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En hommage à
DOGUE-ARGENTINtaiko
Il est né le:08/10/2009
Il nous a quittés le:27/03/2017
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En hommage à
taiko
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3199 Fleurs
![]() Déposé par choupinou mon coeur est en peine ce jour, mes yeux sont humides, et la gorges se serre, il y a 26 ans dテゥjテ je laissais partir mon petit chien, mon petit Bullgum, mon tendre aimテゥ, mon premier petit chien a moi沽ェ ![]() Déposé par choupinou un chien tテゥmoigne d'un odorat dテゥlicat et en ce sens , il n'oubliera jamais rien, ni personne, encore moins son gardien qui l' aime ou l' a aimテゥ toute sa vie, mテェme au delテ.... ![]() Déposé par poutounou Ce n窶册st rien que de l窶冑umour : Le pitbull est un chien avec lequel on n'a pas le temps d'envoyer la baballe qu'il faut dテゥjテ lui dire "ramティne le bras テ papa !" ![]() Déposé par choupinou j'ai hテ「te,dans la nuit de 12 au 13 Aoテサt a 3h du mat,nos petites テゥtoiles vont テェtre de fテェte,elles ont toutes rendez vous au bal,et vont revテェtir leur habit de joie d'テゥtoile filante et danser pour nous沍笨ィ |
483 messages
Déposé par mouette le 10/01/2023coucou taiko je te souhaite une trティs belle avec ma petite belle |
Déposé par poutounou le 08/01/2023Partout, je t'ai vu, bel Ange... * Air vif * J'ai regardテゥ devant moi Dans la foule, je t'ai vu Parmi les blテゥs, je t'ai vu Sous un arbre, je t'ai vu * Au bout de tous mes voyages Au fond de tous mes tourments Au tournant de tous les rires Sortant de l'eau et du feu * L'テゥtテゥ, l'hiver je t'ai vu Dans ma maison, je t'ai vu Entre mes bras, je t'ai vu Dans mes rテェves, je t'ai vu * Je ne te quitterai plus. * Paul テ瑛uard ("Derniers poティmes d'amour") |
Déposé par poutounou le 04/01/2023Coulez, テエ larmes テゥternelles, car ici-bas je reste seul窶ヲ * L'ange envolテゥ. * Mon ange a reployテゥ ses ailes Et dort glacテゥ sous un linceul ; Coulez, テエ larmes テゥternelles, Car ici-bas je reste seul. * テ chティre ombre au ciel envolテゥe, Chaque nuit sous les noirs cyprティs Versant des pleurs sur ton blanc mausolテゥe, Je viens テゥpancher mes regrets. * Cette douce sナ砥r de mon テ「me, Pour charmer mon cナ砥r attristテゥ, Me parlait encore de sa flamme Sur le seuil de l'テゥternitテゥ. * テ chティre ombre au ciel envolテゥe, Chaque nuit sous les noirs cyprティs Versant des pleurs sur ton blanc mausolテゥe, Je viens テゥpancher mes regrets. * Si jusqu'テ toi, de cette terre S'テゥlティve mon chant dテゥsolテゥ, Sois attentive テ ma priティre En ton beau royaume テゥtoilテゥ. * テ chティre ombre au ciel envolテゥe, Chaque nuit sous les noirs cyprティs Versant des pleurs sur ton blanc mausolテゥe, Je viens テゥpancher mes regrets. * Franテァois-Marie Robert-Dutertre (1815-1898) |
