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En hommage à
Salem
Il est né le:19/09/2002
Il nous a quittés le:16/12/2019
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423 messages
Déposé par choupinou le 07/11/2024quand tu te souviens de moi, cela signifie que tu as gardé avec toi quelque chose de qui je suis, que j'ai laissé une trace de qui je suis sur qui tu es cela signifie que tu peux me rappeler à ton esprit même si d'innombrables années et kilomètres peuvent nous séparer cela signifie que si nous nous rencontrons à nouveau, tu me reconnaîtras cela signifie que même après ma mort, tu peux toujours voir, ma silhouette et entendre mon ronron et me parler dans ton coeur. Aussi longtemps que tu te souviendras de moi, je ne serai jamais complètement perdu texte de Frederick Buechner ( de tout petit changement pour la circonstance ici sur ce cimetière de nos aimés |
Déposé par lili2248 le 03/05/2024Dans le calme des pièces où la joie dansait autrefois Un silence persiste, lourd, vaste et profond Les échos de tes pattes, un chant rythmé Maintenant étouffé, dans le tendre donjon de mémoire ══════ ೋღ🌸💜🌸ღೋ ═══════ Ton col est accroché, un gage du passé Son jingle perdu, un son qui nous tient si cher Chaque coin, chaque ombre que vous jetez Ça nous rappelle un amour toujours si proche ══════ ೋღ🌸💜🌸ღೋ ═══════ Le canapé est nu, où une fois posé la tête Et regardé le monde avec des yeux si pleins de grâce La cour dehors, où vous avez si librement accéléré Ça semble vide maintenant, sans ton rythme animé ══════ ೋღ🌸💜🌸ღೋ ═══════ L'air est immobile, les rires maintenant soumis Une maison autrefois remplie, par votre présence gouvernée Le chagrin gonfle, dans la solitude renouvelée Pour chaque espace, par ton absence scolaire ══════ ೋღ🌸💜🌸ღೋ ═══════ Mais dans ce vide, où le chagrin marche doucement Ton esprit persiste, doux, doux et doux Dans chaque douce brise, ton essence se répand Dans des murmures doux, nos âmes se rencontrent à nouveau Car bien que la maison soit vide sans toi Nos cœurs sont remplis, avec un amour toujours vrai ══════ ೋღ🌸💜🌸ღೋ ═══════ Parti Mais Pas Oublié... |
Déposé par spanky le 01/05/2024A Pâques ----- Frère Jacques, frère Jacques, Réveille-toi de ton sommeil d'hiver Les fins taillis sont déjà verts Et nous voici au temps de Pâques, Frère Jacques. ---- Au coin du bois morne et blêmi Où ton grand corps s'est endormi Depuis l'automne, L'aveugle et vacillant brouillard, Sur les grand-routes du hasard, S'est promené, longtemps, par les champs monotones ; Et les chênes aux rameaux noirs Tordus de vent farouche Ont laissé choir, De soir en soir, Leur feuillage d'or mort sur les bords de ta couche. ---- Frère Jacques, Il a neigé durant des mois Et sur tes mains, et sur tes doigts Pleins de gerçures ; Il a neigé, il a givré, Sur ton chef pâle et tonsuré Et dans les plis décolorés De ta robe de bure. ---- La torpide saison est comme entrée en toi Avec son deuil et son effroi, Et sa bise sournoise et son gel volontaire ; Et telle est la lourdeur de ton vieux front lassé Et l'immobilité de tes deux bras croisés, Qu'on les dirait d'un mort qui repose sous terre. ---- Frère Jacques, Hier au matin, malgré le froid, Deux jonquilles, trois anémones Ont soulevé leurs pétales roses ou jaunes Vers toi, Et la mésange à tête blanche, Fragile et preste, a sautillé Sur la branche de cornouiller Qui vers ton large lit de feuillages mouillés Se penche. ---- Et tu dors, et tu dors toujours, Au coin du bois profond et sourd, Bien que s'en viennent les abeilles Bourdonner jusqu'au soir à tes closes oreilles Et que l'on voie en tourbillons Rôder sur ta barbe rigide Un couple clair et rapide De papillons. ---- Pourtant, voici qu'à travers ton somme Tu as surpris, dès l'aube, s'en aller Le cortège bariolé Des cent cloches qui vont à Rome ; Et, leurs clochers restant Muets et hésitants Durant ces trois longs jours et d'angoisse