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En hommage à MANON
YORKSHIRE-TERRIERIl est né le :28/01/1996
Il nous a quittés le :14/08/2008

En hommage à MANON
MANON, tu étais mon ange, ma petite fille pourrie gâtee, la reine des caprices, dans la portee dés le jour de ta naissance je savais que je te garderais tu m'as donné douze années de bonheur avant de disparaître brutalement je n'arrive toujours pas a faire le deuil, tu es repartie retrouver ta meilleure ennemie LOÏSE ELLE DISPARURE LE 13 JUIN 2008 |

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Déposé par poutounou le 25/10/2016Le voyage * Partir avant le jour, Ă tâtons, sans voir goutte, Sans songer seulement Ă demander sa route ; Aller de chute en chute, et, se traĂ®nant ainsi, Faire un tiers du chemin jusqu'Ă près de midi ; Voir sur sa tĂŞte alors s'amasser les nuages, Dans un sable mouvant prĂ©cipiter ses pas, Courir, en essuyant orages sur orages, Vers un but incertain oĂą l'on n'arrive pas ; DĂ©trempĂ© vers le soir, chercher une retraite, Arriver haletant, se coucher, s'endormir : On appelle cela naĂ®tre, vivre et mourir. La volontĂ© de Dieu soit faite ! * Jean-Pierre Claris de FLORIAN (1755-1794) |
Déposé par poutounou le 20/10/2016Certains jours, on se dit que le monde est rempli de haine, puis certaines fois, on Ă©coute des histoires comme celle de Alaa qui redonnent espoir. Cet homme a sauvĂ© 200 chats. Un immense respect Ă lui... * Des dizaines de chats abandonnĂ©s * Mohammad Alaa Aljaleel vit Ă Alep en Syrie. Vous savez tout comme moi Ă quel point ce pays est dĂ©vastĂ© par la guerre et la violence. De nombreuses personnes ont quittĂ© la ville dans l'espoir d'obtenir des jours meilleurs. Pour Alaa, ce n'est pas si simple. Il ne peut se rĂ©signer Ă quitter la ville tout en sachant Ă quel point de nombreuses vies dĂ©pendent de lui. * Alaa s'est occupĂ© de quelques chiens et de plus de 170 chats. Tous ces chats sont devenus errants suite aux nombreux dĂ©parts des habitants d'Alep. C'est tout naturellement que ces chats se sont tournĂ©s vers Alaa qui les a nourris et soignĂ©s pendant tout ce temps. * Alaa, le sauveur des chats * Les bonnes actions de Alaa se sont rĂ©pandues dans la ville. Lorsque des familles souhaitaient quitter le pays, elles dĂ©posaient systĂ©matiquement leur chat dans les mains de Alaa dans l'espoir qu'il le prenne en charge. * Une jeune fille qui avait Ă©levĂ© son chat depuis toujours l'a laissĂ© Ă Alaa. Ses parents souhaitaient quitter la ville, et il Ă©tait impossible d'emmener le chat. La jeune fille pria Alaa de lui envoyer des photos de son chat. Alaa, touchĂ© par la petite fille, lui promit de lui envoyer des photos autant que possible. "Vous pensez que je pourrai rĂ©cupĂ©rer mon chat quand je reviendrai ?" pleure la petite fille. * Le groupe de chats qui Ă©tait d'une vingtaine a donc grossi jusqu'Ă atteindre les 100 chats. Dans le but de trouver une maison pour tous ces chats, Alaa a fondĂ© un sanctuaire nommĂ© Il Gattoro d'Aleppo. * Cet homme est clairement le sauveur de ces chats. Il risque sa vie chaque jour sous les bombardements pour s'occuper de sa nouvelle famille. * Pour Alaa, aimer les gens c'est aussi aimer tous les ĂŞtres vivants. Et les animaux en font partie intĂ©grante. C'est pourquoi il se donne tant de mal Ă les aider. Comme il l'explique dans son interview pour la BBC, les bombardements et la guerre sont son quotidien, alors il fait tout son possible pour aider ces chats et se procurer un peu de bonheur. |