Déposé par poutounou le 01/01/2023En 2023, il y aura窶ヲ * Des sourires, pour chasser la tristesse, De l窶兮udace, pour que les choses ne restent jamais en place, De la confiance, pour faire disparaテョtre les doutes, Des gourmandises, pour croquer et dテゥguster la vie, Du rテゥconfort, pour adoucir les jours difficiles, De la gテゥnテゥrositテゥ, pour se nourrir du plaisir de partager, Des arcs en ciel, pour colorer les idテゥes noires, De la santテゥ, en veux-tu, en voilテ窶ヲ Du courage, pour continuer テ avancer ! Et de l窶僊mour, beaucoup d窶僊mour, parce que sans Amour rien ne va窶ヲ * Certes, les annテゥes passent et les rides s'entassent. Mais si le coeur et l'esprit gardent leur テ「me d'enfant, l'essentiel est lテ. Je vous souhaite テ tous et toutes, ainsi qu窶凖 vos proches, une trティs bonne annテゥe 2023 avec une santテゥ du tonnerre, avec plein d'arcs en ciel et une tonne de courage et d窶僊mour, et je fais un tout gros poutounou bien baveux テ votre ou vos anges... Pour ceux qui n窶兮iment pas les poutounoux baveux, un bisou tout doux lテ sur le bout de la truffe窶ヲ * Amicalement, * Martine, Rubens, Diesel et ツォ fripouillous ツサ d窶僮ron窶ヲ |
Déposé par poutounou le 28/12/2022Reviens-nous bel テゥtテゥ窶ヲ !!! Dテゥpテェche-toi un peu s窶冓l te plaテョt窶ヲ * Les papillons * De toutes les belles choses Qui nous manquent en hiver, Qu'aimez-vous mieux ? - Moi, les roses ; - Moi, l'aspect d'un beau prテゥ vert ; - Moi, la moisson blondissante, Chevelure des sillons ; - Moi, le rossignol qui chante ; - Et moi, les beaux papillons ! * Le papillon, fleur sans tige, Qui voltige, Que l'on cueille en un rテゥseau ; Dans la nature infinie, Harmonie Entre la plante et l'oiseau !... * Quand revient l'テゥtテゥ superbe, Je m'en vais au bois tout seul : Je m'テゥtends dans la grande herbe, Perdu dans ce vert linceul. Sur ma tテェte renversテゥe, Lテ, chacun d'eux テ son tour, Passe comme une pensテゥe De poテゥsie ou d'amour ! * Gテゥrard de Nerval. |
Déposé par poutounou le 25/12/2022Coucou les mamans et papas de cナ砥r ! Avant tout, je vous souhaite テ tous de passer un merveilleux Noテォl avec des surprises et une bonne tonne d窶僊mour窶ヲ !!! Je vous envoie un joli petit conte de Noテォl ! Et oui il existe le ツサJardin magique du Paradis ツサ, et tous nos Anges y sont テ prテゥsent, et bien sテサr qu窶冰n jour nous les rejoindrons comme le gテゥant du jardin, c窶册st une テゥvidence窶ヲ !!! * Petit conte de Noテォl : le jardin du gテゥant * Tous les aprティs-midis, en revenant de l'テゥcole, les enfants allaient jouer dans le jardin du Gテゥant qui テゥtait parti depuis sept ans dテゥjテ. Le jardin テゥtait ravissant ; テァa et lテ, sur l'herbe douce et verte, poussaient de belles fleurs qui ressemblaient テ des テゥtoiles. Vers le ciel magnifique, s'テゥlanテァaient douze pテェchers qui au printemps s'テゥpanouissaient en dテゥlicates floraisons couleur de rose et de perle, et qui, en automne, portaient des fruits couleur de fテェte. Les oiseaux assis sur les arbres chantaient si joliment que les enfants s'arrテェtaient de jouer pour les テゥcouter. C'テゥtait le jardin du Bonheur... * Un jour, le Gテゥant revint. Il vit les enfants dans le jardin. Et comme c'テゥtait un Gテゥant trティs テゥgoテッste, il les fit fuir avec sa grosse voix. Ensuite, il construisit un MUR tout autour du jardin et mit un テゥcriteau : Dテゥfense d'entrer sous peine d'amende ! * L'hiver arriva... Puis vint le printemps avec les fleurs des champs et les oiseaux du ciel... Mais dans le jardin de