et d'absence, Tu t'éveilles en écoutant Régner de l'un à l'autre bout des champs Le silence. ---- Et secouant alors De ton pesant manteau que les ronces festonnent Les glaçons de l'hiver et les brumes d'automne, Frère Jacques, tu sonnes D'un bras si rude et fort Que tout se hâte aux prés et s'enfièvre aux collines A l'appel clair de tes matines. ---- Et du bout d'un verger le coucou te répond ; Et l'insecte reluit de broussaille en broussaille ; Et les sèves sous terre immensément tressaillent ; Et les frondaisons d'or se propagent et font Que leur ombre s'incline aux vieux murs des chaumières ; Et le travail surgit innombrable et puissant ; Et le vent semble fait de mouvante lumière Pour frôler le bouton d'une rose trémière Et le front hérissé d'un pâle épi naissant. ---- Frère Jacques, frère Jacques Combien la vie entière à confiance en toi ; Et comme l'oiseau chante au faîte de mon toit ; Frère Jacques, frère Jacques, Rude et vaillant carillonneur de Pâques. ---- Émile VERHAEREN 1855 - 1916 ---- |
Déposé par spanky le 22/04/2024Ton départ Ça ira, T'en fais pas Laisse aller Je reste fort, à tes côtés Prends ma main, Jusqu'à la fin J'essaierai D'avancer sans tomber J'ai peur de ton départ Que tout s'arrête là C'est encore bien trop tôt Et c'est toi qu'il me faut Pour tenir ici bas J'ai peur de ton départ Chaque jour Un peu trop lourd Tu t'en vas Quittes le monde à petits pas Je me battrai Pour continuer Mais sans toi Comment trouver ma voie? J'ai peur de ton départ Que tout s'arrête là C'est encore bien trop tôt Et c'est toi qu'il me faut Pour tenir ici bas J'ai peur de ton départ J'ai peur de ton départ Du dernier au revoir C'est encore bien trop tôt Ta voix comme un écho Tu t'éloignes déjà J'ai peur de ton départ Que tout s'arrête là C'est encore bien trop tôt Et c'est toi qu'il me faut Pour tenir ici bas J'ai peur de ton départ Ça ira, T'en fais pas Laisse aller Ton dernier souffle, je suis à tes côtés ------- Paroliers : Marc Dupre / Amelie Larocque |
Déposé par spanky le 05/04/2024Mon maître, ------ Assieds-toi à côté de moi, j'ai à te parler. Je t'ai, maintenant je le crois, assez écouté. Je me souviens de notre rencontre, c'était un jour où le soleil brillait, l'air était doux. Un parfum de muguet, que je n'avais encore jamais respiré, se répandait tout autour de nous. Tu es venu vers moi, tu semblais si fatigué, si triste, que je me suis tout de suite senti proche de toi. Les arbres, les fleurs, l'herbe même sentaient la naissance, le début, la fraîcheur. Quand tu m'as pris dans tes bras, ton cœur battait encore plus fort que le mien. Je me le rappelle bien, j'en étais stupéfait ! Tu me donnais tant d'amour qu'il me semblait que l'éternité était en nous, que ma vie était-elle. Tu m'as connu bébé, je suis maintenant beaucoup plus vieux que toi, au crépuscule de ma vie. C'est moi maintenant qui suis fatigué, si fatigué, éreinté. Je ne sens plus mes membres, je ne sens presque plus rien. Il est pour moi l'heure. Tu es ce que tu es, celui que j'ai aimé, que j'ai toujours aimé. Le premier, le dernier. Notre sort aurait pu être si différent… le mien surtout. J'aurais pu me retrouver seul, dans le froid, attendant jusqu'à ma mort ton retour. J'aurais pu me sentir abandonner mais confiant, même si cela peut paraître incompatible. J'aurais pu croire en un faux Dieu, perdre ce que vous appelez des illusions. Comme je me sens bien près de toi… il me semble sentir à nouveau le muguet comme ce jour de mai ; je sens ta chaleur, ta vie, il me semble même entendre battre ton cœur, comme au premier jour. Pour moi, c'est le dernier. Ne pleure pas mon ami. Ton tour viendra, et je ne peux m'empêcher de te promettre que je t'attendrais, même si je sais que tu ne crois pas à ces choses-là. Que nous reste-t-il donc ? Rien d'autre que ce que tu penses être un faux espoir. Mais tu en sais sans doute plus que moi sur ce sujet ? Je vais continuer de vivre dans ton cœur, aussi longtemps que tu le souhaiteras. Je serais toujours tout près de toi, tant que mon image sera présente en toi. Je dois maintenant m'arrêter. S'il te plait… Pose ta main sur ma tête… caresses-moi. Je vais partir, et j'ai un peu peur. Il me faut ton odeur… Adieu. |
