'est développée, et malgré nos hauts et nos bas, nous avons vu grandir ce partage de notre quotidien. Aujourd'hui, pour s'apercevoir que l'autre a besoin d'un peu d'attention ou simplement de notre présence, nul n'est besoin de se parler. Je remercie la vie de t'avoir mis sur ma route; vraiment, ce fut l'un des plus beaux cadeaux qu'elle m'a fait. Tout comme moi, tu es un arbre qui a essuyé bien des tempêtes et des ouragans. Contre vents et marées, nous avons toujours su garder le moral, apprécier le retour du soleil et régénérer nos forces dans les moments d'accalmie. Le plus merveilleux pour moi est de voir que nous sommes encore côte à côte. Comme deux vieux arbres, nous sommes toujours empreints de la même vigueur et du même besoin de survie qui nous ont permis de rester debout jusqu'à ce jour. La vie nous réserve sûrement encore bien des surprises, mais rien ne pourra détruire ce merveilleux bien qui nous unit. Continuons à prendre soin des racines de notre amitié, de façon à ce que nous puissions encore longtemps partager notre quotidien et apprécier chaque jour que nous vivons. Andrée Lapierre., |
Déposé par rafia le 09/05/2014Poème sur l'Amitié Beaucoup de gens vont entrer et sortir de votre vie Mais seuls les vrais amislaisseront leur empreinte dans votre coeur. Pour savoir comment vous y prendre avec vous-même , utilisez votre tête . Mais pour savoir comment vous y prendre avec les autres utilisez votre coeur. Si quelqu'un vous trahit une fois , c'est sa faute . S'il vous trahit deux fois c'est votre faute . Les grands esprits parlent d'idées . Les esprits moyens parlent évènements . Les esprits petits parlent des gens, Celui qui perd de l'argent perd beaucoup, Celui qui perd un ami perd beaucoup plus, Celui qui perd la foi , perd tout . Eleanor Roosevelt., |
Déposé par rafia le 07/05/2014L'amitié et l'ami La réelle amitié d'un ami est sacrée, Un merveilleux trésor qu'il faut protéger. On peut se passer de l'amour, Mais l'amitié il en faut toujours. À qui confier nos joies, nos chagrins ? Si ce n'est à un ami, tel un frangin. Il est agréable de se sentir indispensable, Quand lui vit des problèmes semblables. L'amitié c'est beau, mais tellement rare, Que la vie parfois ainsi nous sépare. On oubliera jamais le véritable ami, À qui on s'est confié sur sa vie. Mais on oubliera bien plus vite, Ces faux amis qui autour de nous gravitent. Max Alexis ************** Il ne faut pas avoir peur J'avais peur d'être trop aimé//e jusqu'à ce que... J'apprenne à ne plus redouter cet excès. J'avais peur de l'absence, de mes trésors "westies",jusqu'à ce que... Je me rende compte que je ne pourrais jamais la combler. J'avais peur que l'on doute de moi jusqu'à ce que... Je comprenne que je devais croire en moi-même. J'avais peur de la douleur, jusqu'à ce que... J'apprenne qu'elle était nécessaire pour grandir. J'avais peur de ma franchise jusqu'à ce que... Je découvre que je ne pouvais faire autrement. J'avais peur de la mort, jusqu'à ce que... J'apprenne qu'elle n'était pas une fin mais un commencement. J'avais peur de la haine, jusqu'à ce que... Je me rende compte qu'elle n'était pas autre chose que de l'ignorance. J'avais peur du ridicule en société, à cause de ma timidité, jusqu'à ce que... J'apprenne à rire de moi-même. J'avais peur de vieillir, jusqu'à ce que... Je comprenne qu'il fallait user de ce que la science ns offrait. J'avais peur de ce que les gens pensaient de moi, jusqu'à ce que... Je me rende compte, quoique je fasse,.. ils auraient une opinion sur moi.!!! J'avais peur de penser au