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En hommage à
BERGER-ALLEMANDOlga
Il est né le:30/04/1997
Il nous a quittés le:30/12/2010
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66 Fleurs
Déposé par ovanek đź’– đź’– Une Belle pensĂ©e pour Toi bel Ange de la part des maĂ®tres de Ovanek dit Max |
37 messages
Déposé par poutounou le 17/03/2019Dès que je te rejoindrai mon Ange ... * L’ombre des anges * Je traverserai les villes J’emporterai ta voix J’irai chercher le feu dans le ciel Et le vent dans nos voiles Quand l’ombre des nuages DĂ©masquera nos souffles Nous volerons sereins Par les chemins du sort Et nos songes en fuite Eviteront les gouffres Pour balayer ensuite Les traces de nos morts Je traverserai les villes J’emporterai ta voix J’irai chercher le feu dans le ciel Et le vent dans nos voiles Une Ă©toile se repose * Dès qu’un ange s’endort… * Isaac Lerutan, 2009 |
Déposé par poutounou le 10/03/2019Un Ange sĂ»rement !!! * Ce soir, Ă travers le bonheur * Ce soir, Ă travers le bonheur, Qui donc soupire, qu'est-ce qui pleure ? Qu'est-ce qui vient palpiter sur mon coeur, Comme un oiseau blessĂ© ? * Est-ce une plainte de la terre, Est-ce une voix future, Une voix du passĂ© ? J'Ă©coute, jusqu'Ă la souffrance, Ce son dans le silence. * Ile d'oubli, Ă´ Paradis ! Quel cri dĂ©chire, cette nuit, Ta voix qui me berce ? Quel cri traverse Ta ceinture de fleurs, Et ton beau voile d'allĂ©gresse ? * Charles VAN LERBERGHE (1861-1907) |
Déposé par poutounou le 02/03/2019Tu es tout ça mon Ange !!! * MON ANGE ADORÉ * Tu es mon oxygène, Tu es la joie que je promène, La force qui brise mes chaĂ®nes, L'indispensable qui coule dans mes veines. * Tu es l'objet de mon existence, L'ange pur de l'innocence, Mon Ă©toile de bienveillance, Plus qu'un espoir et plus qu'une chance. * Tu es ma mĂ©lodie, La douceur de mes nuits, Les couleurs de ma vie, Le bonheur Ă l'infini. * - Elodie - |
Déposé par poutounou le 10/02/2019Quelle belle dĂ©claration !!! * DĂ©munie * Pourquoi n'ai-je pas conservĂ© Tes « sourires » prĂ©cieux Et prĂ©servĂ© l'ombre Que tu jetais sur nos routes ? * Pourquoi n'ai-je pas mis de cĂ´tĂ© Tes regards d'ambre et d'or, Fortune fabuleuse pour plus tard Quand je serai Ă court de tendresse ? * J'ai gaspillĂ© tes caresses Je n'ai aucun disque de tes pas L'orage a Ă©parpillĂ© tes Ă©treintes Et dĂ©truit les silos remplis de lĂ©chouilles. Le dernier son de ta voix S'est perdu dans le sable Et je dessine en vain ton profil Dans le givre de ma fenĂŞtre. * Claire Goll |
Déposé par poutounou le 03/02/2019Vous ĂŞtes Ă jamais dans nos cĹ“urs et nous vous aimerons toujours, magnifiques Anges… * Soupir * Ne jamais le voir ni l'entendre, Ne jamais tout haut le nommer, Mais, fidèle, toujours l'attendre, Toujours l'aimer. * Ouvrir les bras et, las d'attendre, Sur le nĂ©ant les refermer, Mais encor, toujours les lui tendre, Toujours l'aimer. * Ah ! Ne pouvoir que les lui tendre, Et dans les pleurs se consumer, Mais ces pleurs toujours les rĂ©pandre, Toujours l'aimer. * Ne jamais le voir ni l'entendre, Ne jamais tout haut le nommer, Mais d'un amour toujours plus tendre Toujours l'aimer. * RenĂ©-François SULLY PRUDHOMME (1839-1907) |
