|
|
|
|
||||||
Connectez vous pour utilisez Mails privés, carnet d'adresses et favoris |
aucune bougie 6 personnes aiment cette page |
Connectez vous pour déposer fleurs, bougies et messages |
Vous n'êtes pas connecté. |
En hommage à
ROTTWEILERTania
Il est né le:--/10/2011
Il nous a quittés le:22/07/2023
0 bougie
|
32 Fleurs
7 messages
Déposé par Cupidon le 14/11/2023**** Ne soit pas Triste **** Ce que tu vois aujourd'hui, ce n'est pas moi. Ce n'est qu'une enveloppe qui m'a Ă©tĂ© prĂȘtĂ©e, Le temps d'une vie terrestre. Elle m'a permis de te connaĂźtre et de t'aimer Ă ma façon. Mon vrai moi, l'Ăme que je suis, Vient de traverser une nouvelle Ă©tape vers l'accomplissement de soi. Ne sois pas triste, sois heureuse pour moi. LĂ oĂč je suis, la lumiĂšre et l'Amour m'enivrent puisque, En plus de nager dans un OcĂ©an d'Amour limpide, J'ai emportĂ© avec moi celui que tu m'as Si gentiment et inconditionnellement offert ! J'aimais la Vie, tu le sais bien. La mort physique, ce n'est pas la mort de l'Ăme ! Ce que j'avais Ă apprendre ou Ă faire Dans cette vie-ci est accompli. Je n'emporte que de bons souvenirs car, Un Ă©vĂ©nement triste ou encore un obstacle, Dans mon ancien monde, Est un privilĂšge, c'est une occasion de grandir Qui est offerte, une occasion d'Ă©voluer Un peu plus Ă chaque fois. S'il y a quelque chose que tu aurais aimĂ© me dire, Il n'est pas trop tard. Je suis maintenant "conscience" Je peux, par le fait mĂȘme, percevoir tes pensĂ©es Et tes vibrations les plus pures. Ce soir ou mĂȘme ici, installe-toi dans un coin calme, Entre en toi, Ouvre ton cĆur et perçois mon image Au centre d'un radieux soleil. Sens son incommensurable chaleur qui t'apaise et t'irradie. C'est Ă ce moment-lĂ que je t'enverrai d'ici, Tout l'Amour Ă l'Ă©tat cristallin Qu'il t'est humainement possible de recevoir ! N'oublie pas que c'est ici, en toi, Que tu pourras toujours reprendre contact. MĂȘme si, parfois, tu ne me percevais pas, Sois certaine que j'y serai tout de mĂȘme !! Ta vie continue, La mienne aussi⊠Rendez-vous dans une autre dimension, Au moment opportun. Je t'y accueillerai PensĂ©e |
Déposé par poutounou le 08/11/2023Lâenvol de lâAnge * Ca y est, il est parti Il est dĂ©jĂ tout lĂ -haut Par-delĂ les nuages Au milieu des Ă©toiles * Il a dĂ©jĂ ses ailes dâAnge Toutes blanches ImmaculĂ©es comme la puretĂ© De son cĆur, de son Ăąme * Oh les premiers temps sans lui Vont ĂȘtre tout simplement horribles Partout on le cherchera Nulle part on ne le trouvera * Et puis viendront les doutes Ai-je bien fait ? Il aurait peut-ĂȘtre pu vivre encore un peu Je nâaurais pas dû⊠* Le temps calmera progressivement cette vive douleur Les larmes monteront moins souvent aux yeux La vie reprendra ses droits Comme on dit⊠* Mais lĂ , juste lĂ Dans notre cĆur meurtri Il y a cette Ă©norme cicatrice TĂ©moin de notre grande souffrance * Non, on ne peut pas oublier Comment oublier cet Amour si doux Ce regard si tendre, si innocent Juste un cri de notre Ăąme : « Je tâaime mon Ange⊠» |
Déposé par spanky le 07/11/2023Une larme.... ------- Une larme est en apparence une simple goutte d'eau, lĂ©gĂšrement salĂ©e, glissant doucement sur une joue rosĂ©e, et qui achĂšve son chemin lorsqu'elle rencontre le sol. Mais si on prend le temps de s'approcher, de regarder vraiment ce qu'elle est, une larme a beaucoup de choses a dire. Une larme ne nait pas au coin de l'oeil sans raison. Parfois, c'est du Ă un rire, mais malheureusement, la plupart du temps, c'est Ă cause d'une peine, d'une tristesse, d'un mal-ĂȘtre enfoui au fond de soi, quelque chose qu'on ne veut pas montrer, pour ne pas inquiĂ©ter, mais qui finit toujours