Déposé par poutounou le 15/10/2016C'est vrai qu'on a tendance Ă voir la couleur qui sait nous plaire... * L'habit d'Arlequin * Vous connaissez ce quai nommĂ© de la Ferraille, OĂą l'on vend des oiseaux, des hommes et des fleurs. A mes fables souvent c'est lĂ que je travaille ; J'y vois des animaux, et j'observe leurs moeurs. Un jour de mardi gras j'Ă©tais Ă la fenĂŞtre D'un oiseleur de mes amis, Quand sur le quai je vis paraĂ®tre Un petit arlequin leste, bien fait, bien mis, Qui, la batte Ă la main, d'une grâce lĂ©gère, Courait après un masque en habit de bergère. Le peuple applaudissait par des ris, par des cris. Tout près de moi, dans une cage, Trois oiseaux Ă©trangers, de diffĂ©rent plumage, Perruche, cardinal, serin, Regardaient aussi l'arlequin. La perruche disait : " J'aime peu son visage, Mais son charmant habit n'eut jamais son Ă©gal. Il est d'un si beau vert ! - Vert ! dit le cardinal ; Vous n'y voyez donc pas, ma chère ? L'habit est rouge assurĂ©ment : VoilĂ ce qui le rend charmant. - Oh ! pour celui-lĂ , mon compère, RĂ©pondit le serin, vous n'avez pas raison, Car l'habit est jaune-citron ; Et c'est ce jaune-lĂ qui fait tout son mĂ©rite. - Il est vert. - Il est jaune. - Il est rouge morbleu ! " Interrompt chacun avec feu ; Et dĂ©jĂ le trio s'irrite. " Amis, apaisez-vous, leur crie un bon pivert ; L'habit est jaune, rouge et vert. Cela vous surprend fort ; voici tout le mystère : Ainsi que bien des gens d'esprit et de savoir, Mais qui d'un seul cĂ´tĂ© regardent une affaire, Chacun de vous ne veut y voir Que la couleur qui sait lui plaire. " * Jean-Pierre Claris de FLORIAN (1755-1794) |
Déposé par poutounou le 11/07/2016Encore une histoire qui nous dĂ©montre Ă quel point ils sont "indispensables", nos amours Ă 4 pattes.... * PĂ©trus, un vĂ©ritable chien hĂ©ros Nous avons vĂ©cu, l'automne dernier, un moment difficile qui, sans la prĂ©sence de notre Fox PĂ©trus aurait pu ĂŞtre dramatique, voire mĂŞme catastrophique. Dans la nuit du 6 au 7 octobre, nous sommes profondĂ©ment endormis. PĂ©trus aboie, cela lui arrive rarement : il est respectueux du sommeil de ses maĂ®tres et s'il se manifeste c'est qu'il y a quelque chose : prĂ©sence de chats sur son territoire, passage et ou stationnement prolongĂ© de vĂ©hicules devant la maison, bruits inhabituels... * Cette nuit -lĂ donc PĂ©trus aboie. Comme chaque fois que cela se produit, je lui ordonne, depuis la chambre, de se coucher et de se taire, et les choses en restent lĂ . Mais cette nuit-lĂ il n'obĂ©it pas et il continue Ă donner de la voix, moi Ă lui ordonner de se taire et de se coucher ; cependant il se manifeste d'une manière tellement impĂ©rieuse et inhabituelle que je me vois obligĂ©e de me lever. *ArrivĂ©e dans l'entrĂ©e, je trouve notre chien qui m'ignore et qui cherche Ă sortir, je lui intime l'ordre de se coucher, il persiste dans sa demande de sortie. Avec le recul aujourd'hui, je rĂ©alise que j'aurais dĂ» commencer Ă m'inquiĂ©ter. Mais