En hommage à

MORGANE
1996 / 2011


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En hommage à
MORGANE
GOLDEN-RETRIEVER
Il est né le:10/01/1996
Il nous a quittés le:28/12/2011
 

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En hommage à MORGANE




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1034 messages

Déposé par rafia le 03/06/2014  
Un chien accompagne un ancien combattant
Un ancien combattant revenu d'Irak réapprend à vivre grâce à Gunner, un labrador attachant.
C'est une bien belle histoire qui est en train de s'écrire entre Gunner, le labrador, et cet ancien soldat qui a combattu en Irak. En effet, Brian K Pearce est revenu de deux mois de coma et semblait diminué aussi bien sur un plan physique (champ de vision réduit, pertes de mémoire...) que psychologique (traumatismes d'après guerre...) à son réveil et les jours suivants.
C'est alors que Gunner, un chien d'aveugle, est entré dans sa vie et l'a ainsi aidé à traverser les épreuves mais surtout à lui redonner la joie de vivre.
Plus qu'un soutien, Gunner est devenu un véritable ami pour Brian K Pearce et lui permet petit à petit de remonter la pente après le traumatisme subi en Irak.
Cette belle histoire n'est pas un cas isolé affirme le fondateur de l'association de chien d'aveugle puisque beaucoup de gens se sont déjà faits accompagnés par des chiens pour aveugle afin de les soutenir dans leur quotidien mais surtout pour retrouver le goût de vivre !
Dans le même esprit, retrouvez notre article sur le chien qui vient à la rescousse d'un homme de 78 ans.
Source et crédit photo : letribunaldunet,
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Déposé par ovanek le 30/05/2014  
*****
T'oublier, Toi ?
Jamais
Ca m'as pris une minute pour te remarquer
Une heure pour t'apprécier
Un jour pour t'aimer...
Et j'aurais besoin de toute une vie
pour T'oublier !!
*****
Tu as pris ton envol….pour une nouvelle destination celle du paradis
mais saches qu'on ne t'oubliera jamais ..... et qu'un jour on te reverras
nos pensées pour toi sont gravées dans notre cœur à jamais.
Si les oiseaux peuvent voler, nous on sait t'aimer.
Si les oiseaux s'arrête de voler pour ce reposer,
nous on ne sait pas s'arrêter de t'aimer.
*****
Chaque soir avant de t’endormir
regarde à la fenêtre
et toutes les étoiles
que tu verras sont les milliers de papouilles que
je t'envoie !!!
*****

Déposé par rafia le 28/05/2014  
Une humanisation de plus en plus importante des animaux de compagnies
Considérés comme un membre de la famille à part entière, les animaux de compagnies reçoivent les plus belles attentions. Des huiles essentielles aux produits alimentaires bio, le nombre de produits spécialisés pour nos compagnons ne cesse d’augmenter et les budgets qui y sont dédiés explosent.
Les enjeux économiques sont forts : vêtements, bijoux, vernis, teintures, draps, calendriers de l’Avent garnis de croquettes, tout est possible pour nos animaux chéris. Un nouveau marché dont le potentiel n’est pas à négliger, même le secteur tertiaire s’y met. Effectivement, il existe aujourd’hui des comportementalistes, des coachs pour animaux permettant à nos compagnons de ne pas être trop stresser, de faire attention à leur poids… Des animaux humanisés ?
Les dépenses occasionnées par les propriétaires de chiens ou de chats peuvent parfois paraitre incompréhensibles mais, comme nous le souligne Fanny Lamarque, gérante d’une animalerie de luxe à Cannes, « chacun fait ce qu’il veut de son argent, plutôt que de traiter de gagas ceux qui dépensent de l’argent pour leur animal on devrait plutôt se rebeller contre ceux qui les maltraitent. »
Et vous, qu’en pensez-vous ?
Source et crédit-photo : Varmatin,