par remonter. La gorge se noue, les mots ne sortent plus, les yeux nous piquent, on sent la larme se former, on voudrait la retenir, mais elle est plus forte que nous. Elle vient du fond de notre ĂȘtre, du fond de notre Ăąme. Durant le chemin qu'elle parcourt a travers notre corps pour arriver jusqu'Ă notre oeil, elle se charge des souffrances qui nous hantent. Elle transporte tout ce qu'on n'a pas su dire, tout ce qui nous fait mal, afin de nous libĂ©rer pour un temps. Elle attriste notre visage, mais elle est le signe que quelque chose ne va pas. Elle attire sur nous l'attention qu'on souhaite Ă©viter, mais lorsqu'elle est lĂ , il est dĂ©jĂ trop tard. Elle perle au coin de l'iris, transparente, mais tellement significative de ce que l'on ressent. On voudrait la sĂ©cher, pour que personne ne la voit, mais elle ne vient jamais seule, et malgrĂ© nos efforts, elle finit toujours par glisser sur notre joue, laissant derriĂšre elle une trace. Trace du tourment qui est en nous. Tourment qu'on voudrait taire, qu'on ne veut peut ĂȘtre pas s'avouer non plus, mais pourtant bien prĂ©sent. Retenir une larme n'est pas possible, car elle finira toujours par venir, dans n'importe quelle situation. Laisser couler une larme permet de lĂącher prise, de se dĂ©voiler aux autres. Il ne faut pas en avoir honte. Une larme est lĂ pour nous soulager, elle Ă©vacue notre trop plein de douleur, et aprĂšs, l'on se sent mieux. Maintenant, quand vous verrez une larme, penser a tout ce qu'elle contient, vous comprendrez beaucoup de chose. |
Déposé par spanky le 07/11/2023Une larme.... ------- Une larme est en apparence une simple goutte d'eau, lĂ©gĂšrement salĂ©e, glissant doucement sur une joue rosĂ©e, et qui achĂšve son chemin lorsqu'elle rencontre le sol. Mais si on prend le temps de s'approcher, de regarder vraiment ce qu'elle est, une larme a beaucoup de choses a dire. Une larme ne nait pas au coin de l'oeil sans raison. Parfois, c'est du Ă un rire, mais malheureusement, la plupart du temps, c'est Ă cause d'une peine, d'une tristesse, d'un mal-ĂȘtre enfoui au fond de soi, quelque chose qu'on ne veut pas montrer, pour ne pas inquiĂ©ter, mais qui finit toujours par remonter. La gorge se noue, les mots ne sortent plus, les yeux nous piquent, on sent la larme se former, on voudrait la retenir, mais elle est plus forte que nous. Elle vient du fond de notre ĂȘtre, du fond de notre Ăąme. Durant le chemin qu'elle parcourt a travers notre corps pour arriver jusqu'Ă notre oeil, elle se charge des souffrances qui nous hantent. Elle transporte tout ce qu'on n'a pas su dire, tout ce qui nous fait mal, afin de nous libĂ©rer pour un temps. Elle attriste notre visage, mais elle est le signe que quelque chose ne va pas. Elle attire sur nous l'attention qu'on souhaite Ă©viter, mais lorsqu'elle est lĂ , il est dĂ©jĂ trop tard. Elle perle au coin de l'iris, transparente, mais tellement significative de ce que l'on ressent. On voudrait la sĂ©cher, pour que personne ne la voit, mais elle ne vient jamais seule, et malgrĂ© nos efforts, elle finit toujours par glisser sur notre joue, laissant derriĂšre elle une trace. Trace du tourment qui est en nous. Tourment qu'on voudrait taire, qu'on ne veut peut ĂȘtre pas s'avouer non plus, mais pourtant bien prĂ©sent. Retenir une larme n'est pas possible, car elle finira toujours par venir, dans n'importe quelle situation. Laisser couler une larme permet de lĂącher prise, de se dĂ©voiler aux autres. Il ne faut pas en avoir honte. Une larme est lĂ pour nous soulager, elle Ă©vacue notre trop plein de douleur, et aprĂšs, l'on se sent mieux. Maintenant, quand vous verrez une larme, penser a tout ce qu'elle contient, vous comprendrez beaucoup de chose. |