dans les brumes du sommeil, je n'ai pensĂ© qu'Ă faire taire PĂ©trus pour retrouver mon lit au plus tĂ´t. J'ai donc pris mon chien sous le bras et l'ai ramenĂ© autoritairement dans la cuisine dans son panier, et c'est Ă ce moment que j'ai compris le pourquoi des aboiements de PĂ©trus : par la fenĂŞtre de la cuisine, j'ai vu notre garage en flammes. * Le temps de rĂ©veiller mon mari, d'appeler les pompiers, d'aller confier PĂ©trus aux voisins et dĂ©jĂ les flammes dĂ©passaient le toit. Le seul Ă©lĂ©ment qui a souffert de l'incendie est le garage ; il est attenant Ă la maison par un auvent, celle-ci a juste eu les façades noircies. La chaleur y Ă©tait telle que les murs ont Ă©clatĂ©. Il y avait Ă l'intĂ©rieur deux bouteilles de gaz qui, Dieu merci, n'ont pas explosĂ©. * Tout ce qui se trouvait dans le garage a Ă©tĂ© totalement dĂ©truit : 2 voitures, salon de jardin, tondeuse, machinerie piscine, etc. Tout le monde est d'accord pour dire que nous devons beaucoup Ă PĂ©trus. Sans lui, la maison aurait Ă©tĂ© gravement endommagĂ©e, nos bouteilles de gaz auraient pu provoquer des dĂ©gâts dans tout le quartier et serions-nous aujourd'hui lĂ pour le raconter ? Comme disait Marie, la fille d'amis, après qu'on lui ait racontĂ© ces Ă©vĂ©nements: « On devrait tous avoir un chien ». Et j'ajouterai : un Fox ! Depuis PĂ©trus a retrouvĂ© ses habitudes : Farniente sur le canapĂ©, chasse aux lĂ©zards, piscine avec les jeunes. |
Déposé par SESHAT39 le 08/07/2016Petit poème sur "l'habitude" qui nous aide Ă poursuivre notre chemin malgrĂ© les durs moments de la vie... * L'habitude * La tranquille habitude aux mains silencieuses Panse, de jour en jour, nos plus grandes blessures ; Elle met sur nos coeurs ses bandelettes sĂ»res Et leur verse sans fin ses huiles oublieuses ; * Les plus nobles chagrins, qui voudraient se dĂ©fendre, DĂ©sireux de durer pour l'amour qu'ils contiennent, Sentent le besoin cher et dont ils s'entretiennent Devenir, malgrĂ© eux, moins farouche et plus tendre ; * Et, chaque jour, les mains endormeuses et douces, Les insensibles mains de la lente Habitude, Resserrent un peu plus l'Ă©trange quiĂ©tude OĂą le mal assoupi se soumet et s'Ă©mousse ; * Et du mĂŞme toucher dont elle endort la peine, Du mĂŞme frĂ´lement dĂ©licat qui repasse Toujours, elle dĂ©lustre, elle Ă©teint, elle efface, Comme un reflet, dans un miroir, sous une haleine, * Les gestes, le sourire et le visage mĂŞme Dont la prĂ©sence Ă©tait divine et meurtrière ; Ils pâlissent couverts d'une fine poussière ; La source des regrets devient voilĂ©e et blĂŞme. * A chaque heure apaisant la souffrance amollie, Otant de leur Ă©clat aux voluptĂ©s perdues, Elle rapproche ainsi de ses mains assidues, Le passĂ© du prĂ©sent, et les rĂ©concilie ; * La douleur s'amoindrit pour de moindres dĂ©lices ; La blessure adoucie et calme se referme ; Et les hauts dĂ©sespoirs, qui se voulaient sans terme, Se sentent lentement changĂ©s en cicatrices ; * Et celui qui chĂ©rit sa sombre inquiĂ©tude. Qui verserait des pleurs sur sa douleur dissoute, Plus que tous les tourments et les cris vous redoute, Silencieuses mains de la lente Habitude. * Auguste ANGELLIER (1848-1911) |