Déposé par CHIPIE66 le 25/05/2014  
"Nous préparons notre avenir mais rarement notre voyage pour l'éternité.
Ce qui est tout a fait compréhensible me direz-vous.
Nous y réfléchissons bien sûr mais intérieurement nous pensons,
Que le plus tard sera le mieux et pourtant,
Nous savons qu'un moment donné cet instant arrivera.
Nous ne pourrons y échapper car celui-ci sera furtif et imprévu.
Pourquoi écrire sur ce sujet et bien...
En peu de temps j'ai eu près de moi des personnes proches
Qui sont parties pour ce voyage inédit.
Ceci est loin d'être facile car cette situation comporte de la souffrance.
Leurs yeux se sont fermés ,pour l'éternité et une autre destination.
Elles sont hors de notre portée et,
Ce qui est douloureux c'est de ne pas savoir où elles sont.
Et paradoxalement nous avons des témoignages qui nous disent,
Qu'elles sont juste de l'autre côté de la route
Alors vous me direz, c'est facile à dire mais difficile à imaginer.
Nous savons que notre voyage terrestre est temporaire.
Que nous sommes ici bas pour une raison bien précise.
Nous sommes là pour grandir et évoluer.
Nous ne pouvons imaginer justement que ce voyage s'arrêtera complètement sans rien après.
C'est impossible et ceci n'aurait aucun sens.
Je vais vous dire comment je vois ce voyage intemporel.
Je sais que je les retrouverai comme tous ceux que j'ai aimé inconditionnellement.
Pour moi c'est une destination vers l'amour empreinte de douceur et de tendresse infinie.
Évidemment quand une personne proche quitte le plan terrestre.
La souffrance est immense car nous ne la verrons plus.
Son absence physique nous manquera beaucoup.
Et pourtant notre énergie Divine la rejoindra à travers les rêves que nous ferons.
La musique que nous écouterons nous la rappellera.
Elle sera là d'une autre façon.
Ce que les yeux ne voient pas, le cœur peut le ressentir.
Elles nous rejoindrons à travers notre âme.
C'est ainsi que nous commencerons notre voyage.
Tout simplement en imaginant que nos proches sont juste de l'autre côté de la route.
Avant de partir faire ce voyage pour l'éternité.
Faisons de celui-ci, un voyage extraordinaire.
Qu'il soit fait d'amour et des plus beaux sentiments qui existent.
Et le moment venu nous serons prêts pour ce voyage vers l'éternité.
Mais le plus tard possible...
*************
Caresses à la Belle MORGANE, qu'elle puisse reposer en paix.
Prenez bien soin de Vous.
Amitié.
**********

Déposé par myriam31 le 24/05/2014  
Ces quelques lignes de la part de votre petit ange, pour fêter la fête des mères, pour une maman formidable et aimante. Il ne lui manquait que la parole pour vous adresser ce petit message de tendresse.
"En l'honneur de la fête des mères, une maman que je connais bien mérite d'être tout particulièrement célébrée. C'est certainement la plus douce, la plus aimante des mamans qui existent au monde. Et puis, par chance, il se trouve que c'est la mienne ! Bonne fête à ma maman chérie."
Bien amicalement