l'Egoテッste, c'テゥtait encore l'hiver, la neige, le froid et le gel. Le Vent du Nord, glacial, avait trouvテゥ son logis. Il invita Madame La Grテェle テ venir le rejoindre et tous deux s'en donnティrent テ coeur joie... Ils dテゥcidティrent de ne plus quitter l'endroit et de l'occuper toute l'annテゥe. Le Gテゥant se posait des questions : "Pourquoi est-ce toujours l'hiver chez moi ?" "Pourquoi les oiseaux ne viennent-ils plus ? Pourquoi les fleurs ne s'テゥpanouissent-elles pas ?" L'homme ne comprenait pas et s'attristait. * Un matin pourtant, il entendit une musique ravissante. Un petit linot chantait dehors, il chantait la plus merveilleuse musique du monde. Le Gテゥant s'approcha de la fenテェtre et aperテァut une multitude d'enfants installテゥs sur les branches des arbres... et les arbres, si contents de les revoir, s'テゥtaient mis テ refleurir... et la grテェle et le vent s'テゥtaient enfuis... Les oiseaux voletaient et gazouillaient avec dテゥlice ; les fleurs souriaient ; les enfants riaient... Mais dans un coin du jardin, l'hiver テゥtait restテゥ avec ses amis Grテェle et Vent du Nord. Au pied d'un arbre gelテゥ, un tout petit enfant pleurait. Il ne pouvait grimper テ l'arbre. Le Gテゥant comprit alors son テゥgoテッsme : ツォ Maintenant je sais pourquoi le Printemps ne voulait pas venir ici. Je vais mettre ce pauvre petit garテァon tout en haut de l'arbre, et je dテゥmolirai le mur, et mon jardin sera テ tout jamais la cour de rテゥcrテゥation des enfants. ツサ * Le Gテゥant descendit sans bruit l'escalier, ouvrit trティs doucement la porte et pテゥnテゥtra dans le jardin. Mais quand les enfants le virent, ils furent si effrayテゥs qu'ils s'enfuirent, et le jardin reprit ses couleurs d'hiver. Seul le petit garテァon ne s'enfuit point car ses yeux テゥtaient si pleins de larmes glacテゥes qu'il ne vit pas le Gテゥant s窶兮pprocher. Celui-ci le prit doucement dans sa main et le posa dans l'arbre. Et l'arbre se couvrit aussitテエt de fleurs, et les oiseaux vinrent y chanter, et le petit garテァon テゥtendit ses deux bras et les jeta autour du cou du Gテゥant, et l'embrassa (c'テゥtait la premiティre fois qu'on embrassait le Gテゥant). Et quand les autres enfants virent que le Gテゥant n'テゥtait plus mテゥchant, ils revinrent en courant, et le Printemps revint avec eux. "C'est votre jardin, maintenant, petits enfants 窶, dit le Gテゥant. Et il prit une grande hache et fit tomber le mur. Les enfants jouティrent tout le jour et, le soir, ils vinrent dire au revoir au Gテゥant. * Celui-ci demanda : "Mais oテケ donc est votre petit compagnon, celui que j'ai posテゥ dans l'arbre ?窶 (Le Gテゥant avait un faible pour lui parce qu'il l'avait embrassテゥ.) * "Nous n'en savons rien 窶, rテゥpondirent les enfants. 窶 Il est parti et nous ne savons pas oテケ il habite. Nous ne l'avons jamais vu auparavant." Le Gテゥant en fut trティs triste. Les annテゥes passティrent, et le Gテゥant devint trティs vieux et trティs faible. Il restait assis dans un fauteuil immense, regardait les jeux des enfants et admirait son jardin. 