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En hommage à
BOXERPaco
Il est né le:10/06/2008
Il nous a quittés le:26/05/2015
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En hommage à
Paco
80 bougies
18962 Fleurs
Déposé par choupinou Une pluie de larmes ne peut rien contre la sécheresse du coeur... Pas plus que l'eau dans le vin pour en ranimer le bouquet. Jacques Prévert Déposé par spanky Paco, je ne t'oublie pas,tu es ma lumière qui traverse les champs de blé,tu es la douce pluie du printemps,tu es l’éveil des oiseaux dans le calme du matin,tu es l'étoile qui brille dans mes nuits. Déposé par poutounou Le bonheur n'est pas toujours dans un ciel éternellement bleu, mais dans les choses les plus simples de la vie : faire des gratouillis à son cœur à quatre pattes… |
2506 messages
Déposé par colombine67 le 14/02/2016Mon copain Quand j'ai du chagrin Il ne me dit rien Il sait bien que ça ne sert à rien Quand j'ai du chagrin Mon ami Quand j'ai de la peine Il ne me dit pas qu'il m'aime Je sais bien que ça le gêne Quand j'ai de la peine Alors il m'écoute Moi je sais qu'il m'entend Et il me regarde Moi je sais qu'il comprend Il se met dans un coin Ses yeux sont plus malheureux Que les miens Mon copain, mon ami Il est plus qu'un ami Plus qu'un bon copain... Puisque c'est mon chien Chantal Abraham |
Déposé par colombine67 le 13/02/2016J'étais avec mon chien J'étais bien, Puis, un jour, me dit avec amour, Merci, merci De m'avoir pris, Car dans l'animalerie, J'étais tout triste, j'étais sur une mauvaise piste, avec les autres animaux, tout gros et petit j'étais le cadet, de tous ces paumés, a la S.P.A Tout raplapla, pour une fois, a ma grande joie, est arrivée, mon adorée, qui m'a finalement adoptée. |
Déposé par myriam31 le 12/02/2016Absence L’année s’est écoulée, me laissant bien songeuse, Les mois ont passé, si rapides, si courts, Nous séparant hélas un peu plus chaque jour. Je m’efforce d’aller, j’essaie de revenir, Il me reste le triste Anniversaire Pour empêcher l’oubli, pour mieux le contenir. Tu m’offres quelques fois la chance inespérée, De te voir apparaître au milieu de mes nuits, Mais ta visite est brève alors, désemparée, Je m’accroche en pleurant au rêve qui s’enfuit. Tendres et affectueuses pensées, amitiés à ta maman |
Déposé par colombine67 le 12/02/2016Je suis un petit chien Mais j’ai déjà quinze ans. Si je présente bien, Mon âge, je le sens. Mon cœur est fatigué, J’ai des douleurs partout, Ma vue a bien baissé, Je n’entends plus du tout. J’aimais bien la montagne Quand j’étais casse cou. Le vertige me gagne, Je fatigue beaucoup. Je vais plus doucement Et je marche très peu. Je dors bien plus longtemps, J’ai caché tous mes jeux. Quand une chienne passe, Je redeviens fringant, Je fais preuve d’audace, Je me sens élégant. Mais dès qu’elle est partie, Je retrouve mon âge Et mon dos s’arrondit : Ce n’était qu’un mirage. Mes maîtres m’aiment autant Que quand j’étais petit. Ils me disent souvent Que j’ai changé leur vie. La mienne aura été Faite de grandes joies, J’aurai été choyé, J’aurai été un roi. Quand il faudra partir, Je ne gémirai pas. Je voudrais m’endormir Blotti entre leurs bras. |
Déposé par celibab le 11/02/2016Quand l'homme auras compris un jour que communiquer avec les animaux est plus important,que de les tuer,les jours auront un autre avenir pour la planète; Petite Lune les animaux sont supérieur aux hommes par leur fidélité à la nature et au verbe "être" et non au verbe "avoir". amitié,et douces caresses a vous tous petits anges choupinou et en même temps celibab merci de votre gentillesse amitié |