Déposé par rafia le 23/05/2014  
«  Va la chercher!  » : Un chien héroïque sauve la vie d'une fillette
L’homme aperçoit une fillette qui se débat dans l’eau glacée, hors de sa portée. Il crie aussitôt à son chien : «  Va la chercher!  »
LISA FITTERMAN
Deux jeunes soeurs empruntent un sentier non loin d’une passerelle. De là, elles contemplent la rivière Saskatchewan-Nord qui serpente dans la vallée entre deux rives gelées.
Mais elles se lassent vite. Cheveux bruns et expression résolue, Krymzen descend un sentier recouvert de neige. Elle a 10 ans. Samara, sa cadette d’un an, visage rond et d’adorables fossettes, la suit. Elles se dirigent vers le seul lieu que leur mère leur a défendu d’approcher… la rivière. Et ses festons de glace.
Les fillettes avancent à petits pas prudents sur la glace. Leurs bottes de caoutchouc baignent dans l’eau. Puis il se produit un craquement sourd.
Rocky court devant Adam et Kelsey Shaw, essayant de renifler un maximum avant d’arriver au camion de son maître. Rocky est un grand chien de huit ans au poil hirsute, enjoué, avec un brin d’indépendance. Il n’est pas prêt à rentrer à la maison. Il adore chasser et rapporter, surtout s’il faut se mouiller.
Venus de Fort Saskatchewan, à 25 km au nord d’Edmonton, les Shaw ont passé un bel après-midi au parc. Ici, les grands sentiers dégagés permettent de bien circuler avec la poussette où dorment leurs jumeaux. En trois heures, ils n’ont croisé qu’une poignée de marcheurs endurcis dans leur genre. Vers 16 h 20, ils empruntent la passerelle du parc pour regagner le stationnement. C’est alors qu’ils entendent des cris.
Ils regardent par-dessus la rambarde. Ils sont alors pétrifiés quelques secondes par une scène d’horreur : une petite fille a traversé la glace, une autre essaie de la tirer de là.
« On vous voit ! hurlent-ils. On arrive ! » Pendant que sa femme fait le 911, Adam lance : « Rocky, on descend ! » L’homme de 28 ans dévale le même talus que les deux fillettes. Il enfonce dans la neige, parfois jusqu’aux hanches, mais pas question de ralentir. Le souvenir lui revient de Ben, son frère et meilleur ami, tué dans une collision frontale sur l’autoroute six semaines auparavant, durant un blizzard le jour de la Saint-Valentin. « Pas aujourd’hui, se dit-il. Personne ne mourra aujourd’hui. »
Krymzen voit le couple s’égosiller du haut de la passerelle, mais elle ne peut attendre : sa sœur est dans l’eau. En entendant le craquement, elle a fait demi-tour et s’est mise en sûreté. Samara, non. À présent, Krymzen donnerait n’importe quoi pour retourner en haut et ne jamais descendre. Pourquoi se sont-elles aventurées sur la glace ? « Peux-tu attraper ma main ? » crie-t-elle à sa sœur qui se débat à la surface. Mais voilà que la glace cède sous son poids et elle tombe à l’eau, elle aussi, tout en se cramponnant à un éperon de glace. Puis l’homme au chien se penche au-dessus d’elle, la soulève et la dépose en sûreté.
« Ma femme est là, sur le pont, dit-il en la montrant du doigt. Elle a appelé les secours et va t’aider. Attends-la. Ne bouge pas. »
Krymzen frissonne. « Ma sœur ! Où est ma sœur ? »
Miranda Wagner vient de sortir la dinde du four quand on frappe à la porte. Son mari Cory Sunshine, un travailleur du pétrole, est en congé à la maison, mais ne peut répondre, car il s’occupe des deux fils cadets. Elle s’essuie les mains, ouvre. C’est le petit voisin de six ans qui est là, très énervé.
« Les filles sont à l’eau !
— Dans une mare ?
— Non, dans la rivière, répond le garçon. Samara flotte à la dérive. »
Sa petite fille potelée, tombée à l’eau ? Miranda reste figée. Puis elle secoue la tête, hurle à son mari de surveiller les garçons et se précipite à l’extérieur. Une prière muette remue ses lèvres. Les paroles du gamin résonnent dans sa tête.
Dans le courant qui l’emporte, Samara prie elle aussi, avec la même ferveur qu’à l’école catholique Sainte-Bernadette.
« De grâce, Seigneur, laissez-moi vivre », implore-t-elle silencieusement. Elle a déjà perdu son manteau et une botte rose. Ses parents seront furieux ! Pour avoir des ennuis, tu dois survivre, lui chuchote une voix intérieure. Il fait si froid, plus froid qu’elle n’aurait cru possible. Elle sait nager, mais en est incapable. Pas là-dedans. Ses membres refusent. Huit minutes se sont écoulées -depuis qu’elle est tombée à l’eau. Elle a beau n’avoir que neuf ans, elle sait que le temps lui est compté.