Déposé par Biscuit le 28/01/2019Ma boule d'amour Tu sais que j'ai du mal, Encore Ă parler de toi, Il parait que c'est normal, Tu sais j'ai la voix qui se serre, Quand je te croise dans les photos les vidĂ©os, Tu sais j'ai le cĹ“ur qui se perd, Je sais qu'il te pense beaucoup. J'aurais aimĂ© t'avoir encore , Un peu plus longtemps... J'aurais aimĂ© que mon chagrin, Ne dure qu'un instant mais c'est impossible. Et tu sais j'espère au moins, Que tu m'entends. C'est dur de briser le silence, MĂŞme dans les cris, mĂŞme dehors, C'est dur de combattre l'absence ton absence, Et personne ne peut comprendre, On a chacun sa propre histoire. On m'a dit qu'il fallait attendre, Que la peine s'adoucisse. Car on ressent une immense peine Qui ne s'efface pas si facilement Aujourd'hui c'est ce qui m'arrive Vu que tu n'es plus Ă mes cotĂ©s Et je suis complètement dĂ©chirĂ©e Car la souffrance est trop vive Je voulais te dire que j'Ă©tais fière, D'avoir Ă©tĂ© ta Maman et je le serais toujours, Mais je sais que tout cela n'est plus possible Et c'est bien pour ça que mon cĹ“ur a une plaie Qui mettra du temps Ă se soigner. Pour qu'après, je puisse parler de toi et te regarder sans pleurĂ© MĂŞme si la vie nous Ă sĂ©parer tu est lĂ dans un endroit qu'on appelle le coeur mon coeur. Je t'aime, |
Déposé par poutounou le 27/01/2019A quel beau songe Ă©vanoui dois-je les larmes que je pleure ? A toi mon Ange... * PensĂ©e perdue * Elle est si douce, la pensĂ©e, Qu'il faut, pour en sentir l'attrait, D'une vision commencĂ©e S'Ă©veiller tout Ă coup distrait. * Le coeur dĂ©pouillĂ© la rĂ©clame ; Il ne la fait point revenir, Et cependant elle est dans l'âme, Et l'on mourrait pour la finir. * A quoi pensais-je tout Ă l'heure ? A quel beau songe Ă©vanoui Dois-je les larmes que je pleure ? Il m'a laissĂ© tout Ă©bloui. * Et ce bonheur d'une seconde, Nul effort ne me l'a rendu ; Je n'ai goĂ»tĂ© de joie au monde Qu'en rĂŞve, et mon rĂŞve est perdu. * RenĂ©-François SULLY PRUDHOMME (1839-1907) |
Déposé par Biscuit le 23/01/2019Si je pouvais ĂŞtre certaine qu'un Paradis existe bien ? Sur l'Ă©chelle du Ciel, je voudrais monter... Pas tout en haut, mais un peu quand mĂŞme, Pas bien longtemps, mais juste assez, Pour m'assurer que tu es bien arrivĂ© Je voudrais tendre le cou, Pour voir si ta nouvelle vie te plait.. Me persuader que tu es bien entourĂ©, Mais surtout que la vie est meilleure ici..... J'observerais tous ces ĂŞtres innocents partis d'en bas, Bien trop tĂ´t, M'Ă©merveillerais de leurs ailes qui ont poussĂ©, Depuis qu'ils sont lĂ -haut. Je voudrais monter sur cette Ă©chelle, Contre mon coeur, te serrer une dernière fois, Que tu me dirais, dans un battement d'aile, "Continue Maman.... je veille sur toi.... Je suis toujours aussi près de toi", |
Déposé par Biscuit le 22/01/2019Il faut laisser partir ceux qui nous ont aimĂ©s Et laisser s'en aller ceux qu'on a tant aimĂ©s. Des jours de souffrance nous t'avons Ă©pargnĂ©s, Pour toi, j'ai eu le choix : pouvoir te soulager. T'offrir comme un cadeau le sommeil Ă©ternel En laissant ton âme s'envoler vers le ciel. Une première fois je t'avais ramenĂ©e Et il fallait t'aider Ă monter l'escalier, A peine tu marchais dĂ©jĂ tu t'essoufflais Mais au delĂ de ça toujours tu me suivais. Tes yeux presque aveugles, bleutĂ©s, embuĂ©s… Ton souffle s'Ă©puisait, tes pattes flĂ©chissaient. Tu Ă©coutais le chant des oiseaux le matin, Et les chats partageaient avec toi ton coussin. Ta truffe dans le vent, tu humais les odeurs... Des choses t'Ă©chappaient mais tu n'avais pas peur. Tu semblais rĂ©signer Ă vivre diminuĂ©e Avec sagesse tu paraissais accepter Ces changements troublants sans comprendre vraiment Que les annĂ©es passaient et que le