Déposé par colombine67 le 11/02/2016"Mon frère, sais-tu la nouvelle ? Mouflar, le bon Mouflar, de nos chiens, le modèle, Si redouté des loups, si soumis au berger, Mouflar vient, dit-on, de manger Le petit agneau noir, puis la brebis sa mère, Et puis sur le berger s'est jeté furieux. - Serait-il vrai ? - Très vrai, mon frère. - À qui donc se fier, grands dieux !" C'est ainsi que parlaient deux moutons dans la plaine. Et la nouvelle était certaine. Mouflar, sur le fait même, pris, N' attendait plus que le supplice ; Et le fermier voulait qu'une prompte justice Effrayât les chiens du pays. La procédure en un jour est finie. Mille témoins pour un, déposent l'attentat. Récolés, confrontés, aucun d'eux ne varie : Mouflar est convaincu du triple assassinat. Mouflar recevra donc deux balles dans la tête Sur le lieu même du délit. À son supplice qui s' apprête, Toute la ferme se rendit. Les agneaux de Mouflar demandèrent la grâce. Ele fut refusée. On leur fit prendre place. Les chiens se rangèrent près d'eux, Tristes, humiliés, mornes, l'oreille basse, Plaignant, sans l'excuser, leur frère malheureux. Tout le monde attendait dans un profond silence. Mouflar paraît bientôt, conduit par deux pasteurs : Il arrive ; et, levant au ciel ses yeux en pleurs, Il harangue ainsi l' assistance : "ô vous, qu'en ce moment je n'ose et je ne puis Nommer comme autrefois, mes frères, mes amis, Témoins de mon heure dernière, Voyez où peut conduire un coupable désir ! De la vertu, quinze ans j'ai suivi la carrière. Un faux pas m'en a fait sortir. Apprenez mes forfaits. Au lever de l'aurore, Seul, auprès du grand bois, je gardais le troupeau. Un loup vient, emporte un agneau, Et tout en fuyant le dévore. Je cours, j'atteins le loup, qui, laissant son festin, Vient m' attaquer : je le terrasse, Et je l'étrangle sur la place. C'était bien jusque là : mais, pressé par la faim, De l'agneau dévoré, je regarde le reste, J'hésite, je balance... à la fin, cependant, J'y porte une coupable dent : Voilà de mes malheurs l'origine funeste. La brebis vient dans cet instant, Elle jette des cris de mère.... La tête m'a tourné, j'ai craint que la brebis Ne m'accusât d'avoir assassiné son fils. Et, pour la forcer à se taire, Je l'égorge dans ma colère. Le berger accourait armé de son bâton. N'espérant plus aucun pardon, Je me jette sur lui : mais bientôt on m' enchaîne, Et me voici prêt à subir De mes crimes, la juste peine. Apprenez tous du moins, en me voyant mourir, Que la plus légère injustice, Aux forfaits les plus grands peut conduire d'abord ; Et que, dans le chemin du vice, On est au fond du précipice, Dès qu'on met un pied sur le bord." de Jean-Pierre Claris de Florian |
Déposé par poutounou le 10/02/2016Que c'est joliment dit....Profitons des jours bleus et chassons les jours gris.... * AU JARDIN DE L'INFANTE * Il est de clairs matins, de roses se coiffant, Où l'âme a des gaîtés d'eaux vives dans les roches, Où le coeur est un ciel de Pâques plein de cloches, Où la chair est sans tache et l'esprit sans reproches. Il est de clairs matins, de roses se coiffant, Ces matins-là, je vais joyeux comme un enfant. * Il est de mornes jours, où las de se connaître, Le coeur, vieux de mille ans, s'assied sur son butin, Où le plus cher passé semble un décor déteint, Où s'agite un minable et vague cabotin. Il est de mornes jours las du poids de connaître Et, ces jours-là, je vais courbé comme un ancêtre. * (A. Samain) |