Krymzen sanglote pendant qu’Adam cherche sa sœur des yeux. Il la repère rapidement, un peu plus loin en aval, grâce à son t-shirt rouge et à son collant rose. Rocky et lui s’élancent, mais la glace fondante est recouverte de 15 cm de neige, et l’enfant flotte à un mètre et demi de la croûte solide, emportée comme un morceau de bois par le courant. Elle pourrait tout aussi bien se trouver à cinq kilomètres d’Adam  chaque fois qu’il tente d’avancer vers elle, il sent la glace ployer sous lui. « Je ne peux pas bouger mes bras, ni mes jambes », crie-t-elle. En homme qui travaille dans les champs de pétrole et qui pratique le plein air, Adam reconnaît bien les symptômes d’hypothermie. Les muscles de Samara sont paralysés parce que tout son sang afflue aux organes internes pour les réchauffer. Bientôt, elle perdra connaissance, et ses fonctions vitales s’arrêteront. Elle n’a plus que quelques minutes à vivre.
Adam lance la laisse de Rocky dans sa direction. Trop court. Il recommence un peu plus loin, mais – Dieu ! – la glace cède sous son poids et celui du chien, et il se retrouve dans l’eau jusqu’au cou, Rocky nageant à côté du lui. Quand il essaie de se soulever, le bloc de glace immergé sur lequel il s’appuie se dérobe sous ses pieds, et il doit nager frénétiquement pour se sauver lui-même.
Dix secondes, puis vingt – l’heure tourne. Rocky prend enfin appui sur une plaque qui tient bon. Adam le pousse hors de l’eau et sort à son tour en s’accrochant au cou du chien. Il se relève en titubant et cherche Samara des yeux. À une quinzaine de mètres, il aperçoit une tête sombre et une tache rouge.
L’homme et le chien repartent en courant, se rapprochent, mais la glace cède de nouveau. Adam reste là, impuissant, Rocky à ses côtés.
Que faire ?
La réponse fuse dans sa tête dictée par la confiance qu’il met dans son chien – ce chien qui porte le nom d’un boxeur de cinéma devenu champion contre toute attente.
Rocky, chasseur et rapporteur hors pair, si heureux au froid qu’il a déjà creusé une grotte dans la neige et joué dedans par moins 46 degrés Celsius. Rocky, prêt à tirer jusqu’à la rive une Kelsey paresseusement accrochée à sa laisse. Pourquoi ne recommencerait-il pas aujourd’hui ?
« Je vais attacher solidement la laisse et faire sauter le chien à l’eau un peu plus bas, hurle-t-il à Samara. Accroche-toi à lui, à la laisse, à sa fourrure, à n’importe quoi et ne lâche pas. »
Le chien est leur dernière chance.
« Rocky, vas-y ! » L’animal se jette à l’eau et nage vigoureusement à contre-courant pour rejoindre Samara. À bout de forces, elle le regarde approcher, les oreilles collées au crâne. Elle aime les chiens, même les grands, et n’a pas peur de lui, mais c’est à peine si elle parvient à garder les yeux ouverts quand il la pousse de sa truffe. Elle n’essaie pas d’attraper la laisse.
Rocky lui donne un coup de patte comme pour dire : « Dépêche-toi, nous n’avons pas de temps à perdre. » Il est calme, solide comme le roc. Samara sent une partie de cette force passer en elle. Elle attrape la laisse. Rocky fera le reste, elle le sait.
« Tiens-toi à deux mains », crie Adam avant d’ordonner : « Rocky, viens ! »
Samara ferme enfin les yeux, le chien la ramène au bord. Adam la tire de l’eau et la serre dans ses bras. Il a l’impression de tenir un glaçon.
« Tiens bon, dit-il. Tiens bon. »
Il sursaute en entendant la sonnerie de son portable. Difficile de croire que l’appareil fonctionne encore après son bain forcé. Le responsable des urgences 911 est au bout du fil.
Il est 16 h 35. À peine 15 minutes se sont écoulées depuis qu’Adam a gravi la passerelle, dans une autre vie. Le trio trempé se prépare à attendre. Rocky et Adam encadrent
Samara pour la soutenir et tenter de la réchauffer.
« C’est bon », murmure sans arrêt Adam comme s’il récitait un mantra.
Miranda entre en trombe à l’hôpital de l’Université de l’Alberta en réclamant ses filles. Elle trouve une Krymzen contrite et larmoyante au fond d’un lit, sous une couverture chauffante. Samara dégèle au centre de traumatologie dans un cocon de couvertures. Le sang de Miranda se glace quand les médecins lui expliquent que sa fille n’avait que deux petites minutes à vivre lorsque Rocky l’a remorquée jusqu’à la berge.
« Maman, j’ai failli mourir. »
Miranda voudrait rire, hurler, pleurer. Sermonner ses filles, les raisonner, ne plus jamais les laisser hors de sa vue.
Mais elle ne peut que serrer très fort Samara contre elle.