facteur temps Poursuivait son chemin inexorablement. Mais la deuxième fois est trop vite arrivĂ©e Et nous avons tout fait pour tenter de gagner Encore quelques jours, pourquoi pas une annĂ©e... Le moment redoutĂ© : le verdict est tombĂ©. Il faut un peu de temps pour accepter l'idĂ©e Et faire quelques pas pour bien se prĂ©parer. Mais te voir trĂ©bucher, la tĂŞte de cĂ´tĂ©... Il faut se rĂ©signer. Alors que je pleurais De ton regard d'humain toi tu me consolais... Dans mes bras doucement toi tu t'es endormie... Blottie tout contre moi tu as quittĂ© la vie Je suis restĂ©e longtemps Ă pleurer près de toi, Tu resteras en vie pour toujours avec moi... |
Déposé par Biscuit le 20/01/2019Pour la compagne ou le compagnon qui n'est plus Pour toi qui viens ici pour l'ultime sĂ©paration, pour l'ultime hommage Ă celui ou celle qui t'a donnĂ© sa fidĂ©litĂ©, son amour, ses joies, sa reconnaissance, et pour lequel ou pour laquelle tu as eu des nuits de veille quand la maladie frappait... Pour toi qui avais un langage unique pour Ă©changer, pour adoucir, avec celui ou avec celle qui communiquait par un simple battement des paupières, un frĂ©missement du museau, et qui exprimait, qui transmettait tant de messages ineffables, d'un miaulement ou d'un ronron, d'un aboiement particulier, ou qui jappait Ă ton approche, ou donnait de la voix. Pour toi qui cheminais avec lui ou avec elle, et qui partageais ses jeux, Pour toi dont il ou elle Ă©tait le gardien du logis, Pour toi qui as mille et mille histoires Ă nous dire sur lui ou sur elle, chien ou chat, Pour toi dont il ou elle a Ă©tĂ© le tĂ©moin de tant d'Ă©vènements familiaux, Pour toi qui revis Ă prĂ©sent la belle histoire d'amour qui vous liait, ne garde au coeur et en ta mĂ©moire que la couleur de ses yeux, et de son pelage, son nom, son image, les heures de complicitĂ©, sa force vive, celle d'hier, tout ce que ce compagnon ou cette compagne t'a donnĂ©... Que ta croyance en la survie du souffle qui l'animait soit la plus forte... Alors ta compagne ou ton compagnon sera prĂ©sent(e) dans l'invisible qui nous entoure, et tu seras apaisĂ©(e). Bernard Blancotte de l'AcadĂ©mie du Languedoc Paris, le 9 septembre 1988 |
Déposé par poutounou le 20/01/2019Encore deux, trois mois et le plus dur sera passĂ©. Printemps reviens nous vite !!! * HĂ© oui, je sais bien qu’il fait froid, Que le ciel est tout de travers; Je sais que ni la primevère Ni l’agneau ne sont encor lĂ . La terre tourne ; il reviendra, Le printemps, sur son cheval vert. Que ferait le bois sans pivert, Le petit jardin sans lilas ? Oui, tout passe, mĂŞme l’hiver, Je le sais par mon petit doigt Que je garde toujours en l’air… * Maurice CarĂŞme |
Déposé par Biscuit le 19/01/2019TU VAS ME MANQUER (Maitre Gims) Je ne peux plus porter cette solitude, tu me manques. Je n'ai plus personne Ă qui me confier. Je passe mon temps Ă regarder par la fenĂŞtre, et je ne te vois toujours pas rentrer. Tout semble faux. J'en perds mes mots. Que vais-je devenir? Je garde espoir de te revoir dans un proche avenir. Je t'attends comme si tu allais rentrer TU VAS ME MANQUER. TU VAS ME MANQUER Les souvenirs ne cessent de me hanter . TU VAS ME MANQUER. TU VAS ME MANQUER....... |