Déposé par spanky le 11/03/2024Un vieil homme se promenait et remarqua un enfant qui nourrissait les chiens errants. Il lui demanda : - "Pourquoi tu partages ton pain avec ces chiens?" L'enfant répondit : - "Parce qu'ils n'ont rien... Pas de maison... Pas de famille... Pas d'amour... Et si je ne le fais pas, ils vont mourir... " Le vieil homme répondit : - "Mais il y a tant de chiens errants... Tes efforts ne servent à rien... Ça ne fera aucune différence mon petit... " L'enfant regarda un des chiens, le serra dans ses bras et répondit : - "Mais pour ce petit chien, ça fait toute la différence du monde." |
Déposé par spanky le 28/02/2024Merci, mon chien! ---- Aujourd’hui, j’ai pris mon courage à deux mains et en famille, nous sommes allés t’accompagner vers un repos tellement mérité… je n’ai pas eu la force de le faire pour mon grand brun et je m’en veux encore. ---- Tu as été un toutou formidable. Vraiment, j’ai beau chercher, je ne te trouve aucun défaut. Cela rend ton départ encore plus pénible. ---- Je pense t’avoir offert une vie de chien plus qu’enviable; longues balades en forêt, nage à la rivière, récompenses, gâteries, câlins… ---- Tu nous as bien rendu tout cet amour. Tu étais si bien à nos côtés que tu étais souvent (toujours!) dans nos pattes! C’est ce que j’appréciais le plus: ta douce présence. --- Tu as traversé la grande épreuve de perdre ton copain du quotidien, ton gros Chummy. Nous t’avons aidée de notre mieux. Ceux qui prétendent que les chiens ne ressentent pas d’émotions n’ont visiblement jamais côtoyé ces bêtes… --- Tu as même été un guide, à ton tour, à l’arrivée de Gilbert. Tu as enduré ses maladresses. Merci d’avoir retrouvé ton cœur joueur, le temps de lui enseigné… --- Ta tête voulait suivre; ton sourire et tes yeux pétillants parlaient d’eux-mêmes. Ton p’tit cœur et tes vieux os, eux, n’y arrivaient plus. Ça rend mon chagrin encore plus grand. --- Je t’aime et tu seras dans mon cœur pour la vie, ma belle Dankä aux grands cils… ----- Par Karine Lamarche le 7 juillet 2017. Enseignante ------ |
Déposé par spanky le 27/01/2024Les animaux vivent sur terre au même titre que les humains. ------------- Ils sont dotés d'une âme comme nous et ressentent les choses bien mieux que nous. Ils n'ont pas de préjugés, ils sont saint d'esprit. Ils sont bien trop maltraités sur la terre, alors qu'ils sont remplis d'amour pour nous. Ils ne demandent qu'à partager cet amour. Ils ressentent vos joies, vos peines. Ils comprennent tout de façon télépathique. Ils se branchent sur vous et lisent vos pensées. Les animaux envoient continuellement de l'amour sans compter. Ils montrent une grande évolution et nous nous croyons supérieur à eux, Alors qu'ils pourraient nous donnez une belle leçon d'amour. Ils sont d'une grande sincérités contrairement à l'homme, qui par son égo, se croit supérieur. -------- |
Déposé par spanky le 25/01/2024Belle réflexion ! ---- Pourquoi les chiens vivent moins longtemps que les humains ? ---- Voici la réponse (selon un enfant de 6 ans) : ---- En tant que vétérinaire, on m'a appelé pour examiner un chien irlandais de 13 ans appelé Belker. La famille du chien, Ron, sa femme Lisa et leur fils Shane, étaient très proches de Belker et attendaient un miracle. J'ai examiné Belker et j'ai découvert qu'il mourait d'un cancer. J'ai dit à la famille que je ne pouvais rien faire pour Belker, et j'ai proposé de faire la procédure d'euthanasie chez elle. Le lendemain, j'ai ressenti leurs sentiments de plein fouet quand Belker a été entouré par sa famille. Shane semblait si calme, caressant le chien pour la