Déposé par rafia le 22/05/2014  
EXPLOIT de Roselle LABRADOR blonde.
Publié par Alpharococo in Chiens
Tags11 septembre 2001, héros canin
Michael Hingson était à son bureau du 78e étage de la tour nord du World Trade Center le matin du 11 septembre 2001. Il a survécu pour raconter son histoire grâce à son chien guide, Roselle. La labrador blonde a calmement guidé son maitre non-voyant parcourant les 1463 pieds les séparant de la sortie de l’édifice et alors que débris et poussière tombait sur eux, elle trouva une station de métro, assurant leur sécurité.
Roselle est décédée en juin 2011 à l’âge de 13 ans mais sont héroïsme vivra à jamais. "Elle m’a sauvé la vie" écrivit Hingson sur le site de l’American Humane Association. Juste comme ils sortaient du building le jour du 11 septembre, la tour sud s’effondrait. "Pendant que tout le monde paniquait, Roselle est demeurée complètement concentrée sur son travail" mentionna Hingson.
11 ans après ces tragiques attentats, j’aimerais souligner et saluer le courage dont Roselle a fait preuve.
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Déposé par rafia le 21/05/2014  
L'ami
Auteur : Aliza Claude Lahav
Depuis peu j'ai un nouvel ami. Il est toujours réconfortant de se dire que l'on est encore capable de se faire de nouveaux amis. Une nouvelle amitié c'est un renouveau d'espoir et d'énergie. C'est la vie qui s'écoule et qui met sur notre chemin des rencontres qui, on ne sait pourquoi, deviennent plus significatives que d'autres. L'amitié est une plante fragile, elle pousse sur tout terrain mais elle demande beaucoup de soins et d'attention.
Dès son ensemencement il est évident qu'elle ne ressemble qu'à elle-même et qu'il est inutile de reproduire des schèmes de développement connus. Il faudra la soigner, l'arroser, l'alimenter, la biseauter, la chouchouter, l'écouter, lui parler… en un mot la façonner à nos besoins et à notre image. Un ami c'est un cadeau mais il faut le mériter.
J'ai fait la connaissance de mon nouvel ami sur Internet, grâce au cahier de brouillons.
Une grand-mère et un jeune garçon de quinze ans trouvent des points d'intérêt communs, des sujets de conversation, des échanges d'idées. Est-ce qu'une telle rencontre peut se produire dans une vie non virtuelle ? Je ne le crois pas, dans la vraie vie les générations nous séparent alors que sur le Net les anciens retrouvent leur jeunesse et les jeunes présentent leur côté mature.
Peut-être parce qu'il ne s'agit pas d'une conversation face à face, mais d'un dialogue qui a une dynamique bien spécifique que nous devrions prendre en ligne de compte dans tous nos échanges, avec tous nos amis internautes. En effet, la relation sur Internet est encore plus complexe que dans la vie de tous les jours dans ce sens qu'elle incite à une projection permanente de nous-mêmes. C'est-à-dire que nos interprétations priment et que souvent nous attribuons à autrui nos propres pensées, il peut arriver que nous n'aimions pas toujours les interprétations des autres sur nos idées.
Pourtant, seul le principe de réciprocité peut nous enrichir et nous avons besoin du " regard virtuel " de l'autre pour parfaire notre identité de penser. Internet a élargi notre monde nous permettant des possibilités d'échanges qui étaient impensables il y a quelques années, il nous offre également les moyens de nous ouvrir aux autres et à nous-mêmes. Ces dernières années j'ai eu la chance d'acquérir de nombreux amis, d'ailleurs la plupart d'entre eux lisent ces lignes en ce moment.
Belle expérience que l'internautamitié !!!