Déposé par Biscuit le 18/01/2019"""On doit malheureusement se faire Ă l'idĂ©e que ces souvenirs font dĂ©sormais partie du passĂ©."""" Ton dĂ©part , laisse de la peine, et la rĂ©signation. S'il est vrai que tu fais partie du passĂ© par ton absence, sache comme tous tes compagnons qui t'ont reçu dans ce Paradis des Animaux, que vous serez toujours prĂ©sent dans nos pensĂ©es, et seule une personne matĂ©rialiste ne peut le comprendre. Durant votre vie parmi nous, vous nous avez marquĂ© profondĂ©ment par votre fidĂ©litĂ© sans faille et votre dĂ©vouement sans limite. Tu as pris ta place dans votre Paradis, tu vas recommencer ta nouvelle vie, en pensant Ă celle que tu viens de quitter, tu t'amuseras et un beau jour, tu arrĂŞteras subitement le jeu, tu pointeras les oreilles, tu humeras l'air, et ton regard se dirigera dans une certaine direction, et subitement tu quitteras avec rapiditĂ© ce jeu pour te blottir dans les bras d'un de tes proches qui arrivera dans son Paradis. A ce moment vous serez unis pour l’éternitĂ©. Toi qui n'est pas mort, mais simplement endormi pour un long sommeil, attends tous ceux que tu as aimĂ©s sur terre. , |
Déposé par Biscuit le 17/01/2019"La mort n’est rien Je suis simplement passĂ© dans la pièce Ă cĂ´tĂ©. Je suis moi. Tu es toi. Ce que nous Ă©tions l’un pour l’autre, nous le sommes toujours. Donne-moi le nom que tu m’as toujours donnĂ©. Parle-moi comme tu l’as toujours fait. N’emploie pas de ton diffĂ©rent. Ne prends pas un air solennel ou triste. Continue Ă rire de ce qui nous faisait vivre ensemble. Prie. Souris. Pense Ă moi. Prie pour moi. Que mon nom soit toujours prononcĂ© Ă la maison comme il l’a toujours Ă©tĂ©. Sans emphase d’aucune sorte et sans trace d’ombre. La vie signifie ce qu’elle a toujours signifiĂ©. Elle reste ce qu’elle a toujours Ă©tĂ©. Le fil n’est pas coupĂ©. Pourquoi serais-je hors de ta pensĂ©e, Simplement parce que je suis hors de ta vue ? Je t’attends. Je ne suis pas loin. Juste de l’autre cĂ´tĂ© du chemin.", |
Déposé par Biscuit le 16/01/2019De nombreuses annĂ©es nous sĂ©pareras mais je penserai toujours Ă toi, On savait que ce moment allait arriver, On se disait pas maintenant... Chaque moment passĂ© avec toi n'Ă©tait que du bonheur, Mais maintenant c'est l'heure, L'heure de se dire "au revoir"... Jamais autant de temps nous serons sĂ©parĂ©s, Mais ce moment est arrivĂ©, Et cela me parait une Ă©ternitĂ©... Je me souviens de chaque moment passĂ© avec toi, Et de chaque moments de complicitĂ© passer Ă deux, Et de cette belle phrase que tu m'as fait comprendre avec ton regard, Je t'aime merci de m'avoir donner une si belle vie remplie d'amour, Celle qui pendant tout ce temps m'as faite rĂŞver... "De longues annĂ©es nous sĂ©pareras avant de pouvoir ĂŞtre ensembles mais je ne cesserai de t'aimer", |
Déposé par Biscuit le 15/01/2019Il y a des jours comme ça… * Il y a des jours comme ça, Des jours oĂą ça ne va pas. Des jours oĂą on aimerait Serrer notre Ange contre soi. Lui murmurer des mots doux, Lui faire des câlinous tout partout Il y a des jours comme ça… Depuis qu’il n’est plus lĂ . |
Déposé par Biscuit le 14/01/2019LE PARADIS DE NOS ANGES Regardez. Mais regardez donc lĂ -haut. Que voyez vous ? Ne le voyez vous pas, ce paradis de nos chers animaux ? LĂ , au dessus de ce nuage oĂą la forme est un chien. Et Ă cĂ´tĂ© de celui-ci, oĂą la forme est un chat. Il est lĂ ce paradis. Et puis, si votre regard se tourne vers la droite, Il y a le coin des rongeurs. Regardez. Mais regardez donc. Laissez aller maintenant votre regard vers la gauche. LĂ , est le coin des chevaux, des ânes. Vous le voyez, n'est ce pas? Dans le ciel si bleu, au-dessus de nos tĂŞtes, Ils sont lĂ . Ils vivent ailleurs, en pleine santĂ©, Dans de grands prĂ©s verts bien fleuris, OĂą coule la source du paradis. Et quand vient la nuit, Ils allument pour nous les Ă©toiles, Afin que nous ayons nous aussi, Cette lumière qui les entoure. Le paradis des animaux, il est lĂ . Vous le voyez, n'est ce pas? |