dernière fois, et je me demandais s’il comprenait ce qui se passait. Au bout de quelques minutes, Belker tomba paisiblement en dormant pour ne jamais se réveiller. ---- L'enfant semblait accepter la transition de Belker sans difficulté. Nous nous sommes assis un moment pour nous demander pourquoi le malheur fait que la vie des chiens est plus courte que celle des êtres humains. Shane, qui avait écouté attentivement, a dit :" je sais pourquoi " ---- Ce qu'il a dit ensuite m'a surpris : je n'ai jamais entendu une explication plus réconfortante que celle-ci. Ce moment a changé ma façon de voir la vie. Il a dit : " les gens viennent au monde pour apprendre à vivre une belle vie, comme aimer les autres tout le temps et être quelqu'un de bien, hein ? '' ---- " Et bien, comme les chiens sont déjà nés en sachant comment faire tout ça, ils n'ont pas à rester aussi longtemps que nous. '' ---- La morale de l'histoire est : ----- Si un chien était ton professeur, il t’apprendrait des choses comme : ----- * Quand vos proches arrivent à la maison, il faut toujours aller dire bonjour ; --- * Ne laissez jamais passer une occasion d'aller se promener ; --- * Faites l'expérience de l'air frais et du vent ; --- * Courez, sautez et jouez tous les jours ; --- * Améliorez votre attention et laissez les gens vous toucher ; --- * Évitez de " mordre " lorsque seul un " grognement " serait suffisant ; --- * Dans les jours chauds, allongez-vous sur l'herbe. --- Et N'oubliez jamais : " quand quelqu'un aura eu une mauvaise journée, restez silencieux, asseyez-vous près de lui et doucement faites-lui sentir que vous êtes là... ----- C'est le secret du bonheur que les chiens nous apprennent tous les jours. -------- |
Déposé par poutounou le 24/01/2024Magnifique texte de Florent Pagny : « Dors…Laisse-moi couvrir tes ailes blanches et ton corps… » * Dors… * Dors Oublie les blessures lâches du temps Dors Ne réveille pas tes yeux d'océan Dors Laisse ton âme libre Aux désirs que tu crois Garde ta flamme vive Je serai toujours là Même si tu ne me vois pas Dors Mon cœur, mon ange * Dors Laisse-moi couvrir tes ailes blanches Et ton corps Je veillerai sur tes pas Je serai près de toi Oh, je te promets Que si un jour tu tombes Ce sera dans mes bras Aussi longtemps que tu le voudras * Dors Fais-moi rêver le ciel Entends mon appel Fais-moi plus fort au réveil Je serai ton gardien Le Noël de tes lendemains * Dors, dors |
Déposé par spanky le 23/01/2024ABANDON -------- Je me promenais le long de la forêt L’air pensif, la mime gaie Un enfant jouait au loin Un homme promenait son chien. J’écoutais chanter les oiseaux Dans le champ couraient des lapereaux. Un bel après-midi à la campagne Tout ce qui fait son charme. Je décidais de m’enfoncer un peu dans le bois En espérant tout au fond de moi Pouvoir apercevoir une biche avec son faon. Je marchais donc tout tranquillement Quand j’entendis un gémissement. Un tout petit cri à peine audible Perdu au fin fond de cet endroit si paisible. Je secouais la tête en pensant Que ce cri vraiment pas charmant Etait encore une illusion Un bruit sorti de mon imagination. Je repris ma marche paisiblement Quand pour la deuxième fois, retendit ce gémissement. J’ai donc décidé courageusement De voir d’où venait ce cri alarmant. J’ai marché quelques pas, en suivant le bruit Mille questions arrivèrent dans mon esprit Qu’allais-je trouver au bout de ce chemin Qui pouvait émettre ce bruit inhumain ? Plus je m’approchais, plus je m’inquiétais De savoir ce qui se trouvait dans les bosquets. Me voici donc arrivée sur les lieux Ou ma curiosité m’avait conduite Et malheureusement, je n’ai rien trouvé de merveilleux Juste quelque chose d’affreux. Il était là, tout tremblant Il était là, tout pleurant Se demandant ce qui avait fait pour mériter De finir à cet arbre attaché. Dès qu’il me vit, il remua la queue Êtres magiques, Êtres merveilleux Qui