Déposé par rafia le 20/05/2014  
L'amitié et l'ami
La réelle amitié d'un ami est sacrée,
Un merveilleux trésor qu'il faut protéger.
On peut se passer de l'amour,
Mais l'amitié il en faut toujours.
À qui confier nos joies, nos chagrins ?
Si ce n'est à un ami, tel un frangin.
Il est agréable de se sentir indispensable,
Quand lui vit des problèmes semblables.
L'amitié c'est beau, mais tellement rare,
Que la vie parfois ainsi nous sépare.
On oubliera jamais le véritable ami,
À qui on s'est confié sur sa vie.
Mais on oubliera bien plus vite,
Ces faux amis qui autour de nous gravitent.
Maxalexis.,
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Pas encore familiarisé avec les messages joints aux bouquets.
Je fais de mon mieux.
Espérant que ce soit positif.
Très respectueusement.
Maël S-M

Déposé par rafia le 19/05/2014  
Ecoute moi
Écoute-moi, s'il te plaît, j'ai besoin de parler.
Accorde-moi seulement quelques instants,
Accepte ce que je vis, ce que je sens,
Sans réticence, sans jugement.
Écoute-moi, s'il te plaît, j'ai besoin de parler.
Ne me bombarde pas de conseils et d'idées,
Ne te crois pas obligé de règler mes difficultés.
Manquerais-tu de confiance en mes capacités ?
Écoute-moi, s'il te plaît, j'ai besoin de parler.
N'essaie pas de me distraire ou de m'amuser,
Je croirais que tu ne comprends pas
L'importance de ce que je vis en moi
Écoute-moi, s"il te plaît, j'ai besoin de parler.
Surtout, ne me juge pas, ne me blâme pas.
Voudrais-tu que ta moralité
Me fasse crouler de culpabilité ?
Écoute-moi, s'il te plaît, j'ai besoin de parler
Ne te crois pas non plus obligé d'approuver
Si j'ai besoin de me raconter
C'est simplement pour être libéré
Écoute-moi, s'il te plaît, j'ai besoin de parler
N'interprète pas et n'essaie pas d'analyser
Je me sentirais incompris et manipulé
Et je ne pourrais plus rien te communiquer
Écoute-moi, s'il te plaît, j'ai besoin de parler.
Ne m'interromps pas pour me questionner,
N'essaie pas de forcer mon domaine caché.
Je sais jusqu'où je peux et veux aller
Écoute-moi, s'il te plaît, j'ai besoin de parler.
Respecte les silences qui me font cheminer.
Gardes-toi bien de les briser,
C'est par eux bien souvent que je suis éclairé.
Alors maintenant que tu m'as bien écouté
Je t'en prie, tu peux parler
Avec tendresse et disponibilité
À mon tour, je t'écouterai
Jacques Salomé
,

Déposé par rafia le 18/05/2014  
Le vieux et son chien
S'il était le plus laid
De tous les chiens du monde,
Je l'aimerais encore
A cause de ses yeux.
Si j'étais le plus laid
De tous les vieux du monde,
L'amour luirait encore
Dans le fond de ses yeux.
Et nous serions tous deux,
Lui si laid, moi si vieux,
Un peu moins seuls au monde
A cause de ses yeux.
Pierre Menanteau
( Ce que m'a dit l'alouette )

Déposé par CHIPIE66 le 11/05/2014  
Lorsqu'un chien entre dans une famille, il devient membre à part entière de cette famille. Il donne de la joie, du bonheur, il manifeste un amour inconditionnel, sans jamais demander rien en retour si ce n'est une caresse...
Mais vient le moment où tu te rends compte que ton Ami est toujours plus fatigué, ses jeux deviennent moins exubérants. Le déclin a commencé, et un jour, il s'endort pour toujours. Alors la tristesse entre dans ta maison, mais c'est bon de penser que cet éloignement, quelque douloureux qu'il soit, n'est que temporaire et qu'un jour nous retrouverons notre Ami(e) sur le "Pont de l'Arc en Ciel"....
Avec toute ma tendresse pour toi et mon amitié pour"ta petite MAMAN".
Repose en paix.
************

Déposé par zenelle le 08/05/2014  
Je cueillerai pour toi
Je cueillerai pour toi les fleurs de mon jardin,
Ce ne sera vraiment qu'un modeste bouquet,
Sur ta tombe en pleurant j'irai le déposer...
Je cueillerai pour toi les fleurs de mon jardin.
Je cueillerai aussi la rosée du matin,
La tristesse d'un jour qui commence sans toi,
Un souvenir lointain qui revient et s'en va...
Je cueillerai aussi la rosée du matin.
Je cueillerai enfin les larmes de mes yeux,
J'en ferai un collier de perles de chagrin,
Et je te l'offrirai dans son plus bel écrin...

Déposé par rafia le 05/05/2014  
Un sourire
Un sourire ne coûte rien, mais il rapporte beaucoup.
Il enrichit celui qui le reçoit sans appauvrir celui qui le donne.
Il suffit d'un moment pour esquisser un sourire, mais son souvenir est parfois inoubliable.
Nul n'est si riche ou si puissant qu'il puisse s'en passer et nul n'est si pauvre qu'il ne puisse s'enrichir en le donnant.
Un sourire crée le bonheur au foyer, encourage la bienveillance en affaires et scelle l'amitié.
Il apporte le repos à ceux qui sont fatigués, la joie à ceux qui sont découragés, le soleil à ceux qui sont tristes.
C'est le meilleur antidote de la nature contre les tracas de la vie.
On ne peut l'acheter, l'emprunter ou le voler, car il n'a de valeur que lorsqu'il est donné.
Si vous rencontrez quelqu'un qui ne vous donne pas le sourire que vous méritez, soyez généreux, offrez-lui le vôtre.
Car personne n'a autant besoin d'un sourire que celui qui ne peut en accorder aux autres...
(Frank Irving Fletcher),