窶 J'ai beaucoup de belles fleurs, disait-il, mais les enfants sont les plus belles fleurs de toutes". * Un matin d'hiver, il regardait par la fenテェtre en s'habillant. Il ne dテゥtestait plus autant l'hiver, car il savait que c'テゥtait simplement le printemps endormi, et que les fleurs se reposaient. Ce matin-lテ, dans le coin le plus reculテゥ du jardin, il aperテァut un arbre tout couvert de ravissantes fleurs blanches. Ses branches テゥtaient toutes dorテゥes et des fruits d'argent y テゥtaient suspendus... Au-dessous de l'arbre, se tenait le petit garテァon qu'il avait aimテゥ. Dans sa joie, le Gテゥant descendit en courant l'escalier et pテゥnテゥtra dans le jardin. Il traversa l'herbe en toute hテ「te et arriva prティs de l'enfant. Quand il fut tout prティs, il s'aperテァut que l'enfant テゥtait blessテゥ. Sur ses paumes et sur ses pieds, il y avait l'empreinte de deux clous... 窶 Qui a osテゥ te blesser ?窶 s'テゥcria le Gテゥant ; 窶 dis-le moi afin que je prenne mon grand sabre et que je le tue. ツォ Non ! ツサ rテゥpondit l'enfant ; ce sont les blessures de l'Amour. 窶 Qui donc es-tu ?" demanda le Gテゥant en s'agenouillant devant le petit enfant. L'enfant sourit au Gテゥant et lui dit : 窶 Tu m'as laissテゥ un jour jouer dans ton jardin, aujourd'hui tu viendras avec moi dans mon jardin, qui est le Paradis." Et ce jour-lテ, quand les enfants du village coururent au jardin, ils trouvティrent le Gテゥant couchテゥ sous un arbre mort et tout couvert de fleurs blanches. * D窶兮prティs un conte d窶儖scar Wilde |
Déposé par poutounou le 24/12/2022Histoire de NOEL : le carnet d窶兮dresses du Pティre Noテォl * Le Pティre Noテォl se brosse les dents. Il peigne sa barbe, il enfile son manteau rouge, ses bottes, son bonnet. Il monte sur son traテョneau, il crie テ ses rennes : ツォ allez, au boulot ! ツサ * Et le traテョneau s窶册nvole dans le ciel. C窶册st la nuit de Noテォl et le Pティre Noテォl va distribuer ses cadeaux. Il se dit : ツォ bon, par qui vais-je commencer ? ツサ Il plonge la main dans une poche de son manteau. Puis il fouille dans une autre poche. Il s窶凖ゥcrie : ツォ sapristi, j窶兮i oubliテゥ mon carnet d窶兮dresses ! ツサ * Dans son carnet, le Pティre Noテォl a テゥcrit les adresses de tous les enfants de la terre et les jouets qu窶冓ls veulent recevoir. Vite, il fait faire demi-tour テ ses rennes et il retourne chez lui. Le Pティre Noテォl fouille partout, sur son armoire, sous son lit. Il vide ses placards, il secoue ses chaussures, mais il ne trouve rien. Son carnet d窶兮dresses a disparu. * Le Pティre Noテォl regarde son traテョneau chargテゥ de cadeaux. Il dit tristement : ツォ qu窶册st-ce que je vais faire de tout テァa ? ツサ Une grosse larme coule le long de sa barbe. Il soupire : ツォ ce Noテォl va テェtre ratテゥ, complティtement ratテゥ ! ツサ Les rennes du Pティre Noテォl commencent テ s窶冓mpatienter. Ils secouent leurs clochettes. Le Pティre Noテォl caresse le grand renne qui conduit l窶兮ttelage, et il murmure : ツォ oui, oui, il est l窶冑eure de partir, mais je ne sais plus dans quelles maisons dテゥposer les jouets ! ツサ * Alors, le grand renne dテゥclare : ツォ tu as perdu ton carnet d窶兮dresses, vieil テゥtourdi ! Il ne reste qu窶冰ne solution, puisque tu ne sais pas dans quelles maisons dorment les enfants, il faut distribuer des jouets