n’ont dans leur cœur Que joie et bonheur Pour nous les humains, souvent malsains. Ils nous aiment sans discernement Et pourtant, même trop souvent On les maltraite, on les torture, on les bat Sans se rendre compte de tout l’amour qu’ils ont pour nous ici-bas. Il était donc là, ce petit chien Avec dans ces yeux tout l’amour pour l’humain. Combien de temps avait-il pleuré au milieu de ces bois Combien de temps a-t-il attendu le retour d’une o***** qui ne reviendrait pas ? Je m’approchais de lui, le caressais Lui retirais la corde qui l’entravait là Je le pris dans mes bras Et doucement lui parla. Tu es sauvé mon chien, mon ami Mais pour un que l’on retrouve en vie Combien meurent seuls dans la nuit ? Abandonner son animal est une horreur Que rien sur cette Terre ne justifie Alors vous, hommes pourris, hommes sans cœur Si parfois vous en avez envie Dites-vous que je vous maudis. |
Déposé par spanky le 21/01/2024Quelqu'un là-haut, ------- Une vie de plus, Au terminus... Un chagrin, Qui réveillera le matin, En cherchant en vain, Quelqu’un et sa main. ---- C'est un silence, C'est une absence, Le manque d'une présence... Personne n'en aura les mots, Tomberont les sanglots, C'est tout ce qui reste, C'est tout ce qui blesse. ---- Une vie de plus, Au terminus, Ce n'est que peine, Qui se ramène, Sur un triste je t'aime Qui entre ciel terre et ciel, Est bien la plus cruelle. ------- |
Déposé par poutounou le 21/01/2024Très jolie chanson de Jean-Louis Aubert dédiée à nos tendres Anges... * Il manque un temps à ma vie Il manque un temps, j'ai compris Il me manque toi Mon alter ego * Tu es parti mon ami Tu m'as laissé seul ici Mais partout tu me suis Mon alter ego * Où tu es J'irai te chercher Où tu vis Je saurai te trouver Où tu te caches Laisse-moi deviner * Dans mon coeur rien ne change T'es toujours là, mon ange * Il manque ton rire à l'ennui Il manque ta flamme à ma nuit C'est pas du « je » Mon alter ego * Où tu es J'irai te chercher Où tu vis Je saurai te trouver Où tu te caches Laisse-moi deviner T'es sûrement baie des anges Sûrement là-bas, mon ange Sûrement là-bas Sûrement là-bas * Où tu es J'irai te chercher Où tu vis Je saurai te trouver Où que tu sois Je voudrais que tu saches Dans mon coeur rien ne change T'es toujours là, mon ange * Il manque un temps à ma vie Il manque ton rire, je m'ennuie Il me manque toi, mon ami |
Déposé par spanky le 19/01/2024L' enfant et le chien --------- Un agriculteur avait des chiots qu'il avait besoin de vendre ne pouvant garder toute la portée. Il peint un panneau annonçant la vente des 4 chiots et le cloua à un poteau sur le côté de sa cour. Comme il plantait le dernier clou dans poteau,il sentit un tiraillement sur le côté de sa s*****tte. Il vit les grands yeux d'un petit garçon tournés vers lui. "Monsieur , " dit-il, " je veux acheter un de vos chiots. " «Eh bien, » dit le fermier, en frottant la sueur à l'arrière de son cou : «Ces chiots viennent des parents très racés et coutent beaucoup d'argent " .. Le garçon baissa la tête un moment. Ensuite, fouillant profondément dans sa poche, il sortit une poignée de monnaie et la tendit à l'agriculteur. «J'ai trente-neuf cents. Est- ce suffisant pour jeter un œil ? " «Bien sûr» dit le fermier . Et il laissa échapper un sifflement . «Ici, Dolly! " il a appelé . Venant de la niche et descendant la rampe, Dolly courut, suivie par quatre petites boules de fourrure. Le petit garçon pressa son visage contre le grillage. Ses yeux brillaient de joie. Comme les chiens arrivaient à la clôture, le petit garçon remarqua quelque chose d'autre qui remuait à l'intérieur de la niche. Lentement, une autre petite boule apparut, nettement plus petite. En bas de la rampe, elle glissa . Ensuite, de manière un peu maladroite, le petit chiot a clopiné vers les autres, faisant de son mieux pour les rattraper ..... «Je veux celui-là, " dit le petit garçon , pointant