Déposé par rafia le 02/05/2014  
Amitié
Il faut, dans ce bas monde, aimer beaucoup de choses,
Pour savoir, après tout, ce qu’on aime le mieux,
Les bonbons, l’Océan, le jeu, l’azur des cieux,
Les femmes, les chevaux, les lauriers et les roses.
Il faut fouler aux pieds des fleurs à peine écloses ;
Il faut beaucoup pleurer, dire beaucoup d’adieux.
Puis le coeur s’aperçoit qu’il est devenu vieux,
Et l’effet qui s’en va nous découvre les causes.
De ces biens passagers que l’on goûte à demi,
Le meilleur qui nous reste est un ancien ami.
On se brouille, on se fuit.
Qu’un hasard nous rassemble,
On s’approche, on sourit, la main touche la main,
Et nous nous souvenons que nous marchions ensemble,
Que l’âme est immortelle, et qu’hier c’est demain.
Alfred de Musset.,

Déposé par ovanek le 01/05/2014  
Enfin te voilà,
Un joli brin de senteur
Petit brin de bonheur
Sur les ailes de ton cœur
Pose sa blancheur
Vive les clochettes
D’un petit brin de muguet
Rends la vie plus gaie
De ton essence irriguée

Déposé par rafia le 01/05/2014  
Amitié
Il faut, dans ce bas monde, aimer beaucoup de choses,
Pour savoir, après tout, ce qu’on aime le mieux,
Les bonbons, l’Océan, le jeu, l’azur des cieux,
Les femmes, les chevaux, les lauriers et les roses.
Il faut fouler aux pieds des fleurs à peine écloses ;
Il faut beaucoup pleurer, dire beaucoup d’adieux.
Puis le coeur s’aperçoit qu’il est devenu vieux,
Et l’effet qui s’en va nous découvre les causes.
De ces biens passagers que l’on goûte à demi,
Le meilleur qui nous reste est un ancien ami.
On se brouille, on se fuit.
Qu’un hasard nous rassemble,
On s’approche, on sourit, la main touche la main,
Et nous nous souvenons que nous marchions ensemble,
Que l’âme est immortelle, et qu’hier c’est demain.
Alfred de Musset.,
********************
Chère madame,
Je vs remercie pr votre délicate attention, laquelle me touche bcp.
Pr ce 1er mai, je formule pr vs et ts ceux que vs aimez, mes meilleurs voeux de BONHEUR...du bonheur, sans modération.
Amicalement
Votre amie
Maryem
************************
Le plaisir est le bonheur des fous, le bonheur est le plaisir des sages.
(Jules Barbey d'Aurevilly)

Déposé par rafia le 30/04/2014  
Le vieux et son chien
S'il était le plus laid
De tous les chiens du monde,
Je l'aimerais encore
A cause de ses yeux.
Si j'étais le plus laid
De tous les vieux du monde,
L'amour luirait encore
Dans le fond de ses yeux.
Et nous serions tous deux,
Lui si laid, moi si vieux,
Un peu moins seuls au monde
A cause de ses yeux.
Pierre Menanteau
( Ce que m'a dit l'alouette )
,

Déposé par ovanek le 29/04/2014  
*****
La richesse de nos cœurs … c’est le regard sur notre Complicité...
merci mon Chien pour cette belle aventure, qui durera pour l’éternité
Un compagnon est celui qui connaît tes sentiments que tu a dans ton cœur
et qui peut te les murmurer quand tu en a oublié leurs origines …
Mon Chien.. les nôtres sont liés pour toujours et ne se perdront jamais

Déposé par myriam31 le 29/04/2014  
Avec plein de bisous pour toi et ta maman
Joli mois de Mai…
Quelques brins de douceur
Quelques brins de bonheur
Pour apporter la chance
Et la joie à ceux qui t’aiment.
Je vous offre ce poème,
C’est bien peu
Mais c'est avec mon coeur
Que je vous souhaite
Toute une année de bonheur
De milliers de brins de muguet,
je recouvre ta jolie frimousse
Que ces clochettes t’apportent
Douceur, bonheur au paradis.
.Bien amicalement la maman de BB Lucky




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