Déposé par poutounou le 13/01/2019Qu'il est beau ce petit poème !!! * La veilleuse du souvenir s'allume au fond de mes pensĂ©es... * Nocturne * Le ciel s'Ă©teint, tout va dormir Je songe Ă des choses passĂ©es ; C'est Ă la fois peine et plaisir. La veilleuse du souvenir S'allume au fond de mes pensĂ©es. * J'entends des pas, j'entends des voix, Des pas furtifs, des voix lointaines C'est peine et plaisir Ă la fois. On dirait le frisson des bois Sur le coeur tremblant des fontaines. * Des formes traversent la nuit, Formes noires et formes blanches... OĂą vont-ils et qui les conduit, Ces passants qui passent sans bruit, Comme la lune entre les branches ? * Le vent d'une ombre m'a frĂ´lĂ©... FantĂ´me d'enfant ou de femme ou de chien ? Sur la veilleuse il a soufflĂ© Quelque chose d'inconsolĂ© S'est mis Ă pleurer dans mon âme. * Anatole LE BRAZ (1859-1926) |
Déposé par Biscuit le 12/01/2019J'ai rever que j'essayĂ© d'aller tout lĂ -haut D'aller lĂ oĂą tout semble si beau J'ai rĂŞvĂ© de dĂ©ployer mes ailes J'ai laissĂ© une rose s'envoler Je l'ai suivie, sans jamais abandonner En espĂ©rant qu'elle allait me montrer Un monde meilleur Fait de bonheur Le tiens ma boule de tendresse Et ou l'amour dure Ă jamais. Puis tout doucement un ange s'est posĂ© A mes cĂ´tĂ©s, il a commencĂ© Ă me parler Il m'a rapidement et clairement expliquĂ© Que ce monde dont je n'arrĂŞte pas de rĂŞver Existe dĂ©jĂ au fond de mon cĹ“ur Qu'il est lĂ juste derriĂ©re les nuages Que notre amour existeras toujours, il est sous nos yeux Et quand le jour viendras,se seras comme autrefois ,pour l'Ă©ternitĂ©. Les pieds collĂ©s au sol je regarde le ciel Je pense Ă ce petit anges qui nous surveillent Qui pleurent quand on pleure, qui est heureux quand il nous voit heureux Le sourire aux lèvres je pose ces mots en sa mĂ©moire., |
Déposé par Biscuit le 11/01/2019La grande et triste erreur de quelques-uns, c'est de s'imaginer que ceux que la mort emporte nous quittent : ils ne nous quittent pas, ils restent. OĂą sont-ils ? Dans l'ombre ? oh non, c'est nous qui sommes dans l'ombre. Eux, sont Ă cĂ´tĂ© de nous, sous le voile, plus prĂ©sents que jamais. Nous ne les voyons pas, parce que le nuage obscur nous enveloppe, mais eux nous voient. Ils tiennent leurs beaux yeux pleins de lumière arrĂŞtĂ©s sur nos yeux pleins de larmes. Ă´ consolation ineffable, les morts sont des invisibles, ce ne sont pas des absents. J'ai souvent pensĂ© Ă ce qui pourrait le mieux consoler ceux qui pleurent. Voici : c'est la foi en cette prĂ©sence rĂ©elle et ininterrompue de nos morts chĂ©ris ; c'est l'intuition claire, pĂ©nĂ©trante, que, par la mort, ils ne sont ni Ă©teints, ni Ă©loignĂ©s, ni mĂŞme absents, mais vivants près de nous, heureux, transfigurĂ©s, et n'ayant perdu, dans ce changement glorieux, ni une dĂ©licatesse de leur âme, ni une tendresse de leur cĹ“ur, ni une prĂ©fĂ©rence de leur amour, mais ayant au contraire, dans ces profonds et doux sentiments, grandis de cent coudĂ©es. La mort, pour les bons, est la montĂ©e Ă©blouissante dans la lumière, dans la puissance et dans l'amour. |
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