dans toutes les maisons de la terre. Allons, accroche les autres traテョneaux derriティre nous et va chercher tous les jouets qui restent dans ton grenier ! ツサ Dテゥjテ, une horloge sonne les douze coups de minuit. Le Pティre Noテォl se met au travail : il court, il porte, il grogne. Il remplit encore cinq traテョneaux de jouets pour テェtre sテサr d窶册n avoir assez. Puis il fait claquer son fouet en l窶兮ir et l窶兮ttelage file sous les テゥtoiles. * Le Pティre Noテォl n窶兮 jamais connu une nuit aussi fatigante. Il dテゥpose des paquets dans toutes les maisons, mテェme dans les maisons oテケ il n窶凉 a pas d窶册nfants. * Le lendemain matin, les grands-mティres trouvent des ours en peluche dans leurs chaussons, les grands-pティres ont des trains テゥlectriques, les bテゥbテゥs ont des vテゥlos de cross, les papas des poupテゥes et les mamans des hochets. Alors les gens sortent des maisons. Certains disent : ツォ j窶兮i reテァu テァa et je n窶兮i rien demandテゥ ! ツサ D窶兮utres ronchonnent : ツォ j窶兮i un jouet de bテゥbテゥ, ce n窶册st pas ce que je voulais ! ツサ * Heureusement les papas donnent leurs jouets aux enfants, les bテゥbテゥs aux mamans, les mamans aux garテァons, les garテァons aux grands-mティres, les grands-mティres aux filles et les filles aux grands-pティres. テ la fin, d窶凖ゥchange en テゥchange, chacun a un cadeau qui lui plaテョt. * Dans les nuages, le Pティre Noテォl observe ce qui se passe sur la terre. Il se dit en riant : ツォ hテゥ, hテゥ, je leur ai fait une bonne surprise ! ツサ Puis il rentre chez lui. Il enfile son pyjama, il se glisse dans son lit et, sous son oreiller, il retrouve son carnet d窶兮dresses. |
Déposé par poutounou le 21/12/2022Regardons vite sous notre oreiller !!! C'est lorsque nous rテェvons de nos Anges !!! * Le petit rテェve * C窶册st un petit rテェve lテゥger Un rテェve bien pliテゥ sous mon oreiller C窶册st un rテェve doux et chaud Qui va pieds nus dans l窶冑erbe fraテョche, Un rテェve transparent Qui glisse entre les yeux Et se blottit sous les paupiティres. C窶册st un rテェve colorテゥ Qui murmure encore en moi Quand le soleil ouvre ma porte. C窶册st un petit rテェve lテゥger Qui accompagne ma journテゥe. * Luce Guilbaud ("Les oiseaux sont pleins de nuages" - テゥditions Soc et Foc) |
Déposé par poutounou le 18/12/2022Un joli petit poティme hivernal窶ヲ窶ヲJe ne sais pas chez vous, mais ici, en Lorraine, il fait un froid de canard窶ヲ Vivement le printemps et le doux soleil窶ヲ!!! * Hiver, vous n'テェtes qu'un vilain ... * Hiver, vous n'テェtes qu'un vilain, Etテゥ est plaisant et gentil, En tテゥmoin de Mai et d'Avril Qui l'accompagnent soir et matin. * Etテゥ revテェt champs, bois et fleurs De sa livrテゥe de verdure, Et de maintes autres couleurs, Par l'ordonnance de Nature. * Mais vous, hiver, vous テェtes plein De neige, vent, pluie et grテゥsil : On doit vous bannir en exil. Sans vous flatter je parle plein, * Hiver, vous n'テェtes qu'un vilain ! * Charles d'Orlテゥans (1394-1465) |