Déposé par poutounou le 07/07/2016Petit poème sur "l'habitude" qui nous aide Ă poursuivre notre chemin malgrĂ© les durs moments de la vie... * L'habitude * La tranquille habitude aux mains silencieuses Panse, de jour en jour, nos plus grandes blessures ; Elle met sur nos coeurs ses bandelettes sĂ»res Et leur verse sans fin ses huiles oublieuses ; * Les plus nobles chagrins, qui voudraient se dĂ©fendre, DĂ©sireux de durer pour l'amour qu'ils contiennent, Sentent le besoin cher et dont ils s'entretiennent Devenir, malgrĂ© eux, moins farouche et plus tendre ; * Et, chaque jour, les mains endormeuses et douces, Les insensibles mains de la lente Habitude, Resserrent un peu plus l'Ă©trange quiĂ©tude OĂą le mal assoupi se soumet et s'Ă©mousse ; * Et du mĂŞme toucher dont elle endort la peine, Du mĂŞme frĂ´lement dĂ©licat qui repasse Toujours, elle dĂ©lustre, elle Ă©teint, elle efface, Comme un reflet, dans un miroir, sous une haleine, * Les gestes, le sourire et le visage mĂŞme Dont la prĂ©sence Ă©tait divine et meurtrière ; Ils pâlissent couverts d'une fine poussière ; La source des regrets devient voilĂ©e et blĂŞme. * A chaque heure apaisant la souffrance amollie, Otant de leur Ă©clat aux voluptĂ©s perdues, Elle rapproche ainsi de ses mains assidues, Le passĂ© du prĂ©sent, et les rĂ©concilie ; * La douleur s'amoindrit pour de moindres dĂ©lices ; La blessure adoucie et calme se referme ; Et les hauts dĂ©sespoirs, qui se voulaient sans terme, Se sentent lentement changĂ©s en cicatrices ; * Et celui qui chĂ©rit sa sombre inquiĂ©tude. Qui verserait des pleurs sur sa douleur dissoute, Plus que tous les tourments et les cris vous redoute, Silencieuses mains de la lente Habitude. * Auguste ANGELLIER (1848-1911) |
Déposé par poutounou le 03/07/2016Il y a des jours comme ça… * Il y a des jours comme ça, Des jours oĂą ça ne va pas. Des jours oĂą on aimerait Serrer notre Ange contre soi. Lui murmurer des mots doux, Lui faire des câlinous tout partout Il y a des jours comme ça… Depuis qu’il n’est plus lĂ . |
Déposé par poutounou le 29/06/2016Un joli bouquet de roses de toutes les couleurs pour chaque Ange du Paradis blanc…. * LA ROSE * Rose !!! J'aime tellement ton parfum, le matin Quand tu te lèves, mouillĂ©e dans ta robe de satin Toute belle tu t'es Ă©panouie dans ton jardin J'ai du plaisir Ă te voir et du mal Ă croire Comme tu es belle, quand je te regarde J'ai cultivĂ© un jardin et me suis fait un bouquet De roses pour moi, une blanche pour l'amitiĂ© Une jaune pour le sourire, une rose pour la tendresse Une rouge pour l'amour. Mais ma plus belle rose c'est toi mon amour * - Candy - |
Déposé par poutounou le 25/06/2016Rupture * J’effacerai le temps J’effacerai les jours Mais je sais qu’au retour J’irai me questionnant * VoilĂ J’ai les mains vides Vides sont mes mains Vides Parfois je les regarde, stupide Et les feuilles tombent dans l’air limpide Encore une fois * J’effacerai les places J’effacerai les traces Me faisant un espace Dont tu seras absent * Encore une fois VoilĂ J’ai les mains vides Et du creux de mes paumes arides S’échappent fuyant entre mes doigts Les restes d’un espoir pesant * J’effacerai les peines J’effacerai les joies Notre route bifurqua Et chacun eut la sienne * VoilĂ j’ai les mains vides Vides sont mes mains Vides Et les feuilles tombent dans l’air limpide Encore une fois… |