bonheur perdu de mon Liban, jusqu'à ce que... Je comprenne que jamais je ne pourrais oublier ma vie, là-bas. J'avais peur de l'obscurité, jusqu'à ce que... Je contemple la beauté d'une nuit étoilée J'avais peur du changement, jusqu'à ce que... Je voie une chrysalide devenir un beau papillon. J'avais peur de ne pas être un bon prof jusqu'à ce que Je comprenne qu'il me suffisait de faire de ma profession, un sacerdoce. J'avais peur de mal transmettre mon relatif savoir jusqu'à ce que... Je comprenne que j'étais appréciée de mes pairs et de ma hiérarchie. Oublions nos peurs afin que nos vies deviennent de plus en plus riches et belles. Et ce, sans jamais faillir. Faisons ns confiance, ns y gagnerons en épanouissement. Aimons la VIE Car rien n'est plus beau que la vie !!! J'ai enclenché, une nouvelle fois, le compte à rebours... Départ de CDG le 12 mai à 17 h 10..heureusement, un vol de nuit....et arrivée (sous réserve que mon avion ne soit pas retardé !!!)..à 19 h 50, tjrs le 12 mai à JFK..où ma soeur et son mari, m'attendront. Et tjrs la pénible impression de faire du...sur-place, à cause du décalage horaire et malgré un vol de près de 8 heures. J'ai un leitmotiv que je m'oblige à faire tourner ds ma tête...."hauts les coeurs Maryem...crois encore en ta bonne étoile" !!! Et, l'heure des "au-revoir" sonnée, avec ts ceux qui m'aiment....c'est à cela que je vais me raccrocher, sans faillir, pr masquer mes incertitudes et mon désespoir de quitter.... ts ceux que j'aime, dont notre Paramour-chérie. C'est encore elle la plus pénalisée...car il est impossible de lui justifier mon absence. En mon absence, j'ai bcp de chance, car notre très dévouée Magalie et merveilleuse jardinière...se chargera de l'arrosage, mais aussi de valider messages & bouquets reçus.... chez mes petits trésors...déchargée le + souvent possible (pr les arrosages)... par mon fils Maël, lequel assumera l'intérim pr fleurir ts mes petits anges, en sachant qu'il va être indisponible quelques temps. Il part en reportage (au profit de son Ecole de Journalisme), en Pologne. Mais..une certitude, comme d'habitude..il fera le maximum pr être présent sur le site. Mille mercis pr votre belle amitié, jamais démentie. Mille bisous et excellent long WE. Tendresse pr Miss Violet Votre amie Maryem Mea culpa pr mes fautes...MERCI pr votre générosité. |
Déposé par rafia le 05/05/2014Un sourire Un sourire ne coûte rien, mais il rapporte beaucoup. Il enrichit celui qui le reçoit sans appauvrir celui qui le donne. Il suffit d'un moment pour esquisser un sourire, mais son souvenir est parfois inoubliable. Nul n'est si riche ou si puissant qu'il puisse s'en passer et nul n'est si pauvre qu'il ne puisse s'enrichir en le donnant. Un sourire crée le bonheur au foyer, encourage la bienveillance en affaires et scelle l'amitié. Il apporte le repos à ceux qui sont fatigués, la joie à ceux qui sont découragés, le soleil à ceux qui sont tristes. C'est le meilleur antidote de la nature contre les tracas de la vie. On ne peut l'acheter, l'emprunter ou le voler, car il n'a de valeur que lorsqu'il est donné. Si vous rencontrez quelqu'un qui ne vous donne pas le sourire que vous méritez, soyez généreux, offrez-lui le vôtre. Car personne n'a autant besoin d'un sourire que celui qui ne peut en accorder aux autres... (Frank Irving Fletcher), |
Déposé par tacholoula le 01/05/2014Carillonnez ! car voici Mai ! Cloches naïves du muguet ! Allez rejoindre le pays des fées qui déja, dansent en rond sur la bruyére amitié |
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