Déposé par poutounou le 14/12/2022Bien sテサr qu窶冓l y a des gens qui vous aiment pour vous ! Venez faire un tour sur le Cimetiティre des chiens ou chats et vous verrez combien vous テェtes aimテゥs窶ヲ !!! * Le chien et le chat * Un chien vendu par son maテョtre Brisa sa chaテョne, et revint Au logis qui le vit naテョtre. Jugez de ce qu'il devint Lorsque, pour prix de son zティle, Il fut de cette maison Reconduit par le bテ「ton Vers sa demeure nouvelle. Un vieux chat, son compagnon, Voyant sa surprise extrテェme, En passant lui dit ce mot : Tu croyais donc, pauvre sot, Que c'est pour nous qu'on nous aime ! * Jean-Pierre Claris de Florian |
Déposé par poutounou le 11/12/2022Nos Anges ont le coeur rempli de sous d窶僊mour, de vrai Amour ! Et nous, mamans et papas de coeur, avons fait tout notre possible pour leur rendre ces sous d窶僊mour窶ヲ!!! * La priティre aux テゥtoiles * Et on s窶册mbrasse, et on se dit ツォ Je t窶兮ime ツサ, Et on se fait du charme Et tout le reste, et テァa va trティs bien窶ヲ Et tout d窶冰n coup, il y en a un qui donne テ l窶兮utre窶ヲ Un sou d窶兮mour. Mais de vrai Amour, tu comprends ! Un sou, pas plus. Oh窶ヲ ce n窶册st presque rien, C窶册st peut-テェtre une nouvelle robe de la couleur de sa cravate, C窶册st peut-テェtre de rテゥpテゥter une phrase qu窶冓l a dite la veille窶ヲ C窶册st une faテァon de tenir une main, Un regard plus bleu, Un petit tremblement dans la voix窶ヲ Alors il faut que l窶兮utre le comprenne窶ヲ Il faut que, tout テ coup, Il sente que ce n窶册st pas trois mille francs de coquetterie, Ou dix mille francs de flirt, Mais que c窶册st beaucoup plus que テァa, Parce que c窶册st un sou d窶僊mour. Et alors, tout de suite, Il faut que, pour un sou, Il rende tout テ coup窶ヲ deux sous d窶僊mour. * Marcel Pagnol |
Déposé par poutounou le 07/12/2022Encore faudrait-il que ceux qui font du mal se rendent compte du mal qu窶冓ls font窶ヲ !!! * La brebis et le chien * La brebis et le chien, de tous les temps amis, Se racontaient un jour leur vie infortunテゥe. Ah ! Disait la brebis, je pleure et je frテゥmis Quand je songe aux malheurs de notre destinテゥe. Toi, l'esclave de l'homme, adorant des ingrats, Toujours soumis, tendre et fidティle, Tu reテァois, pour prix de ton zティle, Des coups et souvent le trテゥpas. Moi, qui tous les ans les habille, Qui leur donne du lait, et qui fume leurs champs, Je vois chaque matin quelqu'un de ma famille Assassinテゥ par ces mテゥchants. Leurs confrティres les loups dテゥvorent ce qui reste. Victimes de ces inhumains, Travailler pour eux seuls, et mourir par leurs mains, Voilテ notre destin funeste ! Il est vrai, dit le chien : mais crois-tu plus heureux Les auteurs de notre misティre ? Va, ma sナ砥r, il vaut encor mieux Souffrir le mal que de le faire. * Jean-Pierre Claris de Florian |
Déposé par poutounou le 04/12/2022Je crois que nous avons tous et toutes, mamans et papas de cナ砥r, des cuirasses窶ヲ..テ trous !!! * Se faire une cuirasse * Je ne veux du bonheur que plaisirs テゥphテゥmティres et ces joies passagティres que l窶冩n oublie sur l窶冑eure. * Me suis fait une cuirasse et me complais dedans. J窶凉 conjugue au prテゥsent. Elle ne prend nulle trace * J窶凉 conjugue au prテゥsent. Et pourtant sans savoir, que de choses d窶兮ntan me font mal ! De toutes parts. * Me font mal et me blessent. Mais je les tiens en laisse ! Et dans ma forteresse, je ne cesse de m窶兮rmer ! * Contre quoi ? Contre tout dans ma cuirasse テ trous oテケ s窶冓nstalle comme chez soi ce dont je ne veux pas ! * Esther Granek, Je cours aprティs mon ombre, 1981 |