l'avorton . L'agriculteur s'agenouilla à côté du garçon et lui dit : «Fiston, tu ne veux pas ce chiot . Il ne sera jamais capable de courir et de jouer avec toi comme ces autres chiens le feraient. " Le petit garçon recula de la clôture, se baissa et commença à rouler une jambe de son pantalon. Ce faisant, il révéla une attèle en acier des deux côtés de la jambe, fixée sur une chaussure spécialement conçue . En regardant l'agriculteur droit dans les yeux, il dit : «Vous voyez, monsieur, je ne cours pas très bien moi-même, et il aura besoin de quelqu'un qui le comprend. " Avec des larmes dans les yeux, l'agriculteur se baissa et ramassa le petit chiot .. Le tenant délicatement, il le tendit au petit garçon. " Combien? " demanda le petit garçon ... " Rien" , répondit le paysan , «il n'y a pas de prix pour l'amour. " Le monde est rempli de gens qui ont tous besoin de quelqu'un qui les comprenne. |
Déposé par spanky le 17/01/2024POEME SUR LA TRISTESSE D'UN CHIEN. --------- Je ferme les yeux tout doucement Tes mains sur moi me réchauffant. Tu es venu me chercher trop tard Moi qui n’ai vécu qu’une vie de désespoir. Je suis né, on ne sait quand Je suis né, on ne sait où Pour moi tout est fini maintenant Voilà que je pars en regardant ton visage si doux. Depuis ma naissance, je suis maltraité Je n’ai connu des humains aucune humanité. Attaché à un pieu par tous les temps N’ayant pour m’abriter qu’un misérable auvent J’ai grandi dans la solitude et la peur Subissant la colère et la froideur De ces gens qu’on appelle humains. Jamais un regard, une caresse Un mot doux, une gentillesse J’étais là pour les servir Les protéger, les avertir. Ils m’ont pris pour être leur gardien Sans se soucier de mon quotidien. J’ai eu froid, j’ai eu faim Souvent malade comme un « chien » Mais personne ne s’est jamais inquiété De mon état de santé, De savoir si j’avais assez à manger. Jamais je n’ai pu jouer, On m’a interdit de gambader Le jour où on m’a enchaîné. Mais toi, tu es passé par là Tu m’as vu, tu m’as secouru. Mais il est trop tard pour moi, je crois Pour vivre une vie qui m’aurait surement plu. Je vois des larmes dans tes yeux, Des mots gentils arrivent à mes oreilles Qui chauffent mon cœur comme le soleil. Je vais mourir aujourd’hui Je vais mourir heureux mon ami Car je pars en sachant Qu’il existe encore des braves gens Qui peuvent donner leur temps Qui peuvent donner leur argent Pour essayer que nous, les malheureux Les mal-aimés, les battus, les enchaînés Finitions notre vie dans la dignité. Merci à vous les associations, les gens de bonne résolution Vous qui essayez de nous sauver Au prix de vos loisirs, de votre santé. Vous qui aidez peu importe la manière A éviter qu’on vive une vie de misère. |
Déposé par poutounou le 17/01/2024Que c'est joliment dit ! "Ton absence est entrée chez moi..." * Ton Absence * Yves Duteil * Comme une bouffée de chagrin Ton "visage" ne me dit plus rien Je t'appelle et tu ne viens pas Ton absence est entrée chez moi * C'est un grand vide au fond de moi Tout ce bonheur qui n'est plus là Si tu savais quand il est tard Comme je m'ennuie de ton "regard" * C'est le revers de ton amour La vie qui pèse un peu plus lourd Comme une marée de silence Qui prend ta place et qui s'avance * Je dors blotti dans ton "sourire" Entre le passé, l'avenir Et le présent qui me retient De te rejoindre un beau matin * Dans ce voyage sans retour Je t'ai offert tout mon amour Même en s'usant l'âme et le corps On peut aimer bien plus encore * Bien sûr, là-haut de quelque part Tu dois m'entendre ou bien me voir Mais se « parler » c'était plus tendre On pouvait encore se comprendre * Je suis resté sur le chemin Avec ma vie entre les mains À ne plus savoir comment faire Pour avancer vers la lumière * Il ne me reste au long des jours En souvenir de ton amour Que cette fleur qui s'épanouit sur le silence... Ton absence... |