Déposé par colombine67 le 10/02/2016Mon chien s’en est allé à l’aurore d’un jour Vers le lieu mystérieux d’où l’on ne revient pas. C’était mon compagnon, mon ami de toujours Et comme les humains il connut le trépas. La maison désormais se retrouve sans lui. Il repose en forêt sous les feuilles jaunies. Plus jamais son accueil, son regard tendre et doux Ses jappements de joie, son amour un peu fou ! Je garderai toujours le souvenir ému De cet ami charmant et à jamais perdu. Et je comprends très bien que l’on aime son chien Quand beaucoup d’hommes hélas ! ne valent presque rien. de Christian Chabellard |
Déposé par colombine67 le 09/02/2016Il était triste le petit chien Assis tout seul dans le chemin. Il regardait les gens passer Et ses yeux étaient mouillés. Oh, bien sûr on le caressait En passant...mais on repartait, Et jamais on ne demandait Au petit chien du chemin ... La cause de son chagrin. Il était triste le petit chien Abandonné dans ce chemin Par d'innommables vacanciers Partis Dieu sait vers quelle contrée ! Il était triste le petit chien. Alors, je me suis approchée, J'ai pris sa tête entre mes mains Et je l'ai consolé. On a parlé longtemps tous les deux : Lui, avec ses yeux, Moi, avec mes mains Qui le caressaient. Je lui ai demandé S'il voulait être mon petit chien. Il m'a léché la main, Il a remué la queue. Et on est repartis tous les deux, Par le grand chemin, Moi et mon petit chien. |
Déposé par colombine67 le 07/02/2016Mon chien, mon souvenirToi que je connaissais Si bien tu m'as laissée Jamais je ne t'oublierai Chaque jour tu es dans mes pensées ...Je n'arrive pas à m'y faire Chaque jour c'est l'enfer Quand je pense à toi je me rappelle chaque jour Quand tu étais là Mais le principal pour moi C'est qu'un jour On se retrouvera Où que ce soit. |
Déposé par poutounou le 06/02/2016Et des fois, quand on marche sur un clou, on se fait mal, très mal...... * LA MÈRE À SON FILS * C'est moi qui te le dis, petit, La vie, c'est pas comme marcher sur du velours, C'est un escalier qu'il faut grimper. Y'a des clous qui dépassent, Et des planches abîmées, Et des bouts où y'a même pas de plancher : Des trous. Et tout ce temps-là, On n'arrête pas de grimper, De changer de palier, De tourner les coins. Même que des fois y'a pas de lumière Et qu'on n'y voit rien. Alors, petit, te retourne pas, Va pas redescendre l'escalier. C'est assez dur, fais pas exprès, Va pas dégringoler maintenant Parce que moi, je continue, J'ai pas fini de grimper. Et c'est moi qui te le dis, La vie, c'est pas comme marcher sur du velours. * (Auteur inconnu) |
Déposé par colombine67 le 06/02/2016Quand la mort s'empare de l'âme Quand la maladie a gagné son combat Quand l'âme s'envole vers sa dernière demeure Qu'il est doux que son amour soit là Quand le corps ne peut plus, Quand l'esprit n'en veut plus, Quand le cœur rend ses armes Qu'il est doux que son amour soit là Et l'âme apaisée prend alors son envol Tel un précieux souffle au-delà des terres Parce que toute douleur a disparu Parce que la paix est revenue Laissons partir ces âmes Qui ont enfin trouvé le repos Laissons-les retrouver ces airs Qu'ils ont tant espéré Et la lumière les habite A jamais épanoui Tel des étoiles lumineuses Au firmament de nos vies Va ! Belle âme reposée Toi qui est enfin apaisée Délivrée de toute souffrance Vole sans résistance Veille sur les tiens, Regarde-les vivre Apaise leur chagrin Fais leur un petit signe |