Déposé par spanky le 05/11/2023Mon maĂźtre, ------ Assieds-toi Ă cĂŽtĂ© de moi, j'ai Ă te parler. Je t'ai, maintenant je le crois, assez Ă©coutĂ©. Je me souviens de notre rencontre, c'Ă©tait un jour oĂč le soleil brillait, l'air Ă©tait doux. Un parfum de muguet, que je n'avais encore jamais respirĂ©, se rĂ©pandait tout autour de nous. Tu es venu vers moi, tu semblais si fatiguĂ©, si triste, que je me suis tout de suite senti proche de toi. Les arbres, les fleurs, l'herbe mĂȘme sentaient la naissance, le dĂ©but, la fraĂźcheur. Quand tu m'as pris dans tes bras, ton cĆur battait encore plus fort que le mien. Je me le rappelle bien, j'en Ă©tais stupĂ©fait ! Tu me donnais tant d'amour qu'il me semblait que l'Ă©ternitĂ© Ă©tait en nous, que ma vie Ă©tait-elle. Tu m'as connu bĂ©bĂ©, je suis maintenant beaucoup plus vieux que toi, au crĂ©puscule de ma vie. C'est moi maintenant qui suis fatiguĂ©, si fatiguĂ©, Ă©reintĂ©. Je ne sens plus mes membres, je ne sens presque plus rien. Il est pour moi l'heure. Tu es ce que tu es, celui que j'ai aimĂ©, que j'ai toujours aimĂ©. Le premier, le dernier. Notre sort aurait pu ĂȘtre si diffĂ©rent⊠le mien surtout. J'aurais pu me retrouver seul, dans le froid, attendant jusqu'Ă ma mort ton retour. J'aurais pu me sentir abandonner mais confiant, mĂȘme si cela peut paraĂźtre incompatible. J'aurais pu croire en un faux Dieu, perdre ce que vous appelez des illusions. Comme je me sens bien prĂšs de toi⊠il me semble sentir Ă nouveau le muguet comme ce jour de mai ; je sens ta chaleur, ta vie, il me semble mĂȘme entendre battre ton cĆur, comme au premier jour. Pour moi, c'est le dernier. Ne pleure pas mon ami. Ton tour viendra, et je ne peux m'empĂȘcher de te promettre que je t'attendrais, mĂȘme si je sais que tu ne crois pas Ă ces choses-lĂ . Que nous reste-t-il donc ? Rien d'autre que ce que tu penses ĂȘtre un faux espoir. Mais tu en sais sans doute plus que moi sur ce sujet ? Je vais continuer de vivre dans ton cĆur, aussi longtemps que tu le souhaiteras. Je serais toujours tout prĂšs de toi, tant que mon image sera prĂ©sente en toi. Je dois maintenant m'arrĂȘter. S'il te plait⊠Pose ta main sur ma tĂȘte⊠caresses-moi. Je vais partir, et j'ai un peu peur. Il me faut ton odeur⊠Adieu. |
Déposé par colombine67 le 04/11/2023Tu es sur le nuage qui passe, Tu es dans tout le bleu du ciel, Tu es lâeau, le feu, la glace, Tu es la douceur du miel. Je te vois dans la pluie qui tombe, Je tâentends dans le souffle du vent, Tu es papillon et colombe, Tu es le sourire dâun enfant. Tu es sur la feuille dâautomne, De lâĂ©tĂ©, tu es le soleil Tu es lâhiver quand il tonne, Tu es lâĂ©clair et lâarc en ciel. Je te vois dans chaque visage, Je tâentends Ă chaque bruit de pas, Tu es le son, tu es lâimage, Tu es partout, ici et là ⊠Toi qui nâest plus là ⊠|
Déposé par spanky le 04/11/2023Une fois la nuit tombĂ©e, Quand le sommeil nous a emportĂ©, Lorsqu'enfin tout est calme et lĂ©ger, Loin du tumulte de la journĂ©e, Nos anges, doucement viennent nous frĂŽler. Tout prĂšs de nous dĂ©licatement, ils vont se poser. Sur notre front, une lĂ©chouille doucement ils vont dĂ©poser. A notre oreille un "je t'aime" ils vont nous murmurer. De leurs ailes, ils vont nous envelopper, Et peut-ĂȘtre mĂȘme...dans un tourbillon de bonheur ils vont nous emporter. Puis au matin revenu, Ă nouveau, ils vont nous quitter. Non sans nous avoir une derniĂšre fois lĂ©chouillĂ©s. Mais de doux rĂȘves ils nous auront laissĂ©. Et le soir mĂȘme, ils l'ont promis, ils vont repasser. |
L'Album photo contient 5 photos