Déposé par SESHAT39 le 25/06/2016Rupture * J’effacerai le temps J’effacerai les jours Mais je sais qu’au retour J’irai me questionnant * VoilĂ J’ai les mains vides Vides sont mes mains Vides Parfois je les regarde, stupide Et les feuilles tombent dans l’air limpide Encore une fois * J’effacerai les places J’effacerai les traces Me faisant un espace Dont tu seras absent * Encore une fois VoilĂ J’ai les mains vides Et du creux de mes paumes arides S’échappent fuyant entre mes doigts Les restes d’un espoir pesant * J’effacerai les peines J’effacerai les joies Notre route bifurqua Et chacun eut la sienne * VoilĂ j’ai les mains vides Vides sont mes mains Vides Et les feuilles tombent dans l’air limpide Encore une fois… |
Déposé par SESHAT39 le 24/06/2016đź’– đź’– đź’– 8 đź’– đź’– ***** Une amitiĂ© inoubliable ***** Grâce Ă notre rencontre je t´ai adoptĂ© Quand je t’ai promenĂ© j´ai commencĂ© Ă t´aimer Mon Chien prĂ©fĂ©rĂ©. C´est toi mon toutou C´est toi mon bĂ©bĂ©, mon petit bout de chou Je t´ai appris des tours que tu as bien retenu Et puis Ă chaque jours d’amitiĂ© Ton savoir-faire ma beaucoup plus Je t´offre tout mon bonheur tout ce que j´ai dans mon cĹ“ur Cela t´a beaucoup suffit mais un jour tu es parti Tes yeux magnifiques commencent Ă me manquer Je panique sans te voir Ă mes cotĂ©s Pourquoi ĂŞtre partis si vite au Paradis Rejoindre tes autres amis pour une nouvelle vie Qu´y a t-il de meilleur qu´un toutou Sur lequel on peut compter Et c´est toi mon petit bout de chou Que j´ai toujours prĂ©fĂ©rĂ©!! PensĂ©e đź’– ❤ đź’– , |
Déposé par poutounou le 09/06/2016Je t'offre un jardin * Un jardin mi-clos... OĂą, de bonne heure, Mille et une fleurs FraĂ®chement Ă©veillĂ©es, Pointent leur petit nez, Étirent leurs pĂ©tales assoiffĂ©s Et s'enivrent de rosĂ©e... A ta santĂ©! * Un jardin-party... OĂą les bourdons gavĂ©s, Aux pistils bien adossĂ©s, Cuvent avant de s'envoler. OĂą les papillons excitĂ©s S'amusent Ă te maquiller De leurs ailes poudrĂ©es. * Un jardin rangĂ©... OĂą les oiseaux alignĂ©s Cessent soudain de chanter Pour t'entendre marcher. OĂą les fleurs endimanchĂ©es Ne rĂŞvent que de caresser La plante de tes pieds. * Francis Pelletier |
Déposé par rafia le 06/06/2016Comment...ne pas penser Ă EUX ??? Nos trĂ©sors/canins qui ns ont quittĂ©s. Au lever du soleil Et Ă son coucher, Nous pensons Ă eux Dans le souffle du vent Et le froid de l’hiver, Nous pensons Ă eux A l’ouverture des bourgeons Et dans la chaleur de l’étĂ©, Nous pensons Ă eux. Dans le bruissement des feuilles Et la beautĂ© de l’automne, Nous pensons Ă eux. Au dĂ©but de l’annĂ©e Et Ă sa fin, Nous pensons Ă eux, Quand nous sommes las Et avons besoin de force, Nous pensons Ă eux. Quand nous sommes perdus Et malheureux dans notre cĹ“ur, Nous pensons Ă eux. Quand nous vivons une joie Que nous aimerions tant partager, Nous pensons Ă eux. Tant que nous vivons Ils vivront aussi Car quand nous pensons Ă eux, Ils sont une partie de nous. Avec toute mon amitiĂ©. 1000 mercis et bisous. Maryem, votre amie |