Déposé par spanky le 15/01/2024La vie les animaux et nous -------- Soyons extrêmement prudents, telle est notre quête, Lorsque le chemin s'étend hors des zones urbaines, Automne et hiver, des sauvages rencontres se prêtent, Le risque sur la route, telle une ombre incertaine. ----- Vigilance renforcée, quand la nuit s'installe, Dans les régions rurales, près des bois mystérieux, Les animaux sauvages, gardiens de leur vaste pâle, Nous rappellent que la nature est un monde curieux. ----- Chaque année, des collisions nous rappellent, La fragilité des liens entre homme et faune, Des milliers d'accidents, un triste décompte, Où l'impact est lourd, sur le destin qui résonne. ----- Les dommages sont considérables, hélas, Pour l'animal innocent, pour le véhicule aussi, Une rencontre funeste, un destin qui trépasse, Le choc avec un sanglier, cruelle ironie. ----- Le véhicule déclaré "irréparable", triste constat, Symbole de cette rencontre tragique sur la route, Mais rappelons-nous toujours, avec empathie en éclat, La vie sauvage mérite respect, sans aucun doute. ----- Soyons prudents, veillons avec attention, À protéger les êtres qui partagent notre terre, En harmonie, en coexistence, telle est notre mission, Pour que la nature et l'homme puissent se plaire. ----- Dans l'automne et l'hiver, quand la nuit étend son voile, Soyons les gardiens de cette fragile alliance, Prudence et respect, pour que la vie foisonne, étoile, Et que chacun trouve sa place, en toute bienveillance. ---------- |
Déposé par poutounou le 14/01/2024Extrait du « Paradis blanc » de Michel Berger (avec une phrase en plus…) * Je m'en irai dormir dans le paradis blanc Où les manchots s'amusent dès le soleil levant Où les chiens courent sans collier, librement Et jouent en nous montrant Ce que c'est d'être vivant Je m'en irai dormir dans le paradis blanc Où l'air reste si pur Qu'on se baigne dedans À jouer avec le vent Comme dans mes rêves d'enfant Parler aux poissons d'argent Et jouer avec le vent Comme dans mes rêves d'enfant |
Déposé par spanky le 13/01/2024NOUS les aimons tant...et d'autres..de sinistres individus les martyrisent !!! **********************************Le journal d’un chien Semaine 1: Ca fait aujourd’hui une semaine que je suis né. Quel bonheur d’être arrivé dans ce monde! Mois 01: Ma maman s’occupe très bien de moi. C’est une maman exemplaire. Mois 02: Aujourd’hui j’ai été séparé de maman. Elle était très inquiète et m’a dit adieu du regard. En espérant que ma nouvelle "famille humaine" s’occupera aussi bien de moi qu’elle l’a fait. Mois 04: J’ai grandi vite, tout m’attire et m’intéresse. Il y a plusieurs enfants à la maison, ils sont pour moi comme des "petits frères". Nous sommes très polissons, ils me tirent la queue, et je les mords pour jouer. Mois 05: Aujourd’hui, ils m’ont disputé. Ma maîtresse m’a grondé parce que j’ai fait "pipi" à l’intérieur de la maison, mais ils ne m’ont jamais dit où je devais le faire. En plus je dors dans la réserve... et je ne me plaignais pas! Mois 12: Aujourd’hui j’ai eu un an. Je suis un chien adulte. Mes maîtres disent que j’ai grandi plus qu’ils ne le pensaient. Qu’est-ce qu’ils doivent être fiers de moi ! Mois 13: Aujourd’hui, je me suis senti très mal. Mon "petit frère" m’a pris ma balle. Moi je ne lui prends jamais ses jouets. Alors je lui ai reprise. Mais mes machoires sont devenues fortes et je l’ai blessé sans le vouloir. Après la peur, ils m’ont enchaîné, je ne peux presque plus voir le soleil. Ils disent qu’ils vont me surveiller, que je suis un ingrat. Je ne comprends rien à ce qui se passe. Mois 15: Plus rien n’est pareil... je vis sur le balcon. Je me sens très seul, ma famille ne m’aime plus. Ils oublient parfois que j’ai faim et soif. Quand il pleut, je n’ai pas de toit pour m’abriter. Mois 16: Aujourd’hui, ils m’ont fait descendre du balcon. J’étais sûr que ma famille m’avait pardonné et j’étais si content