Déposé par colombine67 le 05/02/2016Sauras-tu un jour ce que je suis vraiment ? Le saurais-je moi-même ? Le chemin est empli de pièges et de rêves brisés Mais les efforts sont tellement récompensés Que la leçon est belle ! Le voyage fascinant Comme un pays inconnu Visité en pleine lumière Ce « Moi », ce grand inconnu, Je le découvre de jour en jour. Tantôt rieur, rêveur, utopiste Tantôt sage, pensif et philosophe Je découvre un univers qui m'était jusqu'alors caché Un endroit pur et merveilleux que je ne soupçonnais Ce que je prenais pour un monde ruiné Ce que je pensais à jamais perdu et abimé Une fenêtre s'est ouverte, un rayon de lumière est entré Mon enfant intérieur s'est réveillé Il m'a pris par la main, m'a montré le chemin Il m'a ouvert aux autres et m'a appris à ne plus avoir peur Et depuis un tel monde m'est apparu, Fait de sagesse, de pensées positives et de respect Fait de nourriture spirituelle comme autant de gourmandises Qui nourrissent mon cœur affamé de tant d'années de privation Mon âme est apaisée Mon esprit reposé Je me nourri de mots et de belles pensées Me construit pas à pas et grandi Je suis Une dans l'univers, Je suis une étincelle dans la clarté du jour Je suis un souffle d'air, une note, Je fais partie d'un Tout et je vis pleinement Toi qui es égaré, ne perds jamais espoir Garde en toi l'étincelle, celle sans quoi la vie ne peut exister Surveille les signes et un jour, tu trouveras le chemin Ton enfant intérieur te prendra la main et te mènera à ton destin |
Déposé par colombine67 le 03/02/2016LE VIEUX CHIEN Autrefois, enivré de ses membres robustes, Il sautait dans la haie et griffait les arbustes, Et ses bonds chaleureux nous fêtaient : aujourd'hui, Son âmes humble est déjà recouverte de nuit. Il somnole; le feu lui souffle sa fumée. Mais quand nous approchons, sa prunelle embrumée S'ouvre, il lève vers nous la tête avec effort, Et cherche dans nos yeux si nous l'aimons encor. ABEL BONNARD |
Déposé par poutounou le 02/02/2016UNE LARME * Soudain elle surgit venue des profondeurs, sa valeur est inestimable tant elle est vraie. Plus riche qu'un trésor, elle perle au gré du moment, scintillante de vérité et pourtant si indéchiffrable qu'aucun n'eut pensé de la comprendre. Merveille qu'elle est, elle s'écoule vivement pour laisser fuir l'autre qui la suit. Rempli de joie ou de mélancolie, seul l'être qui la laisse filer peut la comprendre car elle crie dans le silence. * Où il y a une larme, il y a un coeur. * (Auteur inconnu) |
Déposé par colombine67 le 02/02/2016Parce que ma raison tait Ce que mon coeur hurle Parce que mon âme pleure Ce que la vie m'enlève Parce que l'amour est douloureux Comme l'est une plaie béante Parce que mon coeur est vide Comme le sont mes yeux aujourd'hui L'amour est une fleur Dont le parfum ennivrant Nous fait oublier pour un temps Le désert de notre coeur Mon coeur t'appelle Mon âme t'implore Mes yeux te cherchent Et mon amour est là J'aimerais tant m'endormir Et me réveiller à tes côté Dans un monde fait pour nous Loin de tout, protégés |
Déposé par choupinou le 01/02/2016Je vis avec un Ange ♥ Dans la vie de tous les jours, on reconnaît un Ange à ce qu'il aime, l'incognito, à son goût de la discrétion, voir de l'effacement.♥ Il est là , sa présence est tout en douceur , en lumiere ..☺ ses caresses sont brumes sa voix est tel le chant d un oiseau ♫ Il ne déroule jamais son curriculum vitae, ses diplômes ni ses prouesses, il a peine de biographie et se désintéresse de l'évènementiel. Mais il veille sur la neige, le vent, les animaux , le duvet des peupliers, les étoiles, la lune, les enfants,son maître tant aimé, le silence ... Bref, sur tout ce qui est vivant, paroles indienne, |