Déposé par poutounou le 30/11/2022Il y en a des tas de jolies demoiselles au Paradis et de trティs beaux gamins aussi. Mais ils sont tous beaux et belles parce qu窶冓ls et elles ont une テ「me tout ce qu窶冓l y a de plus noble. Je ne savais pas ce qu窶凖ゥtait la ツォ mテゥtempsychose ツサ ! C窶册st la rテゥincarnation de l窶凖「me aprティs la mort dans un corps humain, dans celui d窶冰n animal ou dans un vテゥgテゥtal. On en apprend tous les jours窶ヲ !!! Je suis sテサre que Rubens, le Sage, テゥtait un moine ou un Dalaテッ-lama dans une vie antテゥrieure et Iron un テゥtalon fougueux窶ヲ !!! * Sur une petite chienne * Moi qui suis partisan de la mテゥtempsychose, Je soupテァonne trティs fort que Coquette, autrefois, テ液ait une marquise テ l'agaテァant minois, Et rien que son aspect confirmerait la chose. * Observez sa figure et son geste et sa pose, De quel air grande dame on saute aux bons endroits, Comme aux places d'honneur on sent qu'on a des droits, Et comme on porte au cou son nナ砥d de ruban rose ! * Si l'on prテエnait jadis notre beau petit nez, Notre ナ妬llade assassine et nos traits chiffonnテゥs, Et notre pied charmant, le plus mignon du globe, * Notre queue aujourd'hui n'est pas moins belle テ voir, Ou notre fine patte, ou notre museau noir, Ou le long poil soyeux qui forme notre robe. * Amテゥdテゥe Pommier |
Déposé par poutounou le 27/11/2022Que c窶册st beau : ツォ Les cendres de mes larmes tテゥmoignent des flammes de la peine qui me ronge窶ヲ ツサ * Pour un dテゥfunt * Dans ma mテゥmoire tu vis encore et je sens palpiter en moi ton petit corps J窶兮vais creusテゥ de mes mains un coin de terre oテケ dテゥsormais tu reposes mon bel amour canin Comment, privテゥ de ta prテゥsence, テゥteindre mon chagrin ? Comment ne plus entendre tes petits aboiements maintenant noyテゥs dans l窶冓nexorable silence ? Je pleure, je pleure les cendres de mes larmes tテゥmoignent des flammes de la peine qui me ronge Je dois rendre les armes et consentir au songe que tu es devenu * Kamal Zerdoumi, 2022 |
Déposé par poutounou le 23/11/2022Que c窶册st beau : ツォ dテゥracinテゥe de toi, j窶兮i froid, j窶兮i froid窶ヲ ツサ * Sans toi窶ヲ(extrait, lテゥgティrement modifiテゥ) * Sans toi J窶兮i essayテゥ de m窶凖ゥtourdir De courir les plaisirs Sans toi, sans toi Mais c窶凖ゥtait juste Des confettis dans mes cheveux J窶兮vais les yeux Remplis de larmes * Et je reste plantテゥe lテ Dテゥracinテゥe de toi J窶兮i froid, j窶兮i froid J窶兮i froid de ne plus me pencher sur ton doux museau Je suis un saule inconsolable * J窶兮i des milliers de feuilles pour t窶凖ゥcrire Te parler de ma vie sans toi Te dire, te dire Te dire des choses qui voudront dire toujours J窶兮i besoin de toi Si loin de moi Irremplaテァable |