que je sautais de joie. Ma queue bougeait dans tous les sens. En plus, ils m’emmènent avec eux pour une promenade. Nous avons pris la direction de la route et d’un coup, ils se sont arrêtés. Ils ont ouvert la porte et je suis descendu tout content, croyant que nous allions passer la journée à la campagne. Je ne comprends pas pourquoi ils ont fermé la porte et sont partis. "Ecoutez, attendez !" Vous... vous m’oubliez. J’ai couru derrière la voiture de toutes mes forces. Mon angoisse grandissait quand je me rendais compte que j’allais m’évanouir et qu’ils ne s’arrêtaient pas : ils m’avaient oublié. Mois 17: J’ai essayé en vain de retrouver le chemin pour rentrer à la maison. Je me sens et je suis perdu. Sur mon chemin, il y a des gens de coeur qui me regardent avec tristesse et me donnent un peu à manger. Je les remercie du regard et du fond du coeur. J’aimerais qu’ils m’adoptent et je leur serais loyal comme personne. Mais ils disent juste "pauvre petit chien", il a dû se perdre. Mois 18: L’autre jour, je suis passé devant une école et j’ai vu plein d’enfants et de jeunes comme mes "petits frères". Je me suis approché et un groupe, en riant, m’a lancé une pluie de pierres pour "voir qui visait le mieux". Une des pierres m’a abîmé l’oeil et depuis je ne vois plus de celui-ci. Mois 19: Vous ne le croirez pas, mais les gens avaient plus pitié de moi quand j’étais plus joli. Maintenant je suis très maigre, mon aspect à changé. J’ai perdu mon oeil et les gens me font partir à coup de balais quand j’essaie de me coucher dans un petit coin d’ombre. Mois 20: Je ne peux presque pas bouger. Aujourd’hui, en essayant de traverser la rue où circulent les voitures, je me suis fait renverser. Je pensais être dans un endroit sûr appelé fossé, mais je n’oublierai jamais le regard de satisfaction du conducteur qui a même fait un écart pour essayer de m’écraser. Si au moins il m’avait tué ! Mais il m’a éclaté la hanche. La douleur est terrible, mes pattes arrières ne réagissent plus et je me suis difficilement irai vers un peu d’herbe au bord de la route. Mois 21: Cela fait 10 jours que je passe sous le soleil, la pluie, sans manger. Je ne peux pas bouger. La douleur est insupportable. Je me sens très mal, je suis dans un lieu humide et on dirait même que mon poil tombe. Des gens passent, ils ne me voient même pas, d’autres disent "ne t’approche pas". Je suis presque inconscient, mais une force étrange m’a fait ouvrir les yeux... la douceur de sa voix m’a fait réagir. Elle disait "Pauvre petit chien, dans quel état ils t’ont laissé"... avec elle il y avait un monsieur en blouse blanche, il m’a touché et a dit "je regrette madame, mais ce chien ne peut plus être soigné, il vaut mieux arrêter ses souffrances". La gentille dame s’est mise à pleurer et a approuvé. Comme je le pouvais, j’ai bougé la queue et je l’ai regardé, la remerciant de m’aider à trouver enfin le repos. Je n’ai senti que la piqûre de la seringue et je me suis endormi pour toujours en me demandant pourquoi j’étais né si personne ne me voulait. La solution n’est pas de jeter un chien à la rue, mais de l’éduquer. Ne transforme pas en problème une compagnie fidèle. Aide à faire prendre conscience et à mettre fin au problème des chiens abandonnés. |
Déposé par spanky le 11/01/2024Ils existent encore ------ Le temps nous vole tout, sans honte ni regret, et il nous prend surtout nos amis canins qu’on aimait. Ils sont bien rares ceux qui n’ont jamais vécu la mort si douloureuse de nos amis canins disparus. la mort nous les a pris, nous laissant seuls ici. À force de pleurer, le chagrin s’amoindrit, mais nos âmes blessées ne trouvent pas l’oubli. Mais faut-il oublier, plutôt que de souffrir, effacer le passé, ne plus se souvenir ? Il me semble que non car tant que nous gardons cet amour pour nos morts, eux, ils existent encore… |
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