Déposé par rafia le 31/01/2016Paroles de la chanson "Un Jour" par Damien Sargue Où vont ceux qu’on aime Quand ils disparaissent, Tout à coup ? Quelqu’un qui nous laisse, Quelqu’un qui vous blesse Quand il s’en va trop loin de nous. Ils sont en nous-mêmes, À portée de nos souvenirs. Pas un mot de trop, Que le geste qu’il faut, Pour une dernière fois, Les retenir Personne ne finit dans l’oubli, Si quelqu’un l’attend encore ici. Un ami manque toujours, On pense toujours à son retour. Un jour, tous les espoirs sont permis, Que le passé reprenne vie ; Le présent, les absents réunis. Un jour, il fera bon s’endormir Et ne plus penser au pire. On vit aussi de souvenirs ! Que font ceux qui restent Quand leur peine est plus forte que tout, Quand ils se détestent D’être ceux qui restent, Ceux qui doivent aller jusqu’au bout ? Personne ne finit dans l’oubli, Si quelqu’un l’attend encore ici. Un ami manque toujours, On pense toujours à son retour Un jour, tous les espoirs sont permis, Que le passé reprenne vie Le présent, les absents réunis. Un jour, il fera bon s’endormir Et ne plus penser au pire. On vit aussi de souvenirs Un jour, tous les espoirs sont permis, Que le passé reprenne vie ; Les présents, les absents réunis. Un jour, il fera bon s’endormir Et ne plus penser au pire. On vit aussi de souvenirs ! Un jour, tous les espoirs sont permis, Que le passé reprenne vie ; Le présent, les absents réunis. Un jour, il fera bon s’endormir Et ne plus penser au pire. On vit aussi de souvenirs ! |
Déposé par Galinette3 le 31/01/2016La ronde des mois Demain Février débute ! 🐾 🎶 Janvier prend la neige pour châle ; Février fait glisser nos pas ; Mars de ses doigts de soleil pâle, Jette des grêlons aux lilas. 🎶 Avril s'accroche aux branches vertes ; Mai travaille aux chapeaux fleuris ; Juin fait pencher la rose ouverte prés du beau foin qui craque et rit. 🎶 Juillet met les œufs dans leurs coques Août sur les épis mûrs s'endort ; Septembre aux grands soirs équivoques, Glisse partout ses feuilles d'or. 🎶 Octobre a toutes les colères, Novembre a toutes les chansons Des ruisseaux débordant d'eau claire, Et Décembre a tous les frissons. 🎶 Rosemonde Gérard ("Les pipeaux" - éditions Grasset, 1923). |
Déposé par colombine67 le 31/01/2016Je l'aime, seigneur combien je l'aime, Combien mes sentiments sont profonds et immuables Comme autant d'étoiles dans le ciel, Comme autant de vagues dans l'océan J'ai envie de crier cet amour, De le hurler à la face du monde De le déclarer fièrement Et montrer sa force ouvertement Au lieu de cela, tout est tu, tout est enfoui Chaque élan de tendresse est étouffé, Chaque phrase tendre baillonée, Chaque sentiment réfréné Il est mon âme, il a mon coeur, Il est mon homme, mon bonheur, Il est mon oxygène, ma lumière, L'indispensable, l'essentiel Je ne peux lui dire la force de mes sentiments, J'aimerais qu'il le sache pourtant, Qu'il sache que je ne veux que lui, Que je ne rêve que de lui Comme un refrain chanté sans cesse, Comme une musique emplissant l'air, Mes sentiments se perdent dans les silences Prisonniers des écrits |
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