Déposé par poutounou le 20/11/2022Pauvre Mテゥdor ! Heureusement que les chiens ne sont pas rancuniers窶ヲ * Le chien de chasse * Mテゥdor est un vrai chien de race, Des mieux nテゥs et des mieux appris ; Il n'a pas d'テゥgal, soit qu'il chasse Liティvre ou lapin, caille ou perdrix. Le maテョtre aussi jamais ne va battre les plaines, Fouiller ses bois et ses garennes, Qu'テ le suivre Mテゥdor n'ait テゥtテゥ conviテゥ ; Et pourtant, au retour, lorsque le maテョtre dテョne Du gibier dont Mテゥdor a fourni sa cuisine, テ la cour, sans テゥgard, Mテゥdor est renvoyテゥ. * En plus d'un cas la chose ainsi se passe. Au dテゥvouement ce sort est parfois destinテゥ ; Et tel qu'on invitait テ l'heure de la chasse, S'est vu chassテゥ de mテェme テ l'heure du dテョner. * Antoine-Vincent Arnault |
Déposé par poutounou le 16/11/2022C窶册st tout テ fait vrai : les chiens ne connaissent pas l窶冓ngratitude. Ils sont テゥternellement reconnaissants du bien que nous leur faisons : une caresse = une lテゥchouille ou la truffe froide dans le cou窶ヲ !!! * Les amis テ deux pieds * ツォ Je prテゥfティre un bon cナ砥r テ tout l'esprit du monde, Et d'amis テ deux pieds je me passe fort bien, ツサ Disait certain monsieur qui vit avec son chien Dans une retraite profonde. ツォ Je n'ai pas d'autre ami que lui, Humains ; et s'il tient aujourd'hui La place qu'en mon cナ砥r longtemps vous occupテ「tes C'est qu'il ne m'est pas dテゥmontrテゥ Que l'on ait aussi rencontrテゥ L'ingratitude テ quatre pattes. ツサ * Antoine-Vincent Arnault |
Déposé par poutounou le 13/11/2022Petit poティme charmant窶ヲet les chiens nous dテゥclament des vers et chantent ツォ La marseillaise ツサ en canon窶ヲ ! Que c窶册st drテエle !!! * La clテゥ des champs * On a perdu la clテゥ des champs ! Les arbres, libres, se promティnent, Le chテェne marche en trテゥbuchant, Le sapin boit テ la fontaine. * Les buissons jouent テ chat perchテゥ, Les vaches dans les airs s'envolent, La riviティre monte au clocher Et les collines cabriolent. * J'ai retrouvテゥ la clテゥ des champs Volテゥe par la pie qui jacasse. Et ce soir au soleil couchant J'aurai tout remis テ sa place. * Jacques Charpentreau |
Déposé par poutounou le 09/11/2022Que c窶册st beau : ツォ Mais, voici que se sont ouverts les grands bras de la lumiティre ツサ !!! * Le ciel est テ moi * J窶凖ゥtais sans vie et sans voix Sans espテゥrance et sans joie Presque rendu au bout de mon temps Mais, voici que se sont ouverts Les grands bras de la lumiティre Et voilテ que je pars vers l窶冰nivers Je pars, je pars Je monte, je monte Je vole Le ciel est テ moi Je parle aux テゥtoiles Je plane de soleil en soleil Je vole, je vole, Je brille, je brille, Je vis Le ciel est テ moi L窶冓nfini est bleu Bleu et doux et bon et merveilleux ! * J窶凖ゥtais sans vie et sans voix L窶凖「me pleine de ツォ pourquoi ツサ Perdu dans les silences et dans le mots Quelle est la raison des choses Des galaxies et des roses ? On le sait quand on sait Que tout est beau. Je pars, je pars Je monte, je monte Je vole Le ciel est テ moi Je parle aux テゥtoiles Je plane de soleil en soleil Je vole, je vole, Je brille, je brille, Je vis Le ciel est テ moi L窶冓nfini est bleu Bleu et doux et bon et merveilleux ! * J窶凖ゥtais sans vie et sans voix Sans espテゥrance et sans joie Presque rendu au bout de mon temps Mais, voici que se sont ouverts Les grands bras de la lumiティre Et voilテ que je pars vers l窶冰nivers ! * Chanson du film ツォ Le papillon bleu ツサ, interprテゥtテゥe par Marie-Hテゥlティne Thibert |