Déposé par poutounou le 05/06/2016Qu’il est beau ce petit poème ! Mais je crois que de la pluie, on en a eu assez ces derniers temps… * Goutte de pluie * Je suis une goutte de pluie Je regarde tout au-dessous de moi Oh quelle beautĂ© Du rouge, du rose, du jaune Je me pose une question Quelles sont toutes ces jolies couleurs ? Ma compagne, une autre goutte de pluie me dit: Tu es nouvelle ici ? Je lui rĂ©pondis dans l'affirmative, oui ! Mon amie toutes ces jolies couleurs que tu vois Ce sont les roses de notre amie. * Livette Laroche |
Déposé par poutounou le 01/06/2016Qu'est ce qu'on est bien quand on rĂŞve..... * Extrait du « Grand Sommeil » d'Etienne Daho * Je ne peux plus me rĂ©veiller, rien Ă faire Sans moi le monde peut bien tourner Ă l'envers Engourdi par le sommeil et prisonnier de mon lit J'aimerais que cette nuit dure toute la vie * Lorsque je rĂŞve tu es tout près de moi C'est la seule façon de rester avec toi C'est la raison pour laquelle je n'veux plus quitter mon lit Pour qu'enfin toutes les nuits durent toute la vie. |
Déposé par poutounou le 28/05/2016Sentier printanier * Il est un sentier creux dans la vallĂ©e Ă©troite, Qui ne sait trop s'il marche Ă gauche ou bien Ă droite. C'est plaisir d'y passer, lorsque moi sur ses bords Comme un jeune prodigue Ă©grène ses trĂ©sors. L'aubĂ©pine fleurit ; les frĂŞles pâquerettes, Pour fĂŞter le printemps, ont mis leurs collerettes. La pâle violette, en son rĂ©duit obscur, timide, essaie au jour son doux regard d'azur, Et le gai bouton d'or, lumineuse parcelle, Pique le gazon vert de sa jaune Ă©tincelle. Le muguet, tout joyeux, agite ses grelots. Et les sureaux sont blancs de bouquets frais Ă©clos Les fossĂ©s ont des fleurs Ă remplir vingt corbeilles. Ă€ rendre riche en miel tout un peuple d'abeilles. * ThĂ©ophile GAUTIER |
Déposé par poutounou le 24/05/2016Et si « Max » Ă©tait un chien ou un chat ou n'importe quel autre animal ! Allons parler aux « habitants » de notre coeur... * Il Est Libre Max d'HervĂ© Cristiani * Il met de la magie, mine de rien, dans tout ce qu'il fait Il a le sourire facile, mĂŞme pour les imbĂ©ciles Il s'amuse bien, il n'tombe jamais dans les pièges Il n'se laisse pas Ă©tourdir par les nĂ©ons des manèges Il vit sa vie sans s'occuper des grimaces Que font autour de lui les poissons dans la nasse * Il est libre Max ! Il est libre Max ! Y'en a mĂŞme qui disent qu'ils l'ont vu voler * Il travaille un p'tit peu quand son corps est d'accord Pour lui faut pas s'en faire, il sait doser son effort Dans l'panier de crabes, il n'joue pas les homards Il n'cherche pas Ă tout prix Ă faire des bulles dans la mare * Il est libre Max ! Il est libre Max ! Y'en a mĂŞme qui disent qu'ils l'ont vu voler * Il r'garde autour de lui avec les yeux de l'amour Avant qu't'aies rien pu dire, il t'aime dĂ©jĂ au dĂ©part Il n'fait pas de bruit, il n'joue pas du tambour Mais la statue de marbre lui sourit dans la cour * Il est libre Max ! Il est libre Max ! Y'en a mĂŞme qui disent qu'ils l'ont vu voler * Et bien sĂ»r toutes les filles lui font les yeux de velours Lui, pour leur faire plaisir, il leur raconte des histoires Il les emmène par-delĂ les labours Chevaucher des licornes Ă la tombĂ©e du soir * Il est libre Max ! Il est libre Max ! Y'en a mĂŞme qui disent qu'ils l'ont vu voler * Comme il n'a pas d'argent pour faire le grand voyageur Il va parler souvent aux habitants de son cĹ“ur Qu'est-ce qu'ils s'racontent, c'est ça qu'il faudrait savoir Pour avoir comme lui autant d'amour dans le regard * Il est libre Max ! Il est libre Max ! Y'en a mĂŞme qui disent qu'ils l'ont vu voler |
Déposé par rafia le 21/05/2016Ma bien chère CĂ©line, Ravie de vs retrouver...Pr ĂŞtre plus prĂ©sente, je suis, hĂ©las, pĂ©nalisĂ©e pr le manque de temps. Je jongle avec mes "obligations" de la vie....je n'arrive pas Ă mieux faire. Mais MaĂ«l, pr sa disponibilitĂ© spontanĂ©e...m'apporte une aide très prĂ©cieuse. Je vs souhaite un excellent dimanche. Avec toute mon amitiĂ©. + 1000 mercis. + 1000 bisous. Maryem Ce soir..... Ce soir, je le sais, je n’aurai pas de mots, Des larmes Ă©tranglĂ©es confinant ma parole Dans la torpeur noircie d’une Ă©crasante Ă©tole, Sous laquelle je m’enfouis pour tenter de trouver du repos. Je ne parlerai pas, au silence je me voue, Et si entre les lignes, le filigrane est doux, Lisez-le en aveugle, effleurez-le des doigts : Je n’aurai rien de plus Ă offrir, la tristesse s'empare de moi. Avec une grande Ă©motion Je vois, de notre Paramour, arriver l'anniversaire, Je ne cesse d'y penser, avec dĂ©votion, Et mon coeur, inĂ©luctablement, se serre. Il faut savoir se taire lors d’une blessure, Afin de la cloĂ®trer dans l’épaisseur d’un mur, C'est pr cela que ds le silence, je m'emmure, Car si elle Ă©mergeait, on y verrait la Faux Dont le rire boueux se jouerait de mes maux. La Mort, cette terreur, Se gausse de notre malheur. Alors, je choisis le mode Ă©pistolaire, Puisque ce soir, je me rĂ©signe Ă me taire. Maryem |
Déposé par poutounou le 17/04/2016Magnifique petit poème... * L’enfant et l’étoile * Un astre luit au ciel et dans l’eau se reflète. Un homme qui passait dit Ă l’enfant-poète : « Toi qui rĂŞves avec des roses dans les mains Et qui chantes, docile au hasard des chemins, Tes vains bonheurs et ta chimĂ©rique souffrance, Dis, entre nous et toi, quelle est la diffĂ©rence ? — Voici, rĂ©pond l’enfant. Levez la tĂŞte un peu ; Voyez-vous cette Ă©toile, au lointain du soir bleu ? — Sans doute ! — Fermez l’oeil. La voyez-vous, l’étoile ? — Non, certes. » Alors l’enfant pour qui tout se dĂ©voile Dit en baissant son front doucement soucieux : « Moi, je la vois encor quand j’ai fermĂ© les yeux. » * Catulle Mendès (1841-1909) |
Déposé par myriam31 le 15/04/2016Quand je partirai Maintenant que je suis parti, laissez-moi aller MĂŞme s’il me restait encore des choses Ă voir et Ă faire. Ma route ne s’arrĂŞte pas ici. Ne vous attachez pas Ă moi Ă travers vos larmes. Soyez heureux de toutes les annĂ©es passĂ©es ensemble.Je vous ai donnĂ© mon amour, Et vous pouvez seulement deviner combien de bonheur vous m’avez apportĂ©. Je vous remercie pour l’amour que vous m’avez tĂ©moignĂ© Mais il est temps maintenant que je poursuite ma route. Pleurez-moi quelques temps, si pleurer il vous faut. Et ensuite, laissez votre peine se transformer en joie Car c’est pour un moment seulement que nous nous sĂ©parons BĂ©nissez donc les souvenirs qui sont dans votre cĹ“ur. Je ne serai pas très loin, car la vie se poursuit Si vous avez besoin de moi, appelez-moi, je viendrai MĂŞme si vous ne pouvez me voir ou me toucher. Votre fidèle compagnon qui veillera toujours sur vous |
